Chambre de Zéphir (l'espace d'un voyage)

La lumière de l'extérieur donnait à la pièce une drôle d'ambiance. Pièce éclairée que par une seule fenêtre était en partie dans l'obscuritée.

Zéphir entra en regadant tout autour de lui, puis referma la porte.
Il s'avança dans la pièce, regardant dans l'antre pour voir si un feu avait bruler il y a quelques temps, mais rien. Il s'avança alors vers le lit et y déposa sa sacoche. Il enleva doucement sa cape, qu'il déposa aussi sur le lit, puis poussa une des chaises qui était placée autour de la table circulaire et s'approcha de la fenêtre.

Il leva sa main et la fenêtre s'ouvrit alors en une seule fois. Le vent s'engouffra dans la pièce faisant voler dans le désordre les rideaux.
Les cheveux noirs du draconien firent pareil. Les yeux de ce dernier étaient fermés .

La caresse du vent était décidement d'une douceur. Il réouvrit doucement les yeux, et regarda ce qui se trouvait devant lui. Les bois allentour, et la cour intérieur. Dont Enlen qui était en train de se nourrir de viande. Il eut un sourire assez enfantin sur son visage.

*il va avoir une indigestion si ça continue...*

Il laissa la fenêtre ouverte et se déplaça vers le lit. Changea de place sa (grande)sacoche et sa cape, pour les mettre sur la table, puis se coucha sur le lit avec grâce. Il ferma les yeux et profita de ce moment de tranquilitée.

La nuit.

Ys... belle citée, la mer, la grande bibliothèque... les dragons.
Perdu dans ses rêves, Zéphyr pourtant se réveilla.Il ouvrit peu à peu les yeux et se redressa sur son lit. Quelque chose le troublait, mais quoi.

Il sursauta. Oui. Enlen l'appellait. Il regarda par la fenêtre avec un air empreint d'inquiétude. Puis se leva et approcha de la fenêtre.
La nuit était belle, mais quelque chose se tramait.Quelque chose d'inquiétant. Il avait une pointe au coeur et en bas résonnait jusqu'à ses oreilles une mélodie lugubre. Une voie rauque produisait une sorte de vibrement qui emplissait l'air avec une facilité déconcertante.

Un dragon... un autre dragon était dans les parages de la citée. Il fronça les yeux. Pourtant personne d'autre n'avait été envoyé par Ys. Alors quoi? C'était signe de quoi? Et surtout de qui?

Il baissa ses yeux, puis sentit un courant d'air semblable à un tourbillon. La mélodie c'était tue, et devant lui, un dragon immense et blanc faisait du sur place.

-"Enlen..."

Murmura Zéphir avec toujours cette inquiétude visible sur le visage.

-"Tu l'as sentie aussi n'est ce pas mon ami."
Répliqua Enlen.

Le jeune draconien hocha de la tête. Puis regarda par sur le coté, les vallées de Elenwë.

-"Je crois que prévenir Ys et les autres messagers serait une bonne chose."

Le dragon poussa un hurlement rauque puis tout en continuant son sur place, produisit au niveau de la poitrine une lumière blanche. Puis sans prévenir, deux boules blanches , semblable à du feu, sortirent de sa gueule et s'élevèrent dans les airs.

Zéphir les regarda s'éloigner dans les nuages. Puis il observa Enlen faire quelques brasses parmis les nuages au dessus du château.

La princesse volait gracieusement dans le boisé à l’Est d’Elenwë quand un hululement bas la fit frémirent… Une chouette l’observait de ses immenses yeux jaunes, qui trahissait son envie de léger repas. Maintenant en oiseaux, Bryséïsse ne pouvait contrôler l’esprit de l’animal et son instinct de volatile lui fit rebrousser chemin le plus vite possible. La chouette prévu le coup et se mit à sa poursuite, voletant mollement mais rattrapant dangereusement Bryséïsse! La jeune oiselle pivota à gauche, à droite mais la veille chouette était toujours derrière elle! Bryséïsse multiplia plonger et remonter mais rien à faire… Elle vola donc le plus vite possible vers le château! Son cœur battait à tout rompre, elle jouait sa vie! Pourtant, la chouette ne parvenait pas à l’attraper et sachant qu’elle ne pourra jamais gober cette minuscule proie, elle gifla seulement celle-ci de son aile et repartit. La princesse rebondissa sur une colonne et atterrit dans une chambre, qui avait la fenêtre ouverte… Étalée sur le sol, le plafond tournait devant les yeux de Bryséïsse… Elle était étourdit et ne parvenait qu’a laisser passer quelque plaintes de son petit bec…

Zéphir aprés une petite observation de la nuit étoilée qui était si présente et si calme, il s'éloigna de nouveau de la fenêtre. Il faisait un peu frisquet mais c'était bien normal vu la fenêtre ouverte. Pourtant loin de lui l'idée de la refermer, il se rapprocha de la cheminée, saisit du petit bois, ainsi que un peu de paille, puis posa dessus une bûche.
Il se redressa et fit demi-tour vers son sac qui se trouvait sur la table.

