La Taverne de Träne

[Vous pouvez aussi vous référer à ma présentation pour plus de détails.]

La taverne de Träne est bien connue pour son originalité. Connue partout à travers les continents, cet endroit est bien unique. De première vue, le bar semble assez petit, mais en franchissant la porte, les gens en restent souvent très surpris. Faite en bois de chêne, la taverne peut accueillir une tonne de personnes, peu importe la race ou le genre ou bien même du continent ou la tendance religieuse.

Dans le fond de la grande pièce on peut appercevoir une énorme scène de danse où que Columbia fait des souvent des démonstrations. Bien sûr, Columbia n'est pas que danseuse, elle est aubergiste aussi. On peut lui demander n'importe quoi, pourvu que cette personne a de quoi payer, mais parfois, même pour quelqu'un de pauvre, elle peut s'avérer très généreuse.

Menu

Fèves au lard...................... 3 pièces
Cervoise tiède..................... 2 pièces
Eau de vie (alcool)............... 2 pièces
Soupe chaude du jour.......... 3 pièces
Velouté de légumes............. 4 pièces
Repas du jour..................... 4 pièces
Morceau de gâteau.............. 1 pièce

Chambre pour une nuit avec petit déjeuner: 10 pièces

À l'étage, il y a des chambres à coucher si vous êtes trop loin de chez vous. Columbine sera ravie de vous servir! Surtout... N'ésitez pas à lui demander une danse... elle en sera ravie!

[Hors jeu: C'est de la monnaie fictive... faites semblant de payer ]

Hilderic avait ordonné à ses hommes de retourné au fort de l'inquisition le plus proche. Après ce qui venait de se passer, il ne se sentait pas particulièrement bien. Son visage était complètement vide d'émotion et ne pouvait que faire peur au gens qui aurait le malheur de le croiser. Ne voulant pas être remarquer par tout le monde qu'il croiserait, Hilderic changea ses habits pour quelque chose de beaucoup discret. Après avoir quitté le navire, il se dirigea vers la ville la plus proche dans le but de trouver un endroit ou il pourrait se reposer durant quelque tant. Il savait très bien que l'inquisition n'avait pas besoin du chef inquisiteur pour continuer à fonctionner.

-Je suis tanné de faire ce travaille. Je ne supporte pu de voir tous ses morts et d'en être l'un des causes principales. En plus, tout sa ne mène à absolument rien. Plus, nous tuons des gens plus les gens sont révoltés par notre façon de faire. Je regrette aujourd'hui d'avoir reprit cette organisation en main. Si je continue encore dans cette vois je suis certain que je deviendrais fou avant la fin de mes tristes jour. Je ne comprends pas pourquoi je m'appitoit sur mon sort de la sorte. Sa ne m'apportera jamais rien d'agir de la sorte.

Personne n'avait vraiment comprit ce qu'Hilderic venait de dire parce qu'il ne parlait pas clairement du tout. Bientôt il arriva devant une petite taverne assez connue du royaume de Trane. Sans se poser de question, il rentra à l'intérieur du bâtiment. Il jeta un rapide coup d’œil à l'intérieur dans le but de repérer une table libre. Sans perdre de temps, il repéra une table et alla s'asseoir d'une démarche assez lente. Il avait fait en sorte d'être dans un coin un peu plus noir de la taverne pour ne pas se faire remarquer. Plusieurs personne le regardait comme si ceux-ci l'avaient déjà vu auparavant. Hilderic se disait que même habillé d'une autre façon, trop de monde connaissait son visage. Pourtant, Hilderic n'avait pas l'air méfiant du tour par rapport à son alentour.

Hilderic avait vu la femme débarquer de la scène et s'approcher de lui. Il la quitta du regard pour fermer les yeux un moment et faire le vide dans sa tête. Tout un coup, il entendit une voix douce assez proche de lui. Il écouta tout ce que la femme avait à dire avant de de finalement réagir le moindrement. Celui-ci ouvrit les yeux et regardait la femme un instant sans lui répondre toute de suite. Il déposa sa main droite sur la table en poussant un soupir profond. Ensuite, il leva sa main gauche et se frotta la barbe durant un cour instant comme s'il réfléchissait ce qui était d'ailleurs le cas. Il était entrain de choisir une réponse pour chacune des questions que la femme lui avait posé. Hilderic déposa finalement sa main gauche sur la table pour finalement se concentrer de nouveau sur la femme.

