Dans le désert ... Le titan demeure...

Le seigneur Coamenel plus brillant que j'amis rester en face. Il venait de composer une ôde en son honneur et voulu lui en faire part. La langue était incompréhensible mais les variations des intonnations cerressaient l'oreille si agréablement que la mélodie en devenait hypnotique.

Finrod Anwamanë
Finrod Calaelen
Elrond Telrúnya
Nurmerethwen

Beren Anwamanë Thranduil Súrion
Sairalindë Súrion Eáránë Anwamanë
Orophin Coamenel Séreméla Coamenel
Lintepaurwen Thaliiâthwen

Des que le chant fut terminé, une vive lueur apparu dans le ciel. Le titan de l'air pouvait être content, la brise se levait et il pouvait repirer l'air pur du désert. La chaleur était accablante, mais aucunes gouttes de transpiration ne venaient à perler.
Puis avec sa plus belle voix, il entonna un second chant mais les paroles étaient trés différentes des précédentes comme s'il parlait le language des hommes.

Falco Overhill
Todo Boggy Hillocks
Mungo Brambleburr
Orangebloss Bumblero

De ses mains jaillirent de petites boules blanches et pure comme l'azur du matin. Il les envoya délicatements dans le ciel. Ces petites boules, d'une douxaine environ se dispersairent jusqu'à l'horizon. Quelles étaient leurs buts, personne ne peux le dire...

Dans le ciel, une magnifique aurore boréale se dessinait ne mieux en mieux. Ainsi, c’était donc les petites boules qui avaient changé la composition du ciel. Le titan avait l’âme d’un poète, il avait charmé le soleil en lui offrant une pluie de couleur chatoyante plus vivante les unes que les autres. Dans ce désert aux couleurs ocres, rouges, oranges et jaunes, certaines couleurs ne pouvaient demeurer dans un tel lieu comme le vert d’un matin printanier ou le violet d’une fleur venant de naître. Le seigneur du ciel acceptait volontiers de se prêter à cette démonstration de ses talents pour effrayer les promeneurs perdus dans le désert. Il ne voulait que la présence du soleil et de quelques animaux.
Des que l’aurore boréale se matérialisa correctement dans le ciel, le désert changea du tout au tout. Les dunes se parairent de milles couleurs, des bleu, des roses, des rubis et tant d’autres couleurs inconnues. On aurai dit un paradis. Mais l’effet bien que magnifique, il était aussi éphémère. Il ne dura pas plus de 5 secondes.
Dans son immensité, le titan de l’air se sentait bien, l’espace était vital pour lui-même s’il était condamné à rester ici toute sa longue vie.

Durant cet après midi, le titan vit un immense oiseau survoler son domaine. Intrigué, Orophin s’éleva très haut au-dessus de sa dune. Plus ils s’approcha du volatile plus il fut intrigué car cet oiseau devait bien mesurer 7 mètres d’envergure. Il était marron avec le bout des ailes dorées. C’était un aigle royal de 15 ans environs. Le titan, voyant cet être si magnifique et beau se prix en pitié pour lui car il avait peu de chance d’arriver en vie en survolant cet endroit. Il créa ainsi une bulle autour de l’aigle et l’y emprisonna. Puis il souffla sur la même bulle qui s’éloigna très rapidement du désert pour des contrées plus amicales pour ce genre d’oiseau. Quelques minutes après, la bulle disparaissait derrière l’horizon.

Le titan retrouva sa distance de 1 mètre au-dessus du sol.
L’idée de l’aigle lui avait donné une idée et il réfléchi à une ode pour son dieu solaire.

Beren Sîrfalas
Beren Táralóm
Elrond Sáralondë
Findecáno Linwëlin

Amroth Pallanén
Elbereth Calmcacil
Idril Melwasúl
Alatáriël Tinehtelë

Soudain, l'arbre le plus proche remercia le titan de l'agréable phénomène de l'aurore. Un coeur se dessina sur son tronc séché.

Orophin commençait a fatiguer... Il regarda une dune au loin


Et commença a composer une ôde en langue inconnue mais se n'était pas celle des titans. Décidément, Orophin connaissait beaucoup de choses bien qu'il ne quittait jamais son désert...

Dunea dulecinea
Comoe alcinimeria
Alokalatee micilathia
Filotimys Charralith

La cape du titan révélait la légère brise qui commençait a se lever. Le soleil encore assez haut dans le ciel chauffait beaucoup moins. Et les ombres se déssinairent au sol. Au milieu de cet endroit un calme divin raillonait... Une quiétude et une sagesse émanaient de chaque grain de sable. La guerre et la violence ne pouvaient régner dans ce lieu ignoré de tous...

