Au milieu de la forêt

Invité

Une ombre se déplaçait habilement entres les branches des arbres. Les quelques voyageurs qu'elle croisait sur son chemin n'avaient pas le temps de l'apercevoir... En y repensant, ils pourraient prétendre avoir vu un éclair noir filer... Ou une longue traîne... Mais en aucun cas ils n'auraient pu penser que c'était un humain. Un vulgaire humain qui ne faisait que se balader entre les arbres parce qu'elle n'avait rien d'autre à faire. Parce que, depuis plusieurs jours, elle s'ennuyait. La vie devenait tellement monotone qu'elle était à la limite du supportable. La vie... Existait-elle réellement ? Une question qui revenait souvent... Une question qui tourmentait l'esprit de l'humaine quand celui-ci était vide. Quand il n'était pas occupé à préparer un quelconque coup.
Lynn Hausbrandt... Enfin... Un nom qui n'avait guère d'importance en ce monde. Personne ne le connaissait hormis elle. Elle n'avait ni frère, ni soeur, ses deux parents étaient morts... Une famille, elle n'en avait pas. Mais ce n'était pas si terrible, tout le monde trouvait un moyen de s'en passer. Pour Lynn, sa famille n'était rien d'autre qu'une vieille chaussette que l'on ressort de temps en temps parce qu'on en a pas d'autres à se mettre, pour vous dire si elle y tenait et puis, de toute façon, pourquoi y penser ? Personne n'était là pour se vanter d'être dans son entourage.
Le monde tournait doucement, Lynn continuait sa vie... Ennuyante, elle tournait en rond dans sa chambre, elle traversait parfois la place du village, volant ci et là de la nourriture... Parfois, elle s'autorisait une petite excursion mais, rien de plus.

La forêt... Ah oui... Une idée qui lui avait soudainement traversé la tête, comme elle n'avait rien à faire... Les feuilles vertes qui viraient lentement au roux, bientôt, elles tomberaient des arbres pour tournoyer lentement dans le ciel avant de rejoindre la terre et de s'effriter avec le temps... Les gens les regarderaient au début mais ils finiraient par oublier leur aspect, leur beauté avant qu'elle ne se détache de l'arbre. Leur attention ne serait captée qu'un instant seulement avant qu'il ne retourne à leurs occupations, toutes plus ridicules les unes que les autres.
Mais Lynn n'en avait que faire des gens... A part s'ils lui donnaient quelque chose à faire... Un boulot, comme voler quelqu'un ou en tuer un autre. C'était ce qui l'amusait... Qui l'excitait. Pour elle, c'était ça la liberté. Vendre du poisson plus ou moins frais sur une place de village n'était vraiment pas enthousiasmant à ses yeux.

Un petit vent frais la fit frisonner, la sortant quelques instants de ses pensées, sombres ou pas. Elle observa les alentours, elle en avait fait du chemin. Son pantalon commençait à se déchirer et son haut avait déjà perdu ses manches qui étaient sensées recouvrir ses bras. Elle chercha un instant du regard les morceaux de tissu et les aperçut, pendouillant lamentablement, accrochés aux branches d'arbres qui se tenaient sur son chemin. Elle soupira mais ne retourna pas en arrière pour aller les récupérer. Cela satisferait certainement les gens plus pauvres qui allaient parfois dans ce bois dans l'espoir de trouver quelque chose.

Lynn décida de s'arrêter un moment. Elle avisa une grosse pierre et s'assit dessus, peut-être que quelqu'un passerait près d'elle et, comme personne ne faisait jamais attention, elle lui volerait le contenu de ses poches... En espérant qu'elle y trouve quelque chose d'intéressant.

Invité

Sadique pensée de vouloir tout tuer sur son passage. Depuis les derniers temps, la mort hantait la petite tête châtaine de cette vampire de feu. N'ayant rien à foutre de ce monde, elle l'aurait bien quitté de quelques manières, sauf que le petit problème était qu'elle était déjà morte. Un petit rire sans joie éclata brusquement dans cette forêt paisible et sans bruit. Haussant les épaules, elle pensait que le temps était venu d'accomplir les plans qu'elle préparait sans cesse. Les peids nus, le regard dans les vappes, elle était assise depuis belle lurette sur ce rocher dont la mousse venait qu'à devenir rousse par la sécheresse de l'automne. Toutes les senteurs de ce merveilleux bois n'égaspéraient que plus Nymélie. Elle roula les yeux d'écoeurement lorsque soudain, elle vit une petite fille, enfin petite, ou jeune, elle ne savait trop, en train de contempler les environs.

