un champ de fleur rouges

Arya sentit quelqu'un s'approcher d'elle, et elle rabaissa son regard vers l'homme qui lui adressa la parole en même temps. Elle prit un peu de temps avant de répondre, elle observait son visage sans émotion particulière, ses yeux bleus et ses cheveux blond. Mais elle connaissait encore si peu de peronne en ce monde qui n'éatait pas le sien qu'elle aurait aussi bien pu être devant une personne très connu ou quequ'un comme il n'en existe pas de plus simple. Elle finit par dire:

" Oui, le soleil en déploit de l'énergie pour ce champs. A qui me vaut l'honneur ?"

[edit: désolé de pas avoir fait assez de ligne, je pense que maintenant c'est bon.]

Comme le jeune homme ne lui répondai pas Tania se leva et marcha dans le champ les fleurs, le parfum s'échappant lui tournait un peu à la tête mais elle reprit ses esprit et se tourna à nouveau vers le garçon qui n'avait pas bouger.

Hé bien moi je crois que je vais partir, je vous laisse avec les fleurs, mon devoirs m'appelle.

Puis elle s'enfinça dans le brouillard de vapeur parfumés plus loin et marcha loin devant elle ignorant totalement où elle partait, mais celà n'avait peu d'importace, partout où elle serait, elleétait perdu, trop loin des siens.

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Un sentiment étrange envahit la jeune fille rousse lorsque celle-ci se mit à marcher entre les fleurs rouges de ce champ. Elle sentit la chaleur des fleurs l'envahir et cela la fit se sentir tellement bien. Comme si elle flottait sur un nuage, un doux nuage de coton et de chaleur. Son corps tout entier savourait cette douce chaleur.

La nouvelle déesses mit à tournoyer sur elle-même jusqu'à devoir se laisser tomber au centre de champ de fleur tellement qu'elle était étourdit. Elle regarda le ciel. Depuis que l'ancienne déesse du feu lui avait transmis ses pouvoirs, Azilys se sentait étrange, enfermé dans ce corps d'enfant. Elle ne sent plaignait pas pour autant. Être une enfant avait certain avantage. Passer plus facilement inaperçu et si on ne dit pas un mot, les autres oublis facilement. Azilys regarda le ciel et sourit doucement. Un jour aurait-elle tout les pouvoirs destiné à son nouveau statut ? Les gens du peuple croiront-ils de nouveau en leurs déesses ? Seul le temps pouvait le dire malheureusement. Elle, qui désirait tant retrouvé et sentir à nouveaux la puissance qui avait envahir son corps durant une toute petites fraction de seconde. Si doux et fort à la foi. Elles réussiront un jour. Elles retrouveraient toutes, pleine puissance.

Il fallait d’abord réussir à convaincre les gens. Mais, pas tout de suite, pas maintenant. Azilys voulait seulement rester étendus sur le dos et regarder le ciel si clair pouvait-il être.

Hazel courut longtemps à travers le royaume d'Aegor lorsqu'il ralentit enfin. Il ne savait pas du tout où il allait mais au moins il serait loin de tout endroit qu'il avait connu par la faute du dragon. Peut-être que s'il ne reconnaissait rien il finirait par partir... Ça serait si parfait... Mais, malgré tout, le tueur n'avait pas grand espoir. L'important était qu'il était parti pour de bon cette fois. Alors il marcha longtemps, se nourissant de ce qu'il trouvait sans prêter attention à grand chose. Par chance le dragon ne donnait pas signe de vie pour le moment... Peut-être avait-il l'intention de lui foutre la paix durant quelques mois? Même si quelque chose lui disait qu'il ne fallait pas rêver en couleur... le meurtrier ne pouvait pas nier qu'il y avait longtemps qu'il n'avait pas été si libre durant aussi longtemps. Le simple fait de voir le soleil par ses yeux d'humain, de sentir le vent sur son visage suffisait à le faire sourire. Les nuits qu'il passait dehors lui paraissaient être les plus belles qu'il avaient passées depuis bien longtemps...