-Oui, j'ai toujours une certain crainte qu'il m'arrive quelque chose mais je suis plutôt habitué à me déplacer dans ses conditions alors ce type de détail ne m'importe peu maintenant. Je me nomme Hilderic Mazure et pourrais-je savoir votre nom? Je prendrais votre repas du jour ainsi que de la cervoise peu importe ce que c'est. Je ne connais pas beaucoup les boissons même celle qui sont connu de la plupart des gens mais je peux toujours essayer, je n'ai rien à perdre.

Hilderic avait une voix plutôt grave. On pouvait clairement voir sur son visage qu'il n'était pas heureux malgré ce qui pouvait bien se passer autour de lui. Son regard semblait particulierement froid mais il ne laissait pas voir à qui que se soit qu'il souffrait énormement au fond. Il regardait d'un regard léger la femme qui se tenait devant lui pour rester polie en vers elle et pour ne pas lui manquer de respait. Il se disait que manger quelque chose ne pourrait problablement pas lui faire de mal. Par contre pour ce qui est de boir il se demandait si s'était un bonne idée. Pour lui se type de brevage ne fesait que nuir à l'esprit et au faculté physique même prit un petit quantité.

Columbine vit qu'il avait l'air plutôt songeur. Elle ne se posa pas plus de questions, et s'inclina devant l'homme qui prétendait se nommer Hilderic. Elle tourna timidement les talons et courut jusqu'à l'arrière du contoir pour sortir rapidement la première assiette qui lui tomba sur la main.

* Il doit avoir faim avec tout ce voyage... Je vais lui servir mon meilleur repas et je vais me dépêcher un peu...* Pensa-t-elle.

L'assiette lui échappa des mains et se cassa en mille morceaux en touchant le sol. Elle jura quelques mots intérieurement et ordonna à une autre aubergiste de s'en occuper. Du coup, elle se resaisit, elle croisa le regard d'Hilderic et lui fit un sourire un peu idiot selon elle. Columbine se dirigea vers la marmite et servit la meilleure soupe et coula dans un verre de la cervoise bien alcoolisée dans un nouveau baril qui venait d'être ouvert spécialement pour lui. Comme si elle faisait une course, elle arriva devant Hilderic un peu essouflée et terriblement gênée du vacarme qu'elle avait causé. Elle rougit de nouveau et se présenta, comme il le lui avait demandé quelques instants plus tôt.

- '' Je me nomme Columbine. Je suis danseuse et propriétaire de cet endroit et fière de l'être. ''

Elle déposa très doucement l'assiette chaude en prenant soin de ne pas salir l'invité d'honneur du jour. Quelques instants plus tôt, elle avait cru entendre que Hilderic ne connaissait rien à la cervoise... Alors qu'ici, tous les hommes en prenaient tellement qu'ils en devenaient ivres! Elle s'amusa intérieurement en regardant Hilderic sentir la boisson et en la regardant de travers.

* Je savais bien que c'était un noble... Les nobles ne sont pratiquement jamais saouls devant leurs vassaux et ni même devant leur peuple... c'est très mal vu. *

C'était plus fort qu'elle. Columbine explosa de rire.

Hilderic ne posa même pas de question sur les raisons qui poussait Colombine à rire. Il entendait rarement des rires mais beaucoup plus souvent des cries de souffrances et des suplits de la par des gens qui doivent mourir. Celui-ci ne détestait pas sa mais pour sa par il n'était plus capable de rire après tout ce qu'il avait vu comme horreur. Hilderic regarda la femme un instant d'un regard examinateur et posa son coude droit sur la table. Pour ce qui est de la cervoise, même s'il ne savait pas ce que sa pouvait être, il pouvait déduire que s'était une sorte d'alcool à voir tout les hommes saouls qui en buvait autour. Hilderic ne voyait absolument pas ce que le fait d'être saoul pouvait bien leur apporté de spéciale. Il se frotta de nouveau la barbe en jettant quelques coups d'oeil un peu partout ainsi qu'à Columbine.

-Merci! Je suis enchanté de faire votre connaissance dame Columbine. Il m'avait bien sembler avoir entendu de cette endroit à cause d'une danseuse qui serait apparement fameuse mais je n'avais jamais prit le temps de venir à cet endroit vu que mon temps est très restrain. Je dois présumer que vous êtes cette danseuse en question.

