La forêt de Wilwarin

Cairn venait de ressortir de sont village, encore une fois il partait à l’aventure, et lorsqu’il reviendrait, les choses auraient probablement encore changé, comme à chaque fois. Il n’avait pas l choix de partir car s’il voulait aider les gens à se sortir de l’oppression et de la peur il devait sortir de chez lui, de plus il ne connaissait aucune profession valable dans un paisible village…

La forêt portait les couleurs de l’automne, les arbres arborait le rouge et l’orange ainsi que le jaune parfois teinté de vert. Le sol de la forêt était des même couleurs que les arbre et tout était recouvert par le tapis au couleur de flamme. On pourrait croire que les dernières feuilles tomberais bientôt des arbre mais Cairn savait bien que dans cette partie du continent la végétation était toujours comme cela.

Le rôdeur marchait agilement dans les bois, avec le temps il avait apprit à se déplacer parmi les ronces ou les forêts les plus denses avec la même aisance que s’il marchait dans une plaine. Il se dirigeait vers les ruines du château qui se trouvait non loin de son village, c’était le point d’importance le plus près de son village, ensuite il se dirigerait vers Mynorie ou bien vers Ghiaccia, peut-être même vers un autre continent, peut importe, il verrait arrivé la bas.

Le rôdeur marchait depuis plusieurs heures à observer le paysage et à penser à ses projets, la nuit commençait à tomber. Il s’arrêta et décida qu’il avait déjà assez marcher pour aujourd’hui. Cairn ramassa du bois dans les environ et s’alluma un feu pour s’assurer d’avoir de la lumière lorsque la nuit tomberais, car elle tomberait bien vite. L’homme prit un bout de pain et une pièce de viande séchée et les mangea en regardant les mouvements hypnotisant des flammes. Lorsqu’il eut fini de manger il posa quelque collet puis regarda longuement le ciel, il allait probablement pleuvoir cette nuit. Il partit ramasser des morceau de sapin et quelque bonne branche et quand il eu ramasser tout ce dont il avait besoin il se construit un petit abris pour la nuit. Le rôdeur ramassa quelques pièces de bois sec et les amenas avec lui sous l’abris. Il se coucha et ferma les yeux, il devait se lever tôt le lendemain matin.


Pendant la nuit, Cairn ouvrit les yeux et entendit comme il l’avait prévu le son de la pluie qui tombait sur les feuilles mortes. Il referma les yeux et s’endormi sous le son appaissant de la pluie.

Lorsqu’il se réveilla le lendemain matin, le sol était mouillé mais a plus avait cessé, la soleil était revenu. Cairn partit faire le tour de ses collets et trouva un lapin, il le ramena à son abri et se ralluma un feu avec le bois sec, dépeça le lapin et le fit cuire. Il en mangea une partie et emballa le reste dans le peau puis rangea son reste de repas dans ses affaires. Il éteint son feu défit sont abris et il repartit vers sa destination, les ruines était maintenant proche, il y arriverait sans aucun doute pendant la journée…

>>>Château de Wilwarin


(H-J : Mon premier post est à l'honneur de nos admin qui se botte le cul pour nous alors je me suis botter le cul pour faire un long message)

