Encore une autre caravane de disparue....

Une caravane traversais le rude et sec sol gris depourvu de vegetaux du continant du mal. Cette caravane transportait une tonne de marchandise a livrer a un endroit quelquonque. Dix gardes entouraient ce moyen de transport. Ils avaient tous l'aires nerveux et se chuchotaient des histoires:

-Hé, t'as entendu parler de cette endroit?
-Non! Qu'est ce qu'il y a.
-On dis que tout les caravanes ou les voyageurs qui traversent cet endroit ne reviennent plus jamais...

L'un des gardes se mit a rire nerveusement.

-Ne me dis pas que tu crois a ces histoires? Et puis, les caravanes et les voyageurs ca ne disparait pas en un POK!

L'autre garde regarda un peut partout puis repris sa rumeur.

-Justement, ils ne disparaissent pas comme ca! On dis qu'ils se font attaqués par quelqu'un. Cette personne est extremmement puissante. Certaines personnes disent que ce serais un demon!
L'autre garde commenceait a sué.

-Un démon? Il se verrait n'est ce pas? Des demons, c'est grand hein?
-Eh bien... Ca depend des quels... Ont dis qu'il n'est pas normal! On le surnomme: la griffe
-La griffe? Pourquoi?
-A chaque fois qu'une caravane est finalement retrouvé, sur le coté droit de la caravane, il y a une marque. Trois grosse ligne, comme si un animal aurais griffé le mur.
-Alors ca veut dire que cette chose n'est pas humaine?
-Surement pas... Chut, J'ai entendu quelque chose!

Un petit bruit de feuille avait rententi. puis un petit tic tic tic tic tic tic tic, comme si on tappais sur quelque chose en bois.

-je... Je n'aime pas ca Henrie... Vraiment pas... Henrie?

Le garde se retourna pour voir son amie. Il trouva son ami mort par terre, le cou cassé.

-Henrie? Est ce que ca va?

Le garde se pencha pour voir l'etat de son ami. Cet homme ne se releva plus jamais. En effet, quelqu'un sauta d'en bas de l'arbre le plus proche et tomba juste en arrère du garde penché. Cette homme lui rentra quelque chose dans la nuque: Une griffe.

Les autres gardes entendirent un gémissement meler a un degluti de sang. Il virent alors cet homme. Ils sortirent chaqu'un leurs armes.

-Ne bougez plus! Par la loie etablie par Oddysé, vous êtes en ettats d'arrestation!

L'homme se tourna ver les gardes. Il leva une griffes, les gardes reculèrent d'un pas.

-Ne... ne bougez plus j'ai dis!

L'homme couru ver les gardes. Les gardes se mirent en position de combat.

*Dix moin deux..... huh... mmm... 8!... Hmmmm... Ce sera difficile... Mais si c'est si bien gardé, ca dois en valoir cher!*

L'homme foncea sur l'un des garde et donna deux rapides coups de griffes en visans son estomac. Le garde pas bête s'était tassé par la droite et avait esquiver le coup. L'homme se retourna en donnant un coup de griffe ver le même garde quand il recu un coup de baton derrière la tête. Un autre garde venait de le frapper. L'homme tituba, pis s'éfondra par terre.

-Vite! Les fers!

Ils allaient le menoté quand l'homme donna un coup sur le tibia d'un des gardes, lui tranchant carement la jambe en deux. Il donna par la même occasion ou coup de pied dans l'endroits sensibles des hommes. Il se releva en une fraction de segondes et donna un coup de griffe dans la tête de l'homme cramper de douleur. Les autres gardes commenceait à donner des coups pendant que le garde au tibiat trancher hurait de douleur par terre. L'homme evitait tout les coups ou presque: Une lame le toucha au bras. Ce n,était qu'une courte entaille, elle n'était pas profonde. Il continua ,malgrer sa coupure qui au moinde geste saignait un peut plus, a abbatre les gardes. Il regarda en arrière pour voir si il y aurait un garde qui L,attaquerais par surprise et ce mouvement lui permi d'esciver une lame qui lui aurais trancher la gorge. Il attrapa entre ses griffes une des épées d'un garde et le desarma envoyant l'épé s'écraser plus loing.

