Dans une belle clairière, Klovic était là, assis sur une roche, les jambes croisés. Il méditait, cherchant un endroit dans sa tête pour oublier l'horrible sens instinctif d'un loup affamé, lièvre et sang à la gueule. Toute son attention se posa sur la brise, qui balayait les bourgeons des arbres qui l'entourait. Il fesait beau, il y avait une brise légère et nous pouvions entendre les animaux qui étaient assez près de lui. Il fesait frais, malgrés la brise fraîche. Sa quête vers la trnaquillité etait presque devant lui, dans sa tête bien sûr, quand soudain, il entendit les plaintes de quelqu'un. Des faibles plaintes, mais assez forte pour que lui l'entende. Il ouvrit les yeux, plein de désespoir, car il n'avait pas trouver se qu'il voulait. Il vit devant lui, sur le sol, un écureuil, le regardant dans les yeux. Il était petit, brun et maigre. Sa queue bouffu flotait à la brise.
- C'est toi, c'est toi qui me dérange? dit Klovic avec regret.
* Portant tu n'avais pas l'air d'être occupé...* dit la petite bête en riant.
- Ton petit cerveau ne pouvait comprendre que j'était en train de méditer. Je n'était pas occuper, mais tu n'avait point besoin de me déranger pour autant, dit-il en sortant une miche de pain de sa poche. Il la sépara et en lança une partie devant l'animale qui le prit aussitôt. Klovic avait deviné ce qu'il voulait, et c'était bien la fin de ses plaintes agaçante.
Il se lava, époussetta sa cape, sali par la poussière de la roche, où il était assit. Il tourna le dos à la petite bête et jetta le reste de la miche de pain derrière lui, où elle tomba juste devant l'écureuil, qui avait fini le morceau qui avait eu au par avant. La petite bête ne tenta même pas de suivre l'homme, car il avait eu ce qu'il voulait, mais il le regardant quand même s'engouffrer dans la forêt.
L'homme était fatigué et il ne voulait pas dormir à la belle étoile, malgrés que c'était quelque chose qu'il appréciait. Il se dirigea donc à l'aveuglette, en espérant de trouver un village, bien proche. Mais sa fatigue ne lui permit pas de retrouve son chemin, alors il s'engouffra encore plus loin dans la fôret. Après quelques heures de marche, l'homme s'arrêta net, épuisé. Alors, il ne fit point de feu, se coucha sur le sol et s'enroulla dans sa cape. Il ne s'inquiéta pas pour sa défence, dans une fôret, au beau milieu de la nuit... il ne voit pas de quoi avoir peur...