Cairn vit un éclair déchirer le ciel au travers des feuillages, presque instantanément un grand coup de tonnerre retentit. La pluie commença à tomber. En peu de temps, le rôdeur fut mouillé, l’eau ruisselait dans ses cheveux comme sur la fourrure de loup qu’il portait sur ses épaules. On entendait l’eau frapper sur les feuilles mortes un peu partout. Cairn aimait la pluie, il aimait voir la nature se déchaîner, le problème c’est que lorsque les énergies descendent, que l’on est fatiguer le froid nous prend et à ce moment on regrette le soleil et le sec.
*Grâce à cette pluie, les animaux vont avoir de la misère à me sentir, malheureusement, leur piste vont être aussi bien plus dur à trouver.
Le chasseur continua son chemin d’un pas déterminer. Un peu plu loin il vit un arbre plus grand que les autres. Cairn rangea son arc et s’en approcha. Il sauta pour s’accrocher à une branche, puis, se hissa dessus. Ensuite, il grimpa un peu plus haut puis ressortit son arc et scruta les environs. Après quelque minute il aperçut un cerf qui se cachait sous les branches d’un sapin. Le rôdeur encocha une flèche, tendit son arc, visa et laissa son projectile de mort s’envoler vers sa cible. La flèche s’enfonça profondément dans la gorge de l’animal. Ce dernier, par réflexe en sentant la douleur, bondit par en avant. Mortellement blessé par la flèche le cerf ne retomba pas sur ses pattes, il s’écroula par terre et mourut dans un dernier soubresaut.
Cairn bondit de son arbre et s’approcha du corps de la bête, malheureusement sa flèche n’était plus utilisable. Le rôdeur s’accroupit et d’un effort, leva le corps et mit sur ses épaules. L’animal n’était pas léger mais il serait capable de le transporter sans trop de difficulté jusqu’au ruine. Le chasseur repartit, sa proie sur les épaules, en direction des ruines. Il avait été chanceux, il aurait pu attendre des heures avant de trouver quelque chose. La pluie continuait à tomber, s’ils voulaient faire du feu ils auraient à le faire dans les ruines, en espérant qu’il trouve quelque chose de sec pour l’allumer.

>>> Suite au château de Wilwarin

La forte pluie qui s’abattait sur la forêt depuis un certain temps c’était maintenant transformé en un orage des plus violents. Sym qui était couché au pied d’un arbre, observait les feuilles d’automnes soulevées par le vent frais s’entrechoquer au contact de la pluie battante. Protégé par ces immenses ailes noires recouvrant le dessus de sa tête, Sym réfléchissait et se posait encore une fois des questions sur ce monde qu’il connaît à peine…..
*Où suis-je? Pourquoi m’avoir envoyé ici? Qu’est ce que s’est que ce monde?*
~Cela faisait maintenant quatre mois et une semaine qu’il avait ouvert les yeux pour la première fois sur la terre des quatre éléments. Depuis son réveil, une voix qui agissait comme une sorte de conscience guidait ses actions et ses réflexions. La voix lui donnait l’ordre de punir les servants et les pratiquants du mal. ~
Sym se sentait bien dans cette forêt, il aimait la solitude qu’elle lui procurait. Il en profita donc pour adresser quelques questions à sa conscience qui avait décidé de briser son moment de réflexion que lui procurait l’orage électrique en répétant très haut et sans arrêt << Qu’est que tu attends pour punir le mal >>.
- Veux-tu bien te la fermer un instant sale voix! Dit Sym avec mécontentement.
- Non absolument pas. Tant et aussi longtemps que tu n’auras pas accompli ta mission, je ne te laisserais pas tranquille! Dit la conscience d’un air très enjoué.
- De quelle mission parles-tu ?
- Tu n’aurais quand même pas déjà oublié, moi qui te le répète sans arrêt. Tu as été envoyé sur terre pour assaillir le mal.
- Par qui?
- Désolé, mais je ne peux rien te dire?
- D’accord, dans se cas, je vais rester ici.
- Bon, si c’est comme ça, laisse moi te rafraîchir la mémoire! Dit la conscience d’une voix diabolique.
Un instant après avoir entendu ces mots, Sym se senti transporté et se retrouva à l’intérieur d’une pièce sombre éclairer par quelque torche qui laissait jaillir des flammes d’un rouge sang. L’ange au ailes noire s’avança vers l’avant et distingua quelques corps d’enfants morts jonchés sur le sol, c’est alors qu’il entendit une voix qui lui semblait familière émerger d’un couloir qui donnait à sa droite. La voix disait << Que serait tu près à faire pour lui sauver la vie >>, Sym décida alors de ce se diriger rapidement vers l’endroit où se déroulait l’action. C’est là qu’il vit la chose la plus étrange qu’il n’est jamais vu. Il se voyait parlant avec un homme qui portait une immense toge noire, celui-ci avait deux cornes sur le dessus de la tête et ressemblait en tout point à un démon. C’est à ce moment là qu’il vit au font de la pièce une jeune fille très charismatique au cheveux vert argenté. Soudain, Sym retrouva la mémoire, il se rappelait de cet endroit, il se rappelait de tous. Sa sœur, était là, au fond de la pièce, prisonnière de cet infâme démon… Maintenant, il savait pourquoi il avait été envoyé sur la terre des quatre éléments. Le démon qui lui avait enlevé sa sœur, voulait faire un marché avec Sym. Il lui avait promis de la libérer si Sym réussissait à punir un certain nombre de pratiquant du mal pour lui. Seule un nom lui avait été mentionné, Théodoric. Maintenant, il savait réellement ce qu’il devait faire, tuer cet homme pour libérer sa sœur. Étrangement, Sym commença à avoir très mal à la tête et tomba inconscient. Quelques instants plus tard il se réveilla et vit qu’il était à nouveau dans la forêt où le vent se faisait maintenant plus fort que jamais.
- Bon, j’imagine que tu comprends mieux maintenant? Dit la conscience, impatiente.
- Oui, je me souviens. Où puis-je trouver ce Théodoric et qui est-il?
- Désolé, mais je ne connais pas ce Théodoric, mais je peux t’aider à te repérer. Si j’étais un servant du mal, je crois bien que je resterais sur le continent du mal.
- Continents? Dit Sym intrigué par ce que venait de dire la conscience.
Alors pendant un long moment, la voix lui expliqua ce qu’est la terre des quatre éléments et l’ange l’écouta très attentivement.
- Comment je fais pour me rendre sur le continent du mal? Dit Sym en espérant recevoir une réponse qui l’aiderait.
- Simple, il y a un port non loin d’ici, tu n’as qu’à prendre le bateau. ^_^
Sym empoigna sa lance et se leva pour prendre la direction que lui avait conseiller la voix.
- Comment t’appelles-tu au juste et pourquoi tu es là? Demanda Sym à la conscience qui commençait à chanter une chanson particulièrement nul.
- Mon nom! Tu peux m’appeler Tyran. Je suis un présent que le démon que tu as aperçu précédemment ta donné, tant et aussi longtemps que tu m’entendras, cela voudra dire que ta sœur est toujours en vie. Je sens que cette aventure avec toi va être longue et très passionnante. Bon, qu’est-ce que tu attends, on va le prendre se bateau! Dit Tyran particulièrement enthousiasme.
Sym regarda vers le ciel et vit apparaître pour la première fois depuis un bon moments le soleil sortir d’entre les nuages gris. Sym eu un grand sourire et se remit en route.
*Oui, se sera une très belle et longue aventure*