À l'aube, lorsque qu'à peine quelques rayons de soleil perçaient à l'horizon, Sanja ouvrit ses yeux encore fatigué. Il n'était pas bien tard, mais pourtant, la chaleur était déjà intense. Sanja, n'ayant pas l'habitude des grandes chaleurs, failli perdre connaissance à deux reprises. Sa t^rte tournait et elle se sentait faible avec ce climat peu désirable. C'est alors qu'elle aperçu un Oasis au loin.

Lorsque celle-ci arriva enfin au point d'eau, la mirage disparus, ce n'était pas vrai!!! La jeune femme mourait de soif et de grosses gouttes de sueur perlèrent sur son front.'' Je ne suis point faite pour de telle chaleur'', pensa-t-elle en attachant ses cheveux avec une lanière de cuir pour avoir un peu moin chaud. Heurement que Sanja n'était pas vêtu de chauds vêtements, car à cette heure, elle ne serait plus de ce monde.

Un passant sur son chameau vit la fille haletante et decida de la prendre sur sa charge. Il la monta sur sa monture et lui donna un peu d'eau. Il la couvrit ensuite d'un châle blanc, reflètant le soleil. Sanja ne connaissait guère cet homme et ne savait pas non plus où il allait mais elle n'avait pas le choix.

hj:Je sais qu'il faut mettre où elle s'en va, mais elle ne le sait pas

Voilà 3 Jours qu'une silhouette ressemblant a une ombre parcourait les terres jusqu'au jour ou il atteignit Ionas. Il faisait nuit mais le soleil allait bientôt se lever et les rumeurs sur ces terres arides n'inspiraient pas vraiment cet homme vêtu de noir à rester. Alors il s'enfonça dans le désert au grand galop pour en sortir le plus vite possible. Pendant une ou deux heures ils parcourraient le désert sans en voir la sortie. Des les premières lueurs du jour le cavalier et sa monture sentirent la chaleur, sous son long manteau et son armure le chasseur de démon avait peur de finir complètement desséché. Il décida de se cacher près des falaises ou un peu d'ombre subsistait. Il descendit de son cheval et but un peu d'eau mais il allait bientôt manquer, ainsi que les provisions pour lui et son destrier. Il retira son long manteau et son armure puis le foulard qu'il avait sur le nez pour ne pas respirer trop de sable, a cet instant le visage doux de Shin apparut. Il détacha ses cheveux pour enlever la poussière en secouant la tête juste avant de les remettre. Puis il s'assit par terre et se mit à réfléchir

*Si je pars maintenant... j'ai plus de chance de mourir, je dois attendre cette nuit et économiser mes forces, autant tenter de dormir...*

Il appuya sa tête contre son manteau et ferma les yeux. Mais alors qu'il commençait a s'endormir, le visage de sa mère, ses dernières paroles, les démons et l'eau le hantèrent , après 1 heure il se réveilla en sueur en tremblant. Mais quand il reprit ses esprits son cheval était affolé le sable lui fouettait le visage, et le sifflement du vent semblait inquiétant, une tempête de sable se préparait. Il remit Tous ces vêtements et se dépêcha de repartir, il affronta la chaleur, les sables se soulevaient sa monture devenait incontrôlable mais il courait toujours avec pour seul idée la survie.


[lòmelindi]

Un éclair ! Un immense éclair déchira le ciel bleu. Pas un nuage ne venait perturber la magnificence du soleil.
*C’est un signe… * Depuis plusieurs jours le titan de l’air s’était tu. Des étrangers parcouraient le désert et il ne voulait pas que sa présence attire les intrus. Mais il devait réagir, le soleil demandait des offrandes. Orophin lévita puis s’éleva de + en + haut dans le ciel. Il leva les bras en forme de croix, haut dans le ciel. Une brise légère commença à inonder l’air. Sa magnifique cape blanche bougea au grès des bourrasques. Mais cette brise se transforma en vent fort. Désormais, son manteau frappait l’air de ses mouvements et le sable à la base tournoyait en dessinant des formes organiques…
Puis d’un seul coup, Orophin leva ses bras et ses mains en direction du ciel, et une colonne de sable jaillit du sol. Un bruit étourdissant, comme jamais ce continent n’en connu…

Nilato, Nilato espaçimass
Guanto della vaçimass
Minea ci elthel lia
Oumma espaçimass