Fouillant à l'intérieur ,se fut un petit bruit sourd qui l'éveilla de ses pensées. Il releva les yeux mais ne vut rien. Il scruta pendant un moment la pénombre de sa chambre avant de voir, couché sur le sol, éclairée par la lune qui se levait dehors, un oiseau multicolor.Assez petit, mais trés joli. Il se rapprocha de ce dernier puis s'agenouilla et le regarda un peu plus.

Il releva la tête et fixa son attention sur la fenêtre.
Peut être c'était il cogné au chassis.Peut être était il poursuivi par un animal plus gros?
Il baissa le regard et fixa de nouveau son attention sur l'oiseau. Il était peut être blessé...
Délicatement, Zéphir le souleva,le posant ainsi dans sa main gauche. L'oiseau était juste de la bonne taille pour tenir sur sa paume.

Il se releva et fouilla dans son sac mais plus pour chercher la même chose.
Il sortit de son sac un bout de tissu, sur lequel il posa l'oiseau. Puis délicatement commença à l'examiner. Aucune aile blessée, aucune blessure ouverte, les organes internes n'avaient pas l'air d'être endommagées. Il en déduit assez rapidement que cet oiseau devait être sonné.
Il le laissa un peu reprendre ses esprits puis sortit une petite fiole de son sac, ainsi que deux petits cailloux.
Il s'éloigna de la table et alla s'agenouiller prés de la cheminée. Saisit la fiole et déversa sur la paille déja installée deux gouttes, puis referma la fiole et grâce à son pouvoir frotta les deux cailloux juste au dessus.
En quelques secondes un feu naissant et prenant un peu plus de grandeur apparut.

Il se releva et rangea ses affaires à leurs places. Une lumière orangée donnait maintenant à la pièce une teinte assez conviviale. Quelque chose le dérangeait... comme si cet oiseau dégageait quelque chose de différent qu'un oiseau normal.
Il s'installa bien confortablement sur une chaise et regarda cet oiseau si étrange.

Oui quelque chose sortait de l'ordinaire, mais quoi?

À ce moment, un cocon d’une lumière violette aveuglante entoura la petite bête. Le cocon prit de l’ampleur et de l’ampleur jusqu'à prendre forme humaine. La lumière s’estompa et Bryséïsse apparue dans un souffle. Ses paupières toujours closes bougeaient légèrement. Sa tête tournait et elle sentait son épaule droite ankylosée. Avant même d’ouvrir les yeux, elle mit la main sur sa belle dague émoussée. Elle était bien là et le simple contact de celle-ci l’à réconforta, l’emplissant d’une douce chaleur. Elle battit des paupières et finie par ouvrir les yeux brusquement. Ses yeux inspectèrent la pièce où elle était étendue et elle hoqueta de surprise, relevant le torse en se rendant compte qu’elle ne savait où elle était. En relevant sa poitrine elle tomba presque nez à nez à un homme assez jeune. Elle le regarda, bouche légèrement ouverte ses grands yeux brillants alors que son esprit réfléchissant aussi vite qu’un cheval au galop dans les plaines d’Elenwë.
*Qu’est-ce qui c’est passé? Que fais-je donc en cet endroit? Cet homme m’y aurait-il amener? Pourquoi? Qui est-il? M’a-t-il vue me transformer? Ho non , si père l’apprend! Je ne peux fuir tout de suite, avant d’être sûr des intentions de cet homme ni sortir pas la porte de sa chambre… *
Finalement, ne sachant trop que dire, elle l’interrogea du regard, la tête légèrement penchée sur le côté. Étant timide, la présence de l'homme la troublait...

Une lumière aveuglante fit son apparition.Tellement aveuglante que Zéphir du mettre sa main au niveau de ses yeux. Mais qu'est ce qui se passait? Ce n'était donc pas un oiseau normal. Il recula dans un geste vif sa chaise et se leva donc au cas où il fallait répliquer à une attaque. Mais ce n'était pas du tout une attaque. Car la lumière passée, rien ne se produisit. Rien. Hormis une jeune fille couchée sur la table, à la place de l'oiseau.

Il eut un temps de pause, puis se frotta les yeux. Non il ne rêvait pas.
Il y avait bien une (jolie) jeune fille.

Il ne bougea pas. Mais quelque chose au fond de lui le tiqua. Une énergie, la même énergie qu'il ressentait depuis son arrivé dans le château. Ce serait elle? Le trésor? Il fit une moue réfléchissante. C'était la même énergie, mais pas si forte. Comme si il n'y avait qu'une petite partie. Cela était assez étrange, et le pertuba. Mais il revint bien vite à la réalitée.

