Pochi [OK]

Administrateur Nombre de messages : 602 Date d'inscription : 12/03/2006

Indications personnelles

Nom : Infernox

Prénom : Malvyn… À moins que ce soit Valmond-Henri… De toute façon, nul, sauf Darva, ne sait que ce familier recèle deux âmes (sans compter celles qui ont été absorbées en enfer…mais elles ne constituent qu’une mineure partie du familier) : Celle d’un ancien démon s’étant opposé au Seigneur des Ténèbres et celle d’un Tyran à la folie légendaire.

Surnom : Pochi (comme sa maîtresse adore l’appeler), Dark Devil Bat, Mr.laquais, V’ ( se prononce « V » à l’anglaise), La roulette de la mort, Carte Finale, Dernier Soupir, et autant d’autres pseudonymes qu’il a de forme ( 87?)…

Âge : Au moins 360 ans… Mais qui sait? Après avoir absorbé toutes les vies de ces êtres en décomposition, condamnés à errer en enfer, il est difficile de savoir qui il est vraiment, alors pour son âge…

Continent & Royaume : Pochi provient directement de l’enfer. Cependant, Malvyn, celui qui constitue le majeur parti du Dernier Soupir, est né à Anfauglith, à l’intérieur d’un temple dédié à la gloire de Stalers.

Race : Il est tout et rien à la fois.

Tendance : Incarnation absolue de la mort et de ses diverses faces : Il obéie à son instinct, aux diverses âmes qui le constituent et à Olympia.

Indications corporelles

Apparence Physique : Peu importe à quoi il ressemble, car c’est très certainement la dernière chose
dont vous vous soucierez lorsque vous serez face à lui.

Signe Particulier* : Totalement métamorphe, Pochi peut prendre toutes les formes possibles et imaginables (ou est-ce seulement 87? )

Indications mentales

Caractère : On peut comparer le Dernier Soupir à une arme chimique dangereusement instable : À tout moment, il peut changer de caractère, passer du plus doux des agneaux avec sa maîtresse à une bête sans cœur envers un pauvre lapin sans défense. Pochi se considère comme un grand incompris : « Les plus grands génies sont souvent mal-aimés! » Se rassure-t-il. Il croit obstinément posséder la vérité absolue. Les diverses âmes, les multiples personnalités et les nombreuses opinions qui le composent font, croit-il, qu’il peut comprendre tout le monde et n’importe quoi. Cependant, il ne fera jamais preuve de bonté, car, tel un robot, il est programmé pour faire le mal, tuer, s’amuser et… chasser les lapins nains! En soit, il est d’un grotesque exquis et d’un pittoresque déroutant. Lui et sa maîtresse forment un couple… perturbant!

Ce que votre personnage aime : Olympia, la mort, les pommes, la musique l’obscurité, lui-même, les carottes et…chasser les lapins nains!

Ce que votre personnage déteste : Le bien, la musique ( -__- ), les morts ( il trouve toujours quelque chose à leur reprocher.), Stalers ( haine profonde venant directement de Malvyn), les gens trop dangereux, les gens pas dangereux, les gens plus ou moins dangereux (les gens en général, quoi.), les démons, les humains, les elfes, les orcs, les fées… Tout ce qui est vivant et… les lapins nains!

Ses plus grandes peurs : Se faire bouffer par une lapin nain ayant un chapeau de cow-boy et un katana rose ( rose bonbon, il va sans dire.) et or.

Rêve(s)/Espoir(s) : Être le maître du monde, pour ensuite le plonger, avec sa maîtresse, dans la « Nuit Primordiale ».

Talents/Pouvoirs/Capacités :

Métamorphe: Peut prendre la forme qu’il souhaite.

Roulette des âmes : Peut se servir de tous les pouvoirs des âmes qu’il a absorbé lors de son séjour en enfer.

Indications Historiques

Histoire :
Sur une terre jonchée par la détresse et le malheur, au sein d’un continent à l’emblème maudite, où lendemain signifie éternité, naquit, quelques âges plus tôt, une démone à la beauté titanesque et aux courbes tentantes. La malveillance teintait son visage sordide, telle une profonde déchirure qui marque un mortel à jamais. Fière de ses origines sans tache, Velinda n’hésitait pas à se vanter de sa sublime apparence, que ce soit par paroles ou de la manière avec laquelle elle se déhanchait en sillonnant les rues de sa ville natale – si on peut appeler un lieu aussi anarchique une ville- . Cependant, en ces temps ancestraux, la beauté était, chez les démons, vue comme une malédiction. Velinda fut battue, maltraitée, rejetée et, finalement, exilée. Peut-être les êtres maléfiques ne connaissaient-ils pas toute l’emprise que peut avoir la beauté sur les hommes, tous les dommages que l’envie peut faire…

