Le premier étage

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[ Le premier étage est essentiellement composé de chambres, assez spacieuses et confortables pour tout bon visiteur qui soit. Ne pas avertir le roi de votre arrivée serait comme une insulte de votre part, donc...avant de vous reposer, pensez à aller le voir au palais!!]

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Jonas se posta devant une grande porte faite de bois, dorée à l'or sur certaines parties. Cela lui donnait un air vieilli mais royal.
Deux serviteurs s'empressèrent de se mettrent de part et d'autre de celle-ci et ouvrirent en grand les battants.
Jonas se retourna vers sa cousine et s'inclina légèrement en lui disant
-Voici vos appartements, j'espère qu'ils vous plairont. Il s'agit de l'ancienne chambre de feux ma mère. Elle est restée intacte...
Pendant quelques instants, il fut perdu dans ses pensées, se rappelant le grand ange que sa mère était. Il passa ses mains le long du pendentif qu'elle lui avait donné: les larmes de Sylphe. Selon la légende qu'elle lui avait racontée, il suffisait qu'il tienne ce pendentif en prononçant son prénom pour que la déesse se sente appelée. Il le lâcha brusquement se disant que ce n'était ni l'endroit ni le moment pour appeler cette divinité.
Il attendit que sa cousine soit entrée pour lui dire:
- Ici, on a les fresques racontant l'histoire d'anciennes divinités! Regardez le travail exécuté par les tisseuses: La fabuleuse vie de Sylphe et de ses sœurs et là, on y voit l'ancien dieu neutre Ith'Djad et quelques héros comme Gerudo, Kyidrean, Beldandy et d'autres...
...mais je crois que vous n'êtes pas venue ici pour que je vous parle des anciens mythes, non? Quel est donc ce problème pour venir me voir en pleine nuit?! Votre royaume a des ennuis? ...

Nombre de messages : 2404 Age : 33 Date d'inscription : 05/01/2006

- Très chère cousine! Que me vaut l'honneur d'une visite si tardive! Dit le roi à la fillette.

Puis, Jonas tapa des mains et parla à ses serviteurs.

- Veuillez à ce que les affaires de ma cousine se trouvent dans ses appartements... et avisez à ce qu'elle est deux serviteurs pour ses exigences devant sa porte.

En un clignement de paupières, Sylphe fit apparaître sa garde-robe devant le pont-levis, là où elle se tenait seule quelques instants auparavant. Elle indiqua ensuite aux serviteurs, qui étaient déjà presque partis :

-Il vous faudra sortir, j'en suis désolée. J'ai dû laisser mes bagages à l'extérieur du château, pour plus de sécurité pour notre roi.

Puis, Jonas lui montra l'escalier central et ils grimpèrent tout deux en direction du premier étage.

Arrivée devant la porte qui, vraisemblablement, serait ses appartements, Sylphe prit un moment pour contempler les dorures anciennes. Puis, elle vit du coin de l'oeil l'Empereur se tourner vers elle et s'incliner.

-Voici vos appartements, j'espère qu'ils vous plairont. Il s'agit de l'ancienne chambre de feu ma mère. Elle est restée intacte...

Sylphe se tourna immédiatement vers lui et fit une révérence plus profonde que l'Empereur.

-Votre chaleureux accueil me laisse le souffle coupé, Votre Majesté. Je serai heureuse et honorée d'habiter les appartements de feu la Reine.

Puis, elle sentit Jonas distrait et elle suivit discrètement ses pensées, toujours inclinée. Elle vit une belle et grande ange qui devait être la mère du Roi. Elle le sentit alors promener sa main sur un pendentif et ces quelques mots qui perçaient son esprit : les larmes de Sylphe. La Déesse fit un demi sourire et se releva, elle regarda alors tout aussi discrètement le pendentif qui devait représenté ses larmes. Elle se dit qu'il était joli, mais qu'il manquait beaucoup de larmes, avec toutes celles qu'elle avait pleurées depuis plus de deux cents ans. Sylphe sentit les larmes venir dans ses yeux, mais elle les écrasa de ses paupières. Puis, l'instant était fini et le Roi se reprenait.

- Ici, on a les fresques racontant l'histoire d'anciennes divinités! Regardez le travail exécuté par les tisseuses: La fabuleuse vie de Sylphe et de ses sœurs et là, on y voit l'ancien dieu neutre Ith'Djad et quelques héros comme Gerudo, Kyidrean, Beldandy et d'autres...

Sylphe regarda les tapisseries presqu'amoureusement. Elle était ravie que ce genre de travaux aient encore sa place dans le château. Autrefois, il y avait au moins une tapisserie montrant la Déesse, dans chaque salle. Maintenant, on en voyant dans de rares endroits, comme cette chambre, intact depuis la mort de la Reine de l'Air.

- Mais je crois que vous n'êtes pas venue ici pour que je vous parle des anciens mythes, non? Quel est donc ce problème pour venir me voir en pleine nuit?! Votre royaume a des ennuis? ...

Sylphe se força à revenir au présent et au Roi. C'était l'heure de vérité, ou plutôt, l'heure du mensonge. Mais cela ne faisait aucun pli à la Déesse autrefois si honnête. Maintenant, elle ne vivait que de mensonges et un de plus ne ferait pas de mal à personne. Enfin, c'est ce qu'elle s'efforçait de croire.

- Cette tapisserie est très belle, le travail qui y a été fait est minutieux, preuve de l'ère de folie sous laquel elle fut créée. Vous savez que c'est presque hérétique... Vous ne devriez pas affichez cela ici, Votre Majesté. Certaine personne pourrait en prendre ombrage... Mais j'y pense, je ne me suis pas présentée! Quelle piètre invitée je fais! Je me nomme Maya Phénicia, Votre Majesté. Dit-elle en s'inclinant une deuxième fois.

