Sanctuaire de Sylphe!

[ L'ancien sanctuaire de Sylphe, après les frasques de la dernière bataille, a été reconstruit au sein du château de l'Air ou plutôt disons que c'est le château qui a été érigé autour du sanctuaire. Cela en partie pour protéger ce bâtiment qui fut si chers aux premiers rois d'Elenwë. Il se trouve plus exactement dans une des ailes du premier étage et tout le monde peut y accéder. Deux gardes sont postés afin de préserver ce monument d'éventuels inconnus aux intentions mauvaises! ]

Darvek entra dans le sanctuaire, l'air un peu déprimé. Il s'approcha de la statue de celle qui vénérait depuis son tout jeune âge. Il s'agenouillla et regarda le doux visage de la déesse. Certes, ce n'était qu'une statue, mais la voir ainsi le réconfortait un peu. Darvek servait depuis longtemps cette magnifique femme, et elle était la seule qui chambardait son coeur. Il l'admirait, la respectait, et l'aimait, c'est pourquoi il se bat en son nom durant les batailles. Jamais la déesse ne s'était présentée devant lui, et pourquoi l'aurait-elle fait?

* Après tout. je ne suis qu'un simple mortel * se dit-il.

Mais cette pensée le découragea plus profondémment. Il baissa les yeux et s'adressa à la déesse, mais pour la première fois de sa vie, il avait l'impression que seul le silence l'écoutait.

-Ma déesse, ma chère déesse. Je ne suis plus, je ne comprends plus. Pour commencer, une inconnue est arrivée au chateau et personne ne sait d'où elle sort. Il baissa le ton de sa voix pour que personne ne puisse l'entendre. Le roi lui-même me l'a avoué. Il m'a demandé de resté au chateau justement pour que je puisse la surveillé et garder un oeil sur elle. Il reprit ensuite son ton normal. Si le roi ne me l'aurait pas demandé, je serais déjà parti avec mes soldats pour patrouiller à travers le continent. J'aurais pu être bien plus utile ailleurs. Si le roi est parti, c'est parce que quelque chose se passe en ce moment. Mais je ne peux quitter ce chateau, le laissant sans défence.

Il se leva légèrement et s'agenouilla à la façon des chevaliers en présence d'un noble personnage.

-Déesse. J'ai besoin de votre soutien. Je ne suis pas de nature déprimé et découragé, mais là, je sais que quelque chose se passe, et je ne peux rien faire. Je dois surveiller une inconnue, voilà ce que je dois faire. Ma déesse, ma douce déesse. Je vous ai toujours servi fidèlement, je vous demande de l'aide, faites moi savoir que vous êtes là, cela me remontera le moral.

Il resta un bon moment, genou à terre, à prier celle qui selon lui aurait le pouvoir de le calmer.

Comme l'invitée l'avait prédit, le soldat pénétra dans le sanctuaire et s'arrêta à environ deux mètres du commandant. Il frappa sa lance sur le sol pour signifier sa présence. Darvek resta agenouiller, mais détourna la tête.

-Qu'y a-t-il soldat? demanda-t-il.

-Une certaine invitée du roi attend à l'entrée du sanctuaire et aimerait y pénétrer, dois-je la laisser? dit le soldat.

Darvek pensa un instant.

*Que veut-elle faire dans un sanctuaire tard dans la nuit.*

-Oui oui, laissa la entrer, répondit-il.

*Après tout, elle ne peut certes me faire mal.*

Darvek retourna donc à ses prières, toujours aussi déprimé. Le garde retourna auprès de l'invitée et lui annonça qu'elle pouvait passé. L'autre garde retira la lance qui obstruait le chemin de la jeune demoiselle.

Darvek détourna la tête lentement. Puisqu'il ne savait pas si elle était de la royauté ou pas, mais se disant comme cousine du roi, il se devait de la respecter comme n'importe quel membre de la royauté.

