Le terrain d'entrainement

Le terrain d'entrainement s'étend sur trois cent pas de long et cent de large. L'armurie se trouve a proximitée pour pouvoir aller chercher les armes d'entrainement rapidement, on y trouve en quasi permanence des soldats en train de s'entrainer, que se soit a l'arc ou a l'épée, a la masse ou aux armes d'hast. C'est un terrain de terre batue couvert en partie seulement. Il y a des grandins du coté nord d'ou les instructeurs observent la progression de leurs élèves et certains guerisseurs passent occasionnellement pour soigner les petites blessures dues a l'entrainement.

Un homme entra sur le terrain d'entrainement juste après l'arrivée du roi et des Maitres. L'homme était grand, blond, il était en armure et portait un surcot bleu clair, à côté de lui, marchait timidement une fillette aux cheveux longs.

-Majesté, fit le chevalier en s'inclinant devant Berganon, j'ai trouvé cette petite dénomée Mariquita dans une vieille hutte, au Sud Ouest de Ghiaccia. Un orque et un gobelin l'entouraient, elle s'est faufilée entre leur jambes et m'a rejoint, nous sommes partis directeemnt sans autre échauffourée.

Etant un vieill ami du roi, il s'approcha de son oreille et lui murmura:
-Quand j'ai usé de mon pouvoir, elle a pleuré de joie et ma sauté dans les bras en prononçant "J'ignorais qu'il restait encore des loyalistes de nos jour..." ces paroles sont étranges, elle semble avoir vécu bien plus longtemps que l'on ne peut imaginer, ceci et le fait qu'elle habitait dans une vieille hutte délabrée. Ne font que renforcer mon doute, faites aussi tres attention, elle a donné des ordres, éssayez de en pas la froisser et, donnez lui a manger, elle a ters faim.

-Merci Loklear, même si tes conseils ressemblent un peu plus a des ordres. Le roi esquissa un sourire et se dirigea vers la petite fille apres s'être excusé aupres de ses invités.

Invité

Lorsqu’ils arrivèrent devant l’immense muraille, les deux peaux vertes se regardèrent, ébahis. Ils n’avaient jamais vu une telle construction, si imposante et magnifique à la fois. Ziglik, le gobelin, semblait un peu nerveux et il préféra rentrer dans sa tribu. Ils se donnèrent une bonne poignée de main et le petit goblinoïde s’en alla.
Grishnak n’en revenait juste pas. Comment une si grosse muraille construite par des hommes pouvait-elle s’harmoniser autant avec la forêt? Il se secoua la tête et n’y pensa plus… Il devait suivre cette jeune fille et ce chevalier. Où allaient-ils? Peut-être pourrait-il trouver de l’aide à son problème de feu de forêt…
Il remonta sa capuche de fourrure, réajusta sa magnifique cape de poil beige et traversa la muraille, en faisant attention de ne pas trop attirer l’attention. Il traquait encore les traces du cheval de l’homme armé lorsqu’il vit l’immense château s’élever au milieu de la seule plaine de l’endroit. Les traces du cheval et de plusieurs autres allaient tous vers ce château.
Grishnak grommela en commençant la traversée de la plaine, sans le couvert de sa précieuse forêt il se sentait très vulnérable. Il se tiendrait calme et pour sur…
Lorsqu’il arriva enfin à la grande porte du château, l’orque scruta les gardes présents tout en continuant de marcher. On ne l’arrêtait pas; bon signe. Il vit alors les deux personnes qu’il traquait sortir de la bâtisse principale et se diriger vers une plaine ou des hommes semblaient s’entraîner à diverses disciplines. Ils les suivit donc, distant d’une dizaine de mètres. Lorsqu’il vit l’attroupement de gens autour d’une personne habillée richement, il s’arrêta près de l’entrée du terrain d’entraînement. Il écoutait. Il attendrait qu’il y ait moins de gens autour, ils le rendaient nerveux et ne savait pas ce qu’ils penseraient d’un orque en plein milieu du château du continent.
Il écoutait donc, la tête baisée afin de ne pas trop laisser voir son visage, caché en partie par sa capuche de fourrure brune et sa cape de poil richissime.

-Qui etes vous?

La voix avait retentie derière Grishnak, soudain, un homme le saisit a la gorgfe, faisant tombersa capuche et retira les armes de l'orque. Entandant ce bruit, Berganon détourna son regard vers l'orque et Loklear lui glissa:

-C'est l'orque dont je vous avit parlé!

