L'enceinte

Nombre de messages : 2404 Age : 33 Date d'inscription : 05/01/2006

*Un guerrier?!* Pensa le soldat. *Darvek pourrait vouloir lui parler...*

Il regarda encore l'homme et se dit qu'il avait effectivement l'Air d'un guerrier. Toutefois, on ne laissait pas entrer n'importe quel homme armé dans le château. Le soldat de garde à la porte appela donc un de ses compagnons, qui vint après quelques grognements.

-Tu vas escorter cet homme dans le palais, jusqu'au Commandant. Dit-elle à son compagnon avec un coup d'oeil qui voulait clairement dire qu'il devait surveiller l'étranger.

Le garde se tourna alors vers Spart et lui répondit :

-Ce soldat vous conduira à notre Commandant. Il aura sûrement envie de vous voir. Par contre, je dois vous demander de me laisser vos armes...Toutes vos armes. Ne vous inquiètez pas, j'en prendrai grand soin. Dit-il en tendant la main pour recevoir les armes du guerrier.

Invité

Spart détestait qu'on lui enlève ses armes mais ne voulant pas déclancher les hostilité il donna ses armes au garde mais pris tout de même la précaution de garder un des nombreux bout de bois qu'il avait effiler lors des années qu'il avait passer dans la forêt puis il saluat très gentiment le garde et suivit son escorte.

Invité

-Bon maintenant que nous savons que le roi est le mendiant et que tout le monde a compris qu'ils étaient une seule même personne, on s'en va?

*Je n'aime pas beaucoup cette endroit il me rapelle trop mon enfance.*

Sur ce il prit sont cheval et l'amena faire un tour pour l'arrêter quelque mètre plus loin il se tourna d'un mouvement brusque vers ses compagnons d'aventure, il vit qu'ils ne le suivait pas alors il leurs dit: Si vous me chercher je suis au port de Lemonlindi pour me détendre et être loin de se château. Que Sylphe vous protèges.

Nombre de messages : 2404 Age : 33 Date d'inscription : 05/01/2006

Dès que Spart eut remis ses armes au soldat de garde, ce dernier hocha de la tête vers son coéquipier et rangea rapidement les armes du guerrier.
Puis, il se tourna vers le jeune fée, resté muet.

L'autre soldat, lui, entreprit de mener le guerrier à Darvek, tout en le surveillant étroitement.

[Suite de Spart et du "soldat" au "palais"]

Invité

Le jeune fée vit un être de métal parler à une créature, qui semblait être se qu’on lui disait un homme, qui était apparu derrière le mur invisible cachant l’entré de la porte. Il regarda la scène sans répondre à l’homme qui lui avait demandé de se présenter. Par politesse Lionel se recula et éteignit sa pipe.

‘’Bonjour à vous, créature du château grotte. Je me présente, Lionel Nostran, jeune fée se promenant de terre en cieux et d’aventure en aventure. Je viens ici pour voir s’il y avait quelque chose d’intéressant qui se déroulait. Vous voyez ‘’ L’atmosphère devenait noir autour et soudain un flash. Ce que le fée allait dire allait apparaître comme si cela se déroulait de son point de vue (C'est-à-dire comme si on voyait de ses yeux).’’ Je volais à la vitesse de la lumière pour me diriger vers la cité des dieux lorsque je tombai soudainement au sol. Je me relevai alors d’un bon pour apercevoir que des cieux tombait une créature des flammes les plus ardentes des forges naines. C’est alors que d’un coup de crâne, ce crâne aussi énorme qu’un bœuf et muni de corne digne d’un diable, il tenta de m’écraser. C’est donc d’un simple coup de mon bâton merveilleux que je fit imploser la créature qui retourna dans les entrailles des enfers qui s’ouvraient devant moi. Je repris alors ma route à la vitesse digne d’un rayon provenant de la plus forte des sources lumineuses.’’

HRP: Je sais je n'est pas de baton magique, mais bon mon personnage le crois lui.

Invité

Un jeune garde qui avait assisté à la scène se rapprocha de l'étrange personnage qu'était Lionel. Il le regarda de la tête aux pieds et ajouta d'une petite voix interrogatrice:

- Bonjour...je peux vous aider?...Vous cherchez quelqu'un de particulier dans l'enceinte du château?...C'est une jolie pipe que vous avez...vous fumez?

Puis il se rapprocha et lui dit tout bas à l'oreille:

- En fait je suis de garde et donc je n'ai pas droit à fumer...surtout après ce qu'à dit le roi...c'était pas ma faute si des personnes sont entrées en cachette...c'est l'autre!...Euh, oui!...C'est possible que je vous l'emprunte pour...comment dire....fumer?

Invité

Darvek ouvra les portes du palais.... et se retrouva dans l'enceinte, suivit de Spart, dont il doutait légèrement de ses capacités. À gauche se trouvait l'écurie, où les palefreniers prenaient soin des nombreux chevaux qui s'y trouvaient, et tout droit..... se trouvait les grandes portes du chateau de l'air. Il marcha d'un pas légèrement rapide vers l'écurie, pour y retrouver sa monture. Lorsqu'il y arriva, un jeune palefrenier se hâta de lui dire où se trouvait son cheval.