Puis, elle se releva et regarda le roi dans les yeux, franchement.

- Vous ne savez peut-être pas qui je suis, et ce serait normal. La famille s'est perdue de vue depuis longtemps, mais nous n'avons jamais oublié notre loyauté envers la famille royale. Et pour répondre à vos questions, je suis arrivée ici en pleine nuit parce que mon voyage fut plus long que prévu. J'ai pensé que malgré l'heure tardive, je pourrais trouver au château un gîte et un couvert. Puis,...

Sylphe fut interrompue par un énorme baillement qui la prit soudain (mais qui n'en était pas plus vrai). Elle mit promptement sa main devant sa bouche et ferma les yeux quelque temps après, de manière totalement enfantine. Revenant au roi, un léger rose aux joues de son impertinence, Sylphe continua :

- Je crois que je ferais bien de me retirer, Votre Majesté. Vous aviez raison, mon voyage m'a épuisé et je tombe de fatigue. Si vous voulez bien m'excuser...

Sylphe fit une révérence et entra dans la chambre. [HJ : Parce qu'on est pas entré encore, non? Si oui, je te fous à la porte! ^^] Elle ferma la porte, mais, arrêtant son geste alors qu'on pouvait encore voir son visage, elle dit, d'une voix ensommeillée:

- Mais ne vous inquiétez pas, Majesté, mon royaume va bien. Vous pouvez dormir tranquille...

Puis, elle referma complètement la porte. Elle vit alors, dans un coin de la pièce, une chambrière qui l'attendait pour l'aider à se dévêtir et à se mettre au lit. Sylphe la renvoya gentiment, sa pudeur prenant le dessus. Elle enleva prestement ses vêtements, mit une chemise de nuit que la jeune servante avait laissée sur le lit et se coucha. Elle affermit les barrières autour de son esprit pour qu'aucun n'y pénètre et elle s'endormit profondément, avec une dernière pensée pour son corps de fillette, qui supporte moins les heures de travail que son ancienne forme...

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- Je crois que je ferais bien de me retirer, Votre Majesté. Vous aviez raison, mon voyage m'a épuisé et je tombe de fatigue. Si vous voulez bien m'excuser...

- Mais ne vous inquiétez pas, Majesté, mon royaume va bien. Vous pouvez dormir tranquille...

Sans même s'en apercevoir, Jonas se retrouva devant les deux portes battantes qui se refermèrent sur lui. Il était étonné par la réaction si prompte de son hôte...
* Elle ment Jonas et tu le sais bien!!* lui dit mentalement sa fidéle épée!
Jonas, toujours devant la porte close émit un petit sourire en coin. Il pensa:
- " Je sais trés bien qu'elle joue parfaitement son rôle et qu'elle n'est pas ce qu'elle dit être mais c'est tellement drôle de la voir faire "
* Comme de la voir ravaler ses larmes à propos des larmes de Sylphe?*
- " Quoi?! Que veut tu dire Phénixia?"
* Je dis simplement qu'elle n'est pas totalement une anti loyaliste, je dirais même qu'elle serait pour le retour des déesses! En tout cas il faut vraiment te méfier de cette fille! Elle n'a pas que des pouvoirs magiques à son actif...je le sens, elle a quelque chose de plus grand, de plus fort que tout les mages que nous avons rencontré...alors prend vraiment garde à ce qu'elle fait!*Jonas éxamina silencieusement les paroles de son épée. Lentement, il se détourna de la porte et commença à marcher dans le grand couloir central, la main posée sur son menton.
- " Alors elle ne serait pas humaine?! Ou alors une humaine avec des grands pouvoirs?!"Phénixia ne répondit pas mais son silence en disait beaucoup. Jonas continua pendant un moment à réfléchir tout en marchant. Il ne se rendit même pas compte qu'il s'approchait du lieu où se trouvait Darvek et son invitée Keana...

[ Retour au palais king

]

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Sylphe dormait à poings fermés, d'un sommeil sans rêve et réparateur. Quelqu'un de très attentif aurait même pu voir un sourire de bien-être flotter sur ses lèvres. Mais, comme un bruit qui vient vous réveiller d'un doux rêve, elle entendit un de ses peu nombreux fidèles qui l'appellait. Elle fronça les sourcils, quelque peu agacée, mais n'ouvrit pas les yeux.

*Je suis trop faible pour faire quoi que ce soit.* Pensa-t-elle.

Mais elle tenta néanmoins de rejoindre la source de cette prière angoissée. Avec appréhension, elle découvrit qu'elle était non loin d'elle et qu'il s'agissait du soldat qu'elle avait si méchamment "torturé". Aussitôt que son cerveau eut analysé ce que ses sens lui disaient automatiquement, elle ouvrit les yeux. Elle sortit (à regrets) de son lit et remit les vêtements qu'elle venait à peine d'enlever, semblait-il. Puis, avec un dernier baillement, elle sortit de sa chambre. Elle vit les deux "serviteurs" la suivre des yeux alors qu'elle se rendait vers la source de la prière. Décidemment, le roi ne lui faisait pas confiance...