Hilderic prit une cuillère et se mit lentement à mangé la soupe après avoir prononcé ses dernières paroles. Il ne pouvait nier que le fait que manger lui était particulièrement agréable et en plus il trouvait cette soupe plutôt bonne. Hilderic savourait une par une chaque cuillère qu'il prenait sans faire un traitre bruit. Celui-ci déposa son ustancile un instant pour pouvoir prendre une gorgé de cervoise. Il ne trouvait pas sa vraiment mauvais mais ce n'était pas dans ses habitudes de boire ce type de boisson. Hilderic devait tout fois admettre que ce type de chose est plutôt agréable à prendre à l'occasion. Après avoir prit deux gorgé, il déposa sa tasse sur la table en prenant une grande respiration. Celui-ci ne bougea pas durant un instant sans toutefois avoir une raison en particulier.

Hilderic avait écouté absolument tout ce que Columbine venait de lui dire pour être sur de pouvoir lui répondre quelque chose de cohérent. Il décida tout d'abord de terminer sa soupe sans prendre une autre gorgé de sa cervoise entre temps. Il ne savait pas si c'était le fait de manger ou la présence de la femme mais Hilderic se sentait un peu mieux depuis un instant. Celui-ci se dit que c'était surement du à la présence chaleureuse de la dame qui se tenait à ses côtés depuis qu'il était arrivé dans la taverne. Il ne pouvait nier le fait que la présence de cette femme ne lui était pas du tout désagréable. Hilderic prit un réel instant pour voir à quoi elle ressemblait.

-Je ne fais pas partit de ceux qu'on nomme les loyalistes et je suis contre eux à cause d'une histoire qui à eu lieux il a déjà longtemps. Aujourd'hui je suis le personnage en chef de l'organisation qui se nomme l'inquisition. Je ne sais pas si vous avez déjà entendu de nous mais en générale les gens nous connaissent et nous craignent d'ailleurs. Personellement je n'ai jamais eux la preuve que les déesses existait mais j'ai pu constater que la magie élémentaire est quelque chose qui existe belle et bien dans ce monde.

Après avoir prononcé ses dernières paroles, Hilderic reprit sa tasse et but une grosse gorgé de cervoise. Il avait remarqué que Columbine était allé se chercher quelque chose à boire elle aussi. Hilderic commençait à ce demander ce qu'il pourrait faire après parce qu'il n'avait aucune envit de retourner à Infernus pour l'instant. En jettant un coup d'oeil à l'endroit il se rappella que l'endroit était aussi une auberge alors celui-ci se dit qu'il pourrait rester ici un moment et en plus il avait de la compagnie pour l'instant alors il prendrerait son temps.

-Vu que je n'ai aucun endroit ou aller cette nuit, puis-je vous prendre une de vos chambre?

La porte s'ouvrit lentement, laissant apparaître un homme à la haute stature,aux cheveux ébouriffés et aux vêtements trempés, qui se dirigeait vers le comptoir. Darvek ne cessait de regarder partout. Cet endroit était tellement différent de son continent. L'architecture, le paysage, les gens, tout était différent. Lorsqu'il arriva devant le maître de la taverne, il chercha des yeux le prix d'une bouteille d'eau-de-vie et sortit de sa poche deux pièces qui lui glissèrent des mains et qui se retrouvèrent de l'autre côté du comptoir. L'air perplexe, le maître ramassa les deux pièces au sol et Darvek demanda:

-Un bouteille d'eau-de-vie mon cher.

Sans dire un mot, le tavernier lui tendit une bouteille que le commandant s'empressa d'engloutir lorsque son regard se posa sur une femme qui se trouvait non loin de là et qui avait l'air épuisé. Darvek s'adressa de nouveau au tavernier qui ne laissait parraître aucune émotion.

-Un verre d'eau je vous prie mon brave.

Et Darvek fut stupéfait de voir l'homme jeté, de ses propres mains, de l'eau dans un petit gobelet. L'air stupéfait du commandant fit notamment sourire le maître de la taverne. Darvek prit le gobelet et se retourna, perplexe de cette étrange démonstration. Toujours sous le choc, il se dirigea tout de même vers la femme épuisée qui était affalée sur une chaise de bois. Il se faufila parmi les nombreuses gens qui s'entassèrent par ci par là dans la taverne. Lorsque'il arriva en face d'elle, il lui tendit le gobelet d'eau et lui dit:

-Vous m'avez l'air épuisé mademoiselle, tenez, prenez ce gobelet, ça va vous rafraîchir.