-Tres bien, le roi siffla et une dizaine d'arbaletriers se tournèrent vers le roi puis, voyant l'intru, pointèrent leurs armes dessus. C'est bon Rodan, lachez le! le chevalier s'executa. En ce moment même, vous etes visés et mes hommes sont sur la détente, un seul mouvement de ma main, vous vous trouvez criblé de carrots. Je vous conseille donc de vous présenter et de nous dire qu'elel est la raison de votre venue, si elel est bénefique j'aurais sans nul doute du mal a vous croire...

Invité

Grishnak était prit au dépourvu. Sans le couvert de sa forêt, il n'était rien. L'orque fixa Berganon, ses mains tremblaient légèrement. Il avait réussi à attirer l'attention générale malgré lui, chose qu'il n'aimait pas beaucoup, surtout à l'intérieur d'une citée humaine. Grishnak prit la parole, d'une voix sûre mais dans un commun moyennement bon:

-Ju suis Grishnak, Fils de Grishnou du le Tribu d'Herrkran. Mun peuple m'a dusigné cumme messuger de la race Orque, un grus problume menace des mullier d'Orques. Nous nu summes pas hustiles, nous tuons et cupturons seul ceux qui offense lu puple Orque. Lussez-moa purler trunquilement, ju n'ume pas trop être sous lu munace du carreaux...

Sur ce, l'Orque baissa le regard au pieds du roi. Jamais il n'aurait cru faire cela un jour, mais si il tenait à sa vie, il devait se montrer calme et non-hostile...

-Dans ce cas, le roi tandit la main vers le haut et fit signe aux arbalétriers de relacher leur attention. Et je en doute pas que vous savez que si vous tentez de tuer quelqu'un, vous n'aurez aucune chance de vous en sortir.Bref, quel est donc ce message?

Le roi espérait tirer parti de ce messager et peut etre envisager une paix entre térritoires, certains chevaiers qui avaient été envoyés dans la foret ou vivait Grishnak avaient disparus.Berganon pensait aussi pouvoir rencontrer le chef de sa tribu en terrain neutre, soit au milieu de la plaine, et seul. Pouvoir établir un droit de passage qui permetterai a ses chevaliers de passer plus rapidement, sans crainte de tomber dans une embuscade.

Invité

Grishnak reprit son souffle. Il venait de passer à un cheveux de se faire abattre par les hommes du roi. L’Orque déglutit bruyamment et entrepris son discours :
-L’ummense foret trupucal au sud d’uci est munucée par un grund feu! Trois trubus Orques ont utés décimés pur l’incendie…

Prenant un ton plus doux et semblant soudainement plus triste :
-Nutre peuple a busuin de vus, lu hommes. Nus uvons busuin d’un undroit qui peut accueillur quelques mulliers d’hommes, fumelles et enfants. Lu peuple Orque implore vutre cumpassion… Nus somme mûme prêts à vus uffrir un tribut, ce que vous voudrez… Su vus refusez, vous duvrez uvoir la mort de mulliers d’Orques, Gobelins, Hommes, Fumelles, Enfants, Animaux sauvuges ainsi que lu dustruction d’une des plus bulle furêt de ce cuntinent…

Sur ce, Grishnak leva les yeux, fixant Berganon d’un regard intense. Son front était couvert de sueur, ses mains étaient moites. Il attendait une réponse…
[/i]

-Vous savez, Grishnak, la perte de miliers de gens de votre espece ne sera pas un drame pour nous, et vous vous en doutez mais ce tribut m'interesse, je vais envoyer des hommes pour l'éteindre, même si a présent nous détestons tous les déesses, il marqua une pause et ferma les yeux en implorant que celles ci ne l'entende pas, mais ceux qui maitrisent l'eau sont tres utile pour ce cas.

Berganon cria quelques ordres en abyssal et une trentaine de chevaliers partirent au triple galop vers la fôret.

-Maintenant Grishnak, je veux que vous alliez chercher le chef de votre clan et que vous l'ameniez ici, si il ne veut pas entrer dans la citée, je le rencontrerai, a huit cent pas du château, hors de porté du meilleur archer. Partez maintenant!

Nombre de messages : 845 Age : 34 Date d'inscription : 05/01/2006

La petite déesse avait suivit la conversation depuis le début. C'était une conversation qui semblait importante, pour l'avenir du peuple des orques et des hommes. Kanbonverka n'intervena pas dans la conversation, de peur de déranger cette responsabilité resservée au roi Berganon.

* Il n'était pas si vilain, l'orque, finalement... la preuve qu'Il ne faut jamais se fier aux apparences. * Pensa-t-elle, finalement.