Tout ça pour dire que, tout simplement, il ne voyait pas le temps passer. D'ailleurs, c'est au bout d'un voyage plus long qu'il n'y paraissait qu'il arriva au royaume de Glingal. Il n'eut même pas conscience d'y entrer, bien qu'une part de lui-même (le dragon peut-être?) eut ressenti un subtil changement dans l'atmosphère. À moitié épuisé, il soupira longuement en souriant doucement lorsqu'il pénétra dans la clairière couverte de fleurs rouges. S'avançant de quelques pas titubants à cause de la fatigue, l'homme laissa échapper un cri de surprise lorsque ses genoux cédèrent tous seuls sous son poids, sans doute à cause de l'épuisement. Maladroitement, il s'affala de tout son long sur le sol et y resta, fermant les yeux à demi. Il était bien plus fatigué qu'il ne voulait le croire et c'est la paresse qui le força à rester là, couché sur le ventre, les bras en croix. Le parfum des fleurs lui chatouilla le nez et il ne put se retenir d'éternuer et de tousser un peu... mais il ne se releva pas. En fait, il prévoyait de s'endormir là d'un instant à l'autre....

Perdu dans les nuages, Azilys ne remarqua rien de ce qui se passait autour d'elle. Son esprit ne faisait que vagabonder parmi les fleurs. L'univers. C'était comme si elle y était un tout petit peu connecter. Elle se demanda qu'elle sensation cela provoquait d'y être connecter complètement... de faire partit de l'univers...

Ses songes furent interrompus par le cri d'un humain. La jeune déesse se redressa et scruta le champ de fleurs. Lentement, elle se leva et marcha en direction d'où semblait être provenu le cri. Elle se laissa guidé par les éternuements.

Lorsqu'elle aperçut enfin l'humain en question, Azilys hésita à s'approcher. Il ne semblait pas des plus dangereux. Il avait plus l’air en mauvaise état que dangereux. Risquant le tout pour le tout, La déesse des flammes s'agenouilla devant l'homme et dit doucement:

- Est-ce que ça va ? Demanda t’elle doucement.

Sursautant violemment en entendant quelqu'un s'adresser à lui alors qu'il avait la certitude d'être tout seul, Hazel se redressa d'un mouvement brusque et fut franchement étonné d'apercevoir, agenouillée devant lui, une petite fille. D'où elle pouvait bien sortir cette morveuse? Il ne l'avait même pas entendu venir... d,ailleurs, espace d'un moment il avait été terrifié , croyant qu'il s'agissait de la voix du dragon qui était de retour... mais pas du tout. En fait, les deux voix n'avaient rien en commun, bien entendu. L'observant silencieusement durant un moment, l'air encore un peu peu surpris, il finit par lui répondre d'une voix rendue rauque par la fatigue:

- Ouais ouais, ça va... C'est rien. J'ai seulement trébuché. Je ne regardais pas assez où j'allais, c'est tout. (il lui lança un regard curieux) D'où tu sors? Je ne t'avais même pas vue arriver...

De son côté, le dragon était toujours attentif. Depuis le départ de l'homme de son royaume natal, il n'avait pas cessé de tout observer en fait. Il laissait le temps passer afin que l'homme perde sa méfiance qui rendait l'accès à son esprit plus complexe pour la bête de feu. Dès qu'il serait devenu trop rassuré, il serait facile de reprendre le contrôle... et quitter cet horrible corps d'humain. Quoiqu'il en soit... En observant cette enfant, Ramalockë avait l'impression que quelque chose n'allait pas. Elle avait l'air d'une enfant, la voix, l'odeur... mais il y avait autre chose... Quelque chose dans ses yeux peut-être... Tout ce que la créateur de flammes pouvait affirmer, c'était que quelque chose ne tournait pas rond... Elle n'était pas ce qu'elle semblait être... elle était peut-être plus qu'une simple enfant... Mais quoi? C'était tout ce qu'il ne pouvait pas dire...