Alors qu'elle scrutait du regard les autres clients de la taverne, elle aperçut la porte de la taverne s'ouvrir, laissant glisser un courant d'air frais parmi la chaleur ambiante et étouffante de l'établissement. Un grand homme blond, plutôt costaud, pénétra dans la taverne et se dirigea vers le comptoir. Azulia détourna son regard vers sa bourse. Elle avait soif. Elle se pencha pour ramasser sa petite bourse en cuir et y chercher quelques pièces, lorsqu'elle entendit quelqu'un s'adresser à elle :

-Vous m'avez l'air épuisé mademoiselle, tenez, prenez ce gobelet, ça va vous rafraîchir.

La jeune guerrière leva ses yeux bruns vers l'inconnu qui lui adressait la parole. Elle fut stupéfaite de voir qu'il s'agissait de l'homme blond, gobelet à la main, qui était entré dans la taverne quelques instants auparavant. Azulia se redressa sur sa chaise, un peu gênée et lui sourit gentiment. Elle hocha de la tête et prit le gobelet d'eau que lui tendait cet homme. Elle but une gorgée, puis, le reposa sur la table. Elle le regarda, puis lui dit, d'une voix basse, mais reconnaissante :

-Merci beaucoup. Vous ne pouvez savoir à quel point j'avais soif... Ça tombait juste à point. Pourquoi ne prenez-vous pas un siège ?

-Merci beaucoup. Vous ne pouvez savoir à quel point j'avais soif... Ça tombait juste à point. Pourquoi ne prenez-vous pas un siège ?
dit la jeune demoiselle.

Darvek, qui semblait être dans un piteux état vêtements tout mouillé, ne s'empêcha de répondre gentiment:

-Avec plaisir mademoiselle.

Il recula la chaise de bois qui se trouvait en face de cette femme, il défit la ficelle qui attachait sa cape bleue et la posa sur le dos de la chaise... puis, dans un soupir de soulagement, il prit place sur cette chaise de bois qu'il trouvait si confortable pourtant. Ses yeux, qui laissaient trahirent une lueur de fatigue après ce voyage éprouvant, se posèrent sur la jeune dame qui avait un regard aussi épuisé que le commandant.

-Je me présente, je me prénomme Darvek D'Avaris, commandant des armées de sa majesté du continent de l'air et fils de Marvidal D'Avaris. C'est une première pour moi, commença-t-il mais, son regard se posa soudain sur le gobelet qu'il avait apporté pour la demoiselle, c'est la première fois que je sors de mon continent. Jamais auparavant je n'ai navigué aussi loin...

Les yeux rivés sur ce même gobelet, on aurait dit que le remord assahissait l'esprit du commandant, mais il se ressaisit, secoua la tête et reposa ses yeux verts sur le visage de l'inconnue.

-Et vous, comment vous appelez-vous?

Azulia fit un sourire fatigué.

-Mon nom est Azulia Ezelendel, mais Azulia suffira, je crois. Je suis ce qu'on pourrait appeler une guerrière indépendante... Je parcours le continent depuis maintenant 2 ans, à la recherche de certaines personnes. Je suis originaire de Träne. Comme vous pouvez le constater, je suis de retour dans mon royaume ! fit-elle en souriant.

Puis, il y eut un moment de silence. Azul regarda Darvek, et remarqua qu'il semblait dans un piteux état, encore plus qu'elle. Durant un moment, elle sembla perdre le contact avec la réalité. Son regard semblait dans perdu dans quelque songe, et était fixe. Lorsqu'elle revint à elle, quelques secondes plus tard, elle secoua la tête et passa sa main dans son visage. Décidément, elle avait besoin de repos !
Elle reporta son regard vers le commandant.

-Vous savez, moi non plus je n'ai jamais quitté mon continent. Ce n'est pas faute de vouloir, mais on dirait que le temps me manque... Comme si le temps s'écoulait trop vite, comme si j'avais un tas de choses à faires, un tas de tâches inachevées...

La guerrière eut un petit rire.

-Je suis désolée ! Je dois vous paraître assomante, avec mes petits tracas ! dit Azulia avec un sourire désolée. Au fait, de quel royaume venez-vous ?

