Ma vie, en détail

Parti (1)

Au début il n'y avait rien... logique non? Rien de rien, rien de tout, et tout ce que vous pourrez imaginer. Ah, et puis y avait quatre mottes de terre au milieu de tout ça, un monde parait-il. C'est qu'elles y ont passé du temps à le construire, mais moi j'étais pas là en ce temps-là, c'est le fils, du fils, du fils... enfin c'est un vieux gars gâteux qui me l'a raconté.
Soit, continuons...
Quatre jeunes jouvencelles firent naître un monde où le bonheur règnait, et gnagnagni, gnagnagna, petit histoire cucul la praline dont vous vous foutez éperdumment.
Et puis un jour (à moins que ce ne soit une nuit?) un peu de piment vint enfin reveler ce monde rose bonbon, pour faire naître en ce monde un poison, le Mal en personne qui vint s'infiltrer en chacun des millénaires durant. Et moi dans tout ça? J'étais un gentil petit chevalier, pas bien important, somme toute...

J’était un jeune naïf. Pour moi la vie était d’une simplicité enfantine, je m’entraînais ,rarement je dois dire, l’épée, l’arc, la masse d’arme, bien que mes instruments soient esthétiquement soigné, je n’aimais pas me servir de ces choses, ces engins de mort et de désolation. Je rêvais de dragon de faire comme ce peuple don mon précepteur me contait les légendes. Imaginez vous, le bonheur de voler? De voir le monde de haut, de voir la beauté de la terre ainsi offerte au vos yeux mortel.

Ma vie était belle mais elle s’embelli quand part un beau matin, je décida de quitté ma maison de noble. Dans une ruelle sombre, une magicienne enfin une diseuse de bonne aventure me cria alors que je ne faisait que passé. « Tu rencontrera l’amour!! » je ne regarda même pas cette femme. Je me moquais bien de rencontré qui que se soit d’ailleurs, je continua ma route. Le monde, la vie, les marchés, j’adorais me baladé dans cette endroit puis je rentra dans ma demeure. Je ne vous bassinerez pas avec mon quotidien lassant mais un jour, je rencontra une personne, enfin, un homme, il me fit découvrir l’amour, la passion, lui, il était garde au château du royaume de terre, un homme doux et intelligent qui pars obligation, c’était engagé dans l’armé pensant faire le bien…. Bref nous nous aimions d’un amour assez mal vu par ma noble famille qui désirai plus que tout avoir un héritier, au titre. Bien sur après des nuits d’amour et de multiple dispute nous nous séparâmes, lui devait allé a la guerre et moi, et bien je devais devenir ce que tout le monde voila.

Le temps passa et la vie aussi. Un serviteur m’annonça un bon matin que mon amant fut tué de la main même d’un assassin qui avec le temps deviendra le grand Stalers. Mon désespoir fut aussi grand que ma haine. J’envoya plusieurs homme pour me ramené la tête de ce chien d’assassin, mais ils ne trouvèrent personne. Ma vie semblait figé dans le temps. Cette amour m’avait laissé une trace comme une coup de hache de mon âme. Ma mère lassait de son manque d’héritier me trouva une femme, elle était belle et désirable. Mon cœur ne fit qu’un tour. C’était une humaine, toujours habillé en blanc, se fut le second amour de ma vie, les bon moments effacèrent les mauvais. La date de notre mariage arriva extrêmement vite. J’étais heureux. La page du livre du temps se tourna, et moi, je continua a m’entraîné autant aux armes qu’aux arts. Ma femme, un matin, me surprit en train de me battre avec une arme du pays de l’eau, une arme si belle, comme ma femme d’ailleurs, sa finesse, sa légèreté, sa grâce, sa douceur au regard et sa façon de faire du mal. Elle me forcera a prendre par a la bataille qui devait tué la déesse Darva.

Je parti enfin pour ne jamais revenir. Ma femme, elle s’était caché de me dire qu’elle attendait notre fils. Pendant que j’agonisais la tête dans la boue et le sang, ma mère et ma famille se faisaient déjà une joie de la naissance de l’héritier et de mon retour ,qui aurait du être héroïque. Malheureusement, je ne revins jamais chez moi. Ma femme porta le deuil jusqu’à la fin de sa vie. Le printemps après mon décès, ma femme mit au monde, dans les larmes et les hurlements, ma fils. Vous vous demandez comment je le sais? Je l‘ai entendu! Même dans la noirceur des ténèbres et des enfers, il y a toujours des âmes qui pour évité d’être mangé, vous balance toute les informations que vous désirez. Dans les enfers, je n’avais plus de forme réelle juste un brouillard noir avec un œil de sang.

(fin de la première partit)