Il faisait chaud, le sol était aussi brûlant que la cendre, l’air était sèche et des particules de sables se promenait au travers du vent qui voletait dans tout les sens. L’homme ailé paraissait mort, le soleil le frappait en plein sur le visage, seule un mouvement de la main donnait l’impression que l’ange était encore en vie.
- Sym……. SYM……. RÉVEILLE TOI ! Tu as une mission à accomplir! Hé! Tu m’entends!
Sym ouvrit les yeux! Il avait une sensation de douleur sur le visage, sa peau lui brûlait… Immédiatement, il se dirigea vers l’océan qui était à une cinquantaine de mètre au pas de course et plongea tête première dans l’eau. Heureusement que Tyran l’avait sortit du sommeil sinon il aurait pu dire adieux à sa beauté d’être de lumière.
Sym se rappela qu’il était tombé à la mer lors d’une attaque d’un calmar géant sur le navire Le Havran, maintenant il était sur une plage en forme de dune qui laissait voir à l’horizon l’immensité de l’océan. Sym se retourna et il décida d’escalader la montagne de sable qui se trouvait derrière lui. Il se demandait si……
- Haaaaaaaaaaaaaa !!!!! Nooonnnn!!! Ce n’est pas vrai! Cria l’ange fou de rage, hurlant dans le vide qui se trouvait devant lui.
Et voilà, même s’il savait déjà se qui l’attendait l’autre côté de la dune, Sym ne pouvait s’empêcher de dire toute la frustration qui se trouvait en lui pendant qu’il regardait face à lui un désert qui paraissait infini, dégagent une espèce de fumée incolore laissant croire que la terre était en train de cuire.
- Non! Comment suis-je arrivé ici? Où suis-je? Tyran ! Qu’est-ce que je fais maintenant? Dit Sym d’un ton découragé. Pendant un instant, il pensa qu’il aurait été plus favorable de mourir noyé plutôt que de finir en bacon.
- Bon, calme-toi, nous allons trouver un moyen. En passant je tiens à t’informer que tu as perdu ta lance. Dit Tyran d’une sonorité entièrement désolé.
Pour rendre la chose encore plus détestable, il était dans un désert, il avait le visage qui commençait déjà à plumer, il n’avait plus d’arme et il était seulement sur le bord de l’océan. Il ne voulait même pas imaginer comment se devrai être pénible au milieux de ce paysage de sable d’or.
- Bon, alors, premièrement je crois qu’il te faudra te fabriqué une sorte de gourde. Ensuite, je ne suis pas très sûre mais je crois que traverser le désert par son centre sera plus rapide pour aller vers le port, heureusement je crois que la nuit va bientôt tomber.
Après avoir écouté attentivement les conseils de Tyran, Sym alla longer la plage et il trouva un gigantesque coquillage. Il prit l’un de ces vêtements de cuir qu’il dressa sur le côté ouvert du coquillage. Il avait maintenant une gourde, improvisé mais qui semblait très bien conserver l’eau et en prendre une assez grande quantité pour la traversée. Il était maintenant près. Pour ce protéger du soleil, il décida de se servir de ses deux ailes pour lui faire de l’ombre, même si elles étaient noir et qu’elles attiraient la chaleur, Sym supportait très bien la douleur.
Après trois heures de marche, Sym avait déjà plus d’eau, ses ailes ne sures portaient plus la chaleur accablante et il avait maintenant l’impression que tout était fini pour lui.
- Le soleil disparaît là, ce n’est pas le moment de lâcher… À la tombé de la nuit je suis sûre qu’on pourra se reposer. Ne reste pas sur place sinon c’est la mort! Dit Tyran qui paraissait aucunement dérangé par la chaleur. En tant qu’esprit bien protégé à l’intérieur du corps de Sym, il n’avait pas à subir tout ce que l’ange vivait pour le moment.
Sym continua d’un pas plus rapide cette fois… Les paroles de Tyran l’avaient encouragé fortement et il était dorénavant près à franchir n’importe quoi.
Finalement le soleil était presque entièrement couché et Sym sentait enfin un peu de fraîcheur, il ne ressentait plus le besoin de boire. Par contre il trouvait que le vent se faisait de plus en plus fort et cela commençait fortement à l’agacer. Tyran avait un mauvais pressentiment.
-UNE TEMPÊTE! Cria Tyran de l’intérieur, dans la tête de Sym… VITE, IL FAUT TROUVER UN ENROIT POUR TE CACHER.
Mais il n’y avait rien à l’horizon qui paraissait avoir la forme quelconque d’une cachette. Sym continua à avancer vers l’avant en se protégeant de ses ailes des grains de sables coupant qui traversait par endroit sa chaire. Finalement, Sym vit apparaître devant lui un petit arbre dont le centre était découpé d’un cœur. L’ange était à bout de souffle et il décida de s’appuyer contre l’arbre. Sym se mit alors à genoux et s’entoura de la seule protection qu’il possédait : ses ailes. Emmitouflé dans son immense plumage, Sym fit un souhait qu’il n’aurait sans doute jamais souhaité. * S’il vous plait, faite qu’il pleuvent* … Une aura de lumière pouvait être aperçu dans le désert de Ionas cette nuit là. Un ange brillant de son aura et un arbre desséché ne faisait plus qu’un dans la pénombre glacée d’un désert sombre sans vie.
>>> Suite : Continue : Ionas : Dans le désert : Le Titan demeure…

