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 Textes de Melvinie

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Melvinie
Invité




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MessageSujet: Textes de Melvinie   Textes de Melvinie Icon_minitimeVen 2 Juin - 18:50

Je risques de mettre tout plein de trucs ici, et je commence avec l'histoire d'une de mes présentations. C'était sur un forum des chevaliers d'Émeraude pas tellement connu, mais quand même sympa vu que les joueurs présents étaient assez bon^^

Durant ce temps-là, je m'ennuyais ferme et je ne savais pas du tout quoi faire. J'ai donc commencé à faire des présentations pour le fun de faire des présentations, sans but précis. Je m'inspirait toujours d'un avatar (ça m'aidait), et celui-là, je l'ai vraiment aimé. Après avoir écrit toute l'histoire, je me suis inscrite au forum dans le but de devenir élève d'Émeraude (si vous voulez savoir, le forum a finalement été abandonné et les inscriptions, jamais terminée...)

L'histoire est donc inspirée de l'ava!

Textes de Melvinie Fille22

Nous sommes au début de l'hiver, des dizaines d'années avant la naissance d'Éliane, dans un petit village très croyant d'Émeraude. Les familles sont nombreuses et contiennent parfois plus de dix enfants, nécessitant beaucoup de nourriture. La plupart des villageois sont donc des paysans, et puisque la hiérarchie ne peut pas s'établir avec les statuts (Le tailleur et le forgeron étant les seuls n'étant pas fermier), on élu chef celui qui a la meilleure récolte. Parfois, le chef ne garde sa place que pendant un an ou deux, mais parfois il la garde toute sa vie. C'est ce qui arrivait avec la famille des Bolduc. Depuis déjà deux générations, c'était ces fermiers qui occupaient le statut de chef. Et en tout bon chef, ils avaient, bien sur, une femme. Malheureusement, les jeunes filles du village ne s’intéressaient pas du tout aux hommes gras. Et la famille des Bolduc ne comportait point d'hommes en très bonne santé. Le fils héritier de la ferme, qui avait maintenant 15 ans, était de loin le moins beau de tous, et il était évident qu'il serait difficile de lui trouver une femme. Et puisque la voie de l'amour pur ne pourrait jamais fonctionné, le père de la famille avait décidé que son fils allait marier une femme parce qu'elle y serait obligée, par fiançailles dès la naissance de la future épouse. Malheureusement, les familles ne tenaient pas à confier leurs filles au fils, ce qui rendait la situation bien compliquée.
La solution arriva ce matin d'hiver. La famille voisine des Bolduc n'avait pas eu une bonne récolte, et le peu de nourriture qu'ils avaient pu amasser ne suffirait pas à nourrir les 12 enfants, en plus des deux parents et du bébé qui ne tarderait pas à venir. Les Bolduc furent mis aux courant de la situation de leurs voisins, et virent là une ultime chance de trouver une épouse à leur fils. Sans trop y penser, ils proposèrent un marché à leur voisin.

''Puisque notre récolter a été meilleure que jamais, nous vous donnerons ce dont vous avez besoin pour vivre, si, en échange, vous donnez la main de votre prochaine fille.''

