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| Sigismond Valentin [OK] | |
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Valentin Invité
| Sujet: Sigismond Valentin [OK] Sam 4 Mar - 15:38 | |
| Indications personnelles
Nom : Valentin
Prénom : Sigismond
Surnom : Val, bien qu'une version réduite de son nom de famille, est presque devenu son nom officiel depuis qu'il a commencé à s'introduire ainsi. Pas que son nom lui déplaisait, au contraire, mais il commençait à trouver étrange les ricanements étouffés et les regards de pitié qu'il recevait à chaque fois qu'il se nommait, raison pour laquelle il décida de tout simplement l'abandonner. L'inventeur est même presque certain que seule Mel à ce jour connaît son prénom d'origine, et totalement certain qu'elle est bel et bien la seule à avoir la sournoiserie de l'appeler ainsi. Oh, comme il aimerait courir aussi vite qu'elle lorsqu'elle se met à l'appeler 'Sigi'...
Âge : 24 ans (*)
Continent & Royaume : Continent de la Terre, à Mynorie
Race : Humain
Tendance : Valentin répugne la magie sous toutes ses coutures. Il clame à qui veut bien l'entendre que la magie n'est qu'un raccourci temporaire à ce que la science peu faire et qu'un jour, si elle disparaît, on regrettera de ne pas avoir fait plus confiance aux inventeurs 'révolutionnaires' comme il espère devenir. Plusieurs prétendent qu'il est simplement frustré de n'avoir que deux pouvoirs inutiles et aucuns talents dans ce domaine. L'inventeur ne regarde pas mieux la magie élémentaire par principe, d'ailleurs.
Indications corporelles
Apparence Physique : Plusieurs choses ce remarque chez le jeune homme lorsqu'on l'aperçoit pour la première fois. La chose la plus évidente est très certainement le fait qu'il soit grand. Très grand. Trop grand. En fait, par la faute d'une des maladies physiques dont il est atteint, il grandit tard, mais la nature étant cruelle comme elle est, se rendit tout de même jusqu'a une très respectable taille. Pour donner une idée, il n'a pas encore rencontré cadre de porte sur lequel il ne peut pas se cogner, ni même de personne qu'il ne dépasse pas au moins de trois ou quatre pouces. Mais sa grandeur maladive ne le laissa pas indemne non plus. Il devint, pour ainsi dire, d'une maigreur quasi-squelettique, aidé par le fait qu'il mangeait déjà très peu, par négligence, et de ses muscles naturellement sous-développé. Oui, squelettique est un bon adjectif pour décrire le jeune homme à la peau blême du manque de sommeils, aux cernes mises en valeurs par de longues journées passées cloîtré dans sa tour et par le sommeil oublié. En revanche, on ne doute pas une seconde de l'agilité de ses longs doigts fins qui, semblerait-il, est la seule partie de son corps qui demeura intouchée par sa croissance problématique. D'un niveau plus général, ses cheveux, d'un naturel brun-noir, son habituellement coupés d'une égalité douteuse par sa cousine à ses épaules. Habituellement, car depuis quelques temps, il réussi grâce à son pouvoir à leur faire gagner quelques centimètres lorsque l'envie lui prend. Ses yeux verts forêt plutôt banals sont pour la plupart du temps cachés derrière une énorme paire d lunettes -ou ses 'fond de bouteilles de vins géantes', comme le dirait Mel. En résumé, à première vue, Val ressemble davantage à un revenant souriant enfermé pendant des siècles loin de la civilisation qu'a autre chose. Il faut dire qu'avec toutes ces années passées aux études loin de tous, c'est presque la vérité. Sa lointaine cousine prétend que le grand air ne peu que lui faire du bien.
Signe Particulier : Aucun, à moins bien sur qu'être pire qu'une taupe lorsqu'il s'agit de myopie compte. En revanche, il aurait le regard très aiguisé lorsqu'il s'agirait de vision proche.
Indications mentales
Caractère : Valentin pourrait sans nul doute être qualifié de 'singulier' ou d'excentrique' lorsqu'il s'agit de son caractère. Tout d'abord, il est important de savoir qu'il n'est pas devenu inventeur en comptant les pommiers dans sa cours. Son intellect et sa créativité sont des traits très impressionnants chez lui, tout comme sa logique implacable. Seulement, un point important le diffère des hommes de son âge. Il est naïf. Très naïf. Trop naïf. Sa naïveté est même presque enfantine, tant la limite de ce qu'on peut lui faire croire est haute. Il est plutôt amusant de voir comment un homme qui a compris quasiment tout les principe de mathématique peu s'effrayer réellement en entendant sa jeune cousine lui raconter une légende supposément vraie à 100%. Il est aussi d'une grande curiosité lorsqu'il s'agit d'en apprendre sur des sujets tels la faune et la flore, ou même encore sur des sujets que tous qualifieraient d'ennuyants. En revanche il préférera ne jamais se mêler de ce qui ne le regarde pas, chose difficile lorsqu'on est, comme lui, toujours au mauvais endroit au mauvais moment. Il ne cherche pas les ennuis, mais les ennuis lui tombe le plus souvent dessus. Sa malchance et sa maladresse sont presque à en rire. En général, il est un homme doux et souriant, fasciné par tout et par rien, on ne le voit que très rarement perdre sa bonne humeur. Bien qu'il ai tendance à faire confiance beaucoup trop vite, il assume ses erreurs, peut-être en partie pour ne pas s'attirer des ennuis. Il est un piètre acteur et incapable de mentir de façon convenable, tant ses émotions et pensées se lisent dans ses traits. Finalement, l'inventeur est, contrairement à l'idée général que l'on se fait d'un scientifique, très sujet aux exagérations et parle tant qu'on se demande parfois si il reprend son souffle entre chacun de ses longs mots.