>>> Suite au port de Wilwarin…

Théodoric lui avait fait vraiment mal, mais pour l’instant, ce qui comptait le plus, c’était la survie, et manger. Il était à l’agonie. La souffrance de son bras ne souffrais pas autant et saignais de moins en moins mais il manquait abondement de sang. Il fallais qu’il réfléchisse au plus vite, et le faire rapidement avant que rencontré une nouvelle quel que part. Après quels que murmures et de gestes, il levas la tête tout en tremblant.
-monsieur, la déesse s’est enfuie. Elle savait qu’on allait arrivé. Mais elle s’a trompé. Elle s’est rapprochée de nous. Même un peu trop rapproché…elle est dans votre armure. Elle s’est télé porter dans votre armure parce qu’elle savait que c’était la meilleure endroit pour te fuir. La seule façon, je pense est que vous détruisez cette armure.
Et ensuite rebaissa la tête pour attendre la réponse de Théodoric ou sinon, une personne asser brave pour le sauvé. Il avait pris un grand risque, et le savais, il tremblais comme un fou et seul des mots comme *échappe toi!* ou *fuis! Tu vas mourir!*


(H.J: AAAAA L'AIDDDDEEEEUUUUHHHHH!!!! )

-Monsieur, la déesse s’est enfuie. Elle savait qu’on allait arriver. Mais elle s’a trompé. Elle s’est rapprochée de nous. Même un peu trop rapproché…elle est dans votre armure. Elle s’est téléporté dans votre armure parce qu’elle savait que c’était la meilleure endroit pour te fuir. La seule façon, je pense est que vous détruisez cette armure.