-Je me nomme Darvek, commandant des armées de sa majesté. Pardonnez moi si j'ai un air piteux jeune demoiselle, mais je ne vais pas très bien. J'espérais que ma déesse, la déesse Sylphe, aurait pu m'apporter du réconfort, mais je crois bien qu'elle ne viendra pas. Chaque fois que je l'ai prié, avant aujourd'hui, je croyais qu'elle m'apportait son soutien, mais enfin de compte, je crois plus que c'était en voulant la rendre fière que le courage montait en moi. Enfin de compte, je doute maintenant qu'elle m'est soutenu.

Il baissa la tête, comme s'il avait honte.

*Je ne sais plus ce que je ressens....*

Puis, il sanglota, et pleura. Il tourna le dos à l'invitée et cacha son visage dans sa main. Rares sont les fois où Darvek pleura. Même durant de sanglante bataille, il n'a jamais perdu son sang-froid. Mais, la vrai raison de sa misère, c'était maintenant que la déesse pour qui il a risqué sa vie, ne soit enfin de compte qu'illusion, et qu'elle n'est que simple croyance. Ses genoux fléchirent et tomba par terre. Sa tristesse était si prfonde qu'il essayait de par lui même de l'arrêter, mais son coeur débordait.

Darvek était désemparé, et ne sachant pas pourquoi il fit cela, il serra à son tour la jeune fille dans ses bras et versa ses larmes sur son épaule. Jamais une autre personne que ses parents n'a posé un geste comme celui-ci. Essayant à tout prix d'arrêter ses larmes, il s'adressa à la jeune fille.

-Demoiselle, je n'ai plus la force. Mon coeur se brise lentement et je ne sais pourquoi. Est-ce toutes ces choses qui me brisent lentement le coeur? Pourquoi? Même mes plus dures batailles ne m'ont pas vidé d'autant d'énergie que maintenant. Je suis à bout.

Il releva doucement le visage pour apercevoir de ses yeux verts, celle qui était donc venu à son aide, à son soutien.

-Vous auriez du être la déesse, dit-il de sa voix profonde et triste. Vous êtes, la seule qui est venue me supporter ainsi.

Il baissa de nouveau la tête,ses cheveux blonds tombant sur son visage, ainsi le cachant.

-Je suis connu comme invincible, n'ayant aucune faiblesse. Mais ces personnes se trompent. Ma plus grande faiblesse....

* C'est l'amour que je porte à ceux que je chéris.. * se dit-il, ne se rendant pas compte qu'il ce l'avait dit intérieurement.

Les sodats, qui surveillaient l'entrée, regardaient la scène d'un oeil interrogateur. Pourquoi est-ce que leur commandant pleurait dans les bras d'une inconnue ?? Mais cela, Darvek s'en moquait. Il ne différenciait plus ce qu'il disait et ce qu'il pensait.

-Demoiselle, je suis décolé pour tout ceci, je.... je... je ne suis pas comme ça normalement.

Il se défit de l'étreinte de la jeune fille, mais lorsqu'il voulu se relever, ses jambes fléchirent et ses genoux heurtèrent durement le sol, lui laissant échapper une plainte sourde. Puis, il fut repris de sanglots, ayant presque honte de son comportement.

Darvek, dans la noirceur et le silence de la pièce, refléchissa longuement à ce qui venait de se passer. La jeune fille avait raison, il ne pouvait rester là à pleurnicher en attendant qu'un miracle arrive. Si la déesse existe vraiment...il continuera de la prier et de l'honorer comme il l'a toujours fait, mais...

*Si elle n'existe pas, nous sommes tout un continent qui croit en elle et qui continueront de croire. À quoi me sert-il de pleurer pour ceci. Rares sont les gens à qui la déesse leur soit apparue, pourquoi serais-je l'un d'eux*. Bizarrement, ces paroles lui remontèrent le moral. * Je n'ai plus rien à faire ici.*

Il pensa soudainement au collier que son père lui avait jadis donné. Il le toucha du bout des doigts, se réconfortant de l'avoir toujours gardé avec lui. Darvek se rappela ce que son père lui avait autrefois avoué: ~ Ce pendentif m'a autrefois sauvé la vie, il m'a rappelé le visage de ta mère qui me souriait et qui disait je t'aime. Crois moi, mon fils, prends le, et garde le avec toi. ~.