La jeune fille en question se réveillait. Qui était elle? Elle avait attérit sans autres formes de procés. Et son identitée était donc inconnue. Etait elle seulement de Elenwë?
Il remit la chaise qui était tombée et se tenait maintenant devant la jeune fille.

Il leva un sourcil tout en la regardant. Rien ne pouvait dire qui elle était.
Mais était ce réellement important? Puisqu'elle était là.

Il lui tendit la main, pour l'aider à descendre de la table. Peut être qu'elle serait mieu assise sur une chaise.Il ne savait pas, et se contenta juste de sourire .

Bryséïsse était déboussolée et ne savait vraiment pas comment réagir… Elle restait là, immobile à regarder l’homme qui la dépassait d’au moins une tête et demie. Elle trouvait étrange son visage blanc qui paraissait encore plus éclatant vue la couleur noire e ses cheveux. Oui, c’était étrange mais d’un étrange exotique. Quand il lui prit la main pour l’aider à se remettre debout, elle se sentie fébrile et encore plus intimidée… Elle oubliait complètement son rang de princesse devant les yeux de Zéphyr qui cachait une lueur rougeoyante dont elle était incapable de détourner les siens. Quand il souria, elle glissa un timide sourire sur ses lèvres et regarda quelque instant le sol, avant de remonter ses grands yeux mauves vers ceux de Zéphyr. Elle ne savait vraiment pas quoi dire! Elle essaya de mettre de l’ordre dans ses idées que l’homme devant elle mélangeait. Il avait l’air d’être dans la vingtaine donc il avait peut-être seulement 3 ans de plus qu’elle. Elle réfléchie à la première chose qu’elle devrait lui dire. Elle ne devait vraiment pas parler fort, personne ne devait savoir qu’elle était ici!! Elle ouvrit la bouche pour parler, hésita et continua en parlant à voie basse.

-Personne ne doit savoir que je suis ici, il en va de votre sécurité…

Elle replaça nerveusement ses jupes.

-Hum…Qu’avez-vous au juste?

Petite... cette jeune fille était petite. Mais en même temps il était un peu grand. Contraste intéressant.
De plus, elle avait aussi les yeux d'un mauve flamboyant, bien que lui sa teinte s'orientait plus vers le rouge.

Quant il lui prit la main et l'aida à regagner le sol, il ne put s'empécher de garder son sourire amusé.Elle avait l'air timide et peu sur d'elle. Encore une différence comparé aux jeunes filles qui faisaient leur apprentissage dans sa ville. Cela lui donnait un coté mignion et assez charmant.

Mais il ne savait toujours pas qui elle était. De plus il ne l'avait même pas croisé dans les couloirs en arrivant. Elle pouvait donc être n'importe qui. Mais pas une ennemie, enfin sans doute pas. Elle ne dégageait aucune énergie étouffante, même si, la jeune fille avait provoqué un trouble dans le coeur du jeune homme. Mais il ne devait pas en tenir rigueur, il était en mission.

Peu sur d'elle et hésitante. Il parut intrigué. Elle avait l'air de vouloir prononcer quelque chose, mais cette hésitation la stoppait. Mais elle se décida enfin à prononcer quelques mots. D'une voie clair et douce d'ailleur. Une voie avec une tonalitée épicée des accents elfiques.

Encore plus intrigué désormais Zéphyr était.Sa sécurité? Mais comment la présence de cette jeune fille pouvait le mettre en danger? Peut être était elle fiancée à un prince jalou. Tuant tout ceux qui approchaient de trop près cette jeune fille. Ou alors une belle-mère jalouse? Ou autre affabulation de contes pour jeunes enfants.
Mais si il y avait un prix à payer pour avoir vu cette jeune fille... il le payerait.

-"Ce que j'ai vu? Un oiseau se métamorphoser en jeune fille"
dit il calmement en prenant la tonalitée basse de cette dernière.

Peut être qu'elle était suivi? Pourquoi voulait elle se faire discrète? Personne n'était présent dans le couloir qui menait à la chambre du draconien. Sinon il l'aurait senti.

Derrière lui, le feu crépitait doucement tandis que le vent faisait balancer les rideaux de la chambre.

