La Taverne "Neige Éternelle et Meurtrière"

Daläwerm fut très étonner de la réaction de Eärwen quand elle le prit dans ses bras pour ensuite sauter de joie, des larmes coulèrent le long de ses joues et visiblement elle ne pouvait pas se retenir.
L'émotion avait dut être forte pour cette femme, Daläwerm amusé par le comportement de la reine émit un petit rire très discret. Il fut quelques peu amusé par la reine et aucunnement gêné, une réaction comme celle-là c'était la première fois qu'il en voyait des comme celle-là et il en fut réjouit par la suite d'avoir amuser Eärwen.

Les remerciemment firent fronçés les sourcils de Daläwerm, il ne voulait pas qu'on le remercie, il rendait juste un service rien de plus, c'était tout de même le minimum qu'il pouvait faire pour cette ange. Avant que Eärwen parte pour aller préparer les chevaux, il lui dit en murmurant tout bas :

"Ne me remerciez pas, c'est le minimum que je peux faire pour vous et pour votre frêre"

Le barman qui avait observer et qui essayait de suivre la conversation depuis que Daläwerm avait commencer à parler avec la reine tourna vite la tête en direction de ses verres pour les nettoyer activement tout en arborant une tête occupé et ignorante à ce qu'il se passait dans son auberge.
Daläwerm secoua la tête puis essayant de se rappeler si il n'avait rien oublier dans la chambre là-haut, il décida de partir lui aussi à son tour tout en regardant le barman dans les yeux, il lui dit sur un ton froid et cinglant :

"Au revoir, ah et oui la curiosité est un vilain défault, rappelez-vous en mon cher"

Puis une fois dehors, il partit rejoindre tranquillement la reine qui préparait les chevaux, il la rejoignit à l'écurie.

Cela faisait depuis pas mal de temps qu'il n'avait pas monter un cheval, mais ces choses là ne s'oubliait pas, les courses de chevaux qu'il faisait quand il était enfant lui avait porter des qualités qu'il ne pouvait oublier.
Le cheval qui était d'un blanc merveilleux fixait l'elfe qui était devant lui, celui-ci le caressait pour le rassurer et pour lui montrer qu'il ne lui voulait aucun mal.
Daläwerm fit remarquer à Eärwen :

"Ce cheval est vraimment tès beau, il a l'air rapide et très endurant, je me trompe ?"

Il lui parlait tout en regardant le cheval, il le caressait de temps en temps et lui murmurait des paroles elfiques dans les oreilles, des paroles qui attendrissait le cheval et qu'il comprenait.

Invité

L’ange remarqua que l’elfe était surpris, mais aussi amusé de sa réaction, vraiment, elle n’était pas aussi douée que Jonas pour cacher ses sentiments, lui était beaucoup plus doué qu’elle de ce côté-là, elle devait bien l’avouer. Mais il n’était plus, mais même en y pensant, elle ne pouvait s’empêcher de se comparer à lui, se demandant ce qu’il penserait de ceci ou cela. Mais elle n’était pas lui, ils ne pensaient jamais de la même façon. Eärwen avait toujours un peu plus montré ses sentiments que Jonas. Mais lui aussi avait quelque fois exposé ses sentiments publiquement, mais bien moins souvent que la reine l’avait fait aujourd’hui ; elle devait apprendre à se contrôler, c’était la moindre des choses qu’une reine devait à son peuple, si le peuple voyait sa souveraine fondre en larme devant lui que penserait-il donc ? Il pourrait être atterré ou se révolter, prendre profit de la faiblesse de son souverain, ne jamais montrer ses faiblesses, telle était la règle que s’était toujours imposée Eärwen, tout comme son frère ou ses parents avant.

L’elfe demanda à Eärwen de ne pas le remercier. Il disait que c’était normal, et l’ange ne pu qu’admirer la personnalité de cet être. Il était vraiment…parfait ! Il était humble, il était discret, il était visiblement extrêmement serviable et très gentil… Il possédait beaucoup de qualité que la reine ne pouvait qu’admirer.