[HJ : Oula... j'étais pas super inspirée ce soir ! Désolée ! ]

Hanida arriva dans la taverne. Cette jeune femme chercha le commandant, elle le vit il était avec une ravissante jeune femme. Elle était vêtue d'une robe grise, elle avait un foulard sur ses bras rose et ses cheveux était aqua. Quant à elle, elle portait un robe rouge qui mettait ses courbes en valeur, ces cheveux étaient attachés avec une pince blanche. Elle avait un de cet décolté dans lequel tout le monde regarde, mais comparer à certaines personnes, il lui allait à merveille. Cette guérisseuse s'approcha d'eux subtilement et dit:

- Désolé de vous déranger cher commandant, je me nomme Hanida. je suis guérisseuse et je me demandais si je pouvait vous aidez, car si vos matelos ou vous même vous blesseriez je pourrais être là pour soigniez toutes ces personne.

Hanida attendait la réponse du commandant ne sachant pas son nom elle l'appellerait toujours commandant comme ses matelos.

-Je suis désolée ! Je dois vous paraître assomante, avec mes petits tracas ! Au fait, de quel royaume venez-vous ? demanda la jeune demoiselle.

Darvek prit une gorgée du reste d'eau-de-vie qui restait dans le fond de son gobelet, et répondit à la question:

-Eh bien Azulia, je viens de Ëlenwei, mais je doute que vous connaissiez, de plus...

Mais, il ne put terminer sa phrase qu'une autre dame vint s'interposer et annonça, légèrement essouflée:

- Désolé de vous déranger cher commandant, je me nomme Hanida. je suis guérisseuse et je me demandais si je pouvais vous aider, car si vos matelots ou vous même vous blesseriez je pourrais être là pour soigniez toutes ces personne.

Le commandant, complètement pris au dépourvu, vida le reste de son verre et garda son regard sur la table pendant quelques secondes. Puis, il releva les yeux et fixa Azulia d'un air perplexe et se retourna finalement vers la nouvelle venue.

-Eh bien Hanida, bien le bonjour, je vous remercie pour vos services, et j'imagine fort probablement qu'ils nous seront grandement utiles, seulement pas pour le moment. Tous mes matelots, sont partis se rassasier je ne sais où, tous sauf trois, qui malheureusement, on entendait dans la voix du commandant, l'amertume qu'il ressentait, ont tombé par dessus bord lors des tempêtes ayant faites rage sur l'océan.

Il se renfonça d'avantage sur son siège mais souria tout de même à Hanida.

-Mais asseyez vous donc Hanida... et vous Azulia, commença t'il en détournant son visage vers celle-ci, qui n'avait encore rien dit, de quel royaume êtes-vous?


( Désolé Hanida, mais je ne peux pas me séparer en deux... va falloir discuter à trois!! )

Alors que Darvek répondait à la jeune guerrière, une femme magnifique interrompit leur conversation, ce qui déranga légérement Azulia, qui ne laissa cependant rien paraître. Lorsque son regard croisa celui de Darvek, elle haussa, presque imperceptiblement, les épaules, signe qu'elle était tout aussi surprise que lui. Elle ne dit mot, laissant le soin au commandant de répondre à la nouvelle venue. D'ailleurs, celle-ci ne s'adressait pas à elle.

Lorsque Darvek dit qu'il avait perdu trois de ses matelots durant une tempête, Azulia ne put s'empêcher de ressentir de l'empathie envers ce commandant. Elle savait très bien ce que c'était perdre des gens que l'on connaissait bien, qu'on aimait... ça faisait toujours mal... et bien, que parfois, même si l'on ne pouvait rien faire, on se sent toujours un peu coupable, car on croit que l'on aurait pu changer ce qui s'est passé...

Azulia avait senti que cet homme se sentait coupable de quelque chose. Une sorte de certitude, à peine perceptible, une lueur dans ses yeux et une note dans le ton de sa voix. Bien sûr, ce n'était pas sa faute, mais elle connaissait bien cet état d'âme. Perdue dans ses pensées, la jeune femme ne réalisa pas tout de suite la question que Darvek venait de lui poser. Lorsqu'elle en saisit le sens, cela faisait quelques secondes. Se sentant un peu idiote, étant donné cette question toute simple, Azulia toussota :

-Humm... pardon. Eh bien, comme je vous l'ai dit, il y a à peine un moment, je suis originaire de Träne, le même royaume où vous vous trouvez ! Les routes sont bien sombres et peu sûres, depuis un certain temps... Peut-être l'avez-vous remarqué, ou expérimenté, Darvek. Ou vous, Hanida !

