Un couloir aussi sombre que l'enfer.

L'un des couloirs les plus sombres du palais.
***

Un petit tap tap résonnait dans le couloir tandis qu'une fillette vêtus de rouge s'avançait. Ses yeux de sang scrutèrent l'obsucrité sans beaucoup de succès. Tout en avançant, elle se mit à chantonner doucement:

- L'ombre se promene dans le noir. Aucune peur, il ne doit avoir. Celle aux yeux de sang, manche en chantonnant. Si sa chanson vous entendez, d'énergie vous manquerez. C'est seulement River, celle qui rime avec la peur...

Sa chanson continua ainsi jusqu'à ce qu'elle atteingne le milieu du couloir. River reconnut l'énergie de son maître et s'agenouilla respectueusement.

- Maître.

Depuis déjà quelques heures, Odyssée progressait dans les nombreux couloirs de sa demeure, tenant dans sa main droite son précieux livre, l’Elnade, dont il ne se séparait jamais. Le Tyran de l’empire noir, dont la stature si… étrange… était contradictoire avec son rang, marchait d’un pas lourd en se dandinant de gauche à droite, sa tête de la grosseur d’un ballon allant à l’unisson avec le reste de son anatomie. Parfois, il s’enfargeait dans ses pieds, manquant de près se retrouver face contre sol. « Elnade, Elnade… Mon livre, mon fabuleux livre… Pourquoi ne me révèles-tu pas l’emplacement de l’autre tome? » Chuchotait-il à l’adresse de son livre. « Je veux savoir… je dois savoir! Certaines de tes formules font allusion à l’autre tome. Et à ta dernière page, mon ami, il est écrit en un langage ancien que l’auteur de ce livre en a écrit un autre, celui-là traitant de la magie élémentaire… J’en ai besoin. Dis-moi où il se trouve, ce livre. Je t’en prie! L’avoir en ma possession… ce serait posséder un immense savoir. Les deux tomes réunis, je pourrais découvrir une formule pour combattre la mort, chaque parcelle de cette terre…et peut-être même posséder un plus grand savoir que les dieux! »

Il s’arrêta un moment, ses yeux scrutant l’obscurité avec attention, se balançant d’avant en arrière, comme s’il se trouvait sur une balançoire. L’opresseur du continent noir, semble-t-il, réfléchissait. « Eh bien…» Continua-t-il à murmurer après un moment de réflexion. «… un plus grand savoir que les dieux… Certes pas. Enfin, pas dès le moment où je serai en possession de l’autre manuscrit. Mais je crois que je pourrai, avec le temps, y arriver. Ah mais ne pense pas que je fais cela pour dépasser ce qu’on appelle les dieux. Je crois déjà être au-dessus d’eux. Non. En fait, c’est pour assouvir mon désir de savoir. Je suis curieux, voilà tout. » Son regard s’attarda sur un point au bout du couloir. « Nous avons de la visite, cher Elnade. Te souviens-tu de cette jeune fille que nous avons soumise? Ah oui. Bien sûr que tu t’en souviens. C’était la première. Ah… Quelle fabuleuse idée c’était. N’est-ce pas? Sans toi, je n’y serais jamais arrivé. Aujourd’hui, je les contrôle. Et comme ce sont des enfants, je ne suis nullement épuisé. Ils sont las et sans avenir sans moi, et ils le savent. C’est pourquoi je…je veux dire : C’est pourquoi nous contrôlons leurs esprits si aisément. » La Pantin se rapprochait un peu plus à chaque seconde qui passait, accompagnée d’un « tap, tap », son provoqué par ses petits pas sur le sol humide et froid du Palais Sombre.

- Pas un pas de plus. Dit-il alors qu’elle s’agenouillait respectueusement devant lui, reculant lui-même d’un pas afin de se tenir dans l’obscurité, de manière à ce qu’elle ne puisse distinguer les traits de son visage.