Il se releva doucement, les genoux faibles, regarda pour une dernière fois la statue de la déesse qui se dressait devant lui et déclara:

- Vous êtes ma déesse, et je continuerai de croire en vous et d'honorer votre nom jusqu'à ce que la mort me prenne, j'en fais le serment. Il porta son poing à l'épaule, ce qui signifiait une promesse. Si vous n'existez pas, eh bien des millions de gens sont dans l'erreur, mais ils espèrent et vous vénèrent, et cette pensée leur donne du courage, de même pour moi. Ni la souffrance, ni la torture, ni la mort ne pourra me briser ma fidélité. Si vous m'écoutez, et que vous êtes vraiment cet être lumineux, je vous demande d'être avec mes soldats lors des combats, votre appui leur donnera du courage. Nous sommes là, pour vous, à jamais.

Le commandant s'approcha de la statue et déposa par terre, les pétales d'une rose ainsi qu'une statuette de bois à l'éfigie de la déesse.

-À jamais, répéta-t-il faiblement.

Il tourna les talons mais s'arrêta après deux pas. Il se souvint de Keana, qu'il avait laissé allé dans le bassin. Elle n'a certes pas passé tout ce temps dans l'eau. Il s'avanca vers la sortie pour retrouver celle qu'il aurait du depuis longtemps retrouvé.

Darvek se défit des pensées qui tournoyaient autour de sa tête et regarda la jeune fille qui venait d'arriver, la même qui l'avait, il n'y a pas si longtemps, bercé durant sa peine. Il ne savait pas trop comment agir maintenant, il l'avait tutoyé et pourtant, elle fait parti de la royauté. Il n'aurait certes pas du. La jeune fille brisa le silence:

-Je vous apporte une nouvelle que vous apprécierez... Dit-elle en attendant quelques instants. Le jour s'est levé avec le retour du roi. Ainsi qu'avec, malheureusement, deux blessés et un grand nombre d'invités innatendus.

Darvek resta un moment surpris de l'arrivée si rapide du roi, il avait eu le temps de partir et revenir en une seule nuit. Il avait probablement plus d'un tour dans son sac. Il regarda de nouveau la jeune gamine qui se trouvait devant lui.

-Merci jeune demoiselle, dit-il d'un ton reconnaissant, je pourrai donc retourner à ma patrouille, j'ai l'intention d'aller à Lomelindi. D'étranges rumeurs circulent et je vais aller voir de mes propres yeux.

La divine enfant s'adressa de nouveau au commandant qui restait là, comme une pierre, à ne pas bouger.

-J'imagines que vous n'aurez plus à vous soucier de moi, Commandant, maintenant que le Roi est de retour. J'espère n'avoir pas été pour vous, une source d'ennuies... Et... Et je voudrais m'excuser de vous avoir parler méchamment à mon arrivée au château... Pourrez-vous, un jour, me pardonner? Demanda-t-elle, une larme rien de plus véritable à l'oeil.

Si Darvek pouvait bien faire quelque chose pour elle, c'était de la pardonner, puisqu'elle seule est venue le soutenir il n'y a même pas une demi-journée. Il s'approcha doucement de la jeune demoiselle et lorsqu'il arriva tout près d'elle, il s'agenouilla à terre pour pouvoir être à sa hateur, puisque disons, Darvek aurait pu être considéré comme un humain colossal. Lorsqu'il eut ses deux genoux engourdis posés pour la seconde fois sur le sol, il vit une larme tomber doucement sur la joue de l'enfant. Il l'essuya d'un geste tendre et doux de la main et lorsqu'il entra en contact avec la peau de la demoiselle, le commandant eu l'impression q'une sorte d'intense lumière jaillisait de la jeune fille, mais cela ne dura qu'un instant, il ne le fit tout de même pas parraître sur les traits de son visage. Puis, il prit les petites mains de cette petite dans les sienneset lui dit:

-Avec ce que vient de se passer, je ne t'en veux pas pour ton arrivée au château, mais pas du tout. Ce serait à moi de m'excuser pour tout à l'heure, j'ai perdu le control de mes émotions. Je t'en suis reconnaissant d'avoir été là pour moi. J'avais des doutes sur ton identité lorsque tu es arrivée, mais soudain lorsqu'il dit cela, il se souvint qu'il s'adressait quand même à personnage de la royauté et qu'il l'avait suffisament tutoyé, je veux dire quand vous êtes arrivée, mais ses doutes se sont dississipés. Tu resteras....... tu.. vous resterez probablement l'une des personnes dont la sécurité va m'être importante. Vous m'avez été d'un grand soutien moral, et je me soucierai maintenant de vous, comme je me soucie chaque jour de mes parents. Je t'en suis extrêment reconnaissant jeune demoiselle.

Il s'arrêta un moment et la fixa de ses yeux verts perçants. Il voyait bel et bien que c'était une petite enfant têtue, mais généreuse, comme lui l'était à son âge. Il l'attira vers lui et la serra tendrement dans ses bras, comme si c'était la première étreinte qu'il faisait à quelqu'un depuis toute sa vie.

Darvek resta un moment silencieux, gardant la petite fille dans ses bras, dans cette douce obscurité où le silence était la musique. Cette petite fille si délicate avait réussi à modifier la façon de penser du commandant, de par son soutien, son appui, et de cette étreinte à n'en plus finir. C'était peut-être un peu vite, mais la petite fille avait raison. Darvek allait maintenant se souciez d'elle comme si elle aurait été sa propre fille, mais puisqu'elle ne l'était pas, il ne devait pas exagéré non plus.

-Je te protégerai, t'aiderai à mon tour et t'apprendrai ce que tu voudras savoir. Comme je l'aurais fait à ma fille, si j'aurais eu la chance d'en avoir une. Mais aucune femme n'a encore réussi à me prendre mon coeur, sauf la déesse. Je ne peux me permettre le mensonge envers elle. Mais bon....

Pour on ne savait qu'elle raison, la présence de jeune fille réchauffait le coeur du commandant. Il aimait sa présence, la regarder, voir ses petits yeux qui étaient remplis de curiosité, tenir dans ses mains les petits doigts fragiles de cette princesse, regarder son doux visage, digne d'une déesse. Il était lui-même curieux de savoir d'où elle venait, de quelle femme a-t-elle hérité ces traits?? Parce que c'était certes, une ravissante petite demoiselle, qui avait le même caractère que Darvek durant sa jeunesse, têtu et généreux. Peut-être était-elle une enfant divine envoyé ici par la déesse pour accomplir une mission, ou montrer un signe.

*Non non c'est impossible* se dit-il intérieurement, tenant toujours la petite fille dans ses grands bras. * Mais....*

Il se souvint de l'éblouissement qu'il y avait eu lorsqu'il avait essuyé la petite larme qui ruisselait sur la douce peau de l'enfant. Était-ce vrai, ou simplement une illusion?? Cela n'avait pourtant duré qu'un net moment, à peine si il avait pu être sur de cet éblouissement.

* Mais si elle était vraiment une envoyée divine, pourquoi ne me l'aurait-elle pas avoué ???* se questionna-t-il.

Il repoussa lentement la jeune demoiselle et lui demanda d'un ton doux et clame ceci:

- Dis moi petite demoiselle, premièrement, quel est ton nom?? Je ne t'ai pas entendu le dire ou soit que je n'écoutais point. demanda-t-il, ayant reprit les petites mains de la gamine dans les siennes.

[HJ : NON Shamil! Les gardes ne t'ont pas laissé et la porte n'était pas entrebaîllée... ¬¬ (Tu peux pas laisser les gens tranquille un peu... ;__; ) Alors les gardes ont vu un chat et ils l'ont bottés le plus loin possible du sanctuaire! Clair? (On ne tient donc pas compte du post du chat).

À l'avenir, Shamil, souviens-toi que c'est pas parce que t'es un chat que le monde te laisse entrer partout. Les gardes, c'est fait pour garder les entrée.]