[Suite au sanctuaire de Sylphe]

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Tsumetai et la jeune fille arrivèrent au premier étage, transportés par des soldats, suivis d'un guerisseur, et de la déesse, tenant dans ses bras frêle le petit chat inquiet pour son maitre. Les deux blessé furent déposés sur un lit, et les soldat s'ecartèrent, laissant place à Sylphe et au medecin. Le petit chaton sautilla de bras jusqu'au lit, montant sur le torse de son maitre, et lui laichant le menton par compassion. Le vieil homme s'approcha de lui pour lui soigner sa blessure, mais le guerrier lui attrapa une manche, et la tira du peu de force qui lui restait, murmurant tant bien que mal:

" Soignez la ... en prorité. S'il vous plait ... soignez cette jeune fille! "

Mais il serra les dents sous la douleur, et lacha son emprise. Le guerisseur, surpris et hésitant, se tourna alors vers la fille, et examina son cou. Il compris qu'elle avait été empoisonnée, et chercha dans un grimoire un moyen de la soigner. Après quelques chapitres tournées et quelque pages lus, il trouva le nom du médicament a lui administrer, et il fouilla dans un sac qu'il avait sur lui.

Après l'avoir sortit, il en versa une petite dose dans une cuillère et soigna la petite victime, en lui administrant vocalement. On l'entendit deglutire avec difficulté, mais au bout de quelques minutes, son tein était redevenu normal. Le vieil homme se tourna alors vers le mercenaire, la tête posé paisiblement vers la droite, à présent plongé dans un sommeil profond.

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Sylphe, inquiète, avait suivi la petite procession qui se rendait au premier étage pour soigner les blessés. Elle sentit le chat se débattre dans ses bras et le laissa partir. Celui-ci sauta sur la poitrine de l'homme, qui devait être son maître, et lui lécha le menton. Malgré la tristesse des évènements derniers, Sylphe eut un petit sourire pour cette scène.

Le guérisseur vint alors vers l'homme pour le soigner, mais, à la surprise de tous, il demanda à ce que la fillette soit soignée d'abord. Sylphe approuva cette décision, mais en restait perplexe : rare était les mortels qui auraient réagi de même. Elle se fit donc amener une chaise et veilla l'homme, pendant que le guérisseur, compétent malgré son mauvais caractère, soignait de son mieux la fillette.

Il annonça à tous que sa plaie avait été empoisonnée. Sylphe fut ébranlée par cette déclaration, qu'est-ce qui avait bien put causer cette blessure? Pas un animal, d'aucun n'avait de pointes empoisonnées. Ce devait être soit un mortel, soit une "créature". Sylphe se promit de poser la question lorsqu'un des deux se réveillerait.

Lorsque le guérisseur en eu fini avec la jeune fille, l'homme que Sylphe veillait dormait paisiblement. Le guérisseur entreprit de soigner son épaule. L'entaille était profonde, mais il s'en remetterait. Pour la fillette par contre...

- Elle a reçut un vilain coup. Le poison est neutralisé grâce à ce que je lui ai fait avalé, mais je ne peux être certain qu'elle se remettra de sa blessure... Avoua-t-il en chuchotant lorsque Sylphe lui posa la question.

Scandalisée, Sylphe se jura que cette jeune fille vivrait. Peu lui importait à présent que les anti-loyalistes ou même les monde entier la découvre. Mais bien vite, la voix de la raison reprit le dessus dans son esprit enflammé : il ne fallait pas se dévoiler, mais agir discrètement.

Après que tous fut partie, Sylphe resta encore, pour veiller les deux blesser. Mais son énergie la quittait. Comme elle pouvait détester ce corps d'enfant à cet instant! Il lui volait son énergie, elle ne pouvait rester éveillée des jours entiers, comme elle le faisait il y a longtemps. Et c'est sur ces pensées que Sylphe s'endormit, la tête dans ses bras, accoudée sur le lit de l'homme...

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Au moment où Jonas se rendit au premier étage, il croisa le vieux guérisseur qui lui dit:
- Je pense qu'ils s'en sortiront votre altesse! ...
Jonas ne parut pas comprendre cette dernière remarque.
- Qui vous dites? ...
- Et bien, l'étranger et la jeune fille qui sont apparus il y a quelques instants... C'est les ordres de votre cousine qui a voulu les faire monter et les soigner! ...
Jonas se pinça le front:
* C'est pire qu'un moulin par ici à certains moments! *
Jonas oublia la dernière remarque et fatigué, regarda le guérisseur étrangement:
- ...Je n'ai pas de cousine! ...

Et, laissant le prêtre abasourdi, il se dirigea vers le lieu où les étrangers devaient être. Il se retrouva devant une porte qu'il hésita à franchir... Sa cousine était derrière avec deux étrangers... Il ne pouvait s'agir d'un complot mais depuis la bêtise des oracles à l'orphelinat, il fallait faire attention à ses arrières. En tant que roi personne ne connaissait son penchant pour les loyalistes, même pas Darvek, alors il ne risquait rien de ce côté. Mais depuis la mort de sa mère, le château était redevenu silencieux, et cela le mettait mal à l'aise qu'il y ait autant d'allée et venue au sein de la demeure! C'était qu'un vilain moment à passer... Il entra.
La jeune cousine dormait sur un homme qui avait l'air sérieusement blessé, un petit chat dormait sur lui; à côté une jeune fille, certainnement empoisonnée était en train de se reposer aussi. Le spectacle l'amusa plus qu'il n'y prit peur.

* Tu vas pouvoir appeler cette chambre: la chambre du sommeil, on dirait qu'on a jeté un sort pour tous les endormir! *

- "Les lieux ne sont plus comme ils étaient avant! Regarde cette petite fille et cet homme, ils ont été attaqués par une bête... ce n'est plus pensable de nos jours!!"

Jonas soupira, puis, silencieusement, et remarquant que les serviteurs ne l'avaient pas fait, il déposa de nouveaux vêtements pour l'homme et la petite fille:
- " A son réveil, elle croira certainement qu'elle est devenue une princesse!"