-Commandant, dit le jeune garçon, votre cheval est juste ici.

Darvek le regarda et vit sa haute monture entrain s'abreuver dans le bassin rempli d'eau. Il prit sa scelle, qui était toujours accrochée au même endroit, puis, la mit sur sa monture qui releva hâtivement sa tête.

-Soit tranquille Herfaüs, ce n'est que moi, dit-il en caressant la tête de la bête.

Il se hissa sur elle, prit les rênes et se dirigea vers le jeune palefrenier. Il sortit une pognée de pièces et les donna au jeune garçon.

-Tiens jeune homme, pour tous les soins que tu as donné à mon cheval depuis longtemps.

- OOOhhh merci.... dit-il

Puis, Darvek se dirigea vers Spart pour voir ce qu'il en était....

et regarda du côté de Spart pour voir ce qu'il en était.

Invité

Spart lui n'avait jamais eu de selle en tant que telle il utilisait plus une genre de pièce de cuir qu'il avait confectionner lui-même car il n'avait jamais eu assez d'argent pour s'acheter une vraie selle.

Spart appela son cheval dénommé Arthur en l'honneur de son frère décédé lorsqu'il était jeune.

Dès que son cheval arriva Spart lui chuchota a l'oreille: - Tu sais quoi, j'ai eu l'honneur a plusieurs reprise de parler AU commandant des armées de l'air.

Puis Spart accrochât sa "selle" sur son cheval et se tourna vers Darvek et lui dit: - Je suis prêt a partir.

Invité

Darvek s'approcha, lui et sa monture, de Spart qui était entrain de s'installer sur la sienne. Il avait vu que Spart n'avait qu'un pièce de cuir sur son cheval, et rien d'autre.

*À quoi bon ?? Il tombera c'est certain.. * se dit-il.

-Bon.. j'espère que tu ne traînes pas, parce que moi non. dit-il d'un ton neutre. Tu peux sortir avec ton cheval derrière toi, là où le jeune garçon est. Non attends moi plutôt.
Darvek se retourna et se dirigea vers une grande armoire, ou plutôt, une immense armoire. Il l'ouvrit et on put voir des lances par centaines, toutes munies des lames si acérés qu'elles auraient très bien pues traverser un sanglier d'un seul lancer. Il en prit une qu'il mit dans sa main gauche et en donna une autre à Spart. Puis, il avança encore un peu et prit un bouclier argenté, ayant comme emblème un aigle, qu'il mit sur son dos. Il accrocha sa lance sur le côté de sa monture, à une assez bonne distance pour qu'elle ne blesse pas sa monture... puis il se retourna et s'adressa au Spart, qui attendait patiemment, sa lance en main.

-Je te donne cela parce qu'on ne sait jamais ce qui peut sortir de la forêt, on peut toujours être prit au dépourvu. Vaut mieux être préparé.

Il fit un tour complet autour de lui et dit:

-Tu peux sortir, nous passerons par une petite porte sur le côté qui donne directement accès à la forêt, pour éviter de nous rallonger en passant par les grandes portes.

Il sortit de l'écurie avec peine, accrochant de nombreux chevaux au passage, puis se plaça au côté du jeune homme.

-Très bien, suis moi... dit-il en faisant galoper sa monture.

Il se dirigea à la droite de l'écurie, vers un petite porte qui ne laissait passer que trois ou quatre chevaux tout au plus côte à côte. Les gardes qui faisaient leur tour de garde, les virent arriver et ouvrirent immédiatement les portes, les laissant ainsi passer et avancer vers la forêt qui séparait le chateau d'Iermus. Mais Darvek ne savait pas que celle qu'il recherchait, Keana, se trouvait plus près qu'il ne le pensait.

( suite dans une forêt d'Elenwë )

Loin dans les airs, une forme blanche se profila à l'horizon et se rapprocha à vive allure.

Un dragon énorme et blanc fut enfin en vue des habitants et des gardes du château.

Il se posa délicatement juste devant le pont levis et poussa un hurlement strident puis baissa la tête vers un homme venant de descendre de son dos.

Zéphyr s'avança donc et pour faire honneur aux bonnes manières de Ys, cria d'une voie forte au garde de l'entrée...

-"Je me prénomme Zéphyr et je viens de loin pour demander audience au roi de ce château... et hospitalitée pour mon ami dragon , pour une gente demoisselle et pour moi même."

Invité

Deux cavaliers arrivèrent à la suite de l'atterissement du dragon, les mêmes qu'il y a quelques instants, Darvek et Spart. Lorsque le commandant vit le dragon devant le pont-levis, il hâta l'allure et vint se postionner à côté de Zephyr.... Plusieurs gardes ont été averti et il pouvait entendre les pas des soldats en action derrière les hautes portes. Le magicien devait probablement guetter d'un oeil attentif la situation. Darvek le garde qui se trouvait en haut de la gigantesque muraille et lui dit:

- Ce sont des invités, faites descendre le pont, dit-il malgré lui.