*Un poisson, ou une bête potentielle...*

De son regard sauvage, elle détailla de loin l'étrange venue qui était arrivée sans un bruit. Le sang batant sur ses tempes, son dernier repas remontait à très longtemps. La joie en fait que lui procurait de mordre un étranger ou juste la petite période de torture avant de planter ses crocs d'ivoire dans la chair tendre et rose était une extase qu'elle ne pouvait décrire.

Elle se leva et rabatit la capuche de son gilet sur sa tête, de sorte à ne voir qu'une bouche aux lèvres glacées et une peau anémiquement blanche. Elle s'approcha et tenant à se faire remarquer, elle brisa une petite branche sèche qui était tombée par mégarde au travers du sentier. D'une voix doucereuse, elle s'exclama:

-Ô petite fille aux cheveux si soyeux. Ô petite fille aux joues si roses. Voudrais-tu rendre un service à une Dame bien fatiguée de sa longue journée?

Les arbres cachaient en partie le soleil de fin d'après-midi. Certes, elle ne pourrait pas s'en abreuver avant le coucher du Soleil. Son linge cachait presque toutes les parties de son corps, de sorte à ce que les rayons ne viennent pas la brûler. C'était le seul moyen qu'elle avait trouvé pour se déplacer en plein jour. Ce que l'étrangère ne voyait pas, c'était ses yeux enflammés et diaboliques.

Sans attendre la réponse de la jeune fille, elle se déplaça d'une façon surnaturelle et elle se maudit à l'intérieur d'elle-même de ne pas avoir été un peu plus subtile. Elle s'assit juste à ses côtés et mit une main sur son épaule. Elle se pencha à son oreille et lui murmura d'une voix mielleuse, mais froide et non sympathique:

-Pourquoi une ombre comme toi erre sans fin dans ce monde? Tu pourrais être une bonne acolyte si tu désirais. N'en tiens qu'à toi. Je te promets une vie sans mort, une vie sans peur. Une vie de feu et de plaisir sans jamais regretter rien du tout. Et une vie où ton talent servirait à quelque chose...

C'était la question la plus directe qu'elle avait trouvé. Et surtout, la plus gentille qu'elle ait jamais posé. En fait, la vraie intention de Nymélie n'était pas de la mordre, Enfait, pas tout de suite. Elle ne voulait voir que la perception de la gamine face à ce monde. Et peut-être l'inclure dans son "monde".

Invité

Merenwen marchait dans la forêt, un petit sac-à-dos sur son épaule. Elle avait retiré sa longue robe pour se vêtir d'un jean et d'un pull bleu pâle. Son grand bijoux était accroché à ses cheveux tandis que son foulard qu'elle avait l'habitude de mettre sur la tête avait été retiré. C'était plus commode pour marcher dans la forêt. Elle avait aussi retiré ses belle chaussures à cause desquelles elle risquait de se tordre une cheville.

Elle était pensive, plongé à même ses rêves et pensées. En même temps, elle était ancré dans la réalité. Elle touchait la moindre feuille à portée de main, profitant de son toucher ; sentait l'odeur de la forêt, écoutait le chant des oiseau et le bruit de ses pas ; contemplait les hauts arbres, levant une fois la tête à sans tordre le cou.
Elle était donc quelque part entre ses rêves et la réalité.

Soudain, elle s'immobilisa. Ses rêves s'étaient envolés. Ses principales pensées étaient : "Qui est là?"
Car elle avait entendu des pas ainsi qu'une voix. Même d'ici, Merenwen avait sentit la froideur de cette voix. Elle s'approcha lentement et déboucha à l'endroit d'où provenait la voix. Il y avait deux jeunes femmes. Une semblait être du continent de l'air. L'autre, elle le sut sans le moindre doute, était celle qui avait parlé. Sa capuche pouvait cacher des noirs de malveillance, ou bleu de froideur, ou encore rouge de haine. Ou autre chose que des yeux, quelque chose qui pourrait être bien pire.