Puis lentement et en douceur, il prit le corps de sa cousine et le déposa dans un large fauteuil qui aurait pût servir de banquette. Il prit une couverture et l'y déposa sur le petit corps de sa soi disant famille. Il eut un regard emplit de tristesse quand il la regarda:

- "Même si elle n'est pas ma cousine, je ne sais pas! Je ne sens aucune méchanceté dans ses actes ou ses dires... on dirait qu'elle cache sa véritable identité pour fuir quelque chose? ..."
L'ayant recouverte, il décida de s'asseoir, attendant le réveil d'un des trois!

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Endormis pour la première fois profondement depuis le début de son voyage, Tsumetai fut emporté dans les délires de son subconscient. Il se réveillé dans une pièce sombre, ou juste une lumière venant du ciel l'éclairait. Il ne pouvait rien distinguer, à part sa propre personne. Il se rapella de ce qu'il venait de vivre et s'attrapa l'épaule, mais il n'avait plus rien : ses vétements n'était plus déchirée, et la plaie état completement fermée. Cependant, il n'eut pas le temps de méditer sur la chose que le lumière se dirigea vers une autre personne qu'il ne connaissait pas.

En réalité, ce n'est que quand elle se retourna qu'il la reconnu : la pauvre muette qui était morte devant lui des années plus tôt. A la fois surpris et rejouit, il commença a courir vers elle, mais plus il avançait, plus elle reculait, et de surcroit, elle affichait un air effrayée, mais pas par Tsumetai, plutôt par quelque chose qui se trouvait derrière. Il s'aretta alors, se retourna, et remarqua l'homme qui l'avait entaillé au niveau du coeur avant de tuer la fille qui se trouvait à présent derrière lui. Décidé a ne pas laisser cette histoire se reproduire, il se décida à se battre contre la fatalité.

Il essaya de sortir son arme, mais sa main se referamais dans le vide, et il remarqua qu'il n'avait plus son arme. Il regarda en face de lui, et son ennemi avait attrapé son sabre d'une manière mysterieuse et la dégaina. Il fut surpris de voire que cette même personne reussit a maitriser le feu de son clan, mais ce feu avait une couleur blanche. L'homme couru vers Tsumetai et le frappa, mais ce dernier esquiva de peu, et utilisa son poing pour attrapa le poignet de son ennemi, et lui faire une clef de bras, lui faisant ainsi lacher son arme. Mais le ninja anticipa son mouvement et il taillada du ventre jusqu'à l'épaule gauche, le faisant tituber et tomber à la renverse. Il entendit a nouveau des bruits de coupures, et du sang lui tomba sur le visage, mais la douleur était trop forte ...

...et il se réveilla en sursaut. Il haletait, les yeux ecarquillés, tapotant son ventre et son cou pour verifier si la blessure était réelle. Il remarqua qu'il avait des bandages, et regarda la pièce, qu'il reconnu tant bien que mal. Il se souvint avoir ouvert les yeux avant de réver, suppliant le médecin de sauver la jeune fille. La filette! Il se releva inquiet, mais son mouvement étant trop rapide, la douleur le fit tomber a genoux, serrant les dents. Il leva les yeux et remarqua la pauvre qu'il avait sauver quelques temps plus tot. Il se rassit sur son lit, rassuré, et reçu la visite de son ami blanc, sautillant de joie à l'idée que son maitre aille mieu.

Il sentit soudainement d'autre présence. Il remarqua la jeune femme qui les avait aider dans la cour quand il était tombé de douleur, mais il y avait aussi un homme assis, qui semblait attendre. Il n'avait pas l'air d'avoir remarqué son reveil, et Tsumetai n'ayant pas envis de lui parler, il resta silencieux, surveillant sa nouvelle protégée. Pourquoi l'avait-elle sauvée? Pourquoi avait-il agit avec tant d'insouciance? Il n'en avait aucune idée, mais il restait contemplatif, se remettant peu à peu de sa fatigue.

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Quand Jonas transporta Sylphe sur une banquette, celle-ci gigota quelque peu, mais ne se réveilla pas, comme tout enfant qui se respecte. La seule sensation qui lui parvint fut un manque de chaleur, là où elle était autrefois apuyé sur l'homme blessé. Mais ce manque fut bien vite comblé par la douceur d'un tissu. Et ainsi, Sylphe continua à dormir, sans plus de troubles.

Plusieurs personnes pourraient se demander à quoi rêve une Déesse emprisonnée dans un corps d'enfant? Ou encore : les Déesses rêvent-elles? Sont-elles assez humaines pour avoir le droit d'entrée au pays des songes? Malheureusement, ce n'est pas aujourd'hui que vous le saurez. Toujours est-il qu'un sourire de bien-être illuminait le visage de Sylphe à cet instant, que ce soit dû au confort ou aux rêves...

Après ce qui lui parut un très court laps de temps, Sylphe sentit plus qu'elle ne vit le blessé se lever et n'en retomber que de plus haut. Mais quand l'information se rendit jusqu'à son cerveau, qui consentit à ouvrir un oeil embrumé de fatigue, l'homme était de retour dans son lit.

Malgré tout, Sylphe força son petit corps à s'asseoir sur le canapé où on l'avait, manifestement, déposée. Elle observa l'homme qui avait encore le souffle court, tout en ne voyant pas le roi de son regard, brumeux de fatigue.

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La jeune adulte s’avait faites très discrète, elle avait réussi à passer l’enceinte du château et elle ne s’avait même pas fait repérée... il fallait dire qu’elle était sous formes de chat mais..... Puis des bruits provenant d’une pièce voisine attira son attention. Elle voyait un homme déposant une jeune fille sur un canapé.... *Non mais pourquoi lui porte-t-il autant d’attention pensait-elle. Personne n’avait jamais vraiment prit soin de Shamil et elle se demandait pourquoi tout le monde autour d’elle le faisait pour les autres.