« Cette Pantin a toujours été capable de repérer mon énergie. C’est fâcheux… Très fâcheux. Heureusement qu’elle est la seule. Enfin, mon cher livre… Pourquoi ne pas discuter avec elle de nos plans? J’ai fait basculer le continent noir dans la terreur, alors le temps est venu pour moi de passer à l’acte. N’en est-il pas ainsi? » Ses yeux, dans lesquels passait une lumière blanche, détaillèrent les traits de la Grande Pantin, supérieure de tous les laquais du Tyran.

-Relève toi, commença-t-il d’un ton tranchant, mais ne t’avise pas de chercher mon regard. Pose tes yeux sanglants sur mes pieds ou sur le plancher, peu importe. Et…. Je te permets de mettre en vers certaines de tes phrases. J’adore le doux son que provoquent les rimes au contact de mon ouï et l’amusante tonalité de ta voix cocasse. Allez, ma petite Pantin folichonne. Fais moi entendre la suite de ces quelques vers.

River se releva lentement, gardant les yeux au sol. De tout façon désobéir lui était impossible. Doucement, elle reprit son chant:

- Si son chemin vous croisez, le monde vous quitterez. Sans peur, ni pitié, seule le son des cris peuvent la calmer. Le sang verser l'a fait chanter. Votre tête, elle tranchera et à son maître l'apportera. Inutile de vous cacher, votre énergie vous trahira et vous serez dans de beaux draps. Ne crier pas, ne paniquer pas. C'est seulement River, qui chante des horreur.

Un sourire narquois apparut sur les lèvres de River lorsqu'elle finit de chanter. Ses chansons n'étaient jamais joyeuse et étaient toutes similaire à celle-ci. Elle les aimait bien pourtant ses chansons. Qui rimait dans un air doux et simple, un air qui n'allait nullement avec les paroles. L'air était bien la seule chose qui restait de l'ancienne River. La faible, la petite, celle qui s'est fait vendre par son propre frère. Triste histoire... bien qu'au fond d'elle est ne regrettait pas l'acte de son aîné. On veut tous survivre pas vrai ? River ne s'était jamais plainte (Il faut dire qu'elle ne le pouvait pas) et aimait bien cette vie. Une vie remplis de cris, de sang et d'horreur. River posa ses yeux rouge sur les pieds de son maître et n'alla pas plus loin puisque celle lui était interdit. La jeune fille attendit en silence les ordres de son maître. Elle ne montra aucun signe d'impatience. Elle resta simplement droite comme une barre de fer, la tête baisser, les yeux posé sur le sol.

Lane avançait, péniblement, car ses pas autrefois légers devenaient presque douloureux, mais elle marchait, encore et toujours selon les ordres, depuis de longues minutes. Savait-elle seulement où elle allait? Visiblement, non, elle se faisait guidée, à son insu, par nul autre que son maître, Odyssée. Ne regardant que ses propres pieds et le plancher soudainement intéressant, la petite progressait, et plus rapidement qu'elle ne l'aurait pensée, quand elle entendit des voix, une toute petite voix, toute jolie et toute cristalline, mais elle ne parvenait pas à déchiffrer les paroles. Et puis, une autre voix, autoritaire, presque appeurante, celle d'Odyssée, elle le sut tout de suite. Elle n'osa pas dire qu'elle appréciait la musique de la jeune fille, et fut intriguée intérieurement par ce qu'elle était aux yeux de son maître. Encore là, Lane ne dit rien. Elle avait appris à penser et à parler, mais s'était bien vite aperçut que son maître n'appréciait guerre qu'on parle pour rien. Avec le temps, elle se rendit compte elle aussi que le parlage inutile était pitoyable.

La jeune pantin avançait encore, mais se demandant si elle devenait continuer, pourquoi ne lui donnait-il pas d'ordres? Elle était perdue, ne savait plus quoi faire, car l'espace d'un instant, personne ne lui disait quoi faire, où et quand. À l'orée du désespoir, elle mettait un pied devant l'autre, en faisant bien attention de ne regarder ni son maître, ni l'autre fillette.

