La grande forêt

Avec sa végétation d'un vert pur, la grande forêt offre une multitude de refuges pour le repos des âmes égarées. Avec ses gigantesques arbres aux branches bien garnies, elle offre à ses habitants, ou ses intrus, une aide pour se cacher lors de moment difficile. Dans cet endroit placide et énigmatique, rôde quelques uns de ces reptiles aquatiques en quête d'une proie à la chaire fraîche afin de calmer les cris de désespoirs de leur estomac.

Une multitude de petits ruisseaux coulent afin d'étancher la soif des arbres et des animaux tout près. Avec ses plusieurs essences de végétaux, un kaléidoscope de couleur miroite, tous les matins, sous le voile de rosée, laissant un paysage grandiose aux yeux des observateurs.

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F.

Angelos qui à souvent l'habitude de passé devant ces petits ruisseaux est toujours espoustouflés par la beauté de la nature... Ces multiples couleurs, ces reflets tous semblent de l'illusion...
Tout à coup Angelos apperçut un homme...

* Qui est-ce ? *

Angelos s'approcha doucement de cette homme mystérieux tout en se cachant grace aux branches des arbres biehn garnies. Soudain un craquement de branche se fit entendre l'homme se retourna et Angelos dut couper son souffle pour eviter de se faire repérer... Mais l'homme ne détourna en aucun cas son regard. Angelos dut se contraindre à descendre de l'arbre sous l'oeil soucieux de cet homme et ce contenta de poser cette question.

- Qui es-tu ?

Habitué aux irrégularités de sa forêt, Ferarr avait depuis longtemps apperçut ce piètre espion. Il n'avait tout simplement pas détourné son regard pour ainsi profiter de l'effet de surprise avec lequel il pourrait piéger le malheureux qui s'était aventuré peut-être trop loin dans la verdoyante végétation de Träne...

Il continuait donc son travail initial, les oreilles à l'affut des moindres déplacements du personnage qui tentait de se cacher. Il avait devant lui un faon blessé du à une mauvaise chute. La blessure était mineure et avec une ou deux plante, le petit cerf serait vite remit sur ses qautres pattes sans problèmes.

Il tendis donc seulement le bras, prenant une magnifique fleur bleu comme l'azur de l'eau pure du continent et une autre rose comme le ciel, un soir de couché de soleil sans nuages. Il les machouilla pour en faire une purée et déposa la mixture sur la coupure de la bête. Avec une ou deux longues feuilles, il lui fit un bandage et l'animal repartit, clodiquant.

Ferarr se releva et se retourna lentement en direction de l'inconnu. Même s'il ne le voyait pas, il saait qu'il y avait une présence et même si l'intru bloquait tant bien que mal sa respiration, les oreilles entraînées du métamorphe entendait le mince souffle qui se dégageait de la bouche de la personne.

Il fronça les sourcils et se mit à grogner.

[ je t'ai poser une question mais tu n'as pas répondut 0_o" ]

Angelos detestait son grognement... Il l'admira mieux maintenant qu'il était descendut de l'arbre. Il avait une carrure encore plus imprésionnante vut du niveau de sol. Angelos se sentit ridicule car déja qu'il est très petit mais à coté de cette homme cela était vraiment humiliant. Avec une voix plus pausé et une voix plus forte il répéta sa question en espérant que cette fois ci il lui répondra.

- Qui es-tu ?

[ Je sais mais je me crois libre d'y répondre ou non, n'est-ce pas? ]

Il avait bel et bien comprit ce que l'homme voulait. Cependant, celui-ci était dans son domaine et se présentait comme un intrus : quand on espionne, on a forcément quelque chose à cacher... Ferarr se tenait droit et fier, le menton levé. Ses cheveux volaient au vent du à la douce caresse d'une légère brise qui vagabondait par là.

Il semblait inoffencif, sans armes et sans protections apparentes. Il regardait Angelos droit dans les yeux tout en restant immobile. Le soleil perçait des branchanges et illuminait les deux hommes. On pouvait nettement voir que Ferarr possèdait de plus nombreux attributs physiques qu'Angelos, bien plus petit...