Elle entendit la remarque du roi:

- '' ... même si a présent nous détestons tous les déesses. ''

Elle fit semblant de ne rien comprendre. Mais un sourire s'accrocha à son visage... Si un de ses hommes, celui qui l'avait ''sauvé'' tout à l'heure, était loyaliste, alors pourquoi pas son chef: le roi? Elle ria en silence, en s'efforçant que cela ne paraisse pas trop.

-Bien, murmura-t-il avant de se tretourner vers Mariquita et de lui tendre un sourire, nous devons avoir une petite discussion, Mais tout d'abord, vous allez prendre un bain, on vous donnera quelques habits, puis vous viendrez manger un peu dans la sale du trône. Loklear vous montrera le chemin, quant a moi, je vais vous attendre dans la salle du trône.

Alors que Loklear repartait avec Mariquita, le roi se tourna vers Iridrien et les maîtres.

-J'ai bien peur de ne pouvoir rester avec vous plus longtemps, mais je compte vous revoir ce soir au dîner. Messieurs, madame, fit il en s'inclinant légèrement en guise de salut.

Puis il se dirigea vers la salle du trône.

[suite dans la salle du trône]

Invité

-Ma chère Kanbonverka les déesses ne sont pas détestés de tous, en effet, les puissances supérieures vous apportent en ces temps noirs un serviteur dévoué à votre cause qui vous protégera jusqu'à en donné sa propre vie: le protecteur des Déesses, mi-ange, mi-démon il est le combattant parfais. Me laisseriez vous ma chère dame approcher?

Sans vraiment attendre de réponse l'ange Zelel descendit de sa cachette dans l'ombre et déploya ses ailes pour atterir gracieusement devant la déesse de la terre. Rendu devant elle Zelel exécuta une révérence et fit disparaître ses ailes d'ange pour mieux se mouvoir.

Zelel leur tourna le dos et commença à discuter, comme avec lui-même, ce qui était assez troublant c'est qu'une tout autre voix comme sortit d'outre-tombe lui répondait.

-Eyden, n'essaie même pas de sortir en ce lieu je sais que trop ce qui porrait lui arriver...

-Pitoyable!Un ange qui a peur, je te croyais plus brave mon cher Zelel. Tu crois que mon seul but est de tuer les déesses et bien tu te mets un doigt dans l'oeil, car mon seul véritable objectif est de retrouver l'ancien Dieu du mal et de mettre fin à cette supercherie grotesque qui est en train de pourrir le monde.

-Alors pourquoi cherches-tu à sortir alors?

-Pour voir l'ancien amour perdu de mon maître, c'est tout.

-Menteur! Tu ments comme tu respires!

-Ne me provoques pas Zelel sinon...

-Sinon quoi?

Zelel fut alors prit d'horrible convulsion et tomba par terre, ses cheveux passèrent, alors du blanc au noir de jaie, ses vêtements du blanc et or au rouge sang et noir. Après quelques secondes Eyden le démon se releva, mais on ne pouvait lire aucune expression sur son visage, il s'approcha alors de la Déesse Kanbonverka et lui fit un baise main avant de dire

-Je vois que mon maître avait de fin goût.

[H-J: je suis déja parti ensuite, cette forteresse est garnie de chevaliers prets a tirer au moindre signe suspect ou a te sauter dessus, sans compter que certains on peut etre des pouvoirs... Alors pourrais tu éditer ton post.]

Invité

Grishnak fixait le démon/ange d'un regard qui se traduisait par une totale incompréhension. Que venait-il de se passer? Le roi qui insulte le peuple Orque peuple au plus haut point, mais il l'aide tout de même; Un humanoïde ailé qui apparaît de nulle part et qui traite cette jeune fille de déesse! Ce château était décidément un endroit remplis de fous! L’Orque n’y comprenait rien. Il s’écria alors :
-Purtah! Qui est tu pur truter une sumple petite femelle de Duesse? Tu duvrais utre brulé! Purquoi prutéger des êtres qui dutruisent nos forêt, villuges et qui déciment nos fumille?! Lusse la fumelle trunquile et retourne pruteger tes Duesses ailleur…

Grishnak le fixait avec un air de dégoût. Ce soi-disant ange était assurément un adepte de la magie pour avoir des ailes. Grishnak se retourna vers Berganon et ricanna un peu avant de dire :
-J’ose usperer que vos homme cunnaissent la furêt de Ghiaccia! Ul nu fudrais pas qu’ils tombent sur un rupaire d’ogres ou de GobFiende! Har har har!

Puis s’adressant à Kanbonverka, qu’il prenait toujours pour une jeune fille d’une beauté exceptionnelle, il dit :
-Nu te lusse pas unsulter pur cet utre de mugie putite femelle!