Puis, approchant pas à pas de son cher Odyssée, celui qui la sauvait en tout les cas, elle mit un genou à terre, puis deux. Ensuite, fut le tour de son dos de se courber, et à sa tête de fouler le sol. Étrangement, et contrairement à ses habitudes, la petite Lane ne ressentait pas cette espèce de fierté et de force qui la remplissait quand elle exécutait les ordres de son maître, mais elle se sentait faiblir, comme si on lui volait son énergie. Paniquée, voir même appeurée, la fillette se demandait réellement ce qui se passait, sans jamais, enore une fois, mentionné le moindre mot. Le seul détail qui puisse faire découvrir son malaise était sa respiration saccadée, mais elle tentait de la cacher de son mieux, faisant semblant que tout allait bien, et que rien ne la comblait plus que sa situation du moment.

Et la pauvre pantin tentait de se faire si petite, là, par terre, ne désirant pour rien au monde déranger les deux jeunes gens, mais se délectant de la mélodie de la fillette en rouge.

Nagash marchait lentement comme envoûté par quelquechose ou quelqu'un le regard vide et inexpressif ne regardant que devant lui, la bouche muette et le visage fixe, Nagash marchait dans un long couloir sombre.

Odysée l'avait appeler pour je ne sais quel raison, il ne savait pas pourquoi et ce qu'il avait prévue de lui faire faire, il devait simplement ce plier aux ordres de son maître en allant au point de rendez vous prévue par celui-ci.

Des bruits de pas legers se faisait entendre depuis le trône du maître, Nagash arriva enfin au bout du couloir et entra dans la salle discrétement et silencieusement, ses bras se balançaient le long de son corps contrôler par son maître.

Puis enfin il s'agenouilla par terre et baissa sa tête, a côté de lui se tenait une fille qui était aussi un pantin comme-lui, il ne se connaissait pas puisqu'il ne se parlait jamais et de toute façon, il était interdit de se parler entre eux sauf par acceptation de leur maître, ce qui était quasimment jamais.

Il voulait tellement étre heureux vivre sa vie tranquillement, parler a plein de monde et se faire des amis, mais il ne pouvait pas, il devait et rester pantin aussi longtemps qu'il le faudra.

Nagash attendit que son maître lui parle pour savoir se qu'il se passait et a quoi aboutirait cette réunion, une êtite chantonnait quelquechose que Nagash ignorait complétement, il était concentrer sur ce que le maître allait lui demander de faire, en essayant de trouver dans sa tête.

« Perçois-tu, Elnade, la délicatesse de chaque note, de la langoureuse réunion de cette suite de syllabes, substance d'une savoureuse complainte? Ah, Elnade, cette voix est sans pareil, n’est-ce pas? Inestimable complice, une perception de chaleur vient narguer mon oreille. Une perception qui, contradictoirement, est froide à mon cœur. Étrange sensation, n’est-ce pas? Cela a-t-il avoir avec les vers que chantonne notre serviteur? Plus le temps passe, mon ami, plus j’en doute. Pourquoi? Car je suis devant elle, caché dans l’ombre que m’offre le Destin, dévorant ses paroles, cependant qu’une faim atroce vient faire gargouiller mon estomac. Se pourrait-il que la faim me fasse divaguer? Ah! Je déraisonne! »
Il dévisagea la nouvelle venue d’un œil étonné qui, agenouillée sur le sol, semblait vouloir se fondre dans le plancher. « La vois-tu? Sottise, n’est-ce pas? Elle tente de se faire toute petite, cependant que, devant mon autorité et la tienne, elle devrait être fière et disposée à agir en toutes éventualités. Une punition s’imposerait-elle? Ah non… Crois-tu. Bon allez. Faisons basculer cette gaffe dans l’ombre et oublions la. Cette pauvre n’est qu’une inexpérimentée. De quel droit voulais-tu la châtier? Hein? Tu es vilain. Oh le vilain livre? Oh… ne le prends pas comme ça. Tu sais bien que je t’adore, ma petite abomination, instrument de terreur... Ah… De quoi parlions-nous avant de nous faire brutalement interrompre par cette Pantin? Ah oui… Nos plans! »
Son regard balaya le fond du couloir. Visiblement, le dictateur cherchait quelqu'un.