Jamais le château ne refusera l'hospitalité d'un homme qui la demande, et Darvek le savait très bien.

-Descendez le pont-levis, s'écria le garde en haut de la muraille...

Puis, la gigantesque entrée descendit tranquillement, et quand elle toucha finalement le sol, une bonne centaine de soldats étaient postés l'un à côté de l'autre, créant ainsi un espace restreint aux invités, mais surtout au dragon. Darvek s'avança tranquillement, et jeta un coup d'oeil derrière lui:

-Ils ne vous ferons rien, n'y à vous, n'y à votre dragon.

Sa monture mit un premier pas sur le pont et dès lors, Darvek essaya de trouver des yeux le magicien du château... mais ne le vit point... Il continua tranquillement, regardant en arrière si les invités le suivaient bien, de même que Spart. Mais Spart se trouvait à côté de lui.

-Je commencerai ton entraînement dès que la nouvelle sera annoncée et que l'inquiétude soit passée... lui dit-il...

Celui qu'il attendait ,arrivait enfin. Et cette fois faisait preuve de courtoisie.
Incroyable comment une situation pouvait paraître différente quant on est seul où entouré de ses hommes.

Il regarda Darvek avec un sourire amical bien que ces yeux étaient glacials.
Il fixa ensuite le pont qui s'abaissait doucement.
Tout ces gardes pour les acceuillir ne le fit pas se sentir bien. Comme prit au piège. Tout ces gens. Zéphyr trembla un peu( agoraphobe) mais se contrôla comme une amie à Ys lui avait appris.
Il releva la tête et toisa du regard tout les soldats qui oseraient regardé de travers son ami dragon.

Quant le dragon avança enfin, il poussa un hurlement qui fit , au grand bonheur de Zéphyr, reculer certains soldats.
Keana devait sans doute être encore sur Enlen, mais le dragon ne semblait pas du tout dérangé.

Ils entrèrent enfin dans l'enceinte.

Élémentaliste du Feu Nombre de messages : 969 Date d'inscription : 05/01/2006

Keana figea quant elle entendit de nouveau la voix de Darvek. Elle se retint pour ne pas pleurer. Elle descendit du dragon et s'approcha de Zéphyr. Elle tourna ensuite ses yeux rouges vers adrvek. Elle cligna de ceux-ci en replongeant son regard dans le sien. Comme la première fois. Elle détourna le regard malgré elle. Ça lui faisait trop mal.

Invité

Spart lui qui observait toute la scène d'un oeil aguéri et se dit d'une voix intérieur: -Je me demande quelle est la cause de son chagrin? Mais plus je la regarde plus je me doute qu'elle tien a parlez a Darvek. Je ne sais pas si je doit dire a Darvek ce que j'ai remarqué mais après tout c'est quand même mon supérieur. Puis, il dit finalement a voix basse (a l'intension de Darvek): -Je crois que vous devriez allez lui parlez car je pense sincèrement qu'elle se pose bien des questions. Moi pendans ce temp, je veillerez a ce que vos soldats ne quitte pas ce dragon des yeux. Vous pouvez partir sans crainte. Je tien aussi a vous parlez après votre entretien avec la dame qui vous regarde depuis tout a l'heure.

Nombre de messages : 2404 Age : 33 Date d'inscription : 05/01/2006

{HJ : Spart, un minimum de 5 lignes à tous tes posts. Ça va pour l'instant, mais les prochains, fais-les plus longs... Note: En noir, c'est le garde qui était avec Lionel, au départ...}

Le garde qui s'entretenait avec le jeune fée fut surpris. Mais qu'était-ce donc cette magie qu'il usait pour montrer aux gens toutes les aventures qu'il avait vécu?! Puis, un autre garde vint quémander la pipe du jeune fée. D'un coup de coude, le premier le repoussa pour lui dire d'aller à son poste. Puis, très impressionné par le fée, qui devait être un grand magicien, il lui dit qu'il pouvait entrer, qu'il faisait descendre le pont-levis.

Mais le garde n'en eut pas le temps. Au loin, un dragon, énorme et scintillant, s'élançait vers le château. Apeuré, le gerde ne savait que faire. Il resta donc pétrifié, alors que le reste du corps armé se mettait en branle à l'intérieur de l'enceinte. Sans pouvoir dire un mot ou bouger d'un poil, il vit le dragon atterrir et, heureusement, le Commandant venir au galop quelques instants plus tard. Ce dernier ordonna qu'on descende le pont-levis et cela sembla redonner vie au garde, il se tourna et dit au jeune fée :

"Voilà, le pont-levis est levé. Vous pouvez entrer, messire. Malheureusement, je crains que le roi ne puisse vous permettre une audience immédiatement. À l'intérieur, des serviteurs vous guideront. Au plaisir de vous revoir, messire."