Théodoric ne broncha pas, il regarda le jeune homme froidement. Il ne prit même pas en compte ce que celui ci voulait lui dire. S'il avait été capable de la moindre émotion, il aurait été enragé devant cette flagrante insulte à son intelligence. Il était simple, démotivé à l'extrème, mais certainement pas stupide. Il voulait simplement avoir une direction et un endroit. Les mots du gamin ne le touchèrent pas, Théodoric les oublia aussitôt tellement cela lui semblait dérisoire. Il continua de regarder celui-ci, attendant toujours une réponse. En fait, après cette mauvaise réponse, Théodoric l'eut surement tranché immédiatement si seulement il n'avait pas été si paresseux...

Il tenait fermement son épée hachoir et reposa sa question :
- Où est cette déesse ?
Cette fois, valait mieux pour lui qu'il lui donne une bonne réponse, sinon quoi ses morceaux pourris serviraient d'engrais pour la terre...

Jénovah passait par elle , elle ne se souvenait plus , comme si elle avait perdu la mèmoire , elle ne reconnaissait plus son passé , sa famille , la vie qu'elle menait , elle vivait le jour au jour.

* Où suis je ? Que fais je ici ? Pourquoi je ne me souviens pas de ce qui m'est arrivée ? *

Elle errait dans les bois jusqu'a l'encontre des deux personnages. Gardant son sang froid , elle serrait son bâton et resta à quelques mètres d'eux .

" Qui êtes vous ? Et dites moi où je suis ? "

Théodoric commença à contourner ce rocher, regardant l'étandue d'eau et préférant simplement ne pas y entrer. De toute façon, il serrait immédiatement allé par le fond et il n'aurait pu atteindre le gamin, alors il préféra rester sur la berge à l'attendre... Néanmoins, une voix se leva derrière lui, lui faisant oublier le môme...

" Qui êtes vous ? Et dites moi où je suis ? "

Le grand guerrier se retourna, chance de fuite pour l'enfant, mais présage de souffrance pour cette nouvelle arrivante. Il n'écouta aucunement les mots de la femme, il ne les comprit pas comme il ne comprenais pas le monde de toute façon... Elle était à quelques mètres de lui, il jeta sur elle un regard fade, dénué de toute émotion, les yeux mi-clos et le visage morne, placide, puis enchaîna sur ls même paroles que d'habitude, le ton grave et effrayant, tout aussi dénué de substance que le reste de son être ;

- Es tu une déesse ?
Qui sait, peut-être était-ce la déesse dont le gamin lui avait parlé...

Jénovah s'approcha vers le guerrier car sa voix la rassurait , à tel point de poser sa douce main sur son visage et répondit :

" Non , je ne suis pas la déesse , mais je suis comme vous !! J'obéis à ma déesse !!! Cependant si vous voulez la chercher , je peux vous conduire dans son temple !!! Cela ne se trouve pas loin !! "

Ayant fini ses paroles , elle glissa sa main jusqu'aux mains du guerrier pour les attraper et tenta de le faire marcher.

Zamorak était devant deux loyalistes. Sois qu’il n’entendait pas, sois qu’il était fou ou sinon qu’il était avec des personnes fou. Il se dit que s’était le temps de partir le plus vite possible. Sa plaie ne lui faisait moins mal à cause de l’eau. Il sortis immédiatement de l’eau et cria a Jénovah :
c’est un fou…fuis, il veux tué toutes les déesse!
Et puis s’enfuit vers la direction de sa maison. Mais avant de s’en fuir il dit a Théodoric :
- Tu est plus faible que moi…pauvre géant.
Et s’enfuit a une vitesse incroyable.
(Désoler encore pour le manque d’imagination )

" Attend " dit elle en attrapant le bras de Zamorak .

" Comment sait tu qu'il cherche à tuer les déesses ? Je dirais plus tot qu'il ne cherche pas à les tuer même si son physique prouve le contraire !! " dit elle à voix mélodieuse pour répondre Zamorak.