-Hum… Mes chers Pantins. Grâce à vous, la terreur s’est établie sur mon continent. Les habitants mangent dans ma main et j’ai tous les pouvoirs sur eux. Ils sont affaiblis, apeurés et incapable de me résister. Maintenant que cela est fait, j’ai décidé de continuer ce que j’ai volontairement omis de faire pendant tant d’années : Retrouver l’autre tome de l’Elnade. Je fouillerai continent par continent, royaume par royaume… Je passerai au peigne fin tous les endroits de ce monde où nous retrouvons des livres. J’ai déjà…

Ses yeux se posèrent sur son livre, qu’il se mit à cajoler comme s’il s’agissait d’un animal de compagnie, semblant avoir oublié ses deux Pantins. « Oui. C’est grâce à toi, mon petit Elnade, si j’ai réussi à découvrir l’emplacement de presque toutes les bibliothèques. Ah oui ! Qu’aurais-je fait sans toi ? » Tout en dorlotant le bouquin, Odyssée s’adressa à ses serviteurs d’une voix excitée, dans laquelle on pouvait entendre s’incruster un brin de folie :

- Je vous enverrai dans les royaumes avec comme mission de me dénicher des combattants dignes de ma première excursion. Bien sûr, vous avez la permission –l’obligation, même- de "persuader" les plus réticents de la manière vous semblant la plus appropriée. J’ai décidé que…

« Eh bien. Vois-tu, mon cher livre, qui nous fait l’honneur de venir à notre rendez-vous ? Regarde le, ce charitable pantin. Il se prosterne devant notre grandeur. » Il posa sa main libre sur ses yeux, donnant l’impression qu’il voulait à tout prix s’empêcher de voir ses esclaves ou vis versa.

- Il n’était pas trop tôt, Nagash. Combien de temps comptais-tu nous faire attendre ainsi? Croyais-tu te faire espérer ? –Non ! Ne réponds pas !- Enfin… Quel était le sujet de notre dialogue –Quoi que cela s’apparente davantage à un monologue. Ces Pantins sont si peu bavards !- ? Ah oui ! Vous allez partir dès maintenant – Vous trois !- pour Anfauglith, River à votre tête – Oui, bien sûr. Vous aurez le droit de communiquer entre vous comme vous le désirerez. Je vous laisse libre de parler de ce dont vous voulez ! (Je sais que cela doit vous faire peur. Mais vous n’avez d’autre choix que de vous y adapter) -. Cherchez des combattants et ramenez-les moi. Je ne sais encore quel continent sera ma première cible mais…

« Ah. Vraiment ? Quelle fabuleuse idée ! Oh, malin petit manuscrit. Tu as des idées absurdes. J’adore !» Il tourna le dos aux pantins, puis, tout en continuant de monologuer "avec son livre", il emprunta le couloir le plus près, sachant que, de toute façon, ses Pantins exécuteraient ses ordres.

Suite ---> ?

River ne put s'empècher de sourire en voyant l'autre patin sur le sol, la respiration altante. Pauvre petite qui ne comprenait pas que son énergie lui maquait par sa faute à elle. Elle s'arrêta seulement lorsque son maître parla. Elle l'écouta dicter ses ordres et sourit de plus belle. Forcer les gens à se joindre à son maître, voir la souffrance dans leurs yeux si il n'obéissait pas qu'elle délice. River sentait déjà l'odeur du sang chantouiller ses narines. Mais le discourt fut intérompus par Nagash qui arrivait. Comment pouvait-il simplement oser faire attendre leur maître ? Par bonheur, il reprit ses explications. Lorsqu'il eut enfin finit et les laissa seuls, River regarda les deux autres. Elle dit de sa voix cristalline:

- Venez. Une mission nous attends. Nous ne devons pas décevoir le maître.