Shamil était maintenant sous sa forme animal. Elle n’aimait vraiment pas la sensation qu’elle éprouvait quand elle était une vrai chatte. Il était presque impossible pour n’importe qui de savoir qui elle était vraiment... mis a par le fait de la voir se transformé en humaine....

Elle regardait attentivement la cène qui se déroulait devant ses yeux. Elle avait enfin trouvée ce qu’elle cherchait depuis très longtemps. Une petite fille au regard angélique était allongée sur une banquette.
*C’est elle, j’en suis sure..* pensait-elle avec émotion.
Elle était toute exitée à l’idée d’avoir enfin trouvée ce qu’elle cherchait depuis trois ans durant. Elle sentait comme des petits papillons qui papillonnaient d’exitation dans tout son être.

Elle marchait (enfin... à la façon féline.... ) gracieusement. Un homme était allongé sur un lit sa respiration était saccadée et il haletant à en perdre l’halène. Elle ne savait pas pourquoi, cet homme avait beau avoir sauvé la vie d’une fille, il ne lui inspirait pas plus confiance qu’il le fallait. Peut-être était l’énergie négative qui régnait de ce lieu quelque peut.... lugubre.... mais enfin bref....

Elle s’approcha alors près de la jeune fille qui dégageait une énergie puissante qui l’avait en quelques sortes..... démasquée.. C’était évident, elle sentait son énergie depuis la cour extérieur alors qu’elle était au premier étage du palais. Elle ronronnait pour que Sylphe ce rende conte de sa présence et faisait énormément de bruits. Elle se frottait après ses jambes... Il restait maintenant voir le résulta de son attraction.

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Malgré le fait qu'elle se soit réveillé, Tsumetai ne prononçait mot, l'envie de parler étant presque jamais présente chez lui. Muet, il ne faisait plus attention à rien, sauf à se rétablir rapidement pour ce qu'il était venu chercher dans ces terres inconnus. D'ailleurs, qu'était-il venu chercher? Il se massa le front, cherchant dans ses souvenirs encore vague les raisons de sa présence dans un tel lieu, mais il ne s'en souvenait pas, le choc ayant été trop brutal. Cependant, il avait l'habitude d'avoir des troubles de la mémoire, et il décida, de ne pas s'inquiéter, pensant que ses souvenirs allait lui revenir à l'esprit à un moment ou à un autre. Il caressait machinalement son chat, regardant à présent le ciel bleu parsemé de nuages à travers une étroite fenêtre, éclairant la pièce d'un léger rayon lumineux.

Il sentit son chaton frissonner, et se demandait ce qui n'allait pas avec lui. Le guerrier le souleva au dessus de lui, regardant s'il n'était pas blessé, ou malade, et ne remarquant rien, alors le reposa, mais quand celui-ci fut relâche sur le lit, il s'échappa, et sauta, se laissant tomber pour atterrir juste a coté, et resta fixe, observant de ses petits yeux pales Sylphe. Tsumetai compris alors : un chat se frottait aux jambes de la jeune fille, et ronronnait d'une voix douce et grave. Mais d'habitude, son chat qui était amical avec les autres êtres de sa race, paraissait méfiant, comme s'il sentait que quelque chose n'allait pas. Il se leva alors, et le pris dans ses bras, pour ensuite s'avancer vers Sylphe.

" Je crois juste de dire que je vous doit des remerciements. Sans votre intervention, cette pauvre fille serait morte, et je pense que j'aurais survécu, et je n'aurait pu m'en sentir que coupable, alors, encore merci. "

Il se plia sur ses genoux et caressa d'un geste affectueux le chat qui tournait autour de la fillette encore embrumée, et il se releva tranquillement, allant chercher son arme près du lit dans lequel il était resté pendant sa courte convalescence. Remettant sa longue veste noire, ses toiles blanches, et rattachant le fourreau à sa ceinture, il essayait de voir à quel point sa blessure l'avait affaiblis, mais il remarqua qu'il s'était nettement rétablie en quelques minutes. Il vérifia que tout allait bien, et jeta un dernier coup d'oeil par la fenêtre, restant irrémédiablement attiré par un paysage inconnu qu'il allait bientôt explorer.

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L'esprit vif, mais les yeux dans le vide, Sylphe tentait progressivement de reprendre contrôle de son corps (triste conséquence d'avoir été enfermée dans ce corps de fillette). Elle remarqua brièvement Jonas, se disant qu'il était rentré tôt de sa mission...

Elle ne sentit pas le chat qui se frottait contre ses propres jambes et elle n'en prit conscience que lorsqu'un autre chat, celui de l'homme apparemment, sauta en face d'elle et se mit à l'observer. Elle remarqua alors la présence de l'autre chat qui semblait vouloir qu'elle le prenne. C'est alors qui s'adressa à elle pour la première fois:

" Je crois juste de dire que je vous doit des remerciements. Sans votre intervention, cette pauvre fille serait morte, et je pense que j'aurais survécu, et je n'aurait pu m'en sentir que coupable, alors, encore merci. "

Sylphe, qui avait repris le contrôle d'elle-même, se releva et s'adressa à lui :

- Je ne mérite pas vos remerciements. Vous auriez fait la même chose pour moi. C'est cette jeune fille qui voudra vous remercier... quand elle sera remise. Mais vu les cirsconstances, nous ne nous sommes pas présentés... Je me nomme Maya Phenicia, lointaine cousine du Roi de l'Air. Dit-elle en faisant une légère courbette et en faisant un signe de tête vers Jonas.

Puis, elle montra les deux chats du doigts.

-Je crois que vous les attirez! Fit-elle remarquer avec un grand sourire.