Puis elle se tourna vers Théodoric et dit : " Est ce vrai ce qu'il dit ? Ou as tu une autre raison de la chercher ? "

[hj : jénovah, tu vient de te mettre dans la merde... lisez ma prez la prochaine fois les zamigos, ça vous éviteras bien des emmerdes, ainsi que des incohérences de RP..]

La femme s'approcha de lui et... le toucha. Théodoric ne bougea pas. Alors qu'elle disait ne pas être une déesse, il allait la décapiter... Le temple de la déesse... Théodoric ne savait pas si la déesse s'y trouverait... Lui, loyaliste ? Si ce n'avait été de la perte de son âme, Théodoric se serrait esclaffer de rire devant de telles insinuations. Le démon dans sa tête ne cessait de murmurer des insanités, le géant n'écoutait ni le gamin ni la femelle. Il restait taciturne, le visage fixe et las... La femme avait rapproché l'enfant, elle le tenait par le bras.
Théodoric donna un petit coup de poignet et planta ainsi son épée solidement dans le sol. Puis, il aggripa fermement la tête des deux individu et les frappa ensemble violement, les assomant tout les deux. Il glissa d'abord l'enfant blessé dans son sac, puis transporta sous son bras la femme jusqu'à ce qu'elle se réveille. Il marcha un moment et s'enfonça davantage dans l'épaisse forêt.

[HJ 2: hahum hahum... désolé si je vous amoche, mais je ne peux vraiment pas faire autrement, c'est le roleplay de mon personnage (en fait, le roleplay le plus possible aurait été de vous frapper à coup de hachoir, mais j'ai cru bon vous éviter ce désagrément pour l'instant) sur ce je m'en vais lire la fiche de jénovah et éditer au besoin ^^']

Jénovah se reveilla avec un mal de tête.

" Mon Dieu , j'en ai recu de ces coups !! "

Puis elle regarda Théodoric et dit :

" N'avez vous pas honte de lever la main sur une femme ? Ou ne vous a t'on jamais appris la politesse ? .... Ainsi vous n'êtes pas loyaliste et ce que disait Zamorak est vrai !! "

Elle tenta de se glisser pour fuir les gros bras du monsieur mais rien y faire.

* Il ne me laisse pas le choix !! *

Elle tenta de mordre sa main , de donner d'innombrables coups au bras , de bouger de partout , de s'agripper aux diverses objets autour d'elle , de le résonner et de tenter d'aider le petit à se sauver mais en vain.

" Mon Dieu , ou m'enmenais vous ? Voulez vous m'utilisez ? " dit elle avec crainte .

[ Rhooo , et pourquoi tu dois être le seul à te croire robuste , chui quand même forte aussi en magie !! J'éspère que c'est pas moi qui vait te délivrer des ténébres ou t'aimer ou un truk du genre ]

(hj : merci beaucoup très chère ! ^^ Sache que je ne suis pas du genre à abuser des gens qui sont près à laisser tomber leur orgueil pour faire un bon roleplay. Alors t'en fais pas, il ne devrais pas y avoir de problème
PS : merci encore pour cette belle modification)

Théodoric marchait sans se soucier des coups et des gigotements des deux créatures. Il ne se rendait pas compte que le jeune Zamorak faiblissait dans son gros sac humide et renfermé, maintenant légèrement crouté de sang. Le grand homme continua à marcher, il ne réfléchissait pas à ce qu'il ferait de ces deux personnes. Peut-être ne lui étaient-ils d'aucune utilité, auquel cas il serait mieux d'immédiatement les abattre... Mais la femme avait parlé d'un temple, et la déesse s'y trouvait peut-être... Il stoppa soudain sa marche.
- Indique moi la direction de la déesse, femelle.

Disant cela, il regardait sévèrement Jénovah, son même regard inexpressif transmettant toujours le même message : Tu réponds ou tu meurs. Le gamin gigotait beaucoup, Théodoric donna un coup de poing dedans, sans détourner son regard de la femme sous son bras.

[hj 2 : Jénovah, si tu me dit où est cet endroit, tu peux tout de suite dire "suite ---> tel endroit" car Théo va suivre tes indications]

Jénovah déviseaga le chevalier , mais voyant le pauvre Zamorak soufrir dans ce petit sac. Elle ne voulut pas lacher prise.