Elle sortit donc de la taverne, après avoir donné au barman l’argent qu’il demandait pour avoir abreuvé et nourri les chevaux. Puis elle se dirigea vers les écuries, Daläwerm voulait faire quelque chose avant de partir visiblement, elle prépara donc les chevaux dans les écuries. A son entrée, une tête blanche comme la neige sortit d’un des box et un joyeux hennissement accueilli la reine qui sourit doucement. Elle alla directement jusqu’au box et saisit doucement la tête du cheval entre ses mains tout en lui murmurant des mots tendres, elle le caresser avec douceur et bienveillance. Puis elle alla chercher les harnachements et sella les deux chevaux après les avoir rapidement brosser et inspecté l’état de leurs membres. Elle ne pouvait pas se permettre de prendre avec elle des chevaux qui risquaient de s’écrouler ou de boiter à cause d’un tendon enflé ou d’un fer qui part. Mais tout allait bien, ils étaient en parfaite santé et n’avaient pas la moindre blessure.

L’elfe entrait alors que Eärwen terminait d’attacher son sac sur le dos de l’étalon blanc. Elle regardait attentivement si toutes les lanières tenaient bien et étaient bien attachées, oui, tout allait très bien. Le jeune étalon, à la grande surprise de l’ange ne fit aucun écart lorsque l’elfe le caressa et lui parla doucement. Un sourire de tendresse vint se dessiner sur le visage de la reine et elle répondit à l’elfe :

« Oui, il est très rapide, et assez endurant aussi, mais il peut encore progresser en endurance, il est à peine débourré encore… mais il apprend très vite, c’est un élève formidable. Mais il a aussi un fort caractère. Je me réjouie d’ailleurs de voir qu’il n’a rien fait à votre arrivée, vous devez avoir un don, vous êtes le premier sur qui il ne rue pas ou n’essaie pas de mordre, il est adorable, mais à prendre avec des pincettes. Jusqu’à aujourd’hui, il n’y a qu’à moi qu’il n’avait rien fait, je suis ravie de voir qu’il vous apprécie. Enfin, je m’emballe un peu, excusez moi, j’ai tendance à être trop bavarde lorsqu’il s’agit d’Epsylon, c’est son nom… »

Elle avait perdu son air triste pour abhorrer un sourire, ce cheval, c’était comme son fils, elle l’avait élevé avec amour, prié pour qu’il survive, et tout se passait bien, il était grand et fort à présent, courageux et rapide. Elle l’aimait tant ! puis elle montra l’autre cheval, lui aussi blanc, un peu plus âgé par contre, mais assez nerveux lui aussi. Deux chevaux parfaitement dressés mais avec du sang. Elle expliqua :

« Voici celui que vous monterez, il est plus expérimenté qu’Epsylon, mais tout aussi rapide, et plus endurant. Il est courageux et vous devrez rapidement vous entendre avec lui vut la vitesse avec laquelle vous avez gagné la confiance d’Epsylon… Il s’appelle Feu-de-Neige »

Puis elle tendit les rênes à l’elfe et demanda au cas où :

« Vous savez monter à cheval j’espère… j’ai omis de vous le demander… »

Cela faisait depuis tellement de temps qu'il n'avait pas monter un cheval, il espérait ne pas avoir perdu ses bases tout au moins de monter sur un cheval, l'autre cheval qui se tenait à côté d'Epsylon semblait plus âgé, plus robuste et plus fort de caractére mais Daläwerm n'en fut pas plus étonner à la vue de ce cheval qui était tout aussi merveilleux que le précédent.