Mais elle le vit bientôt commencer à remettre tout l'équipement qu'on lui avait enlevé pour le soigner.

- Vous devriez peut-être... Attendez un instant! Vous ne pouvez pas partir ainsi... Dit-elle tout en allant se placer devant lui, minuscule obstacle entre le grand homme et la porte.

Mais elle le vit alors qui fixait l'étroite fenêtre de la chambre. Elle regarda le ciel matinal et sentit son souffle se raccourcir. Ses mains devinrent moites et sa tête commença à lui tourner.

* C'est moi, ou les murs se rapproche?!* Pensa Sylphe.

Le souffle haletant, elle tenta de se calmer, se disant que ce n'était que dans sa tête, qu'elle devait être forte...

N'y tenant plus, elle jeta littéralement sur la fenêtre et l'ouvrit. Alors qu'une douce brise pénétrait dans la pièce, elle inspira profondément, se calmant légèrement au contact du vent sur sa peau. Après quelques instants, elle se tourna vers l'homme et Jonas, les joues légèrement roses. Se reprenant complètement de sa crise de claustrophobie, elle parvint à faire un sourire timide, attendant la réponse du grand homme.

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Citation :: - Je ne mérite pas vos remerciements. Vous auriez fait la même chose pour moi. C'est cette jeune fille qui voudra vous remercier... quand elle sera remise. Mais vu les cirsconstances, nous ne nous sommes pas présentés... Je me nomme Maya Phenicia, lointaine cousine du Roi de l'Air

A cette remarque, le visage de tsumetai ne bougea pas, mais au fond de lui, il n'en était pas sure. Mais trouvant malpolie d'expliquer qu'il l'aurait ignorer comme si c'était deux bêtes qui s'entretuait, ne se préocupant de rien. Il avait secouru cette fille, car elle avait sa voix, mais cette justification aurait paru très louche ....

" En effet ... je vous aurais aider, puisque vous le dites .. "

Il resta perplexe à l'idée qu'il parlait à une fille de nature aussi noble, mais les hierarchies sociales n'installait qu'une sorte de malaise en lui, il preferai les pauvres aux riches, bizaremment, d'ou son dégout pour l'argent, malgré qu'il en garde pour nourrir son animal.

Il repartit s'habiller, rangeant ses affaires, son sabres, et autre accessoires, quand une ombre passa devant lui à toute allure, mais ce n'était que Maya Phenicia qui ne voulait pas qu'il sorte.

Citation :: - Vous devriez peut-être... Attendez un instant! Vous ne pouvez pas partir ainsi...

Puis, en suivant, elle tituba, et courru vers la fenetre pour s'aéré. tsumetai ferma les yeux, se demandant ce qui pouvait bien se passer dans la tête de cette jeune fille, dont les idées paraissaient fuser à une folle vitesse.

" Et pourquoi voulez-vous donc que je reste? " demanda t-il d'un air desintéréssé, tout en prnant son chat qui l'avait rejoint, remarquant que son maitre s'appretait à partir.

Il ne savait pas quoi ajouter, mais il pensait qu'elle devait avoir une raison. Peut-être pensait-elle qu'il allait rester jusqu'au réveil de la personne qu'il avait sauver, ou bien, qu'il devait se reposer. En réalité, après ce qui venait de se passer, il ne se posait plus de question, les pensées de la jeune fille restant un mystere à ses yeux.

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Sylphe, toujours entrain de respirer près de la fenêtre, ne remarqua pas le sentiment de perplexité qui avait envahi son interlocuteur lorsqu'elle lui avait parlé. Elle sentit néanmoins un certain malaise lorsqu'elle parla de son "rang"...

Elle était toujours à s'aérer l'esprit lorsqu'il lui répondit :

" Et pourquoi voulez-vous donc que je reste? "

Sylphe prit une dernière bonne goulée d'air, chassa son malaise, et laissa la fenêtre ouverte, pour aller se reposter devant le grand homme. Elle leva alors la tête pour pouvoir le regarder dans les yeux et lui dit :

- Parce que vous ne vous êtes toujours pas présenté, étranger. De plus, je serais très curieuse de savoir quelle vilaine bête a pu vous blesser autant, elle et vous. Mais je n'ai aucun droit de vous retenir. Je vous demande donc simplement, sans autorité aucune, si vous voulez bien rester quelques instants encore pour nous expliquer votre aventure. Et puis, peut-être voudriez-vous attendre que la jeune fille se remette... D'ailleurs, le guérisseur m'a confié qu'elle... Qu'elle n'était pas nécessairement sauvée... Finit-elle d'une toute petite voix.

Quand elle eut finit, Sylphe s'écarta sur le côté pour laisser la voie libre et s'inclina légèrement, attendant la réponse de l'inconnu.

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* Quelle ingrat chat blanc * se disait-elle au plus profond elle. Les émotions se bousculaient dans son être. Elle était heureuse de voir que Tsumetai s’en allait car elle pourrait enfin être seul avec sa déesse.... enfin elle espérait ne pas savoir trompée sa la personne.... Puis vint la panique. Elle avait peur que le chat blanc du jeune homme ( enfin il lui paraissait jeune. ) découvre son identité mais sa n’aurait rien changé a moins que quelqu’un connaisse le langage des animaux.. Ce qui l’étonnerais sûrement. Il y avait peut-être Sylphe qui aurait pu comprendre mais... elle en doutait énormément.

C’est alors qu’elle fut ramenée à la réalité en voyant Sylphe courir pour finalement se retrouvée près de la sortie de la pièce quelque peut.... sombre et lugubre. Elle n’aimait pas vraiment cette endroit, il lui inspirait que maladie et angoisse.