Puis il repris ses armes qu’un soldat de Berganon lui avais enlevé et se chercha une taverne ou aller manger quelque chose. De toute façon, il n’avait jamais mis les pieds dans une ville comme celle-ci, il devait bien goûter aux joies humaines une fois de temps en temps…

[Pour ma part Berganon je vois plutôt ca comme si il apparaissait au moment ou tu donnais tes ordres. On s'entend que si on le jouais pour vrai mon perso attendrais pas que tout le monde s'en aille pour agir. Il agit en meme temps que toi et Kankan. Même chose pour l'Ange. Ah et Eyden pourrais-tu mettre le lien de ta fiche dans ta signature comme tout le monde?]

[seulement j'avais déja posté dans la salle du trône...]

Invité

Aprés avoir marché longtemps et il dut se transformé plusieur fois pour arrivé la , il regarda les lieux , puis il senta encore la déesse...

"AAAAAAAAAHHHHHH "

Il cria avec un cri de rage pour marqué son arrivé et son désaroi de ne pas avoir pu rencontrer la déesse...

**Ma déesse , j'arrive tenez bon aucun être biologique me résistera**

Il décida de se reposé , il prit l'apparence d'un garde puis il se coucha dan un coin sombre et caché de la vue de tout le monde...

"ZZZZZZZZZZZZZZZZ"

Invité

Grishnak sursauta en entendant Erudrim crier. Il l'observa du coin de l'oeil pendant qu'il se dirigeait vers la taverne. Pourquoi cet homme criait-il comme ça pour rien... Et comble de tout, il venait de se transformer! En garde du château!

Grishnak riait de cet homme si peu subtil. Déjà, 4 ou 5 gardes du château de la Terre s'Approchaient de lui, armes au poing...
Grishnak dit alors:

-Purtah! Qu'est-ce qu'ul fait? Su trunsformer en gurde devunt tout le munde?!

Et il observa le faux garde endormi se faire réveiller par de VRAI gardes...[/i]

Invité

Erudrim regarda les gardes , assoma deux gardes en entre choquant leur tête l'une contre l'autre , un grade voulu lui porté un coup d'épée , le métal se brisa contre sa peau...
Aprés avoir mis K.O le reste des gardes , il regarda l'orc puis il se retransforma en élémental...

"Toi , être biologique , fils des tribus des forets , j'ai vu ta naissance alors ne jure pas devant moi , aide moi , et je t'aiderai a faire retrouvez a ton peuple ça fiereté d'entant...

Il avait réalisé que les hommes était encore plus bête qu'avant , et qu'il y a quelque année les élémentals était respecté par tous mais maitenant , il était bien maltraité...

Une déflagration mùagique surgit du néant, des cordes magiques enseraient l'élémental qui tentait de se débattre mais les liens étaient beaucoup trop forts. Alors que trois mages maintenaient le cordage, deux autres traçaient des runes au sol en conjurant un portail. Un éclair bleu jaillit de dessous l'élémental, et un trou béant de la memer couleur s'ouvrit, a l'inbterieur tourbillonaient tous les paysages. Les liens retenant la créature cédèrent et elel tomba dans le gouffre pour réaparaitre ailleurs sur une autre terre. On n'entendit plus jamais parler de l'élémental. mais les cinq mages furent récompensés de leur bravoure, meme si la créature n'avait pas un mauvais fond, elel était chatiée en un lieu meilleur ou aucune créature en le dérangerait.

Inquisition (Eau) Nombre de messages : 68 Date d'inscription : 05/01/2006

Un serviteur qui vaquait à ses occupations habituel vit la scène en entier. Il eut un regard d'abord étonné et normal par la suite. Celui-ci resta un moment à réfléchir pour ensuite quitté cette partit du château. Il se rendit rapidement dans ses quartiers de serviteur en ne donnant toutefois aucune impression quelconque au personne qui pouvait bien croisé son chemin. Il ouvrit la porte de et rentra dans la pièce. Il resta un moment assit dans la pièce sans dire un mot. Il réfléchissait à ce qu'il devait faire.

Le faux serviteur qui était en fait un espion de l'inquisition prit un petit livret, une plume et de l'encre. Il écrivit quelque chose écrit dans une langue inconnu à la plupart des gens présent dans le ainsi que le roi. Il trampa sa plume plusieurs fois dans l'encre pour enfin finir d'écrire un texte de quelques pages. Il rengea son livret et se releva par la suite. Il devait maintenant attendre la venu d'un autre membre de l'inquisition. Le serviteur quitta la pièce pour retourner à ses occupations dans le château.