Ce que votre personnage aime : Val aime apprendre, inventer, découvrir, enseigner mais par-dessus tout, il aime le calme et la tranquillité de sa tour où, par choix, il aurait bien resté toute sa vie à lire et à créer. Il aime s'asseoir en avant d'un bon feu, un livre sur les genoux, alors que dehors la plus battante fait rage, tout ça pour se sentir en sécurité. Il aime aussi coiffer, aussi étrange cela puisse-t-il paraître.
Ce que votre personnage déteste : L'inventeur n'aime pas, en revanche, plusieurs choses. La saleté des campagnes l'irrite presque autant que l'eau et le feu qui sont, selon lui, les pires ennemis des livres. Il n'aime pas ce qui est trop terne ou neutre lorsqu'il s'agit de nourriture, et déteste tout simplement lorsqu'on se joue de sa naïveté.
Ses plus grandes peurs : Étant peureux de nature, l'inventeur craint nombreuses choses. Il craint les insectes- autant les petits que les gros, il craint ce qu'il ne connaît pas, il s'effraie devant les contes abracadabrants de sa cousine et ne s'approche jamais trop près d'un trou, par peur d'y tomber. Malgré sa taille lui donnant plus d'une tête au dessus de la moyenne des hommes (qui n'est pas six pied et des poussières je précise **), sa plus grande phobie est celle des foules. (Agoraphobie)
Rêve(s)/Espoir(s) : Quel rêve qualifie mieux sa vie d'inventeur que celui d'inventer? Il se languit à l'idée du jour où il créera quelque chose de réellement révolutionnaire, du jours où le peuple s'ouvrira les yeux sur les bienfaits de l'inventions. Il ne reste plus, selon lui, qu'a trouver une idée d'invention, petit détail...
Talents/Pouvoirs/Capacités : Ses talents ne sont pas vraiment des choses que l'ont remarque à première vue, malheureusement pour lui. Il est si faible qu'il se ferrait jeter au tapis par une fillette de dix ans, il ne manie aucuns armes, n'a aucuns talents dans les piètres pouvoirs magiques dont il est doté. Les dit pouvoirs étant celui d'attirer la conscience des dormeurs les plus proches dans ses rêves la nuit, et bien sur, son contrôle des cheveux. Oui, vous avez bien lut, Val contrôle les cheveux. Avec une maladresse et incompétence hilarante, bien sur, mais avec les années de pratiques, il est certain qu'il pourra arrêter de faire pousser des cheveux roux frisés sur la tête d'un chauve alors que celui-ci avait demander des cheveux noirs et plats. Comme pour rire de lui, la nature l'a également doté du talent de la coiffure. Bref, cas à suivre. Il est également très doué aux 'captivants' combats d'échec et autres jeux de société. Le mots clé le décrivant étant bien sur 'pathétique'.