Il resta là, immobile, quelques minutes à examiner attentivement l'inconnu qui s'exposait devant lui en lui posant des questions alors même qu'il se trouvait sur le territoire du métamorphe...

- Je suis celui qui garde ces lieux, dit-il de sa voix rauque. Je suis celui qui veille et qui sait.

Il marqua une pose et reprit de sa voix suave :

- Que fais-tu dans les entrailles de la Mère Verte?

Il regarda le passant s'envoler mais fut prit d'une irrésistible envie de savoir qui il était et d'où il venait. Lorsque l'homme ailé fut assez éloigné, il prit une forme de faucon pélerin et partit à ses trousses ; après tout, qui se soucierait d'un aigle le suivant?

Le ciel était magnifique et l'homme oiseau planait aisément au dessus de sa forêt qu'il protégeait depuis maintes années déjà. Il regardait, tout bas, les habitants de la Mère Verte vaquer à leurs occupations grâce à sa percente vue. Il suivait Angelos de près, mais restait aussi ''animal'' que possible, plongeant de temps en temps sur une fausse proie afin d'endormir les soupçons.

De temps à autres, il laissait échapper un cri strident, propre à sa forme, qu'Angelos pouvai facilement entendre. La petite bise qui soufflait sur la forêt avait maintenant augmenter sa force et le vent soufflait à grand force. Il continua ainsi, suivant la mystérieuse créature ailée...

L'oiseau se percha lentement sur une branche robuste. L'aigle inclina la tête du côté gauche comme s'il voulu rire de son interlocuteur. Lentement, il s'envola et alla se poser tout près d'Angelos. Devant lui, l'aigle changea de forme pour prendre l'apparence d'une magnifique panthère noire et docile.

Ferarr, sous la forme féline, s'était assis, à quelque deux mètres aux devants d'Angelos, l'épée brandie. L'animal ne semblait pas montrer de signe animosité et était dans un état flegme et étrangement placide.

Au bout d'un certain moment, le métamorphe se retransforma en homme. Grand et puissant, il s'approcha tout près d'Angelos et lui dit, de sa voix rauque et suave :

- Qui es-tu?

Il n'avait jamais vu de créature semblable depuis qu'il avait élu domicile dans la grande forêt de Träne. La cérature était majestueuse même si elle semblait bien plus frêle que lui.

- Séraphin? Qu'est-ce qu'un Séraphin?

Sa curiosité piquée au vif, il voulait en savoir plus long sur l'origine de l'étrange être qui se tenait devant lui. Il le regardait de près, étant à moins d'un mêtre de lui. Il risqua un doigt vers les ailes d'Angelos.

- Un animal? Pourquoi avoir des ailes d'oiseau?

[ HJ: sa dérenge ci je me joins à vous ?? ]

Il approcha sa grande main rude d'homme des bois et caressa lentement les longues plumes blanches et soyeuses d'Angelos. Il marcha autour de l'énigmatique créature ailée afin de l'examiner sous tout ses angles. Il laissait aller ses yeux sur tous les détails. Il était intrigué par la complexité des ailes et leur envergure.

- C'est quoi, un ange? avait-il demandé par la suite.

Il n'avait jamais rien connu d'autre que les animaux et les humains normaux et même là, il n'en avait pas vu énormément. Dans la forêt, il était depuis longtemps resté seul avec seuls comparses les êtres la peuplant.

Quelque part dans la forêt, un immense créature bleutée les épiait, passant facilement incognito. Elle était immobile, les regardant tout en attendant le bon moment pour surgir sur un potentiel repas...

[ hj: bon alors prenez moi pas pour la bête bleu sil-vous-plaît... ]


Le vent froid caressait son visage. Ses ailes d’ange étaient en parfaites extensions et la faisait planer tel un aigle au dessue de la grande forêt. Elle ne désirait pour le moins du monde d’être obliger de se poser puisque d’étranges créatures y habitent parfois, même en permanence. Elle scrutait le sol de haut. Elle volait et adorait énormément cette sensation de liberté. Du moins, c’était ce qu’elle ressentait. Felosial ne savait pas vraiment ce que les autres pouvaient ressentir mais elle aimait plus que tout au monde regarder les gens de très hauts.