Hanida se sentant un peu de trop, puisqu'ils parlaient déjà depuis un bon moment d'après elle, leurs dit:

-Hee...désolé de vous interrompre, mais je crois que je vais plutôt aller m'asseoir un peu plus loin, je ne voudrait pas m'incrusté à vous. Vous avez l'air de bien vous connaître et je me sens un peu de trop alors je vais m'éloigner un peu. Cher commandant si vous voulez lorsqu'il vous plaira vous pourrez venir me voir, mais vous n'en êtes pas obliger c'est seulement si vous le voulez bien, nous pourrions discuter un peu...

Elle s'éloigna peu à peu, la taverne était assé rempli, mais avec un peu de chance elle trouva une table innocupée. La table était recouverte d'une nape blanche, il y avait deux chandelles, mais n'étant pas allumées, Hanida voyait moins bien, car la taverne était assé sombre. Puisque cette guérisseuse n'avait rien à faire, elle sortit son petit calpin. Elle l'avait touours avec elle, c'était un peu comme son journal intime. Elle y marquait presque tout.

' Cher journal,
Je suis aujourd'hui à Träne, j'ai entendu dire qu'un commandant et ses matelots allait faire une excursion ou quoi que se soit, alors je lui ai proposé mon aide. Cet homme est charmant, il a de magnifiques yeux, il est ma foie très gentil d'ailleurs, mais je ne suis pas ici pour vivre une aventure passionée, je suis ici pour mon travail, guérir. Je sais que si je m'embarque dans quelque chose, cela ne fonctionnera pas, comme avec Mathis d'ailleurs il avait les même qualitées que cet homme j'en suis sure...mais je dois résister, d'ailleurs je ne le connais presque pas. Les sentiments ne peuvent pas apparaître comme cela par magie, mon coeur me jouerait-il des tours, encore... De toute façon, je ne doit jamais mélanger amour et travail.'

-Hee..., répondit Hanida, désolé de vous interrompre, mais je crois que je vais plutôt aller m'asseoir un peu plus loin, je ne voudrait pas m'incrusté à vous. Vous avez l'air de bien vous connaître et je me sens un peu de trop alors je vais m'éloigner un peu. Cher commandant si vous voulez lorsqu'il vous plaira vous pourrez venir me voir, mais vous n'en êtes pas obliger c'est seulement si vous le voulez bien, nous pourrions discuter un peu...

Darvek ne savait quoi répondre et semblait visiblement confu. Son regard suivit la jeune demoiselle qui s'assit toute seule à une table, au fond de la taverne et sortit un livret mais il l'a perdu de vue lorsqu'un groupe d'hommes d'une trentaine d'années entra dans la taverne. Il se retourna de nouveau vers Azulia et réfléchit pendant quelques secondes. Il avait l'impression que son esprit allait au ralenti. Il avait de la difficulté à bien capter et bien comprendre l'information. Peut-être était-ce à cause du bruit ambiant, de ces conversations et de ces rires bruyants. Tout ça finit par lui donner mal au crâne, et il ne put s'empêcher de légèrement vaciller sur sa chaise.


-Pour répondre à votre question Mademoiselle Azulia, commença le commandant, en se secouant la tête, pour essayer de bien rester éveillé, je viens tout juste d'arriver à Träne et je ne connais rien de ce continent. Ni son histoire, ni son peuple, ni sa nature... c'est tellement différent de chez moi. Enfin... je ne tarderai pas, vous devez être occupé je me trompe. Je vais bientôt vous laissez à vos affaires... mais avant, dit-il entre deux souffles, êtes-vous capable de... je ne sais pas. Êtes-vous capable d'utiliser l'eau à votre avantage? Êtes-vous capable de la faire apparaître?

Darvek savait très bien que peu de gens avaient le don d'utiliser un élément à son avantage, mais en posant cette question, il en saurait probablement un peu plus sur la culture de ce continent.