Indications Historiques
Histoire : Il y a plusieurs façon de raconter l'histoire d'une personne, vous dirait un vieux conteur que je connais bien, pas toutes bonnes certes, mais belles et bien différentes. La première est celle selon laquelle seuls les exploits sont relatés, faits peu intéressants laissés dans l'ombre, au gré de l'imagination du lecteur ou de l'auditeur. Cette forme est bien sure celle de la légende, que nous ne pourrons malheureusement pas usé aujourd'hui pour la simple et bonne raison que pour faire parti d'une légende, il faut tout d'abord être mort, ce que notre héros provisoire n'est visiblement pas, mais aussi avoir fait de grandes choses, ce qu'une fois de plus notre héros n'a visiblement pas fait. La deuxième façon est celle des faits, histoire selon laquelle chaque évènements est placés date après date, ordre chronologique compris, relatant avec précision la vie et les moments de l'existence d'une personne, sans opinion de la part du conteur ou encore de l'écrivain. Nous appellerons ici cette manière le récit à la "Livre d'Histoire d'École", cette méthode étant, sois dit en passant, plutôt déconseillée, nous la laisserons de coté. La dernière que nous mentionnerons le plus ici est très certainement la moins connues, en plus d'être la moins utilisée. Il s'agit presque du contraire des légendes car cette fois, ce sont les faits et évènements importants qui sont laissés de coté ou peu metionnés et les moments banaux qui sont mis en vedette. Nous avons le regret, chers lecteurs, de vous annoncer que cette méthode, surnommée affectueusement la "Méthode Sigismond", sera celle avec laquelle nous relateront cette histoire pour plusieurs raisons. La première est que si notre 'héros' Sigismond Valentin n'est pas le pionner de cette méthode de lunatique, ses histoires- et son histoire- en sont très certainement le meilleur exemple. La deuxième raison étant bien sur que sa vie à très, très peu de choses suscitant l'intérêt. Mais n'ayez craintes, il est toujours le temps de fermer ce livre et de retourner à vos occupations si l'envie vous en prend, ou encore même de le brûler si vous commencer à vous énerver de cette interminable introduction… Mais pour les plus courageux, nous préciserons que pour na pas gaspiller l'encre, nous avons également inclus ici de grandes parties de la vie du cadet de l'inventeur, Barthélemy Valentin II, ici affectueusement surnommé Deuxième. Voici donc son –ou plutôt leur- histoire…
[À suivre]
Dernière édition par le Mar 7 Mar - 17:46, édité 1 fois |
| | | Valentin Invité
| Sujet: Re: Sigismond Valentin [OK] Lun 6 Mar - 22:39 | |
| [Suite]
Ce fut par une agréable journée d'automne au manoir Madelgarde que tout commença. Comme nous l'avons préciser plus haut, selon la personne, la façon de raconter l'histoire peu grandement varier. Mais il est rare, toute personne qui soit, que l'histoire ne commence pas par une naissance (En cas contraire, nous précisons, il n'y aurait pas d'histoire). C'est donc par ce même après-midi que naquit Sigismond Valentin, quatrième enfant de Debora Zacharias et Barthélemy Valentin Premier, riche habitant de Mynorie. L'évènements ne fut pas accueillit à grande envergure, ni a grand enthousiasme, car l'enfant, en plus de ne pas avoir été prévu, vu le jour pendant l'un des nombreux voyages du père et des deux aînés, laissant à la mère et la sœur le soin du s'occuper du nouveau-né. Debora était une calme et silencieuse femme de la contrée, marié par le père principalement pour la richesse de ses parents, mais aussi pour son impressionnante aptitude à ne jamais se mêler de ce qui ne la regarde pas, chose recherchée par le marchand à l'enrichissement plus que louche. Elle était en prime une très bonne mère et une épouse modèle, grâce à ses grands talents dans plusieurs arts ménager et à son comportement inébranlable devant l'attitude pour la plupart du temps ingrate de ses enfants et de son mari. Fatima Valentin, en revanche, n'était pas la sœur aînée que tous rêvent d'avoir. Sournoise, peste, rancunière, amorale et autres beaux adjectifs de ce style la décrivaient à merveille, tout comme la plupart des autres habitants de l'habitation soit le père, Gontrand l'aîné, Timothée le second, Malice et Caprice les cousines (Très bien nommées d'ailleurs), Martel le cousin (Ennui mortel lui conviendrait mieux), Turlin l'oncle, Yinji la tante et bien sur, le pire de tous, Eroné le parrain le plus détestable sur lequel un pauvre enfant innocent tel que Val peux tomber. Bref, puisque la plupart passaient le plus clair de leur temps en voyage 'd'affaire' ou dans les bars, la mère et la marraine, Irma l'ancienne institutrice, héritèrent donc de la tâche de s'occuper du rejeton. Malgré ses nombreuses déceptions dans le domaine du caractère de ses héritiers, Debora usa tout de même de toute la douceur et de la tendresse d'une mère sur son enfant tandis qu'Irma lui assurait qu'elle s'occuperait de son éducation à venir, plus par devoir envers sa seule amie que par espoir de trouver une once de talent dans son enfant. Elles furent tout de même surprise de se rendre compte que Val, bien que de loin le plus chétif de tous, se révéla être un gamin des plus doués dans l'art des lettres et des chiffres. Si la marraine demeura de glace, usée par le temps et son mariage forcé, la mère sentit en elle naître une nouvelle source d'espoir; ce futur homme était le seul de toutes ses progénitures à avoir hérité de ses traits et de son caractère, et bien que son intelligence surprenante ne soit pas d'elle, il devint bien vite son préféré. Le seul problème, c'est qu'hériter d'une mère à la santé sensible, à la naïveté désarmante et au silence oppressant n'est pas particulièrement une bonne chose lorsque le père n'est qu'un perfide revendeur de camelotes à grand succès, contre toute attente. Il fut donc totalement négligé par son paternel qui, sans lui mener la vie dure autrement, ne lui accorda aucune attention. Tout ce qu'il voulait, il l'avait; après tout, la famille avait les moyens. C'est donc dans un confort bien assuré que le petit bout de génie grandit.