Elle était encore entrain de regarder le sol lorsqu’elle vue une créature bleue. Ses traits du visages étaient grossier. Il avait deux têtes mais ne semblait pas plus intelligent pour cela. Ses cheveux étaient gras et lui étaient énormément gros. Ses cheveux étaient aussi souillés que le reste du corp sinon un peut plus ou un peut moins. Il portait un énorme gourdin qu’il tenait aisément à une main.


Des gens discutaient un peut plus loin. Elle savait que ci elle ne faisait pas grand chose pour eux ils allaient mourir. Elle était maintenant prit entre trois choix. Le premier étant de fuir, le deuxième descendre combattre au risque de sa mort ou encore bien user de sa magie et se faire découvrir ( étant Oracle de l’eau, elle devait vraiment porter attention de ne pas se faire découvrir sinon elle allait sûrement se faire lapider ou encore bien écorcher ).


Elle opta plutôt pour le deuxième choix. Ne voulant pas les voir mourir et avoir leurs morts sur sa conscience, elle décida plutôt d’allé les aidés. Elle s’approcha dangereusement des hommes et se posa gracieusement. Elle guettait du coin de l’oeil la bête et sortit son épée. Elle ne voulait pas que Ferarr et Angel la prenne pour une ennemie mais avec l’attitude qu’elle avait prit, cela aurait été fort impossible. Elle le regarda alors et leur fit un petit sourire. tout ce qu’elle trouva à dire fut:
- Je ne veux pas gâcher votre plaisir et interrompre votre apprentissage mais un bête semble vous épié en silence. ( elle fit une petit pause et recommença du même débit ( long et fort )). Ne faite pas de bruit, notre seule chance de la vaincre est de la surprendre.

Elle tendit sa main vers la bête et des filaments d’eau vinrent se matérialisés dans sa paume de main. Les petits traits d’eau allèrent tous se massés au même endroit pour formé un énorme pic d’eau. Plus les secondes passaient, plus l’eau devenait solide. Elle pointa alors d’une geste gracieux de la main la créature. Le harpon de glace vint se loger dans l’épaule de la créature. Dans un cris de rage, il partit alors dans la direction des jeunes aventuriers. La seule chance qu’il avait était première de fuir ou encore bien de stopper son élan de rage avant qu’il ne les happes tous avec son lourd gourdin.

Tout en se transformant en ours brun titanesque, Ferarr avait lancé à la parfaite inconnue d'une voix qui se montrait impératif :

- Pauvre folle sans tête et sans intelligence! Je savais qu'elle était là et l'on aurait pu l'éviter! Maintenant qu'elle est en colère, elle ne nous lâchera pas!

Une insulte qui aurait été grossière fut étouffée par le grognement que Ferarr émettait maintenant, complètement transformé en ours. Il était maintenant haut de deux mètres sur ses pattes et affichait une image de rage mêlée à de la haine. Il faut croire qu'il devait avoir quelque chose à régler avec cette jolie bê-bête bleue!

Celle-ci, dans un cri démence, arracha avec sa patte gauche le pieu de glace qui lui transperçait l'épaule. Avec une puissance inouïe, elle le lança en direction de la femme magicienne qui l'avait lacéré. Le pieux avançait à une vitesse folle...

Voyant le dome se remplir de liquide, Ferarr sauta, avec sa forme douce, dans l'eau pure et limpide qui s'agglomérait comme dans une capsule qui tenait magiquement dans les airs. Il éprouvait un certain dégoût face à cette pratique, mais comprenait qu'ils devaient s'allier s'ils ne voulaient pas mourir.

Il sauta donc et, en quelques centièmes de secondes, avant même de toucher la liquide de vie, il se métamorphosa en majestueux requin. Ses dents étaient immenses et les deux créatures tenaient difficilement dans ce globe et un combat féroce s'en suivit.

