Une erreure couteuse - Votre opinion- [URGENT]

Invité

Voici, pour l'école j'ai écrit un texte (projet personnel) et j'aimerais avoir votre opinion au plus vite svp... Cas le projet est à rendre dans de cours délai...

Une erreur coûteuse

On était le soir, à l’extérieur, le ciel était à l’orage, on sentais l’électricité dans l’air. Dans la populace, on sentait la tension et un état d’esprit spécial. Pour certains, c’était sous forme de frivolité que cet état s’exprimait, mais pour d’autres, cela se démontrait par une agressivité accentuée par rapport à l’habitude. Pour moi, la seule chose que je ressentais, c’était de la déception et un éloignement face à la réalité car je fêtais mes 35 ans. 35 ans de solitude, de défaite, d’éloignement et d’oisiveté, ou j’allais de femme en femme, sans jamais me lasser de ces menues amusettes sans importance. Pendant tant d’années sans réel attachement, délier les caracos était devenu, pour moi, une science facilement manipulable. Plusieurs jetaient l'anathème sur ma personne alors que d'autres me traitaient d'olibrius, de marginal, mais moi, je me traitais de solitaire, isolé de tout, incluant de l'agitation qui régnait dans la brasserie « Dans l'anse de Verdeuil. » où j’avais élu domicile le temps d’un souper et d’une beuverie.

J’étais en contemplation de ma soupe quand une apparition brisa mon abattement. Cette apparition, c’était une femme, de blanc vêtue. La regarder se mouvoir dans la foule compacte, sans le moindre carambolage ne faisait qu’accentuer la grâce exprimée dans ses mouvements. Les nombreuses salutations qu’elle disait à tous et à chacun n’était que preuve de son ouverture et de son habitude à venir en ce lieu où, pour ma part, c’était la première fois que j’y mettais les pieds. Les moindres détails que j’étais en mesure d’observer ne faisait que renforcer le charme de la belle et accentuer ma propre maladresse et mon attitude renfermée. Avais-je la moindre chance avec une dame de son calibre ?

La réponse était simple et je me repris d’y avoir même songé. Mais étais-ce par excès de chance ou par simple insouciance, je tentai tout de même le coup.

Lorsqu’elle passa proche de la table où j’étais assis, d’une manière brusque de peur de voir le mirage s’effacer, je lui saisi la main. La gorge trop faible pour parler dans ce vacarme assourdissant et ainsi lui demander le souhait qui était le plus simple en se jour je lui fit signe d’attendre quelques secondes. Empoignant une feuille et un crayon que j’avais eut l’intelligence d’apporter, je lui glissai dans la main un billet d’invitation à souper, délaissant ainsi la soupe que me semblait tout à coup moins appétissante pour une promesse d’un restaurant aisé.

L’idée d’essuyer le moindre refus me glaçât d’effroi sans doute pour la première fois de ma vie et c’est avec une impatience peu commune que j’attendis sa réponse, suivant avec attention ses yeux lire le petit feuillet et scrutant son visage dans l’attente d’une réaction. Peut-être fut-il la réaction, ou le manque de réaction qui me furent craindre le pire, mais à mon soulagement, ses lèvres se mirent à se mouvoir. Dans l’assourdissant vacarme, il me fut plus facile de deviner que d’entendre sa réponse : « Voulez-vous, plutôt, venir chez moi, nous y serions plus à l’aise et pourrions faire plus amplement connaissance ? »

Je n’eut point à dire de réponse face à cette invite car mes yeux y répondirent mieux que je n’aurait pus le faire à l’aide de mots, de phrases ou de poèmes. Je crois qu’elle aussi le compris car au même moment que je me dictai ces paroles par la pensée, elle rougit.

Bien plus tard, je me réveillai dans un lit étranger. Sans doute celui de la belle Manon avec qui j’avais passée une soirée inoubliable. La soirée c’était passée parfaitement, elle m’avait comblée au delà de toutes mes espérances de garçon aguerrît a jeu de l’amour. À mon arrivée en ces lieux, un brouillard étrange m’avait entouré, percé à quelques moments par le rire joyeux de ma compagne. Et maintenant, à mon réveil, ce même brouillard tardait à se dissiper, me laissant ainsi dans une béatitude éveillée. Surprennent, le décor de la chambre où j’étais m’étais familier. Lorsque ma vision s’éclaircis enfin, toute paix me quitta.

En toute hâte, je bondis hors du lit pour me précipiter sur la source de ma surprise et de mon émoi. Se pouvait-il que ce soit vraiment ce à quoi je pense ? Est-ce vraiment ce que cela semble être ? Depuis le temps que je ne l’avais pas revu…. Comment se faisait-il que la petite détenait un objet pareil ? Un cadeau fait à une femme d’un tout autre âge il y avait de cela si longtemps. Il était impossible qu’elle ai en main une reproduction aussi parfaite de mon portrait. Le port de tête, la moustache, le même nez arlequin… Ainsi que le petit grain de beauté au coin de la bouche… Bien que c’était impossible de l’avouer, il me fallait me rendre à l’évidence : elle détenait bel et bien mon premier portrait, le seul et l’unique.

Puis, un détail attira mon attention. Juste au coin du portrait, coincé entre le cadre et la toile se trouvait un petit bout de papier, quasiment impossible à voir. Du bout des doigts je le détachai de sa cachette, sans réellement y penser. Je le pris délicatement et le dépliai ainsi. Sur le papier, il était écrit d’une main d’une et avec une écriture inoubliable quelques phrases :

Ma chère fille, toi que j’ai chérie pendant tant d’année, voici pour toi un présent, le seul souvenir qu’il me reste de ton père. Je tenais à te le donner avant ma mort. C’est son portrait.

Avec amour, ta mère

Merci pour le temps alloué à la lecture de ce texte et si vous voudriez être des anges, Répondez à ce questionnaire :

1. Votre opinion personnelle du texte :
2. Choses à améliorer :
3. Point fort du texte :
4. Ce texte était basé sur une nouvelle de Guy De Maupassant, vous a-t-il donné envis de lire les autre nouvelle qu'il a écrit?
5. Aviez-vous déjà lu des nouvelles auparavant? (qui semblent mener du point A au point B mais en réalité la finale se retrouve le point Z)
6.Aimez-vous le style "nouvelles" utilisé par Guy de Maupassant?
6.Autres opinions?

Merci d'avance!

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