Sym était loin de s’imaginer pouvoir survivre pendant la nuit mais il était encore conscient et bien vivant. Il croyait que les grains de sables allaient finir par le tuer, la force extrême du vent et les blessures causées par le sable tranchant ont bien faillis mettre un terme à sa mission et à sa vie. Il était maintenant temps de repartir, il devait retrouver cette force du mal qu’il devait éliminer de cette terre.
Après un instant à se débattre pour sortir de la grande couche de sable qui le recouvrait. Sym repris sa route, du moins celle qui croyait être la bonne. Il devait sortir de ce désert le plus vite possible, au moins avant la prochaine et si possible avant le milieux de l’après midi là où le soleil tape le plus fort. Heureusement, l’aube était un peu plus fraîche qu’à la normal ce qui lui laissait peut-être le temps de traverser le désert sans trop de mal.
Dès le moment où la première de marche fut terminé, Sym ressentait déjà la chaleur insu portante des rayons du soleil qui le frappait en plein visage. C’est à ce moment là que Tyran mentionna sa première phrase de la journée et cette fois si la voix de Tyran paraissait complètement bouleversée.
- Oh non! Nous avons passé à côté! NOUS AVONS PASSÉ À CÔTÉ!
- Quoi Tyran! De quoi parle-tu?
- De Théodoric.
- Il est dans le désert?
- NON!
- Il est où alors?
- Sur le continent de la terre, je l’ai senti dans mon rêve, il combattait contre une horde de flèches. Il faut mettre un terme à sa vie avant que quelqu’un le fasse avant toi sinon ta sœur ne sera pas libérée.
- Alors il faut absolument que j’y accoure mais je ne sais même pas où je suis et comment y aller et surtout je n’ai pas ma lance, sans elle, je ne pourrais rien contre lui.
- Bon alors prend à ta droite, les montagne là bas signifie la fin du désert, fait attention à certain rochées, il sont empoisonnées. Ensuite il suffira de traverser une longue clairière qui te mènera au port de Lómelindi où t’attendra le capitaine Hurtbane avec ton arme, tu lui demandera ensuite si possible de retourner sur le continent de la terre.
Sur ces mots, Sym se mit à courir en direction des montagnes, sans se rendre compte de la souffrance de son estomac et de la faiblesse de ces jambes mais la détermination qu’il avait pour sauver sa petite sœur lui donnait toute l’énergie nécessaire pour sortir de cette terre de cendre.

»»» Suite : Le port de Lómelindi.

La nuit !
La nuit était tombée sur Ionas.
Une nuit calme, douce et belle comme il n’y en a pas eu depuis plusieurs jours.
Dans son infinie bonté, Orophin avait décidé de ne pas utiliser ses pouvoirs pendant la nuit.
Il ne faut pas croire qu’un titan reste sans arrêt éveiller !
La nuit, la couleur du titan de l’air se camouflé parfaitement avec les dunes de sables éclairés par la forte lumière.
La température restait très agréable aux alentour des 20°C, et une légère brise naturelle caressait le haut des dunes.
Aucune lumière de l’endroit où Orophin demeurait habituellement.
Le désert avait une allure presque divine, pas un nuage ne venait perturber les rayons nocturnes.
Les étoiles brillaient de 1000 feux, et… si on restait un peu... nos yeux s’habitueraient sûrement a ce magnifique paysage de tranquillité.

Au petit matin, Orophin s’éleva doucement de sa torpeur. Le vent sifflotait sur les crêtes des dunes, et les petits arbustes retenaient les gouttelettes de rosées. Le désert semblait paisible et la douce chaleur du matin n’effrayer pas les animaux sortis pour se désaltérer, des fourmis, des fennecs, des petits oiseaux…
Le désert de Ionas apparaissait bien calme sans ce titan orgueilleux.
Soudain, une puissante lumière jailli des cieux et frappa le sol, le titan venait de se réveiller…
Son manteau glissait au vent comme un tissu dans l’eau, mais étrangement sa cape volait dans le sens inverse à la brise. Puis le titan se déplaça vers les falaises jouxtant son domaine, il pouvait apercevoir la magnifique oasis de son désert. Ici son pouvoir n’existait que sous forme d’énergie pure. Certes se n’était pas un bel oasis mais au moins cela faisait un point d’eau permanent pour les animaux et les rares caravanes. Orophin se baissa pour boire a sa surface et regardait son visage dans l’eau…. Mais il ne voyait que deux lumières à la place des yeux et même en minimisant l’effet il n’arrivait pas à distinguer son visage et ainsi se souvenir de ce qu’il était avant…