À un an et demi, il parlait mieux que son père. À trois ans, les additions et soustraction n'avaient plus aucuns secret pour lui. Il était visiblement doté d'une compréhension étonnante. Si sa mémoire à court terme était plutôt médiocre, on réussissait tout de même à lui faire mémoriser de grandes choses à force de temps. Et du temps, l'institutrice en avait. Son mari était un monopolisateur d'argent et d'espace qui s'occupait aussi bien d'elle que de ses vieux vêtements sales. Perdre une partie de carte devait l'attristé plus que si elle venait à se faire assassiner. Vérité était, elle commençait à se lasser de sa vie d'esclave aux seules occupations celle de l'éducation et du bien-être d'un minuscule marmot qui ne semblait pas vouloir grandir. Auxiliairement, lorsque Val atteint ses deux années, il lui fut accordé un petit frère qui, par manque pur d'imagination, fut nommé comme son père. Mais ô combien fut-il différent. De tous les enfants, il fut le plus gâté par la nature; la beauté, la bonne foi et le calme souverain de sa mère, le charisme, l'intelligence et la santé à toute épreuve de son père. Menait de naître le petit préféré du paternel. Si Val fut snobé, moqué et bousculé par ses aînés les rares fois ou il les voyait, ceux-ci ne purent rien faire contre la vivacité d'esprit précoce du petit dernier. Si il n'eu pas le génie scolaire du futur inventeur, il hérita tout de même de la facilité de compréhension tout comme lui. Cela le mena sur de respectables chemins, mais le condamna aussi, sans que personne ne le sache, car sa curiosité sans faille le mena sur la voie du détective…
L'histoire de Deuxième est, avouons le, beaucoup plus intéressante que celle de Val. Peut-être est-ce son charisme qui fit craquer la gente féminine, occasionnant plusieurs conflits amoureux, ou peut-être est-ce tout simplement les mystères qu'il résolut, ou ceux sur lesquels il se lança. Oui, Deuxième avait tout du héros de légende en devenir. Une seule chose lui manquait en revanche; la chance. Deuxième n'était, malheureusement, jamais là au bon moment. Chaque fois que quelque chose d'étrange se passait près de lui, il était certain que l'événement lui passerait sous le nez et qu'après, en entendant parler de ceux-ci, il maudirait sa capacité à 'éviter le pétrin'. Il trouva tout de même une réponse à son problème, et elle avait un nom: Sigismond. Effectivement, Val avait un talent plutôt remarquable; être toujours au mauvais endroit au mauvais moment. Jusqu'alors, ayant été élevé avec ses aînés par son père, il n'avait pas eu l'occasion de parler au naïf petit érudit qui restait seul avec les femmes alors que le reste des hommes, la 'bonne graine' selon son paternel, s'occupait des 'vraies affaires'. Mais son observation lui avait permis de remarquer qu'a chaque fois qu'un incident se passait au village, lorsqu'il en parlait, sa mère hochait la tête et murmurait quelque chose du style: "Oui, nous y étions, je n'ai rien pus voir mais Sigismond était très proche. Ô pauvre petit, j'espère qu'il n'a pas été trop traumatisé..". Habituellement, les évènements n'étaient pas très graves; vols, bagarres et accidents quelconques. Mais décidé à commencé quelque part, le cadet entreprit donc de faire plus ample connaissance avec Val qui se révéla au fil des temps son plus grand ami. Il jugea toujours que sa pureté de cœur, considérée faiblesse par leur père, était sa plus grande vertu. Toujours est-il qu'il le convainc, à force de persuasions, de sortir plus souvent de chez eux, se disant que si avec ses rares visites au marché il réussissait à tomber sur des scènes l'intéressant, le plus souvent il irait, plus élevées serraient les chances d'apercevoir quelque chose d'intéressant. Il était très loin de se douter du succès de son entreprise…
Le premier jours, rien ne se passa. Plutôt optimiste, Deuxième continua de traîner son frère sans relâche, à chaque pause de ses cours dans l'espoir que quelque chose se passe. Au bout d'une semaine à ne plus quitter celui-ci des yeux, il se lassa et un beau jour au marché, lui demanda poliment de partir de son coté tandis qu'il se promènerait dans ses magasins préféré. Une heure à peine plus tard, une femme faisait irruption dans l'échoppe de foulard, hystérique. De ses gesticulations il comprit que quelque chose de grave venait de se produire dans le cartier des fruits et légumes. Hors, c'était justement l'endroit où il avait vu Val se diriger. Le cœur battant, il se fraya un chemin dans la foule dense qui s'agglutinait sur un cercle précis. En apercevant enfin presque en son centre son frère, il lui fit signe de lui laisser une place dans laquelle il se glissa. Le spectacle était troublant. Deux hommes armés se tenaient au milieu. La seule différence entre ces deux colosses était que l'un d'eux, habillée de façon plus rustre, protégeait le riche épicier, épée sanglante à la main tandis que l'autre, visiblement l'assaillant, gisait à terre, sans vie, long ruisseau vermeille traversant