De ses pieds nus, la sombre créature profana de nombreuses routes, s’arrêtant en chemin pour se dégourdir les muscles en massacrant un ou deux villages ou tout simplement pour égorger quelques enfants. Nombre de temples dédiés aux déesses furent saccagés –mais jamais pillés- par la « Toute-Grande » Velinda. Mais nul ne savait…non…nul ne se doutait que…sauf peut-être Darva…

L’ensemble de sa vie, l’obscure démone la passe à échafauder un plan…un plan de perfection. Elle voulait s’assurer une place dans l’histoire de ce monde, de ce pitoyable univers qu’elle aimait autant qu’elle le détestait. Velinda voulait mettre au monde l’enfant parfait : un être qui égalerait – non. Qui dépasserait!- les dieux, une âme unique et imperturbable. C’est dans cette optique qu’elle se mit à observer avec attention les nombreuses races foulant le sol, les airs et la mer. Elle nota dans sa mémoire chaque détail, chaque élément, même ceux qui, à première vue, semblaient être inutiles. La créature abyssale mit toute son énergie à trouver l’individu qui approchait le plus de la perfection… et c’est à son cinq centième anniversaire qu’elle arrêta enfin son choix : Dans une grande tour, sur un continent où les vagues semblaient se fondre avec le paysage et où les ruisseau ne faisaient qu’un avec la nature, habitait un elfe d’une beauté rarissime, de surcroît l’un des plus puissants mage des cinq continents. N’ayant pas droit à l’erreur, elle passa une année complète à l’observer, notant chacun de ses gestes… Puis vint ce soir là…

La lune avait pris une teinte écarlate. Son regard était plongé sur la terre, où elle devinait un évènement qui changerait l’histoire. C’était un soir…pas comme les autres… Un soir où tous, qu’ils soient mage, érudit ou simple paysan, sentaient que quelque chose d’unique allait survenir, qu’un drame allait arriver… un drame qui, peut-être, allait frapper à leur porte. Sans savoir ce qui les effrayaient, ils tremblaient comme des feuilles secouées par la tempête.

C’est lorsque la Lune de Sang fut à son apogée, qu’elle atteignit la plus haute sphère des cieux, que la démone mit son plan à exécution. De trois fois, elle frappa à la porte de la tour… Ces trois coups résonnèrent aux confins des enfers et se vinrent se briser sur les portes du paradis. Aussi inquiet que tous les autres, l’elfe hésita un moment avant d’aller ouvrir la porte.

« Bonjour. » Susurra simplement la créature infernale lorsqu’elle vit apparaître le visage de sa proie.

Ce mot primitif, aussi bénin soit-il, pénétra l’elfe et alla se graver sur son cœur, où il resterait jusqu’à la toute fin. Il la regarda… ses yeux croisèrent les siens… et le regard de Velinda traversa brutalement l’âme du mage, faisant bouillir son sang. Fière d’avoir eu l’effet escompté sur sa victime au oreilles pointues, la sombre créature posa sa main sur la nuque de l’elfe, délicatement, sans presse et comme si elle voulait faire durer le plaisir –et peut-être était-ce le cas-, et l’embrassa sauvagement. L’elfe sentit une bouffée de chaleur l’envahir. Un désir incontrôlable monopolisait son corps : l’envie… l’envie d’un corps, de sa chaleur… Pour la première fois de sa vie, et bien qu’il était conscient que cet être maléfique avait subtilisé son cœur, il se laissa aller à une femme…ou plutôt à une démone.
Ce soir là, sous le regard inquisiteur de la Lune Rouge, les deux membres de races différentes - de deux races qui n’auraient jamais dues avoir de tels contacts entre elles- unirent leur corps pour la seule et dernière fois. Le lendemain, des visiteurs trouvèrent la dépouille de l’elfe sur le porche de sa résidence, mutilé et méconnaissable.

Les funérailles eurent lieu dans la tour du décédé. Tous les membres de la famille du mage étaient présents. Tandis qu’ils pleuraient tous le défunt, trois coups, frappés à intervalles régulières, résonnèrent. La mère du pleuré alla ouvrir la porte. En voyant la démone, sur le seuil de la porte, elle eut un mouvement de recul, puis bredouilla, inquiète : «S…Seuls les m…membres de sa famille ont le droit de…de v…venir. V…vous ne pouvez...pas…pas entrer! »

- Empêcheriez-vous votre petit fils de voir son père une dernière fois ? Répliqua la démone.

Stupéfaite, la mère de l’elfe ne réagit pas lorsque Velinda entra dans la tour. Dès qu’elle fut à l’intérieur, des regards apeurés convergèrent vers elle. Après s’être assurée que tous l’avait bien vu, elle murmura :

-Je vous souhaites toutes mes condoléances.