River tourna les talons et se dirigea vers la sortit puis vers Anfauglith...

(Suite à Anfauglith)

Lane s'était immédiatement relevée, et avait automatiquement regarder ses mains et ses pieds pendant le monologue de son maître. Jamais elle n'aurait osé l'observer, même subtilement, ou encore moins l'interrompre. Elle assuma tout ce qu'il dit d'elle, et n'eut en aucun cas peur d'une quelconque punition. Après tout, si la fillette se faisait punir, c'était qu'Odyssée avait une bonne raison, et elle serait évidemment d'accord avec lui, même si pour cela, elle devait payer le prix de la souffrance.

L'annonce de la mission fit naître en elle un désir nouveau, une force presque palpable à travers ses yeux trop pâles. Sous les ordres de River? C'était donc son nom, et elle était visiblement au service du maître, comme Lane. Par contre, la fille en rouge semblait tenir un rôle plus important, comme si elle avait beaucoup plus d'expérience qu'elle et l'autre pantin qui s'était pointé un peu plus tard. Remarque, c'était fort possible.

Sur ces pensées, elle suivit plus ou moins la jeune fille, ne se souciant guère de l'autre garçon, plus confiante que jamais d'exécuter les ordres avec persévérance. Elle était certaine de réussir, surtout avec River à leur tête. Elle semblait si sûre de ce qu'elle faisait, aucun risque il y avait d'échouer! Un sourire narquois aux lèvres, elle marchait, beaucoup plus fièrement que quelques secondes plus tôt, bien décidée à faire plaisir à son maître.

[Suite à Anfauglith]

Nagash s'étant fait un peu disputer par son maître ne dit rien et baissait la tête quand le maître lui faisait ses remarques, il le haîssait autant qu'il le voulait dans sa tête mais il devait lui obeîr et donc, il ne dit rien, il se laissa faire et ne dit rien face au remarques de son maître.

Il regardait la fille qui avait chanter avant, elle souriait face au remarque de son Maître.

*Tiens on dirait la chouchoute du maître on verra bien en quoi elle est si doué que ça pour que le maître l'adore tant que ça*

Nagash pensait seulement, il ne faisait aucune remarque de ce genre a une personne, s'était sa seule liberté, la pensée.
Il pensait ce qu'il voulait, personne ne pouvait voir son contenu et ce qu'il disait alors il pouvait dire ce qu'il voulait dans ses pensées.

Quand le maître leur parla d'une mission Nagash était ravit de la faire, il n'en avait pas eu depuis longtemps et il avait besoin d'aventure ces temps-ci, il se lassait du quotidien et était fatigué de rien faire d'oû son retard.

Il se leva en s'appuyant sur ses mains pour ne pas avoir de mal puis une fois lever, il suiva River Sispera en la regardant froidement, sans sourire, sans rien dire juste en la regardant et en la suivant comme il se devait de faire.

Il regardait l'autre fille différemment, son regard changea et se fit triste comme pour lui montrer sa tristesse, celle-ci l'ignorait, Nagash ne comprit pas, il tourna aussitôt la tête puis marcha entre les deux filles toujours ses deux bras se balançant sur les côtés de son corps.

[Suite à Anfauglith]

Une autre jeune fille, scrutait le couloir.
Où suis-je? se demandait t'elle. Nouvelle au chateau, acceptée grâce à sa grande renomée d'assassin cruelle, elle s'était perdue au hasard des couloirs...
Elle avait un peu la trouille, mais elle ravala sa fierté et ne cria pas au secours. Tout simplement: 's'il vous plait, y as t'il quelqu'un dans ce couloir??'
Elle attendis une réponse... Une drole de voix dans sa tete marmonnait que jamais elle ne trouverais la sortie...
Quand soudain, une ombre apparut au dessus d'elle, et deux grands yeux rouges brillants à la lumiere des torches glacerent son sang de tueuse.