N'ayant pas réellement le choix, ils acceptèrent. Le bébé que portait la femme depuis déjà un moment naquit quelques semaines après l'échange, et ce fut une fille. Ce serait donc elle qui épouserait le fils des Bolduc.
La jeune fille grandit le plus normalement du monde, sans jamais apprendre qu’elle était fiancée à un homme de quinze ans plus vieux qu’elle. Elle devint une belle femme, intelligente et habile de ses mains. Beaucoup de fermiers la regardaient d’un air enviant, et elle-même ne manquait pas une occasion de charmer. Ses parents n’osaient pas lui dévoiler son futur. La fermière découvrit son grand amour lorsqu’elle alla voir le forgeron, sous la demande de son père qui voulait un nouveau couteau. Dès qu’elle atteint la forge, ce fut le coup de foudre. Elle en était sur, c’était son âme sœur, la, juste devant elle… Il devait avoir environ le même âge qu’elle, et il était tellement beau… C’était l’apprenti forgeron. Il était très timide, car il avait jadis été exilé de son royaume, Elfe, puisque son père était un vulgaire humain. Par contre, il ne fut pas le moins du monde gêner avec la fermière, et tous les deux formèrent bien vite un couple secret. Secret parce que c’était amusant d’avoir un secret, et secret parce que la fermière sentait que ses parents ne voulaient pas qu’elle aille de petit ami. Pourtant, lorsque, deux ans après leur rencontre, l’apprenti demanda en mariage la paysanne, elle ne pu qu’annoncer son amour à ses parents, pour avoir leur accord. Ceux-ci furent forcer de lui apprendre la vérité, et de toute façon, elle aurait 18 ans dans à peine un mois, et le mariage avait été prévu pour le jour même de ses 18 ans. La paysanne en fut très triste, et elle ne se remit que le jour même de son mariage, qui aurait été le plus beau jour de sa vie si son époux avait été le forgeron.

À peine quelques moins après son mariage, elle eut un enfant. Une petite fille. Éliane. Sa mère se questionna bien vite sur ses origines ; ses oreilles pointues laissaient croire que son père pourrait être l’apprenti forgeron, qu’elle n’avait pas revu depuis l’annonce de son mariage avec le fils des Bolduc. D’un autre côté, elle pouvait très bien être la fille de son mari qu’elle n’aimait tellement pas, puisqu’elle avait été dans l’obligation dans lui faire passer des nuits d’amour quelques fois depuis leur mariage. Ne sachant pas qui était son père, elle ne sut pas comment prendre la naissance de la jeune fille. Si jamais elle était le fruit de l’amour qu’elle avait voué au demi-elfe, Éliane avait de bonnes chances d’être tué pour son beau-père. Si, au contraire, son père était le Bolduc, la mère ne voulait pas l’aimer, car elle détestait tout simplement son mari. Elle décida donc de jouer dans l’entre-deux, et donc de ni l’aimer, ni la détester, et de lui couvrir le plus possible les oreilles pour ne pas que son époux pense que son vrai père pourrait être le forgeron.
Ainsi naquit Éliane, d’un père et d’une mère qui ne s’aimait pas, ou bien d’un père et d’une mère qui s’aimait passionnément, mais qui ne pouvait pas vivre ensemble. Personne ne pouvait le dire.

La petite démontra une très grande intelligence, et appris très rapidement à marcher, puis à parler. Elle fut d’abord une fillette curieuse qui posait plein de questions, mais devant l’air las de son père qui ne portait aucun intérêt à elle, et devant l’air malheureux de sa mère à chaque fois qu’elle lui parlait, Éliane appris à se taire. Elle se battit une petite forteresse mentale, et elle passa les trois premières années de sa vie dans une grande solitude, sans vraiment comprendre la vie et sans avoir de mentalité particulière. Son caractère commença à se former lorsque son père l’amena à l’assembler du village, puisqu’il était bien vu de venir avec un enfant. Il la présenta aux autres fermiers importants du village, des gens qu’il traitait avec un grand mépris. Éliane, malgré ses trois ans, compris alors la loi du plus fort. Son père était le plus fort. Les autres étaient faibles. Et les faibles, on pouvait en faire n’importe quoi. Une fois de retour chez elle, elle se demande si ce qu’elle venait de découvrir était vrai, et elle se mit à observer les animaux. Elle découvrit que, avec eux, c’était pareil : les plus forts mangeaient les plus faible. Et les plus forts s’alliaient aux autres plus fort pour tuer encore plus de plus faible. Presque fasciné par les grands chasseurs, elle décida d’aller les voir de plus près. C’est ainsi qu’elle découvrit son donc pour parler aux animaux. Et ils devinrent bien vite ses seuls amis.
Sa vie pris un nouveau tournant lorsque son père l’amena une deuxième fois à l’assembler. Cette fois-ci, elle n’était pas la seule. Plusieurs autres enfants étaient présents, et puisque les adultes ne voulaient pas être dérangé, on avait ordonné qu’ils jouent ailleurs. Malgré sa mentalité selon lequel les plus forts restent avec les plus fort, Éliane avait voulu jouer avec eux. Malheureusement, ses yeux couleur de sang en effrayèrent plus qu’un. Et un enfant effrayer ne s’effui pas. Il fait sentir celui qui l’effraye plus petit. Avec l’aide des autres, bien sur. Et une des manières de faire sentir l’autre plus faible est de lui lancer des cailloux. C’est ce que tous les enfants firent. Par contre, aucun des cailloux n’atteint Éliane. La petite venait de découvrir deux choses : D’abord, son don de télékinésie. Ensuite, que personne ne l’aimait. Cette dernière pensée fut bien vite confirmée lorsque son père découvrit qu’elle avait des oreilles pointues. Fâché, craignant que sa femme l’ai trompé, il avait commencé à la battre. Elle et sa mère. Elle passa donc trois ans ainsi, à être détestée de tout le monde. Jusqu’au jour ou son père sut que la magicienne d’Émeraude cherchait des élèves. Il envoya sa fille, heureux d’enfin pouvoir s’en débarrasser. Et puis, entre-temps était né d’autres enfants, trois garçons dont deux étaient jumeaux, et il voulait s’occuper d’eux, et non de sa fille.