Azilys sourit. Les hommes étaient tous les mêmes. La jeune déesse sourit doucement à l'homme. Elle se leva brusquement et fit un tour sur elle-même. Elle dit en affichant toujours son radieux sourire:

- J'étais plus loin. Étendu parmi les fleurs.

La jeune fille fixa l'homme un moment et lui tendit la main.

- Je me nomme Az...Azalée. Je suis la... fille d'un marchand qui voyage à travers tout le continent. Et toi ? Qui es-tu ?

La jeune déesse avait faillit laisser échapper son vrai nom et sa véritable identité. Elle avait toujours détesté mentir. Même lorsqu'elle était mortelle et qu'elle devait faire semblant de cacher sa passion pour la magie élémentaire. Mais la se n'était plus une passion qu'elle cachait mais bien une identité et un monde. La pratique l'aiderait sûrement. Pour le moment, elle se contenta de sourire à l'humain attendant la réponse à sa question.

Souriant à son tour, l'homme serra la main de l'enfant en hochant doucement la tête. Il valait sans doute mieux ne pas éveiller les soupçons, surtout si le père de la fillette pouvait ne pas être loin. L'air nonchalant, il essaya d'enlever un peu la poussière qui recouvrait ses vieux vêtements usés, sans grand succès. Au bout d'un moment, découragé, il abandonna et ramena son attention vers l'enfant. L'air calme, il répondit doucement:

- Je... je m'appelle Hazel. (il eut un petit rire nerveux) Quant au nom de famille... je n'en ai jamais vraimen eu. Je ne suis rien d'autre qu'un simple rôdeur sans histoire. (il détourna les yeux et fronça les sourcils d'un air un peu hésitant) Enfin... je crois.

Il laissa échapper un rire bref rire et ramena son regard vers la petite fille. Puis, sans raison, il frissonna légèrement, sans savoir trop pourquoi. Puis, c'est d'une voix grondante et grave qu'il parla soudainement alors que le dragon réussissait à reprendre brièvement le contrôle. L'espace de quelques secondes, on put apercevoir une vague texture d'écailles sur sa peau, ses yeux bleus virèrent au rouge et ses dents prirent une étrange forme de crocs alors qu'il parlait:

- Tu n'es pas ce que tu prétend être, pas vrai, sale humaine? N'essaie pas de me le cacher, je le sais! On ne peut rien me cacher à moi, je suis trop puissant! Avoue! Dis-moi ce que tu sais ou alors je vais...

D'un seul coup, tout s'arrêta. L'homme reprit le contrôle sur le dragon avec difficulté et, violemment, se saisit la gorge pour étouffer les paroles qu'il n'avait jamais demandé à prononcer. Toussant violemment, il se détourna et ferma les yeux, serrant les dents alors que les écailles sur sa peau disparaissaient lentement. Ses yeux reprirent doucement leur couleur naturelle alors qu'il grondait d'une voix étouffée, parlant au dragon dans son esprit:

- Vas t'en! Fiche moi la paix! Tu ne pourrais pas tout simplement disparaitre?! J'veux que tu me laisses tranquille, espèce de salopard! C'est mon corps, pas le tien!!!

Azilys acquiesça doucement en attendant le nom de l'homme. Hazel... elle n'en avait pas entendu parler. Il devait être très discret. Puis l'apparence de l'homme changea. Elle reconnut la texture d'écaille et vit parfaitement le changement de couleurs de yeux d'Hazel. La jeune déesse recula vivement. Elle écouta la voix grave et grognant lui ramener la vérité en face. Sa respiration devient haletante. Lorsque Hazel reprit son apparence normal et finit de hurler, la jeune déesse se mit à réfléchir rapidement. Quelques choses en cet homme doutait de son identité. Elle pouvait continué à feindra son identité et jouer la fillette apeurer ou bien de tout simplement poser des questions pour avoir des réponses.

