[HISTOIRE]
Je suis né dans le royaume de Mairenn qui ce trouve dans le continent de l’eau. Je suis né d’une relation qui me dégoutte, que pouvait éprouver mon père comme sentiment envers cette maudite elfe, à qui je devrais donner le nom de « mère ». Je préférais mourir au lieu de l’appeler comme sa. J’ai passé une enfance malheureuse, ce n’est jamais facile pour un bâtard comme moi. Ce ne fut même pas un viol, mon père éprouvait réellement de l’amour envers cette chose. Ne pouvant plus vivre plus longtemps ce déshonore. J’ai dû faire ce que j’avais à faire, il y a bien longtemps. J’ai décidé de quitter cette vie. Je crois bien que cette journée va rester graver dans l’esprit de cette chose qui s’appelle ma mère. Je l’ai laisser pour morte, lorsqu’elle fit l’erreur de m’empêcher de partir en me disant qu’elle m’aimait. Ce fut également ce jour, que j’ai renié mon père, il se rabaissa à aller aider cette chose inférieure, cette elfe. S’en en fut trop, je n’entendais que cette chose pleurnicher lorsque je sorti de la maison.
C’est ainsi que je me ramassai dans la rue, je n’avais que 20 ans. 20 ans de pure souffrance à endurer, enfin j’était libre d’aller où je voulais. Je décidai de me rendre en ville pour essayer de quitter cette vie misérable que je voulais enfouir dans le plus profond de moi. Arrivant dans une petite ville, je pu prétendre a un emploi d’aide aubergiste. C’est ainsi que je découvris enfin un emploi qui pourrais me rapporter gros, très gros. Je commençais alors à raconter quelques personnes. Ils me dénichaient quelques petits contrats, des petits trafics de tout genre. Un soir que j’était occupé a espionner un quel conque marchand, a qui je devrais reporter sa conversation à un de mes nombreux employeurs, tous habitués de la place mal famé du coin. J’avais eu marre de ce petit boulot et j’avais préféré m’atteler dans ces petits contrats, qui payaient beaucoup plus que ce que l’aubergiste me donnait comme argent de poche, après m’avoir enlevé le prix de la nourriture et de la petite paillasse d’où je dormais la nuit.
Un jour lors d’un travail qui était supposé être gros, un pépin arriva. Nous étions trois, nous devions rentrer dans un entrepôt, puis voler quelques objets et saccagé le reste. Le seul problème à préavis était le gardian, mais ce problème était facilement réglable. Ils nous suffirent quelques coups de bâton, pour calmer son audace à nous barrer le chemin. Quelques minutes plus tard, le garde attaché et caché. Nous étions rentré prudemment dans l’entrepôt. Nous commencions notre boulot, quand j’entendis un raclement avec du fer contre de la pierre. Tous mes sens en alerte, je fis un rapide geste à mes copains. Peut m’important des avertis du danger. Je regardais les sorties possible. Je vis une lucarne dans le fon de l’entrepôt, à l’opposé de la porte principal. Sauf si par malchance, j’aurai le temps de m’éclipser par là. Ce qui suivit, fut un désordre total, j’étais quasiment rendu à la lucarne, lorsque les portes furent défoncées. Des gardes, de la ville, rentraient par les portes torches et épées brandies. Un de mes deux copain de travail paniqué décida de se sauver par une petite porte, près du côté sud, mais peine perdu. Il fut attrapé par un soldat qui avait pensé bon de place a cette porte. Ce fut mon dernier copain qui me dégoûta. Il eut tellement peur qu’il resta paralysé et il n’offrit aucune résistance. Il n’était qu’un couard, il avait eu tellement peur qu’il n’avait rien fait. Ne pensant qu’à ma peau, je ne pu voir ce qui allait se passer avec les autres. Je déboulai dehors, dans une nuit silencieuse, seul l’écho des bruits des gardes venait briser le silence. Je me déplaçai sur les toits perdants quelques minutes, puis je fuis forcer de descendre par manque de chemin. Scrutant le bas du bâtiment pour voir si le chemin était libre. Rien ne bougeais, je décidai dont de descendre discrètement avec la gouttière, qui bordait une petite ruelle peu éclairée. Je me dépêchai le plus vite que possible. [à finir]