Apres un rude combat, l'homme fini par venir a bout des gardes. Non sans blessures, mais il y parvin. Il alla devant le garde au tibia coupé et lui souris.

"Mon pauvre, je ne t'acheverai pas!"

Il donna un coup qui lui coupa son bras gauche.

"Je vais juste..."

Il donna un autre coup cette fois au bars droit.

"te..."

Il donna un dernier coup sur l'autre tibiat du garde le tranchant lui aussi.

"Couper en morceau!"

Dans sa voie il y avait beaucoup de plaisire. On y voyais bien qu'il appreciait e spectacle.

"Bonne journée!"

Et il lui donna un coup de pied. L,homme mouru quelques segondes apres, vidé de son sang.

L'homme alla enfin ver la caravane.

"Voyons voir ce que je vais y trouver...."

Dit il en se lichant les levres sous son foulard. Il s'imaginais deja des montagnes d'or et d'objets precieux.

Il ouvris la caravane et y decouvri..... Une demoiselle.

"ohhhhhhhhhhhhhh! Je vois que mes efforts n'ont pas étés vain! J'adoooore les nobles!"

La demoiselle etait morte de peur.

-Non, non! Ne me faite pas de mal! Je vous en pris! Je vous donnerai tout ce que vous voulez!

L'homme ria a s'en cracher les poumons.

"Mais voyons, je ne veux pas vous faire de mal! Que du bien..."

Il commencea a caresser la cuisse de la jeune femme.

"Allez, detendez vous, ca se passera bien..."

Dit il en salivant de bonheur. Deja dans sa tête il s'imaginais tout se qu'il pourait faire avec cette femme. Soudain, il entendu des pas qui venaient par là. Il ferma la porte de la caravanes en mettant la main sur la bouche de la jeune femme pour ne pas qu'elle fasse de bruit.

"Chhhuuut!"

(a qui voudrait le veux! )

Une lumière étrange emplit le ciel. Une présence se fit sentir, plus qu'on eut put le voir. Un tourbillon se créa du néant, avalant les nuages vers un autre endroit mal définit. Et pourtant, si l'on regardait à la verticale du vortex étrange, on pouvait voir qu'il menait directement à un volcan d'Anfauglith. Cette vue se masqua de toute façon très rapidement, à cause de la vapeur d'eau qu'elle avalait. Puis une silouhette se profila à l'intérieur de la porte magique. Un être d'une grande puissance, pourvu d'ailes immenses et noires. Un visage couvert d'un liquide poisseux et rouge, que même un optimiste béat ne confondrais pas avec de la sauce tomate. Et un sourire particulièrement morbide et fou. L'Archange Déchu sort enfin de sa caverne et se réattaque au monde.

Il descend du ciel, son épée à la main. Dans l'autre, il sert compulsivement un fin carnet bleu étoilé. Les pages souillées de sang collent entre elles, mais par un phénomène bizarre on peut encore tout à fait déchiffrer les lettres écrites avec un soin particulier et avec un style qui trahit la haute éducation. Mais qui oserait demander à un archange de lire le livre écrit de sa main propre. Un ami proche peut-être, ce qui règle le problème... Pas d'amis pour le déchu. Aucun qu''il n'a pas abbatu à un moment ou à un autre.

Il atterit sur le sol, et parcours le convoi des yeux. Peu de chose dans le chariot de tête, à part deux humains s'apprétant à s'accoupler. Rien qui mérite de s'y arrêter. Mais le reste est plus intéressant. Des possessions terrestres de peu d'importance qui pourtant ont le mérite d'attirer son attention. Il saisit une robe fine, qui apparemment appartient à la femme en train de se faire violer à coté. Bonne pioche, c'est très beau. Inutile mais revendable. L'argent est tout aussi inutile, mais au combien délectable. Une leçon d'un dragon de passage, qui a transmis son goût de l'argent à l'archange. Avant de mourir...

Mais rien n'est amusant sans quelques morts. Nooctarion se tourne vers le presque-couple, et regarde l'homme masqué. Il serait inconvenant de le tuer, car après tout il a fait tout le travail. Mais il s'est occupé de proie qui aurait été délectable aux yeux de Niphael. Dilemme...