Puis, il s'inclina légèrement devant le petit être et prit la pose militaire, alors que le curieux cortège composé du Commandant, d'un homme étranger (Spart), d'une sorte d'elfe, d'une femme et d'un dragon franchissait les murs de l'enceinte.

***

{HJ : Un peu de l'épisode du château ^^}

Sylphe parcourait le château de long en large jusqu'à ce que...

C'était elle, ou les murs se rapprochaient vraiment? Était-elle prêt d'un âtre, puisqu'il faisait si chaud? Cela lui prit quelques instants pour se rapeller la crise qu'elle avait eu au premier étage avec les blessés.

*Je devrais aller voir la jeune fille...* Pensa-t-elle.

Elle tourna les talons pour retourner vers le premier étage, mais elle ne put pas faire un pas de plus. Un étau lui serrait la gorge et les poumons. Elle n'arrivait plus à respirer. Elle allait mourir, c'était sûr!

Elle se reprit. Elle ne pouvait pas mourir. Elle était pour ainsi dire immortelle. Mais la sensation d'étouffement était toujours là, elle. Elle se dit qu'elle devait éviter à tout prix une nouvelle crise. De plus, tous les personnes qui passaient près d'elle la regardaient bizarrement.

*Pas le temps de passer pour un cinglée!* Pensa-t-elle rapidement.

Puis, elle se dit que l'air frais arriverait peut-être à la soulager. Elle trouva une fenêtre, l'ouvrit et respira grandement l'air du dehors. Elle allait mieux, mais n'était pas complètement rétablie. La fenêtre avait suffit la fois d'avant, mais maintenant, elle avait besoin d'espace!

Elle prit une dernière goulée d'air et partit, plus ou moins en courant, vers l'entrée du château. C'est avec un soulagement énorme et une inspiration (toute aussi énorme) qu'elle franchit les portes du château.

Là, elle eut la surprise de sa vie (façon de parler, puisqu'elle connaîtra sûrement de plus grande surprise dans sa longue vie). S'en venant vers l'entrée, Darvek, un inconnu (Spart), un autre inconnu (Zéphyr), la femme qu'elle avait rencontrée il y a quelques jours et... Un dragon.

Sylphe n'en avait jamais vue, puisque lorsqu'elle était née, ils avaient déjà presque tous quitté le monde. Mais sa mémoire, ou plutôt celle de Lidralyou, lui dit qu'en des temps bien meilleurs, les dragons étaient courant et très bien vus. Une parcelle de cette mémoire lui dit aussi qu'en ces temps, ils étaient pacifiques, mais que depuis, cela avait peut-être changé...

Prise d'un léger mal de tête causé par l'effort qu'elle fournissait pour déterrer la mine d'informations qu'étaient les souvenir de l'ancienne Déesse, Sylphe prit sa tête entre ses main quelques instants, juste assez longtemps pour remarquer qu'elle respirait parfaitement bien. Elle avait seulement besoin d'être à l'extérieur! ^^ Elle regarda le ciel quelques instants, et regretta que ses ailes fragiles de jeune ange ne puisse la porter convenablement dans les cieux. Et puis, de toutes façons, elle allait avoir du pain sur la planche, elle en était sûre!

Elle s'avança donc vers Darvek et les visiteurs. Elle lança un bref regard au Commandant de la garde. Un regard qui lui disait de tenir sa langue...

Puis, arrivée près du petit groupe, elle leur souhaita la bienvenue:

-Bien le bon jour Darvek, chers visiteurs. Dit-elle en s'inclinant légèrement devant chacun d'eux (même le dragon). Laissez-moi me présenter, je suis Maya Phénixia, une cousine de la famille royale. Je vous souhaite donc la bienvenue de la part du roi et de la reine (HJ : future reine). Puis-je vous demander quels sont vos noms, étrangers? S'enquit-elle à la cantonnade.

Zéphyr attarda son regard sur Keana qui ne semblait toujours pas remise du choc avec Darvek. Il tourna la tête et regarda son ami dragon qui ne semblait pas plus à l'aise que lui. Rien à faire, l'endroit où il était le mieu c'était dans les nuages, à voler avec son compagnon.

Mais il ne devait pas se laisser distraire. Il était pour le moment, représentant de sa citée. Il ne devait donc pas flancher.

Son regard s'attarda sur le château. Il était imposant et sans chichis Mais... mais... les remparts de Ys firent souvenirs devant ses yeux.
Son regard s'attarda, il vut quelque chose d'étrange.
Une forme...

Ses yeux percèrent un peu la distance le séparant de ce qu'il voyait.
Une enfant... c'était une enfant avec une grande dominante bleutée.

Dans une langue imcomprise de tous, sauf de keana et de lui, il prononça à son ami majestueu...

-"C'est un papillon tu crois?"

Le dragon bougea sa tête doucement et fixa lui aussi l'enfant au loin et qui se rapprochait.

-"Trop petit pour me rassasier..."

Le draconien rigola doucement. Puis tapota la patte supérieur de son ami.

-"Bah je suis sur qu'ils te donneront bien un ou deux soldats à croquer...Comme ce commandant là..."