S'avançant doucement en direction de ce cheval, Daläwerm silencieusement regardait dans les yeux de Feu-de-Neige dans ses yeux noires et qui exprimait tant de chose en un seul regard, l'elfe réussit à captiver le regard de ce cheval qui semblait fasciner par l'elfe, il le regardait en tapant un peu avec sa patte par terre ou en bougeant un peu son corps massif mais aucun signe de nervosité ne semblait s'emparer de ce cheval qui avait l'air doux comme un agneau.
Il le caressait doucement, ce cheval avait besoin d'être caresser, c'est ce que ressentait Daläwerm à son égard.
Eärwen lui demandait si il savait monter un cheval, Daläwerm lui répondit tout en montant sur la selle de son nouveau cheval enfin du cheval qu'il montera pour escorter Eärwen :

"Vous savez, cela va faire depuis des années que je ne suis pas monter sur un cheval. D'ailleurs, la dernière fois, je m'en rappel c'était quand j'étais enfant, je possedais un cheval nommer Eclair blanc,qui était vif comme l'éclair et blanc comme la neige, je l'avais eu depuis tout petit et j'avais grandit avec lui, tout les deux on se connaissait très bien. Je m'amusais à faire des courses contre les autres gamins du village et je gagnais, il m'arrivait aussi parfois de perdre, c'était assez amusant et j'étais vraimment très heureux avec ce cheval là."

Daläwerm regardait en l'air tout étant sur feu-de-neige qui bougeait un peu de droite à gauche mais qui n'avait pas l'air d'être gêner par la présence de l'elfe, quand Daläwerm parlait il regardait le ciel, ce ciel bleu.
Il reprit la parole tout en regardant ce ciel bleu :

"C'est bizarre parce que ce ciel bleu était exactement le même quand j'avait fait cette promesse à Eclair-Blanc cette promesse qui était de ne jamais se séparer de lui."

Puis secouant la tête comme pour dire que c'était n'importe quoi ce qu'il venait de raconter, il enchaîna sur autre chose :

"Suis-je bête, pourquoi je vous parle de ça puisque ma promesse n'a pas tenu"

Puis peu après ces paroles, il se baissa pour prendre les rênes de son cheval, il regardait à présent Eärwen puis sur un ton sec et dur, il lui dit :

"Bon allons-y maintenant,nous n'avons pas de temps à perdre"

Puis il parti devant la reine avec Feu-de-neige en trotinant tranquillement, il regardait devant lui pour observer les alentours pour voir si il n'y avait pas de danger dans les environs, maintenant, il devait faire attention et se devait de protéger la reine de tout individu, il avait tenu une promesse et il ne devait pas échouer comme avec son cheval.

Invité

Eärwen regarda l’elfe s’avançait vers sa monture, tout comme avec Epsylon, il se montra d’une douceur impressionnante. Il savait vraiment s’y prendre avec les chevaux, tout comme avec d’autres animaux pensa la jeune femme. Feu de neige entra rapidement en confiance avec son nouveau cavalier, Daläwerm savait vraiment bien s’y prendre. Il était doué, elle ne pouvait le nier. Peut-être était-ce une qualité d’elfe ? Elle l’ignorait, mais elle l’enviait légèrement, savoir aussi bien comprendre les animaux…

Il monta souplement en selle et la jeune reine eut un sourire, il savait au moins monter sur un cheval en douceur, c’était toujours ça… Il répondit à la question de la jeune reine par un souvenir de son enfance, son cheval, les courses… Il semblait avoir été très proche de l’équidé. La reine monta à son tour, rassurée qu’il est déjà monté à cheval, ça lui reviendrait rapidement. Ils sortirent de l’écurie et elle regarda avec attention le ciel qui brillait, elle repensa à sa matinée, son envolée, le corps aussi… non, il fallait qu’elle cesse d’y penser ! C’est alors que l’elfe parla de sa promesse faite à Eclair blanc… Tant de regrets dans ses propos… que s’était-il passé ? La reine ne savait si elle pouvait aborder le sujet avec l’elfe.