Elle décida enfin de détourner les yeux de cette créature qui faisait froid dans le dos, et de regarder cette jeune femme, une humaine. Elle lui sourit puis inclina légèrement la tête en signe de salut avant de la relever et de parler.

"Bien le bonjour à vous, noble camarade."

Car, pour elle, toute personne du continent de l'air était un camarade.

Elle évita sogneusement le regard de la créature du continent du mal tout en sentant un picotement dans le dos...

Puis, voyant que personne ne réagissait :

"Au revoir à vous."

Et elle pivota et s'en alla. Peut-être qu'autra part, il y aurait un sorcier.

Suite à Elenwë

Invité

[C'est Peluc qui a choisit la destination ! XD Il a chanté une toune laide pis y a faites : ''ICI !'' loOol]

LEïam avait mal a la jambe suite a la course. Il marchait donc un peu plus lentement. Mais ce n'était pas que cela qui était la cause de sa démarche trainante. Au début, il avait trouvé l'idée d'Ingie amusante et après tout, c'était son truc qui avait décider de la direction... Non ? Il s'était contenté de parraitre surpris, mais... Amusé en même temps. Ses yeux étaient Exorbités, mais un sourire rieur avait plané sur ses lèvres pâles. Et elle l'avait entrainé. Il n'avait donc rien pu dire que déja il était loin. Et, il n'avait pas eu suffisament de force pour s'opposer à elle et peut-être qu'au fond, il ne tennait pas tellement à s'y opposé.

Au début !

Car ce n'était que bien longtemps après avoir vraiment quitter la frontière du royaume qu'il avait réalisé un truc assez embêtant...

LA CARAVANE !!

Eh oui, il en avait oublié ses camarades acteurs et la caravane. Ils allaient le chercher partout et il allait manqué quelqu'un pour jouer son rôle... Donc, ils prendraient le premier idiot qui passerait. Non ! Ce fut donc soudainement que Leïam se défit de l'emprise de la jeune fille. Pendant un moment, il demeura immobile. Il avait l'air en proie a un véritable combat à l'intérieur de lui.

-Attends, lanca-t-il soudainement la voix paniqué et aigue signifiant qu'il avait vraiment perdu son calme. Nous avons quitter l'autre royaume depuis longtemps, ein ?

Il mourrait d'envie de crier. Ingie n'avait pas besoin de répondre. Leî savait. Il voulait courir partout et crier. Mais, il ne fit rien. Au contraire, il marcha, le regard perdu... Et un peu désespéré ! Il s'enfargea dans une racine d'arbre... Résultat ? Il se retrouva par terre, étendu de tout son long sur le sol, dans la terre. Il regarda autour de lui et réalisa une chose...

Il se fesait tard... Il était dans une forêt inconnue... Avec une inconnue en qui il avait jusqu'ici une confiance aveugle et... Il commencait à faire sombre... Surtout autour ou le sentier n'était pas et ou les arbres recouvraient la presque totalité du sol. Où leurs feuillages épais allaient caché la lumière du soleil... Bientôt, il allait complêtement disparaitre... IL FALLAIT SORTIR D'ICI ! Et vite...

Donc, Leï, qui avait marcher avec un peu de difficulté jusqu'ici, se leva d'un bond et courrut presque jusqu'à Ingie.

-Tu sais où nous sommes, demanda-t-il soudainement.

Il s'interrompit. Ingie allait rire de lui s'il gardait cette voix féminine et qui sortait complêtement de leur jeu de rôle tout récament inventé... Il n'aimait pas perdre la face en plus... C'est donc soudainement, qu'il reprit une voix solonelle.

-Cette forêt et lugubre, Milady, déclara-t-il alors. Elle regorge peut-être de millier de créature des plus malveillante. Nous ne devrions pas trainer des les parrages. Pour votre sécurité ! Il y a sans doute une village tout près...