Le dragon poussa un hurlement puis poussa le jeune draconien.

-"Au lieu de dire des bétises fais en sorte que le roi te reçoive..."

Zéphyr regarda le château. Puis fixa son attention sur la jeune enfant entrain de venir vers eux.

-"Ne t' en fais pas... si ce que je sais est exacte , le roi m'écoutera il me semble..."

Il arrêta de parler et regarda le comportement de la jeune filel qui venait de les rejoindre.
Au moin une personne courtoise dans ce château...

Zéphyr s'avança calmement vers la jeune enfant, puis s'inclina et se releva doucement.

-"Voici mon compagnon de voyage... mais j'ai bien peur de ne pouvoir dire son nom... il ne se prononça pas en language de ce continent."
Dit il en montrant le dragon blanc qui avait ses yeux fixés sur Sylphe.

-"Permettez moi de me présenter à vous... je me prénomme Zéphyr et ne suis qu'un humble voyageur."
Il avait dit ces mots tout en se relevant et maintenant regardait toujours le regard un peu glacé la jeune fille.

Invité

Akatsuki surgit de la route.

-Bonjour j'aimerais m'entretenir avec avec le commandant de l'armée de l'air, Davrek.

Mais avant que le guarde ne réponde Akatsuki se tourna et observa la
dresseuse de dragon.

-Je ressens le mal en vous que faites-vous ici.

Élémentaliste du Feu Nombre de messages : 969 Date d'inscription : 05/01/2006

Keana remarqua la jeune fille qu'elle avait vu plus tôt. Elle souria. Cette fille était magnifique et elle devait le savoir. Elle ne bouga pas trop, elle n'était pas très à l'aise dans un chateau. Elle regarda Zéphyr qui se dirigeait vers la fille. Elle vu ensuite un homme arriver. Il voulait parler à Darvek. Elle soupira en allant s'installer contre le mur de pierre. Elle ferma les yeux en laissant son esprit vagabonder. Elle se demanda pourquoi elle n'avait pas ressentit le mal en Zéphyr la première fois qu'elle l'avait vu. Généralement, elle ressentait l'arriver des êtres maléfiques jusqu'à très loin. Pourtant cette fois, elle ne l'avait pas ressentit et elle ne le ressentait toujours pas. Elle réouvri les yeux et entreprit d'astiquer son sabre. Elle passa sa main derrière son dos et sortit son sabre du foureau ou il avait été soigneusement déposé. Elle passa lentement ses doigts sur le fil de la lame et se coupa aussitôt. Pas de doute, il était très bien eguisé. Celle-ci portant son doigt à sa bouche et regarda ensuite le comportement des autres. Elle ne se plaignait pas. Elle se demandait même si ils savaient encore qu'elle était là!

Nombre de messages : 2404 Age : 33 Date d'inscription : 05/01/2006

{HJ : Akatsuki, t'es plutôt du genre direct toi... >.<}

L'étranger auquel devait appartenir le dragon s'avança vers elle et s'inclina. Il lui présenta son dragon, sans lui dire son nom, qui ne pouvait se prononcer dans la langue de ce continent. Sylphe prit une inspiration, mais comme elle allait parler, elle laissa tomber. Les jeunes dames ne connaissaient pas d'autres langues que la leur, habituellement. Elle laissa donc l'homme parler.

"Permettez moi de me présenter à vous... je me prénomme Zéphyr et ne suis qu'un humble voyageur."

-Enchantée de vous connaître Zéphyr. Vous et votre charmante bête. Il y a longtemps que nous n'avons reçu d'aussi... gigantesque visite! Dit-elle avec un sourire enfantin. Vous êtes un voyageur accompagné d'un bien beau compagnon... Ajouta-t-elle, pensive.

Puis, presque sans le vouloir, sans y penser (enfin, c'est l'impression qu'elle donnait), Sylphe s'avança vers le dragon, la paume devant elle comme pour le toucher plus rapidement. D'un geste lent, sa tête se pencha sur le côté et elle semblait regarder jusqu'à l'âme du dragon par ses yeux jusqu'à ce que... Elle se rende compte de sa bêtise et recule de quelques pas. Elle rougit honteuse.

-Pardonnez-moi, Zéphyr. Je me suis.... emportée.

Puis, un autre homme apparut au détour de la route. S'étaient-ils tous donnés rendez-vous ici, ou quoi?! Sylphe commença à trouver cela un peu suspect, mais elle ancra bien au fond d'elle la notion qu'un enfant ne s'inquiète de rien, fut-ce un enfant royal.

Elle resta perdue dans ses pensées un instant (ou plutôt celle de Lidralyou concernant les dragons) quand elle entendit un léger frottement. Elle tourna brusquement la tête vers Keana, qui venait de tirer son arme.

-Peut-être ne savez-vous pas, jeune femme, que ce genre de comportement peut être identifier comme une attaque dans cette demeure. Je vous demanderais de ranger votre arme, et de la remettre à un des gardes... À moins que Darvek ne prenne sur lui de vous laisser une arme dans le château de son Roi... Dit-elle d'une voix menaçante qui détonnait (n'était pas avec les tons) de sa frêle apparence.