Le jeune fille croisa les bras et fixa l'humain:

- Qu'est-ce que c'est ? Qui es-tu exactement ?

Toujours dos à l'enfant, l'homme se raidit brusquement, fermant les yeux et serrant les poings en entendant sa question. Il n'était pas certain de tenir à répondre... mais il avait clairement entendu ce que le dragon avait dit et s'il pensait que cette enfant n'était pas normale... et bien il avait sans doute raison. Il ne se trompait jamais sur ce genre de truc. D'une voix étouffée par la colère, il marmonna:

- C'est rien... j'ai seulement... perdu le contrôle. Il m'a eu... Il m'a fait croire qu'il était parti. C'était juste pour que je ne lui prête plus attention. C'est le dragon... Moi je suis juste Hazel... un humain, rien d'autre... Mais Lui... Il se cache dans mon esprit. Il essaie de se débarrasser de moi, de m'emprisonner encore. Il veut prendre le contrôle de mon corps. C'est passé tout près cette fois... Un peu plus et il y arrivait.

Tournant toujours le dos à l'enfant, l'homme s'arrêta un moment et baissa la tête, soupirant longuement. Ce n'était pas juste. Pourquoi personne d'autre que lui n'avait à subir cette horrible malédiction?... Il n'avait jamais demandé à endurer ça...

- Peut-être que tu as déjà entendu parler de lui si tu es déjà allée au royaume d'Aegnor. Quand il réussi à m'emprisonner dans mon esprit, mon corps prend son apparence... Un grand dragon menaçant dont l'ego est aussi grand que celui de tout ce royaume. Il se fait appeller Ramalockë.

Ramalockë. Le dragon qui terrorisait les gens d'Aegnor. Elle en avait entendu parler. Qui n'en avait pas entendu parler. Certains croyait que ce n'était que des légendes pour effrayer les gens et les empêcher d'approcher la montagne. Pour sa part, elle avait toujours cru que ce dragon était l'une des créatures de l'ancienne déesse du feu, qui puinnissait les traîtres qui l'avait abandonné. En secret, elle avait toujours espèrer qu'il vienne mangé son père. La jeune déesse des flammes soupira et se rapprocha de l'homme. Devant lui, elle s'agenouilla devant lui et lui releva doucement la tête.

- Comment puis-je t'aider Hazel ? Parle et je vais faire mon possible.

En entendant les paroles de la petite fille qui l'observait toujours, Hazel ne put s'empêcher de rire. D'abord un simple ricanement faible qui se mua bien vite en un rire rauque et incontrôlable, à la limite de l'hystérie. Pas qu'il y ait eu de quoi rire autant. Mais... Ce que la petite Aazalée avait dit était si absurde et lui-même était si fatigué que tout lui parut irrésistiblement drôle. Se tenant les côtes, l'homme se mit à pleurer de rire, ses longs cheveux sombres retombant devant ses yeux pâles, et ne put s'arrêter que lorsqu'il s'étouffa lui-même et se mit à tousser sèchement. Toussant toujours, la respiration sifflante, il finit par se calmer lentement et eut un dernier petit rire en répondant d'une voix tremblante:

- Petite, tu n'es qu'une enfant, ne l'aurais-tu pas oublié? J'suis prêt à t'obéir jusqu'à la fin de ms jours si jamais tu peux faire quoique ce soit pour m'aider! Mais tu n'y arriveras pas... J'ai bien peur que personne ne puisse le faire partir... Il est trop puissant... J'avais cru qu'il était parti mais il attendait seulement. Ce foutu dragon pense que c'est lui qui devrait avoir le contrôle. Il est certain que c'est moi qui devrait mourir alors que ce corps m'appartient! (l'homme soupira doucement) L'ennui, c'est qu'il risque d'y arriver. Si seulement tu pouvais seulement avoir une vague idée du temps que j'ai passé sans voir le soleil de mes propres yeux! Ça faisait si longtemps...