Toujours dans ma période d'ennuie, j'ai trouvé un autre ava que j'aimais bien. J'ai donc créé une autre présentation en m'en inspirant. Présentation qui a été utlilisé dans ce forum-ci (À la V1)! Peut-être reconnaîtrez-vous la protectrice de la nature, même si je n'ai pas tellement eu le temps de poster avec elle. L'histoire est plutôt courte, mais je l'aime bien^^ J'ai modifié l'histoire il y a quelque temps dans le but d'en faire le titan de la terre (n'ayant pas vu que le rôle était reservé...), alors la fin est nouvelle...

Textes de Melvinie Fille448

J’existe. Voilà tout. J’ai dû naître, un jour, il y a de cela des centaines d’années, mais est-ce que ça a vraiment de l’importance ? Est-ce que le passer est vraiment important ? À quoi bon savoir le passer d’une personne si on ne l’aime même pas ? Je ne demande pas à savoir le votre, après tout. La seule relation que j’ai avec les humaines est une relation de protection. Je m’oppose, voilà tout. Je ne m’allie pas. Je ne deviens pas amie, ça non. De toute façon, personne ne m’aime. Personne ne voudrait vivre avec quelqu’un comme moi. Mon chemin est différent de tous, et je poursuis ma route seule, même si ma route se croise avec plusieurs autres, elle s’en détache toujours sans s’attarder à un chemin qui n’est pas le mien.
Je n’ai pas de mère, pas de père. Pas de famille. Je ne connais personne d’autre que la nature, et elle n’a pas besoin de connaître mon histoire pour m’aimer. Alors pourquoi raconterais-je mon passer à quelqu’un que je ne connais pas ? Car si je parle trop, je vais m’attacher, et si je m’attache, je vais rester trop longtemps sur un chemin qui n’est pas le mien. Et je ne veux pas commettre d’erreurs. Pourtant… une si petite erreur ne changerait pas grand-chose. Qu’est-ce qu’une déviation de quelque jours comparé à toute une vie ? Rien, me dirait vous… Mais un simple battement d’ailes peut déclencher une tornade… Non, je ne dois pas commencer à sympathiser, ou je ne m’arrêterai plus. D’un autre côté… Les seules paroles que je dis concernent toujours la nature et sa protection, et jamais moi. J’ai assez donné de ma vie pour pouvoir me permettre de m’amuser un peu… Voilà donc mon histoire. Je vous la raconte et je vous la confie. Parlez-en à qui vous voudrez, peut être qu’ainsi lorsqu’on me rencontrera on ne me regardera plus comme si j’étais une folle.