Mais Leï ne continua pas. Il se demandait si Ingie avait réalisé qu'il parlait de lui... Ou pas. Et c'était comme si il attendait qu'ELLE se mette a marché pour avancer, lui aussi.

Invité

Ingie arriva dans la forêt. Elle soufflait un peu. Elle avait beau courir vite, elle courait comme une défoncé et ça lui prenait beaucoup de son énergie. Mais pas tous! Elle en avait bien trop pour cela.

Bref, lorsqu'ils arrivèrent dans la forêt, elle reprit son souffle avec presse. Elle ne voulait pas s'arrêter. Surtout avec Leïam, c'était bien trop amusant! Elle le regarda un moment et vint pour lui demander s'il avait envit de prendre un chemin quelconque. Elle n'eut pas la possibilité d'émettre quoi que ce soit qu'il lui demanda depuis combien de temps ils avaient quitté Elenwë. Ein? Elle arqua un sourcil à sa demande.

-Mais je ne sait pas moi! Mais ça fait un bon moment déja. D'ailleurs, il commençe à faire plutôt sombre!

Elle frissonna de tout son corps. La brise de la nuit commençait à se lever, tranquillement. Elle leva la tête pour observé le ciel qui commençait à s'obscurcir. Le soleil plus rougeâtre que jamais diparraîssait paisiblement à travers la cime des arbres. Le spectacle était à en couper le souffle. Il n'en fallait pas beaucoup pour émerveiller Ingie, il fallait le dire... Cela lui faisait penser à se mets que sa mère lui faisait autrefois... Il sagissait d'un met, fait à partir de pommes de terre et d'un mélange de viande. On y mettait de la sauce de couleur rouge. Et quand on mélangeait le tout, ça donnait environ la même couleur! Ingie songeait à son enfance, sourire nuageux sur les lèvre. Le même sourire qu'ellle prenait quand elle sombrait dans l'imaginaire.

Elle redescendit sur terre d'un seul coup. Elle baissa son regard sur celui de Leïam, qui se tenait tout prèt d'elle. Il avait l'air effrayé et même extrèmement terrorifié! Mais que lui arrivait-il? Qu'est-ce qui se passait? Ils se faisait attaquer? Qui était-ce? Ou qui étaiENT-ce? Elle se retourna vivement sur elle-même, s'accroupit et déclara haut et fort:

-Qui ose terrorifie ce petit être si doux et tendre qu'est Leïam?

Biensûr, elle faisait cela pour le taquiné! Il n'allait certainement pas la laisser parler de lui de la sorte! Mais il semblait pas vraiment réagir à sa déclaration. Il semblait réellement avoir peur. On aurait dit qu'il était dans sa propre bulle. Comme s'il cherchait à fuir cette bulle qui était, aux yeux d'Ingie, parfaitement normale. Elle le regarda une nouvelle fois, mais cette fois-ci, d'un regard différent. Il avait peur. Mais Leï reprit soudainement ses esprits et proposa d'une voix qui lui ressemblait d'avantage, du moins, celui de son personnage de poursuivre leur chemins au cas où il y aurait "des êtres malveillants". Des êtres malveillants? Mais ce n'était qu'une forêt! Et même s'il y en aurait, Ingie savait se défendre. Mais il continuait à être craintif. Cela se voyait à travers ses yeux vitreux. Mais craintif de quoi? De cette forêt? D' "êtres malveillants"? Ingie se posait la question. Mais elle voyait bien que Leïam n'aimait pas l'endroit où il se trouvait. Alors, pour le sécurisé, elle déclara, bien aimablement:

-Vous avez raison Sir, nous ne devrions pas trainer ici. Je commence à avoir froid. Poursuivons notre promenade vers ce chemin.

Elle pointa un plus grand chemin que celui qu'ils avaient enprunter quelques minutes avant. Peut-être que cela lui redonnerait courage s'il prenait le chemin le plus éclairer? Ingie ne savait parcontre ou il menait. Le panneau qui indiquait la route avait été arracher de son socle. Elle haussa les épaules, plutôt aventureuse pour ce genre de décision et prit la main de Leïam. Elle lui fit un large sourire amicale et dit d'une voix douce et calme, ce qui n'était pas dans son habitude:

-Ne t'en fait pas, j'ai l'habitude de m'aventurer dans la forêt la nuit. Nous ne nous perderons pas et je te promet d'arriver à bon port avant le début de la nuit.