Elle était tannée d’être dans la peau d’un foutu chat.... Elle se sentait comme à l’étroit. Mais au moins, elle pouvait encore penser et parler mais... ce n’était guerre une bonne idée de ce mettre à entretenir une conversation avec sa...enfin en quelques sortes.... sa protégée..

Elle se contenta tout simplement de lancé un regard noir envers le chat de... gouttière... Il avait l’air sale et très mal élevé... Enfin, il était a l’image de son maître.

Elle sauta sur le rebord de la fenêtre que Sylphe venait d’ouvrir et elle regarda l’étrange scène qui se déroulait devant ses yeux. Elle était morte de rire... enfin dans son fort intérieur quand elle vit que le roi du continent n’avait pas l’air d’être là... il était comme absent.... Elle se contenta alors tout simplement de regarder les deux ( on ne peut pas inclure Jonas puisque... je crois qu’il est partit mais bon... ) inconnus qui discutaient a propos du départ de Tsumetai.

Invité

Le jeune quetteur entra dans la salle ou se trouvait deja plusieurs personnes. Il se sentit un peu mal à l'aise... Puis il s'esqusa : "Je suis désolé il n'y avait personnes à l'entré, alors je suis monté ici... heu..." il hésita un moment se demanda si s'était vraiment la meilleur chose à dire. Après un leger instant il reprit la parole : "Je cherche le seigneur des lieux, savez vous ou il se trouve?"

(Suite au palais)

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Alors qu'il s'aprettait de nouveau à partir, la fillette se reposta devant lui, déterminée à le retenir. Il arretta sa démarche, écoutant ce qu'elle avait à lui dire. C'est alors qu'elle expliqua:

Citation :: - Parce que vous ne vous êtes toujours pas présenté, étranger. De plus, je serais très curieuse de savoir quelle vilaine bête a pu vous blesser autant, elle et vous. Mais je n'ai aucun droit de vous retenir. Je vous demande donc simplement, sans autorité aucune, si vous voulez bien rester quelques instants encore pour nous expliquer votre aventure. Et puis, peut-être voudriez-vous attendre que la jeune fille se remette... D'ailleurs, le guérisseur m'a confié qu'elle... Qu'elle n'était pas nécessairement sauvée

Il laissa passer un moment avant de répondre, le silence devenant peu à peu génant, puis il se décida à parler, cette fois ci en ayant aucune retenu, convaincu qu'il se devait de dire ce qu'il pensait une fois au moin avant de partir.

" Mon prénom n'a aucune importance, vous n'aurez jamais besoin de m'apeller. Pour ce qui est de la bête, je n'ai aucune idée de ce que c'était mais maintenant, il ne devrait plus rester trace de son existance. "

Il attrapa l'épaule de la cousine du Roi, puis la déplaça sur sa droite, avançant d'un pas pour arriver légerement derrière elle, et il lui murmura:

" Pour ce qui est de la fille, elle peut mourrir à présent, cela ne me regarde plus, sa vie est entre vos main, si elle nous quitte, vous serez responsables. Maintenant, j'ai le devoir de revenir à mes occupations premières. "

Il se retourna, regarda son animal qui fixait intensement l'autre chat. Il eut juste à agiter un grelot qui se trouvait au bout du pommeau de son épée, pour que son chaton se retourne, surpris, et cours vers lui. Il l'attrapa dans sa course et le posa à son endroit habituel, sur son épaule. Il jetta un dernier cour d'oeil au chat qui ressemblait à une statut d'ébène, immobile sur la fenetre. Il afficha alors un sourire narquois:

" Mauvais présage ... "

Et sur ces mots, il décida de partir, bousculant sans ménagement un nouvel arrivant, dont il n'avait même pas écouter les propos.

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[ grr quelqu'un ta dit que j'étais un chat noir ??.... pour tout dire, je suis de couleur caramel..... bon.... lol!

]

Invité

[HS : Escuse moi, j'étais persuadé d'avoir lu cela dans un de tes postes! Tu veux que j'édite?]

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[ ci tu veux ^^ ]

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Enfin, il était maintenant partit. La joie et le bonheur envahissaient maintenant tout son être. Elle allait enfin pouvoir être seule avec Sylphe.... enfin... la petite adolescente qui se trouvait devant ses yeux. Enfin, elle n’était pas totalement sure que c’était elle mais, elle savait qu’elle se trouvait sur le continent de l’air et une énergie digne d’une déesse dégageait de son corp fragile et à la fois pleine de tendresse et d’amour.

Tout ce que cette jeune fille avait vécue depuis la disparussions de Stalers et du dieu neutre était tout ce que personne ne pouvait imaginer. La bataille qu’elle avait menée avec ses soeurs et les êtres du bien était digne de cette petite fille encore très jeune. Enfin bref... ci c’était vraiment elle qu’elle croyait. C’est sure qu’elle beaucoup plus veille et mature qu’elle mais Shamil avait reçue un ordre formelle. Protégée et défendre au risque de sa vie cette déesse plein de sagesse.

Elle manquait énormément d’espace dans ce petit corps qu’elle pouvait incarner. Elle se sentait énormément à l’étroit et cette sensation était hors du commun. À la fois amusante et désagréable.

Elle s’approcha de Sylphe quand elle ne vit plus du tout la silhouette de Tsumetai. Elle ne savait pas pourquoi mais cet homme aurait été vraiment capable de démasquer son identité... aider don son chat bien entendue.....

Il n’était maintenant que vague souvenir dans la mémoire de Shamil. Puis soudain, elle sentit le besoin urgent de se transformer sous sa vraie identité. Mais si Sylphe apprenait ce qu’elle était sa couverture serait foutue. Elle se contenta alors de restée sous cette forme inconfortable et désagréable.