Je ne suis pas certaine d’être née. Je crois que j’ai simplement commencé à exister, il y a de cela des années et des années. Au départ, je me souviens que je me trouvais bien normale. J’étais seule, toujours seule. Les animaux étaient mes seuls amis, alors je les respectais, tant qu’eux me respectait aussi. Je ne suis par leur maîtresse, je suis leur amie. Je les protège. Et puis, j’ai grandit. J’ai grandit d’abord rapidement, comme vous les humains, puis ma croissance a ralenti, peut à peu. Je n’y ai pas porté attention ; pour moi, les saisons n’existaient plus, les jours s’écoulaient sans jamais s’arrêter, et les années passaient. C’est seulement en voyant les autres animaux que j’avais autrefois recueilli mourir que j’ai compris que le temps avait arrêté pour moi. Et j’ai compris que ce n’était pas pour rien. C’est à partir de ce moment que je me suis mise à protéger la forêt. Que pouvais-je faire d’autre, de toute façon ? Je ne connaissais rien du monde et de ce qui s’y passait. Comment était-ce en dehors de la forêt ? Y avait-il des arbres partout ? Je n’ai toujours pas eu les réponses à ses questions. Ou oui, j’en ai eu. Mais tellement peu… Ainsi, j’ai commencé à défendre. De plus en plus sauvagement. J’appris avec les années à reconnaître ceux qui représentaient le plus de risque pour la forêt ; il y avait d’abord les humains qui se fichaient pas mal de la nature, les démons qui venaient plutôt rarement et les nains qui avaient tendance à couper beaucoup trop d’arbre. Mais, heureusement, ce n’était pas tout le monde qui en voulait à mère nature car presque tous les elfes étaient de mon côté et tentaient, eux aussi, de protéger les plantes. Le temps passa, et la première fois où mon chemin resta plus longtemps dans celui de quelqu’un d’autre arriva. Mais cette fois-là, ce n’était pas comme aujourd’hui. Je suivais toujours mon destin. Cette année-là, la forêt se portait très mal. Un des démons étaient passé par-là et avait décidé de brûler la moitié des arbres. J’avais tenté de l’arrêter. Je n’ai pas réussi. Bien au contraire, je dois dire qu’il m’a fait assez mal. Je me suis ensuite retrouvé chez un elfe, je crois. Et il m’a sauvé. Il m’a parlé, aussi. Beaucoup. Je crois qu’il croyait que j’étais une humaine, malgré mes cheveux verts. Il n’arrêtait pas de parler de château, de maison, de métier, et de qui était mes parents… Il a voulu m’amener à un village, mais je ne voulais pas quitter ma forêt. Car, étrangement, j’avais le sentiment que le monde à l’extérieur de la forêt ne m’était pas permis. Les années passaient. Toujours. Mais je sentais que le monde changeait. Les hommes n’étaient plus les même, et lorsque je défendais la forêt à l’aide de mes pouvoirs, ils semblaient avoir à la fois peur de moi (encore plus qu’avant) et me trouver totalement… bizarre, peut être. Je crois avoir compris pourquoi ils agissent ainsi. Je pense que la magie des éléments n’est plus bien vu… et je crois avoir compris ce que je dois faire. Je suis apparue il y a des centaines d’années, et pourtant, je venais tout juste de comprendre pourquoi j’existais. C’était pour protéger la nature. Bien sur, ça, je le savais déjà. Mais je ne savais pas que mon rôle deviendrait aussi important avec la disparition des déesses… Et puis, maintenant, je peux me nommer par mon rang. Je suis Karyla, titans de la terre.

Voilà mon histoire. T’auras-t-elle aidé à mieux me connaître ? J’en doute. De toute façon, nos chemins doivent à nouveau se séparer. Je suis toute de même heureuse d’avoir pu parler. L’elfe n’était pas d’un genre très bavard, et de toute façon il ne m’aurait pas cru. Je viens de découvrir quelque chose de nouveau, je crois. Serais-ce ce que vous, les humains, vous appelez l’amitié ?