"Quand vous aurez fini avec cette entité humaine, pourrais-je disposer d'elle et de sa capacité à ressentir la souffrance."

Ton neutre d'usage, énoncé clair du but en soit. L'archange déchu se contrôle, pour changer.

L'homme qui regardais depuis le debut par la fenêtre de la charette se retourna.

*Oh oh... Ca m'a l'air d'un ange noir, ou une bestiole de ce genre... Je n'aima pas ca!*

Il venait de remettre de son pantalon. Il sorti de la caravane. Il regarda l'ange dans les yeux. L'ange etait un peut plus grand que lui. Il detestait ca. Il haissais regarder quelqu'un de haut. Deja il etait faché.

"Dis dont la bestiole! Tu pourais me laisser savourer mon butin en paix?"

Quand il entendi ce que l'ange voulais, il failli lui sauter au coup. Il n'en laissa sortire qu'un petit rire sadique.

"Te la donner après? Tu rigole? Vas au diable! Je me suis batut Avec enormement d'acharnement pour l'avoir cele là! Et je tire autanc de plaisire a l'abuser qu'a l'égorger tout de suite après! Alors tu fiche le camp d'ici que je puiss satisfaire mes desires!"

Lui dit il en le poussant legerement du bout du pouce.

Niphael sourit à pleine dent. Le petit huamin ne sembalit pas saisir l'entièreté de la menace qui se placait devant lui. S'il savait seulement ce que représentait le nom de Niphael dans les sphères étoilées, il ramperait à terre en implorant le pardon pour son insolence.

"Tu ne comprend pas, petit voleur. Si je te demande ça, c'est par courtoisie. Car sinon, je peut tout à fait te pulvériser sur le champs et prendre la vie de cette jeune personne. Je t'offre ta vie contre une autre, et te laisse le choix d'en profiter..."

Changement de pensée. Il n'avait pas envie de tuer cette humaine. Plus pour le moment, elle n'était plus intéressante. Par contre, cet assassin ombrageux avait l'air d'une proie bien plus amusante et réjouissante. Il le saisit au col d'un seul bras et le souleva pratiquement sans effort.

"Ou alors je te tue et je la tue elle ensuite. Je ne sait pas trop, en fait. Peut-être ferais-tu une proie plus jouissive. Peut-être n'ais-je pas envie de me fatiguer pour t'abattre. Ou peut-être que j'ai sentit quelque chose de plus adéquat dans le coin..."

Il sonda l'air d'un sortilège mineur. Personne aux environs de faibles et d'amusant.

"En fait non, tu es la seule proie. Dis-moi, que dois-je faire ?..."

Il le jeta avec force sur un des chariots, puis lacha une sphère brulante à la suite. Son regard brillait déjà.

L'homme fut envoyer Sur le chario qui se cassa pratiquement en deux. Une douleur insuportable passa sur sa colonne vertebral. Il serra les dents et reouvris les yeux. Il roula par terre a deux mètres plus loings pour eviter la sphère brulante. Il emis un petit gemissement en se relevant. La douleur le cassais en deux.

"Peut etre que tu aimerais manger cela..."

Murmura t-il en lanceant une lame qui se dirigea directement ver la gorge de l'ange noir.

Il se releva brusquement. Un espece ~***CRAC***~ Resonna. L'assasin resta la la bouche ouvert avant de tomber par en arrière. Il gemissais par terre en se tortillant sou la douleur de son dos.

"Tu vas me le payer.... GAAAAHH! MON DOS!!"

Niphael vit le scintillement de la dague dans l'aeter. Le métal résonnait sur l'air ambiant dans un fin vrombrissement. Avec un air dédaigneux, il croisa les ailes, enfermant la lame dans ses plumes sombres. Plus vite. Puis il se montra à nouveau, et l'arme retomba sur le sol avec un bruit sec.

"Crois-moi, petit homme, j'aimerais qu'une dague suffise à m'abattre."

La dague se releva d'elle-même et flotta dans les airs.

"Malheureseument, ce n'est pas le cas"

Elle commença à tournoyer sur elle même, en fonction de l'index de l'archange.

"Mais elle, est-elle aussi résistante ?"