L’air qui sortait de la fenêtre que Sylphe venait d’ouvrir était pur et rafraîchissant. Il faisait vraiment chaud dans cette pièce sombre. La seule lumière qui éclairait les lieux était les lueurs qui provenait de la fenêtre. La chaleur des rayons venait ajouté encore de la chaleur. C’était insupportable pour elle car elle était dans la peau d’un chat couvert de fourrure de couleur caramel.

Elle tourna ses yeux fendues d’une pupille verticale vers la jeune fille encore près de la sortie que Tsumetai venait tout juste d’engager. Elle s’approcha dangereusement de Sylphe enfin de lui sautée dans les bras.

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Jonas était perdu dans ses pensées...
....il était tard mais il ne voulait pas rentrer. Son père devait déjà être entré à l'heure qu'il était et sa mère... il ne savait pas où elle se trouvait!
Le vent soufflait fort au sein de la petite forêt d'Ordreth, mais il ne s'en plaignait pas, au contraire il aimait la solitude parce qu'elle aussi l'aimait... il était seul et "resterait" seul "toute sa vie", c'est ce que son père lui avait dit! ...
Il fut soudain sortit de sa rêverie par l'arrivée de plusieurs personnes, son épée n'arrêtait pas de lui dire
* Mais tu m'écoutes à la longue? !!!! Ce chat n'est pas un animal ordinaire c'est quelqu'un!!!*Jonas regarda tout autour de lui et vit que sa cousine était debout prés de la fenêtre, l'homme de tout à l'heure était à ses côtés. Deux chats étaient à ses côtés et un homme du continent du feu, reconnaissable grâce à son plastron se tenait devant la porte.
- Tant de monde pour une si petite pièce...Je me présente je suis le roi Jonas d'Elenwë et vous devez être les personnes blessées de tout à l'heure...tant à vous, dit il au chat et à l'homme du continent du feu, j'attend de voir qui vous êtes?...Mais pas maintenant, dit il d'une voix faible, je vous attend dans ma salle d'audience! En attendant, reposez-vous tous!...
Chancelant mais digne, le roi sortit de la pièce et descendit difficilement les escaliers qui menaient à la salle d'audience!

(

Suite à la salle d'audience

)

Invité

[ grr Jonas.... grrr.... dans ma présentation ou bien je ne sais trop j'ai dit qu'il était presque impossible de décelé que j'était une humaine.. amoins que tu me vois me transformée mais ce n'est pas le cas car je l'ai fait à l'enceinte loin des regards indiscret grrr.... mais je n'en tiendrai pas compte... dit le juste pas a ta cousine sil vout plait.... grr ]

Nombre de messages : 2404 Age : 33 Date d'inscription : 05/01/2006

" Mon prénom n'a aucune importance, vous n'aurez jamais besoin de m'apeller. Pour ce qui est de la bête, je n'ai aucune idée de ce que c'était mais maintenant, il ne devrait plus rester trace de son existance. "

Sylphe allait remercier l'étranger lorsqu'elle sentit une main se poser sur son épaule. Sans ménagements, il la déplaça sur le côté. Sylphe, stupéfaite, ne dit mot.

" Pour ce qui est de la fille, elle peut mourir à présent, cela ne me regarde plus, sa vie est entre vos main, si elle nous quitte, vous serez responsables. Maintenant, j'ai le devoir de revenir à mes occupations premières. "

Se remettant de sa légère surprise, Sylphe fut décontenancée. Cet homme avait supplié le guérisseur de soigner la fille avant lui et maintenant il la laisserait mourir ainsi? Elle pensa alors que les mortels avaient bien changés... Mais elle baissa la tête et accepta ses obligations.

- J'en prends donc la charge, et veillerai personnellement à ce qu'elle puisse se remettre... Dit-elle doucement.

Puis, il appela son chat et partit. Sylphe entendit la remarque qu'il fit avant de sortir de la pièce, mais elle n'en tint pas compte. On pouvait voir des présages partout, si on le voulait bien.

Puis, soudain, le roi se manifesta. Il se leva, et annonça à la cantonade :

" Tant de monde pour une si petite pièce...Je me présente je suis le roi Jonas d'Elenwë et vous devez être les personnes blessées de tout à l'heure...tant à vous, j'attend de voir qui vous êtes?...Mais pas maintenant, je vous attend dans ma salle d'audience! En attendant, reposez-vous tous! "

Sylphe, légèrement surprise de le voir parler à un chat, se tourna vers l'animal qui, manifestement, voulait sauter dans ses bras. Elle fronça les sourcils et s'éloigna du chat, se rendant près de l'étranger. Maintenant, le roi était parti. Elle se présenta donc :

-Bonjour, étranger. Je me nomme Maya Phénicia. Je me ferai un plaisir de vous mener jusqu'à une chambre où vous pourrez vous détendre, en attendant que le roi soit prêt à vous recevoir. Si vous voulez bien me suivre... Dit-elle en faisant une légère révérence lorsqu'elle se présenta.

Elle sortit donc de la pièce, suivie de l'étranger, elle ferma la porte et la verrouilla, s'assurant que le chat se trouvait à l'intérieur. Elle n'avait pas le temps de s'occuper de ce chat qui n'en était pas un, pour l'instant.

Dans le couloir, elle s'arrêta un instant, pour être sûre que l'étranger la suivait et pour lui laisser le temps de se présenter à son tour.
[HJ : Shamil, mon aura/âme/chaispasquoi est pas si chatoyant que ça, ok? Arrête un peu. Tu peux pas déceler quelqu'un juste comme ça. De grands mages loyalistes pourraient aussi avoir une forte aura. De plus, je n'ai presque plus de pouvoir, alors mon aura/âme/etc., elle est très très faible!]

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