Voilà pour le moment, je rajouterai peut-être d'autre chose plus tard^^
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Melvinie
Invité




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MessageSujet: Re: Textes de Melvinie   Textes de Melvinie Icon_minitimeDim 4 Juin - 12:52

À l'école, il fallait faire un atelier d'écriture par semaine. J'en ai écrit plusieurs sur l'ordinateur, alors en voici quelques-uns:

Thème: ''En ce temps de Noel, il faut penser à nos frère et soeurs qui vivent dans d'autres pays ou la vie est moins faciles. Vous devez donc écrire une lettre à un enfant comme vous d'un autre pays. Votre lettre toi commencer par ''Toi, ma soeur/frère (pays),...'' ''.

Commentaire: Je dois dire que j'avais vraiment pas d'idée, surtout pour le pays (on voit la place que j'ai laissé pour l'écrire...) mais bon...

Toi, ma sœur, PAYS, qui ne peut manger que l’équivalant de ce que jette lorsque je n’ai plus faim, toi qui doit marcher des heures pour avoir ne serait-ce que la moitié de l’eau que je gaspille dans une année, toi qui dort ou je n’oserais même pas mettre les pieds, toi qui rêve du jeu que je reçoit à Noël mais que je rejette, toi qui tente d’être heureuse alors que moi je semble tenter d’être malheureuse… Que penses-tu de Noël? Que penses-tu de la fête des riches, de la fête de ceux qui n’ont rien à faire pour être heureux et qui tente de plonger dans le malheur, de la fête de ceux qui ne pensent qu’à l’argent? Que penses-tu de Noël, la fête de la consommation, de cadeaux achetés avec l’argent qui pourrait te nourrir pendant une année? Que penses-tu de Noël, la fête du petit Jésus, la fête de celui que tous on oublié? Que penses-tu de Jésus lui-même, qui semble t’avoir oublié dans ton malheur?

Tu ne dois pas en penser du bon. Et puis, peut-être que tu n’es pas comme nous, nous les exploiteurs, nous les riches, nous ceux qui voyons toujours le verre à moitié vide… Peut-être tentes-tu de trouver les bons côtés? Peut-être que toi, tu te bats pour ton bonheur, et que tu fais avec le millième de ce que nous avons? Je l’espère. Car si c’est le cas, je saurai qu’il n’y a pas que des hypocrites sur Terre. Je saurai que certains tentent encore d’être heureux, malgré l’injustice la plus total qu’on retrouve sur notre planète. Car, dis moi, sais-tu pourquoi nous, qui avons tout, cherchons le malheur alors que le bonheur est à nos portes alors que toi, qui n’a rien, est obligé de te forcé pour être heureuse?


Thème: Vous devez écrire en décrivant ce qui est, pour vous, le plus beau son du monde.

Le plus beau son du monde, c’est celui d’une voix. D’une seule voix, d’une seule parole, dite par n’importe qui. C’est une voix qui nous rappelle qu’on est pas seul sur Terre, qu’il y a d’autres personnes, qu’ont ne sera jamais seul. Une voix qui nous rappelle qu’on est vivant, qu’on existe. Une voix simple ou compliquer, une voix d’un proche ou d’un inconnue, une voix… une simple voix.

On ne réalise pas comment le silence est troublant. Rappelez-vous un moment ou, avec n’importe qui, vous parliez. Et soudainement, vous n’avez plus rien à dire. Le moment, qui pouvait auparavant être tout à fait plaisant, devient gênant. On veut briser le silence, mais en disant quoi ? Et quand l’autre parle, on est soulagé. Soulager d’attendre sa voix.

On ne réalise pas comment une voix peut nous aider. Rappelez-vous un moment où vous étiez triste. Qu’est-ce qui aide le plus ? Pleurer simplement, ou crier, en parlant, et entendre quelqu’un nous rassurer ? Nous aider à surmonter notre tristesse, ne serait-ce qu’en nous disant un petit ‘’Ça va aller, ça va aller’’, avec un ton calme, rassurant… Avec une voie qu’on aime entendre.

On ne réalise pas comment parler avec quelqu’un est important pour nous… Imaginez que, pendant un mois, vous ne pourriez parler à personne. Vous ne serriez pas heureux, non ? C’est pour ça que le son d’une voie est le plus beau son du monde.