son gilet de soie de la nuque jusqu'à la côte droite. Le premier meurtre en dix ans venait d'avoir lieu, et la foule était terrorisé. Tant qu'a Val, il semblait presque hypnotisé par ce spectacle macabre, première et malheureusement pas dernière rencontre avec la mort qu'il ferrait. L'assaillit clama avec détresse marqué que l'homme l'avait attaqué par pure folie, juste après qu'il ait annoncé qu'il n'y avait plus de rabais sur ses melons. Deuxième était déçu; il n'y avait pas de mystère à élucider, la foule se dispersait déjà, les gendarmes sur les lieux emportait le corps identifié comme celui d'un fou, c'est alors que le détective remarqua la mine contrarié de son frère. Il était sur le point de le rassurer en disant que ce genre de chose ne leur arrivera jamais lorsque celui-ci prit la parole. "Mais… C'est faux!" murmura-t-il pour lui-même. "Ce n'est pas ce que l'homme a dit pourtant…". Curiosité piquée à vif, Deuxième lui demanda d'élaborer. "C'est un de nos lointains cousins…" expliqua-t-il en désignant le marchand. "Je l'ai vu discuter avec père un jour, je ne me souviens plus trop quand… C'était avant le mariage de la vieille servante je crois, et puis-". Mais impatient, Deuxième le coupa, lui demandant de revenir au problème principal. "Enfin bon." Poursuivit Val. "J'étais venu pour lui dire bonjour, à l'arrière-boutique, mais lorsque j'ai vu qu'il était occupé avec cet homme." Il désigna d'un geste la couverture sous laquelle reposait le cadavre. "Je me suis résolut à attendre dans un coin. Ils ne m'ont pas vus je crois, parce que j'ai attendu très longtemps… Ils parlaient de quelque chose d'étrange, ils parlaient de 'marchandise' et de 'payement attendus'. Je me suis éloigné de l'arrière-boutique pour mieux voir les melons lorsque l'épicier est sorti, un peu en colère je crois, il était tout rouge… Lorsque le deuxième homme est sorti, il était encore plus rouge, et il avait sorti son épée. C'est alors que l'autre homme…" Il motionna le colosse toujours en vie. "Est arrivé. Ils se sont battus! C'était horrible! J'ai tout vu! C'est pire que décris dans les livres d'histoires…" Val semblait impressionné, mais pas particulièrement traumatisé à en juger par son expression, au grand soulagement de son frère. "Et puis je suis tombé sur la marche en voulant reculer… Et le client fou m'a trébuché dessus. Mais j'ai fait comme tu m'as dit; j'ai roulé. Tu m'as sauvé la vie avec tes conseils tu sais, parce que l'épée elle a transpercée juste à l'endroit où j'étais!". En disant cela, seule la gratitude se lisait dans les pupilles déjà myopes de l'aînée. Aucune traces de terreur ne subsistait d'avoir échapper de proche à la mort. Peut-être était-ce là un cadeau des dieux en prévisions de ce qui allait advenir…
[À suivre] |
| | | Valentin Invité
| Sujet: Re: Sigismond Valentin [OK] Lun 6 Mar - 22:40 | |
| [Suite]
Car Deuxième était bien décidé à continuer. Il s'était culpabiliser un peu par la suite d'avoir quitter son frère lors d'une situation de danger, mais le sentiment fut bien vite remplacer par l'idée de résoudre une enquête. Ce fut un jeu d'enfant, même pour un enfant de quatorze ans comme lui. Il était brillant, il n'eu aucunes difficulté à remonter jusqu'aux sources de l'assassin qu'on avait jugé peu importantes. L'homme était au service d'une organisation de trafic de divers objets qui avait d'ailleurs, selon ses souvenirs, fait affaire avec son père dans le passer se décrivant à lui comme une 'honnête firme de produits à bas prix'. Si ses doutes étaient exact, son père devait même le savoir avant de faire affaire avec eux, mais par solidarité, il ne le mentionna pas lorsqu'il fit le rapport de son enquête au autorité de la ville. On l'acclama en héros, car plusieurs des produits de l'organisations se révélèrent volés et furent rendus à leur propriétaires. Il voulut mentionner Val lorsqu'il fut acclament, mais au dernier moment se ravisa. Pourquoi acclamer quelqu'un qui n'avait fait que le mette sur la piste après tout? Ce n'était que le début de l'affaire, et le talent de son frère restait toujours à prouver. Auxiliairement, celui-ci ayant atteint ses seize ans, quitta sa taille jusqu'alors minuscule pour commencer sa poussée de croissance qui, en plus d'être très rapide, devait également être très longue. Mais une chose à la fois…