( HJ: :S J'ai fais une remarque à propos de Darvek qui regarda Maya... alors si vous ne comprenez pas... ben.... eeee... comprenez pas.... )


-Vous ne deviez pas écoutez une jeune gamine étrangère! Je me nomme Maya Phénicia et suis, comme vous le savez, une lointaine cousine du Roi de l'Air. Et vous, vous êtes un soldat bien affectueux! Dit-elle en plaisantant.

La remarque de cette petite demoiselle le fit éclater de rire. Il trouvait assez amusant qu'une jeune fille de son âge puisse dire quelque chose de la sorte à un commandant d'armée.

-Ah bon, tu trouves?? ricana-t-il. Mas saches, princesse Maya, que tu es la seule avec qui j'agis ainsi. Je dois l'avouer, tu es une petite fille bien étrange.... non..... plutôt, spéciale. Tu me fais penser à moi quand j'avais ton âge. J'étais têtu.. mais généreux, dit-il d'un air provocateur

Darvek regarda à travers les yeux de la jeune Maya pour apercevoir dans ses iris un tunnel lumineux sans fin, comme s'y c'était le couloir entre le monde ici et l'éternité. Ses mains furent soudainement prisent d'une chaleur bienfaisante d'où il ignorait la provenance, mais il ne s'en soucia guère. Cette soi-disante petite était ....

-Oui... tu es vraiment très spéciale... dit-il, l'air pensif.

Puis, on entendit quelqu'un frapper à l'extérieur. La porte du Sanctuaire s'ouvrit lentement et un des gardes qui guettait l'entrée se vit voir à l'intérieur de la pièce.

-Un guerrier vous attend dans un des salons du rez-de-chaussée, Commandant. On dit qu'il se cherche un poste. Les gardes ont cru bon de vous envoyer chercher.

*Qui donc peut bien venir demandé un poste à l'aube* se dit-il.

Il se perdu quelques secondes dans de nouvelles pensées qui venaient de surgir et déclara au soldat.

-Très bien, vous avez bien fait de m'avertir. J'y vais immédiatement. Merci soldat...

Il le remercia d'un signe de tête et attendit qu'il aie refermé la porte de la pièce. Il se tourna de nouveau vers la petite fille qui n'avait rien dit depuis un petit instant.

-Je suis désolé princesse, mais je dois te quitter. Je dois aller rencontrer l'homme qui est en bas.

Darvek, montrant ainsi son soi-disant côté affectueux, attira Maya contre lui et l'étreint une dernière fois avant de quitter le sanctuaire.

-Dis moi quelque chose avant de partir...insista-t-il.

-La première est : Un jour, tu trouveras. La deuxième : Un jour, tu sauras. Saches cependant, guerrier, que quand tu sauras, la fin de tes jours approchera. Voici mon conseil : Ne cherches pas à savoir. Ne cherches à trouver. Et ma mise en garde : Ne parles de tout ceci à personne. Pas même à l'homme à qui tu dois fidelité et respect. À personne. Finit-elle dans un souffle.

Darvek resta soudainement surpris de ces paroles. Que voulaient-elles dire?? De quoi la jeune Maya parlait-elle?? Avait-il devant lui une envoyée de la déesse? La jeune fille se défit lentement de l'étreinte du commandant et sortit lentement de la pièce. Il la regarda encore une dernière fois, puis... elle disparut.

* Aurevoir princesse ... * dit-il.... avec un pincement au coeur.

Elle lui manquait déjà, cette petite demoiselle qui avait quelque chose de si particulier... si à elle, qu'elle avait réussi à transformer Darvek en quelqu'un d'autre. Mais il n'allait probablement la revoir que dans très longtemps, puisqu'il devait repartir en patrouille, cependant... il devait aller rencontrer le jeune homme qui l'attendait...

* AAAh non... Keana !! * se dit-il en se frappant le front.

Il se releva et puis parti en direction du palais... là où le jeune homme l'attendait.

( suite au palais )