" Je ne vous indiquerez la route du temple que si vous libérez ce pauvre enfant qui ne vous a rien fait !! Et cela je ne le ferais que si vous respectez votre parole , si vous en avez d'ailleurs... "

* Je me sacrifierais pour cet innocent personne , aprés tout c'est ma faute de ne l'avoir pas laissé fuir !! Et moi qui ai bêtement désaprouvé ses dires , que suis je idiote !! *

Elle attendait la réponse , et fut un peu heureuse car elle était certaine que sans elle , il ne pourrait pas trouver ce temple. D'ailleurs ce n'était qu'une ruse car elle même ne savait pas ou se trouvait ce temple , même si elle en avait entendu parler.

[ On n'y partira que si tu laisse Zamorak et qu'on régle le roleplay entre nous deux !! De plus c'est pour montrer aussi que meme si j'ai pas de gros bras , j'ai quand même des idées dans la tête ]

(hj : théo est très tenté de te violé jéno )

Le géant écouta à peine les paroles de la femme. Il attendit un instant, l'air de réfléchir. Quelques secondes passèrent, presqu'une minute même, puis le guerrier serra la femme sous son bras, l'étouffant lentement, son visage dénué de tout sens ni intérêt. À nouvau, il leva sa voix grave et inexpressive.
- Si tu ne m'indique pas la direction de la déesse, femelle, je te tue puis je démembre le garçon. Alors indique moi la direction ou bien tu serra broyée...
Très long discours pour quelcun qui n'a pas de motivation...

[ Ca va pas , tu veux me tuer précocément et arrête de te prendre le maitre du monde , tu pourrais kan meme lacher le pov gars et regler le compte entre nous deux , y compris le viol inclus !! ]

Jénovah éspérait l'impossible mais elle gardait quand même la situation en main , même si elle ressentait un peu de douleur , elle dit :

" Je crains que tu n'aurais pas le choix vu que personne ne pourra te guidera et bien sur personne ne pourrais le faire mieux que moi. Mais sache que si tu me tue , tôt ou tard , quelqu'un me vengera !! "

* Qu'est ce que je lui raconte comme mensonges ? Et dire que quelqu'un me vengera alors que personne ne m'a considéré comme une amie !! *

Elle regarda d'une manière sérieuse pour tenter de faire croire à Théo que ce qu'elle dit n'est pas une plaisanterie

" De plus , à quoi te servira l'enfant si tu l'enferme dans un sac à le laisser s'éttouffer comme un poisson qui n'est pas dans l'eau ? Tu essaye de le faire mourir ? Ou tu veux l'utiliser lui aussi dans tes projets personnelles ? "

[HJ : je ne fais pas mon maitre du monde, je fais mon roleplay. Je ne vois nulle part que tu résiste à la douleur... c'est étrange, mais ça me force à faire un roleplay plutot simpliste pour continuer à incarner ce personnage comme il se doit]

Théodoric n'écoutait pas ce que la femme disait. Il s'en fichait, il ne voulait qu'obtenir ses informations. Et puis il ne connaissait pas l'espoir, ni d'ailleurs aucun autre sentiment. La réponse de la femelle était négative, c'est tout ce qu'il en retint. Devait-il la massacrer ? ou lui laisser une autre chance ?... Le géant continua à resserrer son bras, lentement broyer les côtes de Jénovah. Il ne dit pas un mot de plus, attendit simplement une réponse venant soit de la bouche de la femme, soit de ses côtes se fracassant sous l'étaux de fer qui se resserait inlassablement contre son corps si pathétiquement fragile. Heureusement pour les deux pauvres victimes du monstre, ce dernier ne prenait même pas la peine de d'analyser leur paroles, sinon il se serait déjà rendu compte qu'ils lui étaient inutiles, qu'il pourait aussi bien les démolir sans pitié ni délai, sur le champs, et laisser pourir leur cadavres comme il l'avait fait si souvent... Jénovah n'eut bientôt plus beaucoup d'espace pour respirer, le bras se refermant sur elle tel un python vorace...