Deuxième continua d'amener son frère au marché presque tout les jours, mais il dut interrompre ces visites quotidiennes lorsqu'un jour on vint l'avertir de la fugue de l'institutrice qui, finalement écœurée de sa vie, s'était enfuit avec un vieux loup de mer qu'elle avait rencontré en allant chercher son mari ivre dans un bar. Il se fit naturellement un plaisir de mener l'enquête qui était d'ailleurs destinée à l'échec. Toujours est-il que pendant ce temps, Val se remit aux études dans les livres. La perte de son enseignante l'accabla plus moralement que mentalement, car il y avait de cela quelques années déjà qu'elle ne lui était plus d'aucune aide. Depuis un an, il grandissait sans arrêt, ses traits s'étirant, ses bras déjà minces devenant squelettique, mais peu préoccupé par l'apparence il ne s'en soucia peu. Après tout, la seul utilité qu'il n'avait jamais trouvé d'être beau était pour plaire à ses éventuelles futures épouses, et ayant eu des résultats plutôt accablants avec sa première et seule petite amie, il s'était presque résolut à une 'vie de prêtre'. Peut-être qu'a sa place, quelqu'un d'autre aurait été jaloux du succès fulgurant de son cadet avec les filles, mais on parle ici de Val après tout. Val le pur, Val le malchanceux… C'est d'ailleurs ce qui fit en sorte que, même son frère parti, il réussi à se mettre sur la piste d'une histoire douteuse qui allait changer le cours de l'histoire de sa famille. Peu après leur première incident avec l'épicier, ils avaient apprit à la première lune du début de l'année (***) que la 'victime' avait été assassinée peu après son emprisonnement. Cela ne l'avait pas marqué car, leur famille bien que nombreuse, il rencontrait rarement ses lointains cousins pour autre chose que les affaires. Ce fut une des servante dans la quarantaine, reconnue dans le manoir pour être au courrant de tout qui relata de nouveau l'événement la première. En fait, c'était alors que Val lisait un livre particulièrement ennuyant à la bibliothèque qu'elle accosta près de lui le bibliothécaire temporaire, chargé de ranger les livres. Elle commença d'abord par les éternels louanges de ses enfants qui 'avaient grandis si vite' et qui menait maintenant une vie bien plus utile que leur vielle mère. Val avait toujours eu ce goût étrange d'aimer presque toutes les histoires, particulièrement celles qu'autres trouverait ennuyantes sur la vie quotidienne par exemple, c'est pourquoi il fut tout de suite tenté d'écouter la conversation, sourire amusé au visage. Il avait déjà rencontré la fille de la servante effectivement; elle avait été sa seule petite amie. Il ressentie une pointe de remords en entendant qu'elle s'était mariée à une homme beaucoup plus vieux qu'elle contre son gré. Bien sur, nous parlons ici de Val. Jamais l'idée d'être content parce que la chipie qui la sèchement laissé à eu ce qu'elle méritait ne lui a traversé l'esprit. La conversation vira ensuite sur Deuxième, puis sur l'attentat du lointain cousin, puis une phrase en particulier attira son attention. "Cette famille n'est décidément pas chanceuse. Tu as entendu parler de ce qui s'est passé dans la ville avoisinante à d'autre de leurs cousins?" demanda-t-elle au vieil homme qui semblait subitement intéressé. "Ah oui, le feu." Fit-il après un moment d'hésitation. "Oui! N'est-ce pas horrible? Trois personnes décédée dans ce feu!" Le majordome, pour toute réponse, haussa les épaules. "Bah, je vois pas ce qu'il y a de bien malchanceux la d'ans m'dame. Les morts, dans ce coin du pays, ça arrive tout le temps, pas juste à cette famille…" La servante parut soudainement inquiète et, se penchant comme pour dire un secret, dit d'une voix pourtant parfaitement audible. "Vous ne comprenez pas. Ils étaient vingt-sept au début. Ils sont tous morts les uns après les autres…!" Lorsqu'il relata ces faits à son frère, à son retour, celui-ci fut immédiatement intéressé. Il trouva, bien entendu, la cause du feu qui n'était en fait rien d'autre qu'une négligence de la part de la famille. Val ne chercha pas à comprendre plus loin, mais remarqua tout de même distraitement que la première lune du changement d'année venait d'accueillir un nouveau membre de sa famille au paradis…
Les choses n'étaient destinées qu'a s'empirer. Le reste de l'histoire déboula très vite. Presque trop vite. Plusieurs petits mystère sans importances furent régler entre-temps, plusieurs petites inventions sans importance crées par l'inventeur en devenir, mais toujours est-il que la veille de la première lune du changement d'année, Val avait un mauvais pressentiment. Un très mauvais pressentiment même. Quelque chose allait se produire, il en était certain. Il se vit correct lorsque à une heure du matin, un homme, le teint livide, vint sonner à leur porte. C'était un cocher et, à en juger par son attitude, il n'était pas bien heureux de se retrouver ici. Il accepta de prendre un verre, laissé sur la table pour les célébrations qui s'achevait et, après quelques minutes de silence, parla enfin. On avait retrouvé le parrain de Val, porté disparu sans grand étonnement deux jours plus tôt. Il n'était effectivement pas rare qu'il passait la nuit à se saouler au bar pour n'en revenir que bien après. Cette fois, on l'avait retrouvé dans un endroit plutôt incommodant: Le lac. En ivresse, il s'était lui-même donner la mort en sautant dans l'eau glacé, la mémoire visiblement embuée car il n'avait pas sembler se rappeler qu'il ne savait pas nager. Depuis ce jours, le cadet de l'inventeur clama un complot contre leur famille. Il n'était pourtant pas si loin de la vérité… Comme vous l'avez très certainement remarqué, l'histoire concerne plus Deuxième que Val. Tout cela pour la simple et bonne raison que les réactions du jeune homme aux événements étaient si semblables qu'ils en devenaient répétitifs. Il est pourtant temps, chers lecteurs, de passer en mode faits pour le reste du récit qui centrera cette fois sur notre héros, dans les périodes les plus difficiles de sa vie. Sans cœur, direz-vous, de ne parler que des personnages vivant de dures épreuves, mais c'est là la base même d'un récit…