Il l’avait vue.
Il avait vraiment tout vu!
La princesse paniqua en son for intérieur. Allait-il l’a dénoncer à son père? Allait-elle finir sur un bûcher comme toutes ces personnes aux pouvoirs étranges? Elle avait peur, terriblement peur. Elle se força à se calmer en relevant les yeux vers Zéphyr. Il avait l’air tellement calme et de plus, aucune aura de colère où de peur ne l’entourait. Peut-être pouvait-elle lui faire confiance… Elle hésitait mais quand elle vue son regard plein de questions, elle eu vraiment envie de tout lui dire. Pourtant, elle ne voulait pas que son rang établisse un mur entre elle et lui. Pourquoi? … Elle ne le savait qu trop peu, mais quelque chose l’attirait vers le garçon, quelque chose d’indéfinissable. Elle devait avoir l’air stupide et faible en ce moment! Elle se traita de tout les noms possible dans son esprit. Elle le faisait encore quand elle dit :

-C’est que…si mon père, le propriétaire de cette demeure apprend que je suis ici, en pleine nuit, même si c’est de mon plein grés… Vous ne verriez pas l’aube…

Elle soupira. Son père était tellement protecteur! Trop protecteur. C’était sûrement dû au fait qu’il n’était presque jamais avec elle, trop occupée avec ses tâches diverses … aussi peut-être parce qu’il voulait garder sa seule héritière en vie à tout prix. Pourtant, en pensant qu’elle DEVAIT être reine plus tard, Bryséïsse ressentait une grande lassitude. De toute façon, si Zéphyr ne l’avait pas reconnue, c’était normal, elle était presque toujours cloîtrée dans sa chambre à peindre, écrire des poèmes et autres. C’était normal qu’elle soit si timide avec les autres. Elle détestait les grandes foule et en avait même un peu peur parfois.

Et oui, tout vu.. enfin dans la mesure du possible, il n'avait pas eut envie de devenir aveugle donc c'était un moment caché les yeux, mais , avait vu le principal.

Face à la mine soucieuse que la jeune fille faisait, il eut un sourire amusé.
Vraiment charmante.

Mais s'attarda plus sur ses dires.
Son père était propriétaire de... le roi?Son père était le roi? Alors elle était...
Un léger doute l'envahit. Bien joué mon gars. La seule jolie jeune fille que tu rencontre et qui s'invite dans ta chambre(certe par accident) est la princesse de ce royaume.

Guerre diplomatique en vue?
Il fallait tout faire, autant pour sa sécurité à lui, que pour elle. Surtout pour elle.
Mais pourquoi donc la gardait il dans ce secret? Pourquoi était elle si protégée?

Il laissa son regard se perdre vers la fenêtre puis revint vers elle.

-"Gardons le secret dans ce cas."

Un tel secret l'amusait, en même temps, le fait de dire qu'il l'avait vu ne lui plaisait pas. L'idée de garder ce souvenir juste pour lui, au fond de son esprit lui plaisait beaucoup. Même un peu trop.

Quand le regard de Zephyr se tourna vers la fenetre, elle eu un presentiment qu’il la presse de partir. Quand il se lui dit qu’il allait garder le secret, elle se rejouie. Un sourire vint se poser doucement sur son visage. Il etait courageu. Une vie vallait surement plus qu’une petite rencontre, pourtant, il la laissait rester. Mais pourquoi diable voulait-elle rester de toute facon? Elle etait toujours rester de glace envers la gente masculine. Elle se figeait quand elle voyait un home et elle ce detestait a cause de cela. Toute les filles revent au fond d’elle de romantisme et Bryseisse etait certaine qu’avec sa timiditee, aucun home ne voudrait d’elle, une femme peu forte et fiere. Pourtant, Zephyr ne lui faisait pas cette effet la et c’est surtout pour cela qu’elle voulait rester a ses cote, enfin jusqu’au matin, car Maya ne devrait pas remarquer son absence nocturne. Elle voulait savoir ce qu’il avait de different. Ses habits etait ceux d’un voyageur (si je peux me permettre^^) et en decouvrant cela, l’ardeur de le connaitre plus fit deborder sa conscience. Il avait du voir tellement de chose! Sa timiditee baissa et elle se surprit a demander, toujours en murmurant Presque:

-J’ai l’impression que vous avez beaucoup voyager!! Est-ce vrai? Ou etes-vous aller??

Ses epaules etait maintenant moins raide et ses yeux brillaient de savoir ce que l’homme avait pu voir.
[dsl pour les fautes je suis chez ma grand-mere ki a un clavier anglais et je dois sortir immidiatement de lordi!!!]

Quant elle souriait , elle paraissait encore plus charmante que l'expression soucieuse qu'elle portait depuis son entrée dans la pièce.

Cela était presque un miracle, quoi? Et bien qu'il trouvait cette jeune fille si charmante. Lui si insensible, enfin selon les dires des dresseuses de sa compagnie.
Il n'y pouvait rien si il ne s'intéressait à personne.
Mais elle,oui, il la trouvait vraiment charmante.

Il lui aurait bien proposé de s'assoier mais depuis quelques minutes, il ne savait pas quoi faire,sait on jamais, peut être s'envolerait elle subitement si les paroles qu'il prononçait ne lui convenaient pas.
Il remarqua ses coups d'oeils sur sa tunique de voyage. Arg, c'est vrai il ne c'était pas changé...mais...oui, où avait il la tête c'était normal c'était sa couverture pour qu'il n'attire pas l'attention.