C'est à ce moment qu'elle s'avança, en le tirant derrière lui, bien confiante.

Invité

Ingie pouvait bien se moquer de lui ! Lei avait répondu a ses dires moqueur par un regard noir et il avait continuer sa route pas très content. Il lui avait d'ailleurs fait remarqué qu'il n'avait pas peur et qu'il n'était pas un gamin haut de quelques pommes qui pleure toujours ! Il avait un grand 15 ans ! Donc, il n'était pas jeune. Il avait été, pendant un petit moment, dans une sorte de colère modéré et lorsqu'il décida de pardonner a Ingie sa méchanceté, il décida de prendre la parole. Quand Ingie avait parler, il l'avait écouté vaguement... Trop occupé à écouter les plus autour. Au cas ou... Ce n'est que lorsqu'elle le tira par la main qu'il dut enfin s'obliger a répondre. Et c'est là qu'il en était:: Il allait devoir répondre. Inévitablement. Et puis, il dut la suivre... Leïam était d'accord avec elle en tout cas, il commencait à faire froid et dormir dehors... Dans la forêt ? Non merci ! Le souffle froid du vent allait contre lui en glissant dans sa chemise mince et Leï frisonna, il attacha sa veste sans manche qui en soit n'allait pas changé grand chose... Il suivit encore Ingie.

-Moi aussi, j'ai froid. On devrait avancé plus vite, dit-il. Sans courir pour autant ! sempressa-t-il d'ajouter.

Ingie aurait surment partit a courir et lui... Il n'aurait pu la suivre une fois de plus. Leïam aurait presque pu touché du bout des doigts toute l'énergie qu'elle dégageait. C'était fou ce qu'elle débordait d'énergie ! Il la suivit encore silencieux et il ne lachait pas sa main. Sa avait une sorte de consolation. Même s'il doutait qu'ensemble ils puissent faire face a grand chose... Il savait ce défendre mais... Jusqu'à un certain point.

Fallait rien exagérer !

Leï soupira. Il doutait qu'Ingie soit bien meilleure que lui. Pas qu'il la sous-estimait mais... C'était comme sa.

Ses pensées voguèrent ensuite jusqu'à la caravane ou ses camarades dormaient surment bien au chaud. Et, il aurait eu sa place comme toujours parmis les autres. C'était comme sa. Il avait toujours la même petite place. Il aurait dormit tellement bien.. Juste a cette idée, il bailla et ferma un peu les yeux. Se laissant guider par Ingie, aveuglément. Il avait pour Ingie une sorte de confiance... C'est bien soudainement qu'il réalisa qu'Ils n'avaient nul par ou dormir... Il n'allait pas payer pour elle ! C'était SON ARGENT. Son argent A LUI ! Elle savait bien qu'il avait trouvé une jolie somme... La voleuse. Très bien.. Voyons voir pour un plan. Histoire de ce sortir du pétrin :: Premièrement on allait dormir bien au chaud dans une auberge et ensuite, il partirait à l'aube direction... Euh... Le royaume juste avant... N'IMPORTE OU ! En autant qu'il trouve la caravane. Oui. Bonne idée. Ingie aurait donc a choisir. Si elle le suivait ou pas... A elle, de voir. Elle ferait son choix. Lui, il ne voulait que retourner là-bas.

-Tu sais ou on va au moins, demanda-t-il soudainement.

Il n'avait pas vu de pancarte... Et Leï augmenta le pas. Bientôt, il purent enfin sortir de la forêt. Le chemin avait sembler un peu abandonner par moment et Leïam avait finalement mener Ingie au travers la forêt pour contourné les obstacles et tenter de retrouver le chemin qui disparaissait caché par la végétation luxuriante semblait-il. Leï n'en avait aucune idée, lui. Il ne voyait rien dans la nuit.
[Suite-----> Où tu veux !!]

» Quelque part, au beau milieu de la forêt...
» Quelque part, au milieu des montagnes
» Au milieu de la mer.(passage obligé pour aller sur Ys)
» la forêt
» La forêt