Le grand requin mordait et fonçait dans les côtes et l'abdomen du monstre bleu et quand il y eu assez d'eau, le mammifère marin attaqua pour vrai. Ferarr mordait, encaissant des coups, saignait et faisait saigner

Il ne pouvait pas tout faire seul... il allait avoir besoin d'aide.

Avant même que la limpidité de l'eau se soit dissipé comme par magie, avant même de se retrouver au sol en forme de requin, le métamorphe d'expérience avait reprit sa redoutable forme de grizzly. Il aggrippa la tête du monstre bleu et d'un habile mouvement de l'avant bras antérieur, brisa la nuque de son assaillant.

Afin de s'assurer de la mort de la vile créature, il lui lacéra le torse pour étaler son dedans sur le sol humide, fraichement arrosé par la magie de l'oracle. Par raison de sécurité et pour reprendre son souffle, il se changea en grand condor pour ensuite s'élever vers l'azur du ciel. Il décrivit quelques arcs dans les cieux et analysa la scène ; Felosial Yus venait d'achever agressivement son assaillant et Angelos, lui, se faisait tiraillé comme une vulgaire poupée de chiffon désarticulée.

Il plongea alors, depuis quelques dizaines de mètres d'altitude. Il fondit, serres devant, frolant le crâne de l'ange de l'eau. Il descendait si follement, qu'une trainée de poussière, sous son passage, fut créée. Il attrapa par les épaules le monstre bleuté et, tout en l'agrippant fermement, monta haut, très haut dans le ciel, au dessus des nuages. Alors, il lâche prise. La bestiole n'eut même pas le réflexe de lui attraper une patte tellement son quotient intellectuel était bas.

Elle tomba, de haut, très haut et, d'en bas, on pu voit un minuscul point bleu, suivit d'un minuscule point brun avec des ailes, grossir au fur et a mesure qu'ils s'approchaient du sol. La seule différence entre ces picots de couleurs, mis à part les ailes, fut que l'oiseau se posa et l,autre, s'écrasa. On pu entendre les os du bleu se broyer au contact violent du sol.

Ferarr reprit lentement sa forme humaine. Il respirait bruyamment ; il était épuisé et surtout, surtout, en colère envers les agirs de l'oracle. Il la dévisageait sans dire un mot.

[ Hj: désolé de ne pas encore avoir posté.. c'est que j'attends que Angel poste un jour :s ]

[ Hj: ouin, je vais dire comme toi, je crois qu'il est mort ... bon aller je lui donne 2 jours encore et je lui envoie un mp... Si il n'a pas répondu d'ici lundi, je m'efforcerai de poster mardi ]

Hj : Après plus de un mois d'innactivité, je me demande pourquoi tu le lui ''laisses une chance. Personnellement, j'en ai plus que marre de perdre mon temps ici.

Il jeta alors son regard placide sur l'oracle qui avait utilisé cette soit disante puissance magique. Plusieurs choses trottaient dans sa tête entre autre, la façon comment il chasserait cette magicienne des ténèbres de son chez-lui, sa forêt. Il n'aimait pas ce genre de pratique, il l'aurait peut-être plus portée dans son coeur si au moins l'oracle avait une seule fois utilisé sa magie pour raffraichir la forêt en période de canicule, afin de prévenir les nombreux incendis de brousse de la saison estivale, chaude et imprévisible.

- Qui que vous soyez, comment osez-vous venir ici et agir de la sorte? Vous auriez pu nous faire tuer et franchement, ce n'est pas avec cette pratique élémentaire de pacotille que vous auriez pu nous sauver. La preuve, c'est que j'ai du presque tous les achever à cause de votre innaptitude. Si j'étais vous, je me recyclerais en bouffone du roi.

Il serrait les poings. Effectivement, si cette femme ne serait pas intervenu, il aurait pu achever en deux temps trois mouvements le premier monstre avant même qu'il ne comprenne ce qui se passait autour de lui. Il grognait presque et continuait de dévisager la femme.

- Qui êtes-vous? Croyez-moi, vous savez ce que je peux faire, je ne vous laisserai pas partir tant que je n'obtiendrai pas réponse à mes questions...