Parce qu’on en a besoin…

Thème: Vous devez parler de votre prénom en parlant de vous.
Commentaire: C'est le premier de l'année, il est pas super, je sais pas du tout pourquoi je le postes... En fait, le seul truc sympa que j'en ai tiré c'est une bonne lecture expressive^^

Mon prénom, c’est Charlotte. Un nom qui fait vieux, ancien, pas beau, avec le double t à la fin… Ça fait Ginette, Paulette, Georgette… En gros, ça fait plate. Pourtant, au départ, mes parents ne m’on pas appeler Charlotte parce qu’il me trouvait plate (ou simplement parce qu’il voulait que j’aille un nom laid), ils m’ont appeler Charlotte parce que je n’avais pas l’air d’une Marie ou d’une Élizabeth. Parce qu’avant ma naissance, je devais m’appeler Élizabeth. Ou Marie, prénom qui est quand même rester comme mon deuxième nom. Mes parents m’ont donc appelé Charlotte parce qu’ils ont su, dès ma naissance, que j’avais et que j’aurais beaucoup de caractère. Ils avaient raison. J’ai beau pouvoir être calme, tranquille, adorable même, j’ai du caractère. Je me fais imposer. Enfin, en maternelle et en première année, je me faisais vraiment imposé. La boss s’était qui ? Moi… Et je me demandais pourquoi je n’avais pas trop d’amis… Au primaire, ça a été différent. Je n’ai pas pus m’imposer. Je suis devenue timide, réserver… C’est ce qui arrive lorsque personne ne nous parle. Mais l’important, c’est que depuis que je suis au secondaire, je suis redevenue comme avant. Je veux dire, je suis moins timide, je parle plus… Peut être que j’ai encore beaucoup de caractère, peut être que je fais encore ma boss… Mais ce n’est pas à moi qu’il faut demander ça. C’est à mes amies… (Et j’espère que, si vous leur posez la question, elles vont répondre que je suis, au contraire, super gentille, intelligente, la fille parfait, quoi…)


Thème: Vous devez parler d'un personnage. C'est un texte forcé, vous devez donc mettre les mots que je vais vous donner dans l'ordre et sans les changer. (mots en gras)
Commentaire: J'ai oublié de mettre certains mots lol...

Mia est toute petite. Elle est très jeune, elle va a peine a la petite école, celle ou on va avant celle des grands, ceux qui sont devant des bureau. Elle 'a encore que 6 ans. Elle a encore toute la vie devant elle. Elle a encore un coeur pur, un coeur en or. Mais Mia n'a plus de bonheur, et c'est bien triste, car Mia mérite plus n'importe quelle petit enfant. Elle est très gentille avec tous ces amis de la petite école. Elle fait tous ses devoirs comme elle le doit. Et son professeur l'aime énormement aussi. Mais Mia est triste. Elle manque de tendresse. Elle manque de joie. Elle manque de tout... Elle veut aller rejoindre la Lune et les étoiles. Elle veut s'envoler loin, loin dans le ciel, et aller rejoindre sa maman. Elle veut la voir encore, comme quand elle fesait des spectacles devant pleins de monde, gracieuse comme une vraie ballerine. Elle veut la rejoindre parce que son papa lui fait très mal. Il lui fait des bobos. Des gros bobos. Il lui fait mal sur tout son corps, mais aussi a l'intérieur, juste ou est son coeur, il lui fait très mal. Très, très, très mal, et c'est bien pire que tous les coups de bâtons du monde. Ainsi, Mia n'a qu'un seul rêve. Elle veut que le petit Jésus vienne la chercher et qu'il l'amène au paradis, tout en haut, ou sa maman l'attend, elle en est sur, car elle a toujours été gentille avec elle. Elle rêve de revoir sa mère. Elle rêve de revoir son sourire. Elle rêve qu'elle la prenne a nouveau doucement dans ses bras, comme avant, comme quand elle n'était pas partie loin, loin, loin...
Mia a 6 ans. Mais Mia comprend ce que peu d'adulte comprenne.
Elle comprend la douleur.
Elle comprend la souffrance.
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