Ce disant, elle avait tourné la tête vers Darvek. La première fois qu'ils s'étaient rencontrés tous les deux, il s'était méfié de Sylphe et elle avait feint de se méfier de Keana. Bien qu'elle sache que la jeune femme ne représentait pas une menace directe, elle devait jouer le rôle qu'elle se donnait, même après tant d'évènements passés. Ele secoua légèrement la tête et reprit son sourire d'enfant ; elle devait jouer le jeu.

Elle regarda Zéphyr et, ne voyant en lui aucune menace ni pour elle, ni pour le roi, elle lui dit :

- Je suis sûre que le roi serait ravi de vous offrir l'hospitalité, ainsi qu'à votre dragon. Par contre, pour ce dernier... Je n'ai aucun savoir de ses besoins... Il faudrait donc en informer un serviteur vous-même... Et je ne sais non plus où il préfèrerait aller... Ne se sentira-t-il pas un peu à l'étroit ici? Demanda la fillette avec une curiosité toute enfantine.

Invité

( HJ : En passant Sylphe, pour une supposée petite fille, venue visitée le roi... je trouve que tu te prends pas mal pour lui. Tu n'es même pas majeure et tu reçoit les invités d'une façon dont le roi devrait le faire, et non toi Neutral

..... ce n'est pas ton château, je crois que tu l'oublie.( et après on vient me chialer dessus ) . Ensuite tu me dis de me méfier du continent du mal, MAIS TOI, qu'est-ce que tu fais ???? Tu arrives comme si de rien n'était devant un personnage du continent du MAL . Bon oui ok, je l'avoue, il vient pacifiquement, et tu le savais, mais si tu ne sentais pas la menace, peut-être parce qu'il avait installé un bouclier entre lui et le reste du monde.. on ne sait pas..... GRRRR... alors, arrête de te prendre pour le roi...GRRRR... ( Ce message comprends beaucoup de frustration et de mécontentement .... ) )

Darvek s'éloigna légèrement, regardant ainsi le dragon entouré de ses soldats.

- Vous pouvez retournez à vos occupations soldats, dit-il d'une voix forte et claire.... je ne désire que 10 dix soldats pour rester dans l'enceinte.

Les soldats au début resèrent un moment sans bouger, puis, se mirent à aller dans toutes les directions, évitant de passer trop près du dragon. Darvek pu donc constater que le dragon avait plus d'espace pour circulé que lorsqu'il fut entouré et fixé par tous ces gardes. Il continua d'avancer tranquillement lorsqu'il entendit la voix de la petite Maya se présenter à Zephyr. Il fit tourné sa monture sur elle-même et vit la jeune Maya tout près de Zephyr et du dragon. Cette vue ne lui plaisait pas beaucoup mais il n'en fit rien. Il vit Keana adossé sur un mur de pierre et, malgré lui, il alla la rejoindre. Cependant, il entendit de nouveau la voix de Maya, qui s'énervait après Keana à cause qu'elle aiguisait la lame de son sabre.

-Peut-être ne savez-vous pas, jeune femme, que ce genre de comportement peut être identifier comme une attaque dans cette demeure. Je vous demanderais de ranger votre arme, et de la remettre à un des gardes... À moins que Darvek ne prenne sur lui de vous laisser une arme dans le château de son Roi... Dit-elle d'une voix menaçante qui détonnait (n'était pas avec les tons) de sa frêle apparence

-Maya, je sais très bien ce quej'ai à faire. Alors arrête ainsi de te prendre pour le roi et de me prendre pour un idiot. Ce n'est pas à toi que revient le droit d'accepter l'hospitalité de la personne qui la demande. C'est le mien, et celui du roi et de la reine.... n'oublie pas que toi aussi tu es sous l'hospitalité du roi.

Il était à bout de nerf, et pourtant la jour n'était levé que depuis quelques heures. Il ne comprenait plus rien, encore une fois..... Il soupira longuement puis regarda Zephyr et lui dit:

-Des serviteurs te montreront une chambre à ton aise... donne moi les renseignements de ton dragon et je m'occuperai moi même à ce qu'il ne manque de rien...

Puis, son regard se tourna vers le magicien et sur celui de Spart.

-Donnez moi quelques instants, insista-t-il...

Puis, il fit quelques pas encore, les quelques pas qui le séparaient de Keana. Il la regarda un moment, puis lui tendit la main.

-As ti l'intention de rester là, jeune demoiselle?? .... demanda-t-il....

Zéphyr regarde le nouveau venu.
Akatsuki. (Une dresseuse? Tu veux mourir?) Il eut un léger sourire quant il lui fit une remarque et lui adressa un...

-"Et moi je sens l'igniorance en vous...je voyage c'est tout..."
calme mais tranchant.