Malgré ces pensées , son visage resta serein et calme avec ce léger sourire.

-"Voyager? Oui en effet, je voyage à travers les pays en quète de découverte, à dos de dragon.J'ai visité Ghiaccia, Mynorie, et bien d'autres contrées que je ne saurais décrire. Et puis... je ne sais pas si vous vous en doutez mais..."

Il reprit un moment sa respiration, devait il le dire? Ou bien cela était une énorme boulette? De toute façon, elle allait le savoir , et puis, mieu vallait qu'elle le sache, de toute façon, son retour chez-lui- était imminent. Son supérieur devait avoir reçu son message depuis quelques instants.

-"Je viens du continent du mal, mais cela n'est qu'un détail...et vous...majesté avez vous voyagé?"

Comment l'appeler? A part ainsi. Malgré ce pincement dans son estomac, il se devait de respecter la hierarchie, aprés tout il était représentant de sa ville auprés de la famille royale de Elenwë.

Dehors, un cris lugubre se fit entendre, puis suivit d'un cris strident. Enlen s'en donnait à tout va dans les nuages.

Bryséïsse avait entendue parler de Mynorie et Ghiaccia dans ses cours de géographie. Même si elle n’y était jamais allée, les nombreuses peintures colorées que son maître lui montrait souvent réveillait en elle un profond désir de désorientation. De seulement partir à tir d’aile, là où personne ne la trouverait…

-"Voyager? Oui en effet, je voyage à travers les pays en quête de découverte, à dos de dragon. J ai visité Ghiaccia, Mynorie, et bien d'autres contrées que je ne saurais décrire. Et puis... je ne sais pas si vous vous en doutez mais..."

…. À dos de dragon? Elle était en présence d’un draggonier!! Son visage prit une expression d’extrême ébahissement, mêler à du respect et de l’envie. Mais… si cet homme était un draggonier… Il devait sûrement venir du continent du mal! Pourtant… Les personnes de ce continent ne sont-elle pas méchante, dénués de toute morale et cruelles? Pourtant, Zéphyr lui semblait si gentil! Elle refusait d’y croire mais quand celui-ci le lui annonça, c’était inévitable.
*L’exception confirme la règle. *
C’était sa maxime préférée, celle qui pouvait tout expliquer.

Quand le draggonier lui dit « majesté » on aurait dit qu’il voulait mettre un mur entre eux, aux yeux de la princesse. Elle détestait qu’on l’appelle majesté. Mais comment pouvait-il faire autrement, il ignorait son nom!! Elle voulait que celui-ci l’utilise. Pour qu’il comprenne à quel point elle voulait être appelée par son nom, elle lui prit la main, doucement, on aurait presque dit un simple frôlement, et dit :

-Je vous prie… Appelez moi Bryséïsse…

Son regard était insistant, suppliant.
Et quand à sa question… Bryséïsse soupira. Elle regarda le ciel de la nuit, celui qui éveillait toujours sa sensibilité au point de quelque fois la faire pleurée, et répondit :

-Normal que vous n’ayez jamais entendu parlée de moi… Pour une malheureuse raison que j’ignore, mon père me garde enfermée dans le château. Je peux à peine sortir dans l’enceinte.

Elle étouffa un grognement rageur.

-Pourquoi est-il si protecteur!! Je ne suis pas une tête pourtant et il le sait… Une chance que j’ai ce …ce pouvoir. Cela me permet de m’évader quand mon manque de liberté est trop élevée. Et… à chaque fois que je l’utilise j’en ais honte…

Elle baissa la tête. Pourquoi Sylphe lui avait-elle donner ce don! Elle l’a haïssait plus que jamais car elle était sûr que Zéphyr la prendrait pour une maudite, maudite par les déesses de surcroît!

Elle aimerait tellement être comme lui! Voyager où bon lui semble… Rencontrer de nouvelle personne et de nouveau pays à la faune et flore unique! Et il avait un dragon… Un vrai! Quand elle entendit un cri étrange, elle se doutât que c’était son dragon… Elle souria, son regard se perdant dans les nuages. Le mauve de ses yeux, comme à l’habitude quand elle regardait le ciel, mouvait

Être draconien, être membre de la confrérie de Ys, cela était une de ses joies. Y avait il meilleur sensation que de flotter dans les nuages? De se sentir si libre, libéré de toutes pensées. Comme si plus rien n'existait là haut.

Mais sur cette terre, il existait des personnes qui valaient peut être la peine d'y revenir au moin quelques instants.
Quant elle lui prit la main, il ne le remarqua pas au début, mais dés que cela se fit évident il eut un léger sourire.
Bryséïsse... elle s'appelait Bryséïsse.

Son regard remonta de sa main vers les yeux si mauves de la jeune fille.
Et son sourire ne disparut pas. elle était vraiment adorable avec cette moue sur le visage.

