Histoire longue..sans-titre [ genre fantastique]

Une légende disait :
« Tous les millénaires naissent 4 enfants fantastiques.
Chacun recevra à l’age de l’adolescence un don magnifique :
La sauvage aura le don de la terre,
L'imprévisible découvrira le don de l’eau,
L'inconnu connaîtra le don du vent,
La téméraire gagnera le don du feu. »

Peu de personne connaissait cette légende et encore moins la prenait au sérieux, mais pour Eric, un archéologue ambitieux, tout ce qui était étrange ou même impossible avait sur lui l’effet d’un aimant. Seulement, il devait pour l’instant faire preuve de patience car les élus eux-mêmes ignoraient tout de leurs incroyables destinés.

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Tania vivait dans une habitation faite du même bois que les arbres qui l’entouraient. En effet même si ses parents avaient assez d’argent pour s’acheter une autre maison, il était des aventuriers et préférait la tranquillité d’une clairière au bruit des voitures en villes. Leur fille partageait leur passion et ne manquait jamais l’occasion de s’aventurer hors des chemins tracer sans ménagement à travers la forêt. Elle suivait des cours sur son ordinateur, mais connaissait des choses que personnes n’auraient apprises dans un collège. Elle savait tout de la forêt et ses habitants, depuis la façon de naître d’un arbre, à la stratégie de chasse des loups. À minuit elle aura 13 ans et pour l’occasion ses parents lui ont promis une soirée camping au cœur de la forêt !
A leurs arrivés ils c’étaient demandés si les animaux allaient les accepter mais les animaux s’étaient habitués à la famille Silva alors autant en profiter. Le camping, Tania adorait ça, elle pouvait observer les animaux à tous loisirs. Elle imitait parfaitement le chant de plusieurs espèces d’oiseaux, mais elle travaillait encore le hurlement du loup qui était voué à l’échec. D’ailleurs les oreilles des humains n’entendent pas tous les sons et l’Homme ne peut pas sentir toutes les odeurs que les loups et autres animaux émettent. Malgré le langage Tania avait une aisance particulière avec les loups, elle les connaissait si bien, pour les avoirs observés des journées entière, quel connaissait le caractère de chaque loup et louve de cette forêt. C’était de loin ses animaux préférés, ils sont loyaux envers leur meute et ne manquent jamais de douceur envers les petits, à l’inverse si une autre meute les attaque, ils deviennent de véritables bêtes sauvages et féroces.
Les tentes et le matériel étaient prêts. Alors la famille commença une longue marche, les animaux aurait du être alertés, mais non, il restait et continuait leur occupation habituelles. Tania put ainsi observée, deux écureuils, un lièvre, et de loin une meute de loups. Elle siffla une note aigu et entendit un bruissement d’ailes puis vit un oiseau perché sur une branche. Quand tout le monde arriva dans une petite clairière faiblement éclairer ils décidèrent de s’y installer. Ils allumèrent un feu et se mirent à raconter des histoires, des légendes et des mythes. Mr et Mme Silva d’habitude débordant d’énergie choisir de faire une sieste avant qu’il soit minuit car la marche avait été épuisante. Quelqu’un devait garder le feu pour le rallumer s'il s'éteignait. Car la famille c'était bien éloigner de leur maison, ils étaiant loin dans la forêt, et les animaux y étaient moins craintif et s'il avait fim ils pourraient très bien manger les réserve que les Silva avait garder pour le lendemain matin et midi. Mr Silva fut désigner en 1er ensuite ce fut Tania et après… Il n’y eut personne car Tania s’était endormis.
Le feu diminua de plus en plus jusqu’à s’éteindre, plongeant la clairière dans l’obscurité. Plusieurs heures passèrent et rien ne bougea. Minuit arriva et soudain une étrange flamme jaillit des cendres, s’éleva et se dirigea vers le corps endormis de la jeune fille. Le feu ne la brûla pas mais la recouvrit entièrement. Soulevée par on ne sait qu’elle miracle l’adolescente resta suspendue en l’air pendant quelques temps, puis la flamme rentra dans sa bouche et elle redescendit lentement sur le sol. Peu à peu son corps se transforma, son nez s’allongea, ses jambes s’affinèrent, elle fut recouverte de poils gris et pour combler le tout, deux petites oreilles pointues apparurent au sommet de son crâne. Tania n’était plus une jeune femme, mais plutôt une jeune Louve !


Bon je en vous met pas la suite tout de suite ^^, histoire de laisser le suspens ...je suis méchante hein ? Nan, bon je met bientôt la suite. Mettez moi des commentaires svp !

j'adore^^

que dire a si : BRAVO

merci ^^. Bon je peut pas laisser ça comme ça..je vous met un peu plus de texte .