Azulia regarda la jeune dame s'éloigner au fond de la taverne. Elle se sentit mal à l'aise, car elle avait l'impression d'avoir causé son départ précipité. Elle se dandina légérement sur sa chaise, un peu gênée. Elle avait de plus en plus mal à la tête, ayant marché pendant deux journées en vue de venir ici. Elle se sentait faible et elle commençait à avoir faim. D'ailleurs, elle entendait les bruits de son estomac. Elle promena son regard sur l'assemblée, et remarqua Hanida assise à une table, un petit journal à la main. Azul se demandait bien ce qu'elle pouvait écrire dans une taverne. Elle sortit de sa torpeur lorsque Darvek lui répondit :

-Pour répondre à votre question Mademoiselle Azulia, commença le commandant, en se secouant la tête, pour essayer de bien rester éveillé, je viens tout juste d'arriver à Träne et je ne connais rien de ce continent. Ni son histoire, ni son peuple, ni sa nature... c'est tellement différent de chez moi. Enfin... je ne tarderai pas, vous devez être occupé je me trompe. Je vais bientôt vous laissez à vos affaires... mais avant, dit-il entre deux souffles, êtes-vous capable de... je ne sais pas. Êtes-vous capable d'utiliser l'eau à votre avantage? Êtes-vous capable de la faire apparaître?

Azulia eut un sourire amusé et replaça négligement une mèche de ses cheveux derrière son oreille. Elle se pencha vers lui et souffla :

- Ne vous inquiétez pas, vous ne me dérangez pas le moins du monde. À vrai dire, ça me fait plaisir de bavarder avec vous. Je vais répondre à votre question. Non, je ne possède aucun pouvoir magique. D'une certaine façon, j'en suis soulagée, puisque je risquerais de me faire traiter de sorcière et de finir sur un bûcher ! Mais mon frère possédait un don étrange, et malheureusement... c'est probablement ce qui a causé sa perte...ajouta-t-elle avec un sourire triste.

Se trouvant ridicule, puisqu'elle avait l'impression de se donner un air dramatique, elle eut un geste nonchalant de la main et fronça des sourcils.

[HJ : Désolée pour la LONGUE attente... ]

[ Désolé pour l'attente... Je peux voir que vous vous débrouillez plutôt bien sans Columbine, la serveuse à vrai dire, Columbine n'est pas seule qui sert. Elle a d'autres employés. Pour l'instant, je suis avec Sir Hilderic ]

Columbine regarda les nouveaux venus. Darvek, Azulia et Hanida venaient d'arriver. Voyant qu'ils étaient déjà servis par ses autres employés, Columbine pouvait prendre un petit moment de répit. Elle s'inclina devant Hilderic et se retira dans sa petite chambre, en arrière du bar. Elle regarda par la fenêtre, et vit le soleil le coucher paresseuse sur l'horizon, laissant une teinte orangée et rosée.

- '' Il était bien temps que cette journée s'achève... Il a tellement fait chaud aujourd'hui! '' Fit-elle, visiblement soulagée.

La jeune danseuse retira une vieille malle poussiéreuse d'en dessous de son lit. Elle jeta de petits coups d'oeil à l'entour d'elle, pour voir si quelqu'un l'observait. C'est alors qu'elle sortit de là son plus beau costume de danseuse de soirée. Elle le mettait à chaque fin de journée, pour son petit numéro de fin de repas habituellement, juste avant que les hommes se retirent pour aller dormir. Sans hésiter, elle l'enfila, s'étira et se précipita vers l'arrière de la scène.

En étant sur la scène, tout le monde arrêta de parler. La harpe de mit à jouer, et Columbine commença son numéro en commençant par de petits battements de pieds et de petites glisses sur le sol. Columbine était semi-fée, et, selon la légende, les fées dansantes pouvaient envoûter les hommes. Bien sûr, cela n'était qu'une légende, ceci pouvait être tout faux. La musique continuait de jouer, Columbine continuait de danser gracieusement à l'improviste. Après plusieurs minutes, la mélodie cessa, et la poussière d'étoiles de fée qui revolait des ailes de Columbine retomba doucement sur le sol, comme de la neige en hiver.

Elle salua timidement son petit public et se retira de la scène pour continuer à faire son travail de tavernière.