Il se tut un moment, observant la fillette dans les yeux. Puis, secouant légèrement la tête, il eut un petit rire sans joie.

- Mais bon, évidement, tu n'as probablement pas la moindre idée de ce que je veux dire. Personne ne peut savoir... Bien sur si t'as une idée, tu peuxtoujours la dire...

Lorsque l'homme se mit à rire, Azilys se sentit un peu offencer. Il riait d'une déesse ? Puis, la jeune fille se souvient de l'apparence qu'elle avait depuis l'acquision de ses pouvoirs. L'on dit que le rire est contagier, la déesse des flammes se mit a rire avec l'homme. Si elle avait été debout, elle se serait surement écrouler sur le sol. Au bout d'un instant, elle reprit son souffle et écouta les propos de l'homme. Oui, elle avait une idée. Elle devait parlé au dragon avant tout. Regardant aux alentours, Azilys se releva et tendit sa main à Hazel.

- Je vais faire de mon mieux. Mais nous devons trouvé un endroit loin des yeux et des oreilles indiscrete... Connais-tu un endroit ?

Haussant les épaules, l'homme hocha doucement la tête en répondant:

- Non... C'est la première fois que je viens par ici tu sais. J'connais pratiquement rien de ce royaume. C'est que le dragon n'est pas tellement du genre à vouloir sortir de chez lui et je n'ai donc jamais l'occasion de m'éloigner très longtemps... Mais... j'ai cru remarquer des grottes par là-bas un peu plus tôt (il fit un geste vague de la main, désignant les petites montagnes sur sa gauche). J'ai pas l'impression que quelqu'un viendrait nous déranger ici mais si tu y tiens tellement, on peut toujours y aller.

L'enfant avait une idée, pas de doute là-dessus. Mais quoi? Cette question repassait sans arrêt dans l'esprit du meurtrier. Pas moyen d'avoir le moindre indice... Et il crevait d'envie de savoir. La curiosité tuait le chat, c'était bien connu mais... il ne pouvait pas s'en empêcher. Il fallait qu'il sache. Même si, quelque part, il se méfiait un peu... Oh il n'avait pas peur de l'enfant, là n'était pas le problème! Après tout il pourrait e débarrasser d'elle terriblement facilement. Ce qui le tracassait, c'était ce qu'avait dit le dragon... Cette enfant qui serait, soi-disant, plus que ce qu'elle ne semblait être... Repoussant ces pensées au fond de son esprit, il sourit et se mit debout, enlevant un peu la poussière sur ses vieux vêtements en lambeaux. Puis, montrant le chemin à la petite fille, il la mena vers les grottes qui se trouvaient un peu plus loin...

L’aventurier marchait depuis un bon moment, remuant des pensé sur tous les événements majeurs qui venait de lui arriver. Il sortait enfin du territoire d’Aegnor pour entrer en Glingal. Ses pieds quittèrent le sol rocailleux pour entrer dans un champ de fleurs rouges.
L’air était bien plus agréable à respirer ici, le doux parfum des fleurs avait remplacé l’odeur sulfurée d’Aegnor.
Des fleurs étaient aplaties à quelque endroit, des gens était probablement passé il y à très peu longtemps. C’était normal, c magnifique champs devait souvent être visiter par les gens du coin. Il commençait à ce faire tard Hodur devrai bientôt se trouver un endroit pour dormir.
Le prêtre ce dit qu’il avait encore le temps de se rendre un peu plus loin avant d’avoir à dormir. Hodur continua à marcher vers l’ouest, en direction de Nennvial.

Suite ------> Rhydderch, campement de Hodur
(H-J : Saloperie, Hodur qui cherche sa nouvelle déesse, s’il savait à quelle point il l’a manquer de peu)
(H-J2 : Edit, Dsl, pour le truc qui fite pas avec le fait que je passe de l'île à la terre, j'ai fait une ereur sur la carte je croyait que la partie au nord de la forêt verte faisait partie de Glingal)