Quant elle détourna le regard et le porta sur l'extérieur de la pièce, il ne l'imita pas et laissa son regard regarder le visage si blanc et si fin de la jeune princesse.
Ainsi donc son père la gardait pour prisonnière. Pourquoi un tel comportement? Etait il trop protecteur ou bien c'était autre chose? Peut être cette énergie qu'il sentait émaner de la jeune fille. Energie qui lui rappelait l'énergie trés spéciale qu'il sentait depuis son arrivé.

Mais ces questions réstèrent au fond de lui, là pour le moment elle était le centre de son attention.
Ce pouvoir, celui de se transformer était donc une tare pour elle, pourtant elle lui permettait de s'évader dans les airs, de se sentir libre même quelques instants.

-"Bryséïsse..."

commença til doucement de sa voie basse.

-"Avec ce don, même pour quelques instants, dans les airs, ne te sens tu pas libre? Libre de tout? Libre de te mouvoir dans les airs?"

Toujours tenant la main de la jeune fille, son regard dévia à son tour vers le ciel.

-"Un don est ce qu'on en fait, tu peux trés bien rendre n'importe quel don utile"

C'était une sorte de consolation mais aussi un conseil qu'on lui avait donné quant il avait lui-même découvert ses pouvoirs, celui sur l'eau et sa télékinésie.
Son regard se posa de nouveau sur la jeune princesse, et son regard semblait plus doux.

La question de Zéphyr ébranla la princesse. Libre de tout… Évidemment, se transformer en oiseau lui donnait la possibilitée de ne plus être Bryséïsse Dorea, princesse d’Elenwë mais bien…juste Bryséïsse. Elle aimait la manière dont Zéphyr le prononçait. Elle ne savait trop pourquoi, ni comment son nom semblait différent quand il sortait de sa bouche. La pression sur sa main s’accentua, le dragonnier ne la lâchait pas pendant qu’il récitait de douces consolations.

-En effet, je me sens libre. En volant, j’ai l’impression de me retrouver, et quand je repose les pieds sur le sol, de devoir tout recommencer et m’apprivoiser de nouveau.

Quand il détourna son regard vers le ciel, la jeune femme en profita pour regarder du coin de l’œil la main de Zéphyr enchâssée dans la sienne. Elle eu un genre de haut-le-cœur agréable et cela la surprit. La promiscuitée entre l’homme et elle ne la gênait pas, comme si elle allait de soit, mais c’est justement ce fait qui troublait Bryséïsse.

Citation :: -"Un don est ce qu'on en fait, tu peux très bien rendre n'importe quel don utile"

Justement. Et elle ne faisait rien d’utile du sien.
*Je ne suis qu’une sale petite capricieuse égocentrique… *

-Alors, je suis bien égoïste…hum…

Elle allait l’appeler par son nom mais se rendit compte bien vite qu’elle ne le connaissait même pas!

-Comment vous appelez-vous?

Il était si grand! Elle aurait voulue monter sur un tabouret pour pouvoir vraiment le regarder dans les yeux.

Des consolations? Ooo il n'était pas du genre à dire de tels mots, il disait simplement ce qu'il pensait. Tout simplement.
Se sentir libre en volant, oui, tout à fait.
M'apprivoiser de nouveau, cela était si juste.

Son regard vers le ciel se fit moin vague, il détourna de nouveau la tête et posa son regard sur la jeune princesse. Jeune fille si différente... de qui? De beaucoup de monde.
Et c'était une évidence maintenant à ses yeux, et ce contact infime qui les reliait par leurs mains, ne le dérangeait absolument pas. Il était même assez heureu. Pourquoi? Il n'aurait su le dire, mais c'était dés qu'elle avait ouvert ses yeux, sur cette table quelques dizaines de minutes plus tôt.

Egoïste? Pourquoi s'évoquait elle ainsi?

Son nom.. mais oui, il ne l'avait pas dit. Peut être avait il parut impoli...
Comme on le lui avait appris, doucement il mit sa main(non prise) derrière son dos et se courba doucement, déposant par la même occasion un baiser sur la main de Bryséïsse.

-"Zéphyr."

Il releva les yeux. Et avec un sourire doux et amusé prononça tout en se relevant ...

-"S'il te plait... ne me vouvoies plus..."

Il parut géné d'une telle témérité, mais se ressaisit bien vite.

-"A moin évidement que cela te dérange..."

Tout à fait redressé maintenant, son regard était de nouveau plongé dans celui de la jeune fille. Il voulait lui demander pourquoi de tels propos en parlant d'elle, mais il devait d'abord éclaircir leur manière mutuelle de se parler.

Quand le dragonnier baisa sa main, Bryséïsse ne put contenir un petit gloussement. Son rire fut un peu trop fort à son goût car elle mit sa main libre sur sa bouche en regardant la porte. Puis elle l’enleva aussi rapidement et regarda Zéphyr, le visage exprimant comment elle était peu fière de sa bêtise.
Il s’appelait Zéphyr. Un bien jolie nom!