D'un geste, il fit filer la dague vers le coeur de la femme dans le chariot. Celle-ci, bloquée par les liens et le bois, ne pouvait pas bouger. Alternativement, une cage de brume sombre encercla l'assassin, dans le but au combien évident de le cuire à petit feu.

L'assasin releva la tête aux paroles de l'ange noir. Quand il lancea la dague ver la femme, l'assasin haussa des épaules.

"Étans donné ma situation, je me fiche du sort de cette femme. Il y en auras bien d'autre.."

*Pour l'instanc, c'est ma vie qui M'interesse...*

Il appercu entendu un crie puis une espece de flot de sang jaillit par la fenêtre de la caravane.

"Zut..."

Il se releva avec difficulter et se tenant son dos. Il voyais bien qu'il n'avais aucune chance contre cet ange. Il essaillait d'avencer ver l'ange noir, mais une cage sombre de brume l'entoura.

"Bon, maintenant que tu as tuer le plaisire de ma journée, qu'est ce que tu vas faire? Allez, fesons la paix."

Il passa la main dans un espace la ou il n'y avais pas de brûme.

"Nagas Sombretour, tueur."

Niphael ne saisit pas la main. Même s'il était potentiellemnt immortel, il n'était pas assez fou pour se mettre volontairement en danger. Il s'apporcha lentement de la cage et regarda son pseudo-adversaire d'un oeil méfiant.

"Niphael, ex-archange."

Il réfléchit un instant. Un tueur, donc ? Oui, il avait été particulièrement efficace contre les gardes. Et sans doute avait-il des qualités que Noctarion ne possédait pas. La discrétion, l'efficacité. Et puis, il était un peu comme lui, goutant le plaisir de voler les vies. Peut-être n'était-il pas si anthipathique finalement. Mais il pouvait tout aussi bien tenter de le piéger par quelques ruses humaines. Si prévisible... Et pourtant le soute restait.

l'archange déchu sortit son épée et fit un geste négligent de la main. La brume impie disparue aussi vite qu'elle était apparue. D'un ton presque cordial, car appaisé par la mort de la jeune et belle humaine, il s'adressa à l'assassin. Il n'avait même plus l'air hautain.

"J'ai conscience d'avoir bassement ravit une proie. Une autre caravane n'est pas loin, veux-tu que je te rembourse avec ?"

Une caravane de joailler, pour être précis. Trois chariots, une vingtaine de gardes et deux marchands associés. Un mage défensif, et un autre offensif mais médiocre. Peut-être que l'assassin n'aurait pas attaqué tout seul. Peut-être que si. Mais c'était une bonne occasion pour s'amuser encore un peu. Et amasser encore un peu de trésor. Ensuite, il fallait partir à la recherche de loyalistes et d'anges à détruire, pour la plus grande gloire du mal.

"Voila bien longtemps que je n'ai pu montrer ma puissance au monde réel, je brule de recommencer."

Il se donna un coup sec dans le dos. Un autre Crac retenti suivi de quelques petits bruits de muscles, veines et os enfroissés se replacent.

Nagas reflechis pendant un instant.

"Je sais que tu te mefis de moi, et moi meme je n'ai pas entièrement confiance. Mais bon, je me laisse avoir!"

Il sorti un chiffon et essuya ses lames de griffes maintenants imbibés de sang presque séché. Il rentra dans la caravane et retira la poitrine de la femme. Il la regarda un instanc, puis l'ange.

Il sorti la tête de la caravane.

"Juste un instant!"

Il referma la porte de la caravane et tira les petits rideau de sois sur les fenêtres.

Quelques minutes apres il resorti de la caravane sans oublier de donner un coup de griffe sur le coter droit de la porte.

"La prochaine caravane est proche?"

Dit il avec un bruissement d'entousiasme

Il avait attiré l'attention, comme prévu. Deux chasseurs se comprennent vite. Déployant ses ailes jusqu'à figurer un ciel d'orage maléfique, il toisa son nouvel associé. Du moins pour un raid.

"Deux kilomètres en contrebas de la rivière à ta droite. Ils sont à l'arrêt et vigilant. Leur mage élève un bouclier que e n'aurait aucun mal à percer, et je pense pouvoir tuer une bonne partie des gardes au premier engagement, mais ce sera à toi de t'assurer qu'il ne reste aucun témoin de mon passage. Si nous réussissons à la perfection cette petite drolerie, je pense que tu auras la vie sauve et plus encore..."