Elle se réveilla en sursaut, elle voyait en noir et blanc, elle cligna plusieurs fois les yeux, mais rien n’y fit ! Elle essaya de se relever, mais ne tint pas debout. Elle se retrouva à quatre pattes. Elle jeta un coup d’œil derrière elle et c’est alors qu’elle la vit. Une jolie queue grise et touffue se cachait entre ses pattes. Elle paniqua, baissant les yeux elle observa ses deux pattes qui comptaient chacune quatre magnifiques griffes noires. Toutes sortes d’odeurs qui lui étaient inconnues s’infiltraient soudainement dans ses narines. Son ouïe aussi s’affina, elle entendait à présent le hululement d’une chouette qui se trouvait loin à l’Est dans la forêt, puis le grattement d’un mulot qui s’affairait autour du campement. Toutes ces choses nouvelles lui faisaient peur et elle ne sentait pas bien de plus tout ce mélangeait dans une cacophonie insupportable… Que lui arrivait-il ? D’où sortait cette queue, cette fourrure et ce museau ?!? Et si ses parents la voyaient dans cet état quand penserait-il ? Non il ne fallait pas qu’ils la voient ainsi, elle devait… Elle devait partir, le plus loin et vite possible. La confusion s’empara d’elle, ce n’était pas possible ! Elle devait rêver, elle se mit alors à courir, comme elle n’avait jamais courut. Les arbres filaient à une vitesse impressionnante, Tania bondissait au-dessus des broussailles et atterrissait en douceur. En une demi-heure, elle avait parcouru plusieurs kilomètres. Épuisée elle chercha un endroit ou se cacher des animaux nocturnes. Elle finit par trouver un terrier abandonner assez grand pour qu’elle s’y loge. Elle se coucha et sombra aussitôt dans un sommeil profond sans rêve.

hihi bonne nuit !

C'est cool sa
Bon premièrement un commentaire et une question d'opinion personnelle.
- Moi personnellement j'aurais mi Sauvag pour le feu et Téméraire pour la terre.( Mais bon ses ton histoire et ce ne sont que mes goût personnel. Change rien, j'avais juste envie de le mentionner)
- Pourquoi il faut garder le feu allumer?(Désoler pour sa aussi je fait quand même beaucoup de camping pi je comprend pas pourquoi)

Bon maintenant les critique plus sérieuse.
- Ses cool du fanstique dans le temps moderne, ses pas nouveau mais sa sort quand même de l'ordinaire.
- Ses bien sympathique et plaisant à lire.

Vive le camping et j'ai hate de lire la suite.

Merci pour les critiques. Bien alors je répondrais que j'ai un peu hésiter pour le feu mais parcontre pour la Terre, c'était pour moi évident que je devait mettre sauvage. Mais en y réléchissant ça l'ai un peu moins, mais je ne changerais pas de toute façon ^^.

Hum...le feu allumer, ben c'est pour éviter que les bêtes viennent et mange ce qu'il leur restait, mais vu que je ne fait pas de camping, je n'était pas sûre. Je vais donc préciser mon idée dans le texte.

En faite, l'histoire ne se passent pas vraiment dans les temps moderne, mais en même temps si, mais ça c'est pour beaucoup plus tard il se passent pas mal de chose compliquée.

Et merci beaucoup pour les compliments. Je vous met donc la suite^^.

Le lendemain matin elle eut du mal à se souvenir pourquoi elle était là. Quand la mémoire lui revint elle décida de rester cachée, elle ne voulait surtout pas rencontrer d’autre animaux du moins aujourd’hui… A midi elle commença à avoir faim, mais comment faire sans retourner au campement !
Soudain elle entendit des pas au dehors. Elle risqua un œil à l’extérieur. C’était une jeune biche elle n’avait pas encore la taille adulte et n’avait pas non plus leur méfiance, elle s’était sans aucun doute éloigner du troupeau c’était une véritable aubaine pour une louve solitaire, de plus la biche n’avait toujours pas sentit le danger. Les pensés de Tania lui échappèrent et la faim faisait rugir son estomac. En se retrouvant transformer en louve Tania avait hériter de leurs réflexe ainsi que de leur mode de vie et de chasse. Alors sans pouvoir se contrôler elle surgit brusquement et son côté louve la força à bondir sur la biche, toutes griffes dehors. Sa proie surprise ne vit pas la louve qui en un éclair se retrouva sur son dos, ses griffes planter dans la chair de la pauvre bête qui gémissait. La biche se secoua et fit tomber la louve, mais blessée et seul elle sentait déjà qu’elle ne pourrait pas survivre. Tremblante elle fit volte face et tenta désespérément de s’enfuir, mais la louve la suivit et la rattrapa sans mal, lui barrant le chemin. La biche fit face à la louve attendant qu’elle lui donne le coup de grâce, car déjà le sang formait une flaque autour de la proie. Exciter par l’odeur du sang la louve se jeta gueule ouverte sur la proie qui ne bougea pas et mourut les os du cou brisé par la mâchoire puissante du prédateur. Tania n’était plus elle-même, elle ne contrôlait plus ses gestes et sentait, terrorisée, ses crocs s’enfoncer dans la chair encore tiède de sa proie. Elle n’attendit pas et engloutit rapidement une grande quantité de viande... Bizarrement, elle ne trouvait pas ça dégoûtant : ce n’était pas si mauvais, c’était même délicieux. Elle repris petit à petit le contrôle de ses mouvements au fur et à mesure que la biche était dépecée. Bientôt il ne resta plus grand-chose de la biche. Tania se dit qu’elle ne mangerait plus pendant plusieurs jours et retourna dans sa cachette.