Quand il lui proposa de la tutoyer, elle en fut très heureuse. Elle sentait que le jeune homme voulait la connaître davantage et cela la réjouissait.

-Bien sûr que non, cela ne me dérange pas! Voyez…hum vois-tu dès mon plus jeune âge on m’a appris à bien respecter les règles de la politesse. C’est encrée en moi.

[Désolé vraiment pas le temps de poster plus! ]

Un gloussement? C'était si drôle que ça ses manières? Il parut un peu décontenancé. Puis suivit le regard de la jeune fille vers la porte. Un moment de silence mais rien ne se passa. Elle n'avait donc pas été découverte.

Il sourit à la phrase de la jeune princesse mais son regard se posa de nouveau sur la porte, quelqu'un...un garde peut être ou une servante. Mais quelqu'un semblait approcher. Il serra un peu plus la main de Bryséïsse pour le lui faire remarquer.

Ses yeux si doux, avaient retrouvé leur teinte d'origine, une teinte plus froide, semblable à celle présente chez les soldats.

[idem^^"]

Les pas se rapprochaient et là, Bryséïsse était vraiment terrifiée! Elle entraîna Zéphyr vers un placard qui d’après elle serait bien assez grand et elle referma la porte doucement, juste assez pour qu’elle puisse toujours voir par l’entrebâillement. Elle se trompait royalement! Le placard à ballait était vraiment minuscule et le dragonnier et elle était complètement collé! Sa main droite (celle que l’homme tenait) était coincée entre le mur et…enfin disons les parties fragiles de Zéphyr. Cela l’aurait vraiment gêner en temps normal, mais là, sa peur ensevelissait tout! Elle vit par l’entrebâillement la poignée de porte bouger et un garde en sortir. Il était plutôt costaud. Il regarda d’un œil hagard la pièce avant de regarder la choppe à ses mains et de dire :

-Merde ma vieille, tu me fais entendre de drôle de truc pardis!

Puis la porte se referme. Bryséïsse attendit le cœur battant à la chamade que les pas s’éloigne, jusqu'à ne plus rien entendre Tout de suite après, elle sortit en courant du placard et sortit sa tête par la fenêtre, respirant lourdement. Elle ignorait qu’elle était claustrophobe!
Après quelque temps, l’air frais de la nuit vint l’apaiser…

Un placard qui d'aprés elle serait assez grand...et c'est à ce moment là qu'on rappelle la différence de taille entre la jeune princesse et le dresseur.
Certe il était assez haut, mais niveau largeur, pour abriter une jeune fille et un homme cela était une toute autre histoire.

Compressé entre le mur et la jeune fille, Zéphyr fit silence complet en entendant quelqu'un entrer dans la chambre. Au bruit de pas, il devait sans doute être un homme. Et au bruit de ferraille , un soldat.
Les oreilles aux aguets, c'est à peine si il respirait. L'odeur des cheveux de Bryséïsse emplissait le placard sans aucun problême et renforça l'étouffement soudain qui envahissait peu à peu le jeune homme.
Sans doute du au placard...oui...sans doute...

Quant la porte se referma, l'étouffement se fit moin présent, la jeune fille venait aussi de partir en courant du placard. Zéphyr sortit doucement et referma cet endroit si étroit pour se diriger vers la porte. il resta à écouter les bruits un petit moment.Puis se rendant compte qu'il n'y avait vraiment plus personne, se rendit vers la cheminée, où il remit une bûche et souffla un peu sur les braises.
Il se releva doucement et alla rejoindre la jeune fille.
Il ouvrit doucement la deuxième fenêtre et regarda à son tour l'extérieur.

-"On l'a échappé belle jeune demoiselle..."
dit il avec un sourire amusé.

Bryséîsse souria à peine car c’était vraiment la véritée! Elle était un grand danger pour cet homme… Il fallait qu’elle parte… Mais pourra-t-elle jamais le revoir? La princesse le souhaitait ardemment, maintenant qu’elle avait un ami du sexe opposé elle ne voulait sans défaire. Elle se tourna vers Zéphyr, et faute d’habitude, dû relever la tête au dernier moment.

-Zéphyr, je dois vraiment partir, j’ai une invitée dans ma chambre … hum… Je voudrais réveiller quand celle-ci fera de même… Pourrais-je revenir quelque fois?