Un an plus tard, ce fut au tours des deux frères aînés. Pris dans une bataille de bar, l'un d'eu fut tué sur le coup et le deuxième mourut de ses blessures peu après. Le père prit alors les pleines commandes des affaires familiales avant de mourir à son tout un an après de vieillesse. Val fut étrangement le seul à s'étonner que les morts surgissent toutes le même jours, son frère si pris dans la logique qu'il ne voyait rien d'étrange à la mort naturelle. Réalité était que l'inventeur n'avait jamais bien connu aucun des défunts, ceux-ci toujours en voyages ou tout simplement disparus, mais par principe, il s'accabla de leur mort, et les nota toutes afin de se rappeler. C'est justement grâce à cela qu'il remarqua l'étrange coïncidence qui les liaient. Mais Val étant Val, il omis ce détail à son frère et continua tout simplement ses études. Celles-ci avançaient d'ailleurs très bien. Il avait d'hors et déjà réussi quelques petits réussites modestes et, bien que sa mère lui dise toujours qu'avec les mains agiles qu'il avait, il aurait du devenir coiffeur, il demeura sur sa voie de l'invention. En fait, la blague au sujet de la coiffure ne sortait pas du vide. Un jour, alors qu'il devait avoir trois ans, la vieille institutrice c'était mise en tête de lui raconter une histoire tard le soir. Assis dans un fauteuil, Val sur les épaules, le conte avait duré si longtemps que celui-ci avait finit par s'endormir dans cette position. Ne souhaitant pas le réveiller, l'institutrice avait donc décidé d'elle aussi dormir ainsi. Grave erreur. Car, le lendemain, elle avait retrouvé à la place même sur laquelle Val avait appuyé ses mains sur sa tête, avant de s'endormir, deux longues mèches blanches et frisés. Chose assez remarquable lorsque le reste des cheveux de la femme étaient noirs plats tournant sur le grisâtre… C'est ce jour qu'on découvrit le seul pouvoir connu de Val; le contrôle des cheveux. Depuis ce temps, il était courrant de lui rappeler cette habilité quelque peu inutile à chaque fois qu'il se mettait à pester sur la magie.
Pour poursuivre l'histoire par des faits plutôt 'banaux', la sœur aînée perdit elle aussi la vie dans un accident de calèche deux ans plus tard, le cousin disparut lors d'un voyage à l'étranger sur le continent du feu, les deux cousines se firent tuées dans une auberge dans laquelle on découvrit plus tard, elles avaient voler des bijoux, mais une fois de plus, Val ne s'en accabla que par principe. En effet, après toutes ces années à assister aux première loges à des morts suspecte, il s'était presque accoutumer à ce genre d'annonces. Son cadet par contre s'arrachait presque les cheveux à essayer de découvrir le coupable. Il avait désormais une fiancée avec qui il comptait se marier. Mais il n'en eu pas l'occasion. Val était habitué à voir des proches partir certes mais jusqu'à date ce n'était pas à proprement dire des 'proches' puisqu'il les connaissait soit très peu, soit pas du tout. L'annonce de la mort de son frère l'attaqua pire que la peste. Son frère avait toujours été trop curieux pour son bien-être, mais ses intentions avaient toujours été bonnes. Lorsqu'il apprit qu'il avait été mis à mort par une bande de voleur qu'il avait autrefois confronter, Val sentit toute la faute tomber sur ses épaule. C'était par sa faute qu'il avait confronter ce groupe de voleur. Depuis ce jour, bien que son comportement souriant n'eu pas changer, on remarque un vide évident dans ses yeux. Même sa mère ne peut plus rien pour lui redonner de quoi le remplir, plus à été brisé en lui que ce qui peut être réparer. L'héritage laissé par sa famille baisse de plus en plus, l'inventeur s'enferme seul dans sa tour heures après heures, sort peu, évite le marché, mange peu, sa santé se dégrade tout comme celle de sa mère qui devient presque critique. Un an plus tard, elle succombe de sa maladie. Cette fois, Val est bel et bien laissé seul. Ses pensées ne change pas face à tout cela, mais son attitude se modifie presque sans son accord. Bientôt, il se retrouve enfermé dans sa tour de laquelle il ne sort plus. Il a trouvé sa raison de vivre; inventer. Inventer pour révolutionner le monde, et peut-être alors aura-t-il de quoi remplir le vide qui l'habite toujours. Un vide invisible bien sur, seulement remarquable lorsque de douloureux souvenirs son évoqués. Val est Val, il ne peut pas s'accabler bien longtemps sur quelque chose. Mais le passé n'est pas bien beau et l'avenir est incertain, ce pourquoi il choisit de se concentrer uniquement sur le présent.