Avec un sourire, il s'éleva lentement, puis prit de la vitesse avant de redescendre en piqué et de saisir Nagas par les aisselles. Accélérant progressivement, compte tenu de l'organisme potentiellement fragile de l'humain, il fut bientôt en vue du camps. Il fit un demi-tour pour apprécier la situation de vue à haute altitude, puis atterit dans les buissons un peu plus loin sur la route.

"Nous y voici. Tu as vu comme moi la configuration du camps. Dans une dizaine de minute, je serais au-dessus, et je détruirais la barrière en même temps que les gardes à découvert. Tu t'occupera de ceux à l'intérieur des chariots et plus loin. Si tout se passe à merveille, nous serons ce soir riches et heureux. Surtout que l'un des marchands à une fille très belle dans le chariot de droite..."

Dans un bruissement d'aile, il disparut. Les gardes auraient-ils levé la tête, ils ne l'auraient pas vu. Pouvoir du clair-obscur. Il commença à composer son sortilège.

Nagas evalua la situation. Un ange noir s'apprêtait a l'aider a detruire une caravane bourré d'objet precieux en percant le bouclier. Il appercu les guardes qui patrouillaient autour de la caravane.

*Hmmm... Si c'est si bien gardée, cette caravanne dois etre directement envoyé pour Odyser, ou quelqu'un de ce genre...*

Il appercu aussi les marchand qui fesaient la contabilité des objet de leur caravanne pour s'assurer que rien ne se soit fait volé.

Il regarda dans le ciel, impatient, en regardant l'ange noir preparer sa magie pour pouvoir percer ce satané bouclier. Il se prepara a courrire le plus vite possible le temps que le bouclier sois percer.

*L'ange m'a dis qu'il tuerais au moin une bonne vingtaine d'homme... vingtaine c'est quoi déja? 15? non 12?... Gahh! C'est dans ces situations que compter est utile... Heu, dacore... Vingt-aine... Vingt! Parfait. A peut près 20 personne, tout au plus, d'éliminer... Ca me facilite grandement ma tache, et alonge mon esperence de vie!*

Il ricana d'exitation a pensser pouvoir tuer tous ces gens. Il baissa son foulard qui cachais la moitier de son visage. Il commencea a lecher le sang séché qu'il n'avais pu essuyer sur sa lame de griffes. Il aimait le gout de la mort, le gout du sang. Ca le stimulais et le calmais un peut avant un combat. Un peut comme une drogue. ils remonta son foulard et attendi la magie de l'ange noir.

Dans le ciel bien pâle en comparaison de son aura maléfique, Niphael contemplait le sol, tout en bas. Les humains qui grouillait comme des fourmis, vaquant à des tâches insignifiantes. Fallait-il qu'ils n'aient point conscience de leur preopre médiocrité pour agir de la sorte. En définitive, ils n'étaient tous que des victimes en devenir, dont la fin en soit était de bruler parmis les feu mystiques. Feu que Niphael s'apprètait à faire pleuvoir. L'orbe grise grossissait dans sa main. Faite de vide incandescent et dévastateur, elle rayonnait entre les doigts de l'archange déchu. Le Huitième ressentait le clair-obscur couler dans ses doigts. Une sensation l'habitait, proche de l'orgasme, à penser que des âmes voleraient bientôt ici, libres du joug de leurs propres corps. Des âmes qu'il se ferait un plaisir de dévorer. Seule une nourriture si délicate pouvait convenir à un être tel que lui. Seule le goût prononcé des âmes des vaincus pouvait réveiller les papilles qu'il ne possédait pas, le plonger dans une extase qu'il ne pouvait pas ressentir. Les autres archanges ne connaissaient pas ça. Toujours embourbés dans leurs concepts si désués de bien et de mal, leurs considérations manichéennes totalement rétrogrades et désuètes. Le bien et le mal n'existait pas, il n'y avait que le pouvoir. Et ceux dont la puissance était assez grande pour s'en emparer. Ce soir, dans la pénombre qui envellopait le continent Valaurakar, le sombre seigneur allait encore une fois le démontrer au monde.