Le lendemain ne fut guère plus amusant. Mais le jour d’après elle découvrit des loups qui passaient non loin de là. Ils semblaient suivre la trace d’un troupeau. Elle se rendit comptent qu’elle ne survivrait pas longtemps si elle restait seule ; il n’y avait pas beaucoup de proies faciles et c’était d’ailleurs ce qui poussait les loups à toujours rester en groupes. Tania n’avait jamais eut l’occasion de voir comment devait se comporter une louve étrangère et solitaire face à une meute. En revanche, elle avait déjà vu des louves offrir des animaux qu’elles avaient chassés au chef de la meute. C’est ainsi qu’elle devait faire. Elle suivit discrètement le groupe jusqu’au troupeau choisit.Se disant qu’elle devrait attaquer une proie qu’aucun autre loup n’attaquerait pour ne pas risquer que la meute croie qu’elle essayait de voler leurs proies. Ça allait être dur, mais pas impossible.
Quelques heures plus tard les loups, comme l’avait prédit Tania ralentirent le pas en voyant un peu plus loin un groupes de daim. Alors ils se mirent en place pour la chasse. Tous les loups étaient couchés et épiaient les daims, pour choisir celui ou celle qui constituerait leur repas. Une jeune femelle se détacha lentement du troupeau pour aller brouter quelques touffes d’herbes plus fraîches. Les loups avait un avantage considérable ; le terrain, les daims s’était arrêter dans des herbes hautes où ils pouvaient la nourriture ne manquait pas, mais la hauteurs des herbes donnait aux loups des endroit où se cacher. Quand la femelle fut assez proche, les loups passèrent à l’action, formant tout doucement un cercle autour de l’inconsciente.

Je te lit toujours et ses toujours bien agréable.
En passant ton avatar est peu être un peu gros

Alertée, la daine releva la tête, et sentie l’odeur des loups qui étaient à présent étaient dans le sens du vent. Elle ne les voyait pas, mais se dirigea instinctivement vers son troupeau. Ce qu’elle ne savait pas encore c’est que les chasseurs avaient refermés leur cercle et se rapprochaient dangereusement. La femelle aperçut alors un mouvement furtif quelque part entre elle et son troupeau. Apeurée elle se retourna, et crut voir une oreille grise, l’odeur des loups se faisait de plus en plus menaçante. S’affolant elle courut de nouveaux vers les siens. Les loups étaient prêts à bondir. Si Tania ne trouvait pas de proie maintenant les daims s’enfuiraient et il ne lui resterait plus qu’à retourner chasser seule. Cherchant des yeux un daim jeune ou faible, elle surprit un bruit derrière les arbres, sans doute l’envol d’un oiseau. Puis autre chose se fit entendre, elle n’aimait pas se bruit, qu’est ce que c’était ? Soudain, elle compris, un frisson la parcourue, un fusil ! Il y avait des chasseurs, ou même des braconniers, cachés et près à tirer. Il fallait s’enfuir, mais un peu top curieuse, elle chercha où les hommes c’étaient dissimulés, reniflant de son mieux pour trouver leur odeur. Elle finit par les trouver, ils étaient deux, leur fusils pointés chacun sur un loup ; celui qui semblait être le chef et un jeune mâle d’apparence robuste, les chasseurs allaient tirer.

Très bonne histoire.

Mais pour faciliter la compréhension, pourrais-tu mettre des paragraphes?

Voilà..j'en ai mis quelques-un, j'arrive sur la fin de ce que j'ai tapper sur mon ordinateur, mais ils m'en reste encore très long, éparpillés sur des feuilles...l'histoire continue mais je prendrais plus de temps avant de venir poster.

Tout ce passa très vite, les loups bondirent sur leur proie affolée, Tania sauta sur les loups en dangers, et les chasseurs tirèrent leurs balles meurtrières. Tania poussa un hurlement, la 1ère balle était passé à côté d’elle, mais la 2ème venait de lui toucher l’épaule droite, roulant au sol elle cru qu’elle ne pourrais plus se relever, du sang coulait le long de son corps. La biche était étendue au sol, tuée, soit par les loups, soit par la première balle. Tania se demanda si elle allait rester longtemps dans cette position, que les loups allaient s’enfuir, et que les chasseurs allaient l’achever, la rapportant en trophée de chasse. Mais rien de tout ceci ne se réalisa, le chef des loups se releva un peu secoué, mais sans aucune blessure, il regarda en direction des chasseurs qui étonné par le sauvetage de Tania, restaient comme pétrifié. Puis rompant le silence il grogna quelque chose à l’adresse de ses compagnons. Mais ce n’était pas ce simple bruit de gorge qui résonnait aux oreilles de Tania, non, le loup parlait ! Il avait dit « Il faut partir. »