Puis il secoua la tête, il n’avait pas tenu sa promesse, était-il donc…mort ? La reine ne savait pas. Mais peut-être qu’elle aborderait le sujet un jour, si l’occasion se présentait et qu’elle était suffisamment…amie avec l’elfe pour lui parler d’un sujet qui le blesse. Ils partirent ensuite au petit trot, l’elfe avait retrouvé sa voix sèche et distante qu’il avait auparavant. La reine laissa son cheval s’étendre, lui donnant assez de rênes pour qu’il tende l’encolure. Elle regarda attentivement autour d’elle, rien de mauvais dans les parages. Elle regarda attentivement, elle avait bien tout, son sac, son arc et son épée. Les flèches ? Oui, tout était bon. Elle se rapprocha de Feu-des-neiges, et resta un moment silencieuse. Puis elle finit par prendre la parole :

« Dites le moi si ça vous dérange que l’on se parle pendant le voyage, mais si ça ne vous dérange pas, j’aimerais d’avantage vous connaître… »

Daläwerm apprécia quand Eärwen n'insista pas plus sur le sujet douloureux qu'il avait aborder, dans lequel il parlait de son cheval qu'il avait tant aimé mais avec lequel, il n'avait pas put aller où il voulait avec.
La reine se rapprocha de l'elfe avec son cheval pour lui dire quelque chose, elle voulait donc plus le connaitre mais pourquoi ? Pour se lier d'amitié avec lui ? Une chose était sûr, c'était la première fois qu'il parlait autant avec quelqu'un, depuis cette étrange rêve Daläwerm avait totalement changer sa froideur avait presque disparut, il avait aussi réussit à sourire à la reine et à rire discrétement quand il avait vu sa réaction de joie, ce qui était nullement dans ses habitudes de réagir comme-cela.

La reine chevauchant à ses côtés était prête à entendre ce qu'il allait lui dire, si il voulait bien sympathiser avec elle, s'échanger des secrets, des choses que se confierait des amis qui se faisaient entièrement confiance. Tout en regardant dans les yeux la reine, l'elfe lui répondit sur ce ton qui était comme indélébile, ancré en Daläwerm, ce ton froid et un peu dure mais donc avait l'habitude d'entendre la reine :

"Bien-sûr, de toute façon pendant ce long voyage, il faudra bien se parler pour passer le temps"

La journée commençait bien, le beau temps s'offrait au deux voyageurs et le climat était plutôt bon, il ne faisait pas trop froid dehors et l'air frais soufflait tranquillement sur le desert de neige d'Enetari.
Daläwerm ne cessait d'observer autour de lui, de faire le tour de Eärwen mais rien pour l'instant n'avait l'air d'être menaçant, rien qui pourrait mettre en danger la vie de la reine.

Un long et fatiguant voyage commençait pour l'elfe, ce voyage lui restera graver en tête, tout ce qu'il esperait était de ne pas rencontrer de problème qui pourrait les retarder un certains temps.
De nouvelle contrées l'attendait, des terres qu'il n'avait encore jamais vu de sa vie, faire la connaissance de ces autre roi et reine de ces autres continents. Daläwerm était prêt, rien ne pourra l'arrêter lui et la reine dans leur périple et si il le faut, il risquera sa vie pour cette femme.

[Suite ==>Continent de la terre ==> Partie Mynorie]

Tami-jira entra dans la taverne et voyant que l'atmosphère était tense. Elle secoua la tête se demanda pourquoi elle avait choisi tel taverne elle s'avança vers le proprièté du taverne et demanda une chambre pour la soirée et monta les escaliers pour retrouver le calme.
Elle s'installa dans sa chambre et elle a mis ses armes sur le sol, dans ses portés et cacha sa dague sous son lit pour sauvergarde.
Tami-jira se déshabilla et mis ses pyjamas pour la soirée et se coucha.
Quand elle se réveilla le jour après elle décida de prendre un petit déjeuner avant qu'elle part sur son voyage. Elle descendait des escaliers et commandait un petit repas pour elle même.
Voyant que la salle fut devenu silencieux par sa présence Tami-jira finissait son déjeuner et fut parti du taverne pour se rendre au port d'Eleiwëi.
(Suite de Tami-jira au port d'Elewë.)

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