Hilderic regarda Columbine s'éloigné jusqu'à ce qu'il ne puisse pu la voir. Il se mit alors à observer les quelques personnes qui était rentré dans l'établissement durant qu'il parlait avec la patronne de la place. L'un d'eux avait apparament l'allure d'un combattant tandis que les autres avaient l'allure de personne quelquoncque. Après un moment, à regarder un peu partout et à réfléchir, son regard tomba sur Columbine qui venait d'apparaître sur la scène qui se trouvait un peu plus loin dans la pièce. Accompagné d'une douce musique, la femme se mit à dancer. Il remarquait que la plupart des hommes présent la fixait intensément. Il devait avoué quel se débrouillait extrêmement bien en dance à première vu. Hilderic ne manqua pas un instant du spectacle qui se déroullait sur la scène. Finalement, la jeune femme quitta la scène. Hilderic termina sa boisson, se leva lentement et se dirigea vers l'endroit ou se trouvait sa chambre. Arrivé à sa chambre, il étaigna toute forme de source de lumière mais laissa les rayons de la lune traverser la fenêtre. Il installa par la suite une chaise dans un coin sombre et s'assit. Hilderic fit par la suite brûlé une sorte d'herbe en prenant de grand respiration.

Hilderic était fatigué mais il se refusait à dormir. On pouvait clairement voir d'énorme cerne sous ses yeux. Il semblait tourmenté par quelque chose. Dans sa tête, il revoyait des scène terrible de massacre qu'il avait commit avec ses hommes. Sa mains tremblait légèrement à chaque fois qu'il se voyait frapper quelqu'un avec son arme. Il voyait sur le sol des morts évantrés et complètement ensanglanté. Des corps de gens qui n'avait peut-être jamais rien fait de mal a par pratiqué une religion qui a cause d'une personne était devenu l'une des sources de douleur les plus grandes actuellements. Toutefois, tous ces morts ne le dégoutait pas plus que sa parce qu'il en avait prit l'habitude très jeune. Il cottoyait la mort trop souvent pour pouvoir entre être dégouté. Il regardait les reflet de lumière de lune qui se reflechissait sur son arme. Il resta toute la nuit assit sur cette chaise à se ressacer des souvenirs de scène de son passé.

Hilderic qui était réveillé depuis un certain temps déjà vit Columbine arrivé dans la salle. Celle-ci avait l'air plutôt étonné de le voir déjà présent vu l'heure qu'il était actuellement. Le seigneur inquisiteur salua la femme d'un légé mouvement de tête. Hilderic fut un peu étonné que quelqu'un s'excuse pour une raison aussi banale. Il était que pour certain noble prétentieux, le fait d'avoir entendu un moment avant d'avoir été servit les auraient peut-être dérangé mais Hilderic ne se considerait même pas comme un noble. Il est certain qu'il était respecter par la cour et qu'il en fesait de même à l'heure égard mais il avait apprit que rabasser ceux qui lui rendent un service ne lui servait absolument a rien à moins qu'il désire avoir une réputation encore plus médiocre. Grâce à ce qu'il avait fait brûler durant la nuit, il ne se sentait pas fatigué même si la fatigue se voyait quelque peu dans son visage. Tout un coup, une pensé étrange lui passa par la tête. Il se demanda ce que Columbine pouvait bien pensé de lui. L'homme se demandait pourquoi de telle pensé pouvait bien lui pensé par la tête. Le fait de cotoyer des gens normal avait un peut-être un certain effet sur son comportement. Durant ce temps, Columbine avait eu le temps de partir et de revenir lui servir un déjeuner.

-Bon matin dame Columbine! Je vous remercie pour ce repas. Toutefois, puis-je vous demandez pourquoi vous excusez-vous? Vous n'avez absolument rien fait. J'ai toujours été quelqu'un qui aime se lever extrêmement tôt. Cela me donne le temps d'observer le lever du soleil ou de profiter du silence matinal. De toute façon, j'ai prit cette habitude à force de devoir constament être présent pour faire de la supervision à tout heure de la journée.

Hilderic savait que ce qu'il disait n'était q'une seul partit de la vérité mais il jugeait que certain détail de sa vie ne devait absolument pas être divulger. Il devait s'avouer qu'il était quelqu'un de plutôt conservateur avec sa vie mais il avait de bonnes raisons pour pocéder une telle qualité. Ce lassant un peu de ses réflections tous plus inutiles les unes que les autres, il se saisit d'un de ses ustanciles de table et commença lentement à manger le repas que Columbine lui avait apporté. Comme à son habitude, il prenait son temps et dégustait chacun des bouchées ou cuillèrées qu'il prenait. Il s'arrêtait parfois pour regarder Columbine qui semblait être une femme pleine de vie et bonheur. Contrairement à elle, Hilderic était presque aussi froid qu'un mort vivant et le désespoir l'habitait depuis déjà très longtemps. Il voudrait tellement être quelqu'un étant capable de vivre la vie et non de la subir.