Et un sourire en coin se dessina sur ses lèvres parfaites. Des cris s’élevèrent de la tour, et ,lorsque les villageois arrivèrent , ils ne purent que constater que les derniers membres de la famille de l’elfe avaient été vidés de leur sang…

Rassasiée, la démone continua de voyager à travers les continents, nourrissant l’enfant qui sommeillait en elle du sang des malheureux qui croisaient son chemin. Les neuf mois de sa grossesse passèrent ainsi, alimentés par le mal à l’état pur. Darva elle-même semblait voir en cet enfant un heureux avenir.

C’est dans le royaume d’Anfauglith , à l’intérieur du temple du mal , alors que sonnait le dernier coup de minuit, que naquit l’enfant.

-Malvyn…dit sa mère d’une voix fatiguée par l’effort de l’accouchement.

L’enfant avait les cheveux blonds de son père et le regard envoûtant de sa mère. Des humains, il avait le corps, et, des démons, il possédait les ailes. Malheureusement pour sa mère ,il possédait aussi un esprit plus démoniaque que tous les membres de la famille Infernox réunis. Dès l’instant où elle vit le regard de son enfant, Velinda comprit son erreur : Non seulement elle n’était pas parvenue à créer un être parfait, mais elle aller aussi payer le prix de son ambition. On dit souvent « quand l’élève dépasse le maître » mais dans ce qui s’applique est plutôt : « quand l’enfant dépasse sa mère ».C’est au travers de cris déchirants que Malvyn prit son premier repas…et que sa mère vit le dernier instant de sa vie.

Darva ayant été détrônée par Stalers, c’est celui-ci que Malvyn vit comme son Dieu durant les premières années de sa vie. Il lui présenta nombre d’offrandes : Des humains, des animaux morts, des instruments magiques… Cependant, le semi-démon n’aimait pas qu’on lui soit supérieur : Il eut la mauvaise idée de s’opposer à Stalers…et même de le défier. Ce fut un massacre : Le Seigneur des ténèbres mit son ancien acolyte au tapis après que celui-ci se soit épuisé à utiliser des pouvoirs qu’il avait « empruntés » à une déesse. Cependant, le maître du Mal ne l’acheva pas. Au contraire. Heureux d’avoir trouvé un mortel avec autant de cran, Stalers lui conféra une partie de ses pouvoirs… ce qu’il regretta amèrement. Après de nombreuses aventures, où il devint un être hybride, Malvyn kidnappa les enfants du Dieu du Mal et leur appris à utiliser la magie. Il envoya d’abord Fantilir s’opposer à son père… mais celui-ci échoua… Il décida finalement de se rendre avec la fille de Stalers à la maison de son père pour lui porter ce qu’il croyait être le « coup de grâce ». Après de longs jours où les trois combattants se livrèrent un combat acharné, Stalers transperça le cœur de sa fille et envoya Malvyn en enfer du revers de la main. Affaibli, et voulant achever le jeune Infernox, Stalers se rendit en enfer, où il fut rapidement rejoint par les Déesses et Ith’Djad, qui l’enfermèrent dans le trône du Mal. L’âme de Malvyn Infernox, quant à elle, resta en enfer, dans un état de léthargie, où elle se changea progressivement en ce qu’on appelle un familier, accumulant en li les pouvoirs des créatures qui croupissaient dans les profondeurs de l’«inferis».
Pendant ce temps, sur terre, les déesses étaient reniées et un Tyran, un mégalomane fou de connaissance, marquait le continent du Mal de son empreinte…

Lorsque Odyssée mourut, après avoir achevé la formule qui ramènerait Darva des enfers, son âme pénétra le passage menant au monde des morts. Seulement, au même moment, l’âme de Darva, ainsi que son cher familier empruntaient le même passage pour revenir au monde des vivants. L’âme du Tyran heurta le familier, pénétra son corps et y resta logé… Lorsque le familier prit sa première inspiration, sous la forme d’une ombre, il y avait, à l’intérieur de lui, des milliers d’âmes, comprenant celle de Malvyn…et d’Odyssée.

« Ma suhta nacdany à zysyec synxié byn judna byccyka, Semyto.» Marmonna l’ombre meurtrière à l’oreille d’Olympia avant que les disciples de l’usurpateur ne poussent leur dernier soupir…

Fonction : Familier doublé d’un imbécile

Inventaire

Armes*:

Bijoux*:

Vêtements*:

Autres*:

Validé mon petit Pôchi chéri... Tu veux un sussucre ?

Présentation acceptée

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» Pochi, Malvyn, Ith'Djad ou Odyssée?