Zéphyr pour sa part ne s'occupait plus de Keana. Jugeant bon que si il s'approchait trop de la jeune femme, la relation entre elle et ce commandant ne s'arrangerait pas.
Volontairement donc il ne lui adressa plus un regard.

Il fixa son attention sur la jeune demoiselle qui à en croire les dires était cousine du roi et de la reine.

Vous êtes un voyageur accompagné d'un bien beau compagnon

Il sourit à la jeune fille puis dévia sur son ami dragon.

Ce dernier en voyant la jeune enfant tendre la main vers lui , il bougea légèrement la tête et avait presque comblé le vide entre elle et lui.
Il ne quittait pas le regard de l'enfant et sembla lui aussi plonger en elle. Quelque chose de l'ancien monde était en elle. Tout comme cette magie était en lui. Calmement il quitta le regard de la jeune fille et bouscula un peu Zéphyr.

Le draconien regardait amusé le spectacle qui se passait devant lui. De toute les personnes du château qu'il avait rencontré, elle était bien la seule à ne pas se fier aux apparances imposantes du dragon.

Il sourit gentiment à la jeune fille puis suivit son regard et apperçu Keana.
Il regarda ensuite du coin de l'oeil la jeune princesse. Un sourire amusé se plaça sur son visage.

Par contre, pour ce dernier... Je n'ai aucun savoir de ses besoins... Il faudrait donc en informer un serviteur vous-même... Et je ne sais non plus où il préfèrerait aller... Ne se sentira-t-il pas un peu à l'étroit ici?

-"Ne vous en faîtes pas jeune demoiselle... ces murs de pierres n'emprisonnent jamais véritablement un dragon... "

Il regarda de nouveau avec un regard glacial Darvek.
Décidemment cet homme n'avait aucune politesse et aucune courtoisie...

Des serviteurs te montreront une chambre à ton aise... donne moi les renseignements de ton dragon et je m'occuperai moi même à ce qu'il ne manque de rien...

Oho... Quel était ce ton? Zéphyr lui aussi commençait à être à bout de nerf et à perdre patience. Ce rustre...
Il serra les poings en regardant calmement mais durement le commandant des armées. Le dragon perçevant le changement de son ami draconien, voulut lui donner une petite tape avec sa tête, mais ne réussit pas.

Zéphyr s'avançait déja vers Darvek.
Il se stoppa net, son attitude était calme, mais son regard en disait long.
Il se trouvait à a peu prés 6 mêtres de l'homme.

-"Commandant des armées de ce château, je vous prierais de bien vouloir cesser cette familiaritée ."

Malgré l'allure svelte et sans force que le draconien pouvait donner, en cet instant, sa voie d'habitude si calme monta d'un ton et résonna dans tout l'enceinte. Pourtant, elle n'était ni agressive, ni haineuse, juste suffisamment forte pour montrer qu'il était ailleur(Ys), considéré comme l'égal de Darvek. Et que donc malgré tout, un chef devait montrer l'exemple et ne pas se permettre de telles failles qu'était cette manque de politesse.

-"Pour mon dragon, merci mais je préfère encore que un de vos serviteurs s'en charge, car si celui ci décide de s'attaquer à mon ami dragon, ce dernier pourra au moin le croquer sans aucun problême."

Sans plus de discours, Zéphyr se retourna et se retrouva prés de Enlen.
Il le regarda avec beaucoup de gentillesse tout en tapota sa patte supérieur.

-"Personne ne te manquera de respect et encore moin ce continentau, fais moi confiance..."

Il se retourna vers Darvek pour voir sa réaction et surout si cette fois, il c'était bien fait comprendre.

Nombre de messages : 2404 Age : 33 Date d'inscription : 05/01/2006

{HJ : Maya n'est pas le roi, bien sûr! C'est une gamine prétentieuse qui a été élevée comme une des membres de la famille royale. Donc, elle prend sa place, bien que ce ne soit pas son rôle à elle. D'ailleurs, elle se croit supérieure à toutes les personnes présentes. (On parle de Maya là, pas de Sylphie ^^) Puis, Maya ne se méfit pas de Zéphyr, elle est trop obnubilée par le dragon! ^^}

Alors qu'elle venait de demander à Keana de ranger son arme, Darvek la gronda.

-Maya, je sais très bien ce que j'ai à faire. Alors arrête ainsi de te prendre pour le roi et de me prendre pour un idiot. Ce n'est pas à toi que revient le droit d'accepter l'hospitalité de la personne qui la demande. C'est le mien, et celui du roi et de la reine.... N'oublie pas que toi aussi tu es sous l'hospitalité du roi.

La surprise figea ses traits quelques instants, puis elle se tourna vers Darvek et s'inclina devant lui, avec des gestes raides qui démontraient clairement la fausseté de cette soumission. Elle regarda Keana avec un sourire féroce qui, évidemment, était la cause de tout ça. C'était SA faute si Darvek l'avait grondée..!

*Très bien, je vais aller faire joujou à l'intérieur dans ce cas!* Pensa-t-elle ironiquement.