Il était encore loin de se douter, le jours où il entendit pour la première fois du mois cogner à sa porte, que le futur ne ferrait que s'embrouiller. Il se douta par contre, en ouvrant la porte pour découvrir au pied de sa porte une fillette à l'état lamentable, que le futur serrait loin de ce qu'il avait imaginer. Ses doutes se clarifièrent lorsqu'il apprit qu'il devait désormais prendre la garde de cette lointaines cousines, orpheline tout comme lui, Melvinie Madelgarde. Ses doutes se confirmèrent lorsqu'elle clama qu'il avait la mission de l'aider à combattre une malédiction prédisant sa mort dans un an.
Encore là, il était très, très loin de se douter…
Fonction : Inventeur
Inventaire
Armes : Aucune. La plus lourde chose que ses maigres bras soulève est un atlas. Lui demander de porter un épée est comme demander à une sirène d'aller faire trempette dans un volcan.
Bijoux : Aucun. À part bien sur si les lunettes son considérés décorative. À voir celles de Valentin, j'espère bien que non.
Vêtements : Comme pour tenter de cacher sa maigreur, ou par simple tolérance de la chaleur, Val porte toujours de nombreuses épaisseurs de vêtements pour la plupart sans dessus dessous lorsqu'il est seul dans sa tour. Peut-être pour éviter de faire honte à sa cousine sortit-il ses habits plus raisonnables pour partir en voyage. D'abord, de large pantalons de laine beige disparaissant à la base dans sa paire de souliers montés à la moitié du tibias, puis un chandail du même matériel qui lui disparaît complètement sous son par-dessus, une veste à longue manches bleue nuit se terminant de l'avant un peu plus haut qu'a la mi-cuisse et un peu plus bas que les genoux de l'arrière. Pour égayer le tout, un foulard rouge vin tient lui de cravates, terminant sa course dans le col bas du vêtement. Il va sans dire que le tout est du sur-mesure, car il serrait bien pénible pour l'inventeur de trouver chaussure à son pied, littéralement.
Autres : Fidel à son métier, Val traîne toujours la quasi-totalité de ses instruments lorsqu'il part en voyage, le tout stocké dans une valise relativement lourde qu'il attache à sa montre. En revanche, ses inventions les plus utiles gardées sur lui, par précaution. Mais bon, qui voudrait de lunettes/loupe à l'allure de fonds de bouteilles de vins?
* – J'ai dut augmenter l'âge pour les besoins de l'histoire Mel…
** – Bien que la plupart des hommes du forums sont 'au dessus de la moyenne', je précise que la moyenne québécoise (je crois) est 5 pieds 9. J'ai donc considéré comme exemple mon père qui fait cette moyenne et le cadre de porte qui fait environ 6 pieds 6 (encore une fois approximative). Regardez le cadre de porte, donnez y deux pouces de plus et vous avez Val. On parle ici d'une grandeur problématique, pas d'un joueur de basket je précise.
*** – Je ne sais pas comment marchent les calendriers dans ce monde alors bon… Première l'une de l'année, c'est la première pleine lune du changement d'année dans mon petit système personnel…
- Terminé! -
Enfin! J'ai crut que je n'en verrai jamais le bout. Et même à ça, je voulais décrire chacune des morts en détail… Je crois que vous n'avez rien manquer. ^^'' Oh, et petit mots aux rares personnes qui liront cette pres: Je vous admire. Dernier mot aux correcteurs : Bonne chance! O.o |
| | | Azilys
Nombre de messages : 235 Age : 34 Date d'inscription : 13/02/2006
| Sujet: Re: Sigismond Valentin [OK] Mar 7 Mar - 17:46 | |
| ^^ Présentation Approuvée !
+15 points pour la superbe présentation | |
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| Sujet: Re: Sigismond Valentin [OK] | |
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| | | | Sigismond Valentin [OK] | |
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