La même lumière aveuglante réapparue, innondant la pièce. Quand celle-ci disparut, elle ne laissa qu’un Effraie Des Clochers sur le rebord de la fenêtre. Trop gêner de son audace, Bryséîsse se mit tout de suite à s’envoler, ne laissant que comme au revoir, un doux hululement.
[suite dans "La suite de la princesse Bryséïsse Dorea]

Pourrait elle jamais le revoir? Cela était une des choses à confier au destin. Il ne le savait pas lui même. Et cela l'attristait, mais était leur lot à tout les deux, elle à demi-captive dans cette cage doré et lui, aussi libre qu'un dragon mais relié par le coeur et surtout l'esprit à une citée secrète en ce monde.

Il regarda la forêt avant de fixer son regard sur la jeune fille.
Partir elle devait partir...
Il parut un peu attristé de cette nouvelle mais ne voulut pas que cela se voit. Revenir? Bien sur qu'elle pouvait. Il hocha de la tête avec un sourire doux. Mais serait il encore là le lendemain? Cela était moin sur.
Il ferma un moment les yeux pour ne pas être aveuglé par la lumière, puis la regarda partir à contre coeur.

Dans un battement d'ailes elle fut déja bien loin de lui. Et ce qui venait de se passer semblait déja appartenir aux chimères. Un rêve, doux et fugace.

Il referma la fenêtre doucement, puis resta un long moment à réfléchir son regard de feu posé sur les flammes.
Il s'avança doucement. Oui, il devait déja partir, ce qu'il avait ressenti, cette énergie, il devait en parler au conseil, mais surtout aux autres messagers.
Il s'avança vers le feu et continua de le regarder avant de se retourner et de fixer le lit. D'abord quelques heures de sommeil. Cela lui semblait une bonne idée avant son départ...

Il s'avança donc vers le lit et s'allongea tout en pensant à la jeune princesse qui venait de partir...Puis il sombra dans un sommeil sans rêve.

Le matin...

Les yeux encotonnés du jeune draconien s'ouvrirent doucement. Sa main droite se posa sur ses yeux et commença un frotage en bonne et due forme.
Quelle heure pouvait il être? La lumière dehors n'était pas trés forte. Et était plus teintée de couleur bleutée ainsi que quelques couleurs orangées. L'aube.
Le chant mantinal des oiseaux vint confirmer ce qu'il croyait. Tout aussi doucement que l'ouverture de ses yeux, Zéphyr se redressa . Observant la chambre encore plongée en partie dans la pénombre. Le feu qu'il avait allumé la veille c'était consumé et avait fini par s'éteindre.
Il posa ensuite son regard sur la fenêtre, et tout lui revint en mémoire, cette jeune fille, si charmante. Hélas princesse de cet endroit, rencontre entre eux, qui resterait à jamais secrète. Mais aussi qui allait peut être ,être unique rencontre.
Ce moment qui lui avait semblé être un rêve, si seulement le placard à balais n'était pas entre-ouvert.

Un léger sourire naquit sur son visage quant il repensa à cette soirée. Il se leva finalement du lit et s'avança vers la double fenêtre. Dehors la lumière du jour se faisait de plus en plus présente. Mais aussi cette inquiétude. Vis à vis de cette tour. Il devait s'envoler pour Ys d'urgence. Peut être que un de ses compagnons d'arme avait déja reçu son message. Le conseil lui aussi devait déja être au courant.
Ses yeux se froncèrent un moment.

Mais si il partait, il ne la reverait sans doute jamais...
Il secoua la tête. Mais à quoi pensait il en cet instant? Ce n'était pas du tout dans l'ordre des prioritées. Il se retourna et se dirigea vers la table, là il ferma son sac, prit en un geste de la main sa cape qui était posée sur une des chaise. Et s'avança vers la porte.

Il plaça sa main prète à l'ouvrir quant il s'arrêta. Mais et si il ne le revoyait pas? Ses yeux devinrent étrangement rouge. Plus que le fait de ne plus la voir c'était aussi le fait qu'il éprouvait pareil trouble.
Il ouvrit la porte et sortit de la chambre.

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Dans le couloir ses pas résonnaient , et il ne rencontra personne jusqu'aux escaliers. Son regard voyageait entre les portes qu'il dépassait et les fenêtres qui donnaient sur l'extérieur. Il essayerait de revenir, oui il essayerait.

Il s'arrêta devant la salle d'audience. Là une jeune servante en sorti, elle venait sans doute d'ouvrir les fenêtres. Car la lumière maintenant passait sous la porte.
Il s'avança vers elle et l'arrêta. La jeune fille semba étonnée mais regarda le jeune homme en le saluant et en lui demandant milles-politesses. Avez vous bien dormi...La chambre vous plait elle?...

Le draconien en toute politesse répondit à ces questions, puis lui tendit un parchemin scéllé. Il précisa bien que cela devait être rendu au roi. Que ça ne pouvait attendre. Il précisa encore bien que cela était confidentiel et que sur le parchemin était posé un sort pour les intrus.
La jeune servante parut hésitante à prendre le rouleau, mais le fit tout de même.
Le draconien cela fait, la salua par une révérence, puis s'éloigna.

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