L'orbe pointée vers le camps creva d'un coup, comme un ballon gonflé percé par une flèche. L'énergie qui s'en échappait était si vive que pendant un temps infime il fit pratiquement jour sur la vallée. Le rayon traversa l'air glacial en un instant et percuta de plein fouet l'écran iridescent. Plongés dans un profond sommeil, le sorcier tout en bas fut pris d'incontrolables convulsions. L'esprit déchiré par d'horribles cauchemars où paraissaient démons et morts, il s'arracha le visage de ses propres ongles, mettant à nus ses yeux maintenant écarquillés de terreur et son cerveau imbibé d'énergie mystique. Son sortilège défensif dura un instant après sa mort affreuse, puis cassa comme du verre en son centre. Niphael jubila en aspirant l'âme du sorcier. Il avait un goût d'un raffinnement exquis. Il fallait que les autres tiennent la comparaison. Car même une âme pouvait ressentir la souffrance...

La magie du clair-obscur se répandit dans le camps, une véritable marée iridescente qui commençait d'abord par bruler les vétemments, attaquant ensuit les couches externes de la peau, puis faisait bouillir les veines, entrainant l'explosion du coeur et des principaux organes, continuait en effritant les os, pour finir par le cerveau saturé de souffrance. Beaucoup de gardes furent détruit par le flux de mort concentré. Le mage de guerre riposta, mais son sort s'évanouit sur le propre rempart magique de Niphael. Pour cet acte sans espérance de rébellion, il ne reçut qu'un trait plus fin qu'un rais de lumière qui traversa sa boite cranienne et fit naître un serpent qui dévora ses neurones en un instant. Il s'écroula en hurlant, l'intérieur déchiqueté par la bête. Niphael rit. Oui, cette orgie d'âme était vraiment délicieuse. Il aurait dù penser plus tôt à sortir de son enfermement dans la caverne nauséabonde. l'extérieur était véritablement jouissif.

"Vasy, petit homme, c'est à ton tour de t'amuser. Pour ma part, je suis repus."

Les chariots brulent. La lumière des flammes éclaire le ciel nocturne, léche les arbres et les cadavres éparpillés. Une odeur infecte régne sur le champs de bataille. Sur le charnier. Des corps démembrés, désintégrés, mutilés au-delà de toute retenue. Et au milieu, un être ailé accroupi dans le sang. Son épée au clair rayonne de mille feux. Baignée dans le liquide carmin, elle est poisseuse, immonde. Un corbeau vole au-dessus de la mare de sang, hésitant, puis se pose sur un visage fermé et commence à lui arracher les yeux avec son bec. L'humain gémit faiblement, il n'a plus de force pour exprimer cette douleur immense. Tant pis pour lui.

Les ailes repliées, Niphael savoure toute la souffrance régnant entre les arbres. Les âmes des morts n'iront jamais dans un autre monde, elles sont dévorées instantanément par l'être déchu. Les trois orbes incrustées dans son bras droits rayonnent d'un éclat maléfique, comme animée d'une vie propre et exultante du carnage. Dans l'esprit de l'archange, des hurlements de douleur et de terreur fuse, un sourire se créé sur son visage, il aime cela. Principalement parce qu'il est la cause de tout ces hurlements, car s'il a consommé ces âmes à une vitesse dépassant toute imagination, leurs souffrances sera éternelle.

Il se redresse lentement et se tourne vers l'assassin qui s'amuse au loin. Apparemment il torture une proie féminine, la femme précédemment évoquée. Mais dans les ombres, Niphael n'en est pas sur. Peu importe au final. Leur collaboration est terminée. Du moins pour le moment. Car dans le lointain, une nouvelle puissance à pris place. L'agencement des forces célestes est bouleversées, le mal est bien plus important à présent. Il semblerait que Darva est de retour, que Staler ait trouvé un moyen de sortir de son trône. Que le tyran ne soit plus n'a que peu d'importance. Il convient désormais de rejoindre la nouvelle reine. Mais d'abord, il faut trouver celle qui représente le dieu déchu en ce monde. Les fluxs magiques indiquent sa position.

"Au revoir, Nagas. Au hasard, va voir du coté du palais du tyran, il me semble que des choses très amusantes s'y passe..."