Mais à la seule pensée de ces mots, "à l'intérieur", elle sentit son ventre se retourner. Elle ne pouvait rentrer, elle ferait une crise, elle en était sûre.

*Mais comment rester à l'extérieur en ne se mêlant de rien et en abandonnant pas les invités comme une sauvageonne?!* Se demanda-t-elle.

Elle pensa alors que les véritables enfants avaient beaucoup moins de problèmes et de questions à se poser... Mais il ne vivaient pas quelques millénaires...

Elle entendit l'échange houleux entre Zéphyr et Darvek, mais n'intervint pas. Après tout, elle ne devait se prendre pour personne, comme l'avait si bien dit Darvek.

Elle décida de fixer son attention sur le dragon. Elle n'avait pas râté ses sourires et son regard alors qu'elle approchait l'immense bête. Il la laisserait sûrement l'approcher encore. Sylphe avait une faim insatiable de savoir. Elle voulait tout connaître de cette bête "mythique" autrefois si connue...

Puis, elle sentit plus qu'elle ne vit Zéphyr s'approcher de son compagnon et lui parler dans une langue qu'elle ne connaissait pas. Les paroles semblaient être de la musique à ses oreilles et elle leva vivement la tête vers Zéphyr.

*Encore...* Voulut-elle dire, mais aucun son ne sortit de sa petite bouche.

Cette musique remuait quelque chose en elle. Quelque chose enfouit sous trop d'épaisses couches d'années pour qu'elle l'utilise comme elle le voulait. Avait-elle connu cette langue à un certain temps de sa vie? Ou alors Lidralyou l'avait-elle elle-même connue? Sylphe ne pourrait le dire. N'empêche qu'elle aimait bien le son et que cela lui semblait une bonne raison de se rapprocher.

Elle attendit quelques secondes, les yeux dans le vague... Le temps que le reste du monde l'oublie un peu. Puis, n'y tenant plus elle s'avança lentement vers le dragon et Zéphyr. À quelques pas d'eux, la fillette se rappela son précédent comportement et elle rougit légèrement. Elle s'arrêta et demanda :

-Pourrais-je m'approcher de votre dragon, si cela ne vous dérange point tout deux...

Elle attendit quelques instants, puis continua à avancer, avec l'accord de Zéphyr ou non. Elle l'examina un moment. Il était plutôt énorme. Sûrement dans la force de l'âge, bien qu'elle ne sut combien de temps pouvait vivre un dragon. Il avait l'air amical... Accueillant, même! La partie "enfant" de Sylphe se dit qu'il devait être bon de voler sur une bête aussi magnifique. Mais ce n'était pas comme de voler de ses propres ailes...

Un coup d'oeil à ses ailes fragiles. Malheureusement, les anges ne pouvaient voler avec leurs ailes qu'une fois qu'ils avaient atteint et dépassé la douzaine d'années. Sylphe en était sûrement proche, même très proche, mais jamais elle ne pourrait couvrir de grandes distances avec ses petites ailes d'enfant... Bref, elle le jeta un regard mi- nostalgique, mi-furieux.

Puis, arrivée assez près (quelques pas) du dragon et de Zéphyr, elle leva la tête vers ce dernier.

-Ce que vous avez dit tout à l'heure... Ou plutôt la langue dans laquelle vous l'avez dit... Vous pourriez me l'apprendre un jour? Demanda-t-elle avec une curiosité qu'on prendrait pour celle d'une enfant pour un nouveau jouet.

Invité

Lionel resta là bouche bée et ébahit par tous les nouveaux arrivants. Ils s’approchant alors du dragon et s’écria.

‘’Mais… mais… qu’est-ce que c’est que cette énorme créature blanche et livide. Serait-ce un Zombie je croyais m’être débarrassé de la horde me poursuivant la dernière fois que j’en avais aperçu. Et qu’est-ce que vous êtes’’ Dit-il en direction de Maya ‘’ Serait-ce une harpie ou bien une sirène… vous semblez petite, tout comme moi, mais vous avez des plumes je dirais même plus des ailes.’’

C’est alors que Lionel arrêta sec de parler et de bouger. Autour de lui le vide des cieux commençait à se dessiner, des cris stridents se faisaient entendre, transperçant alors l’endroit où le sol avait été auparavant un énorme dragon suivi d’une dizaine de harpie qui le pourchassaient. Un volé de feu arriva du ciel et la gueule d’un dragon était visible. Une vingtaine de dragon tous plus énorme que le premier arrivait tour à tour. Se débarrassant des harpies l’autre dragon les rejoint. C’est alors qu’ils se placèrent tous en cercle dans les air et volèrent sur place. Soudainement tout redevint normal.

‘’Les dragons, quelles créatures merveilleuses, serait-ce possible un jour de les comprendre et de cohabiter avec ceux-ci. Pour les nouveaux venus, je suis… en quête d’aventures, d’histoires, de plaisir, de gens pour écouter mes périlleuses aventures ! Oh que je suis bête je voulais dire je suis Lionel.’’

Invité

Après avoir vu se fascinant spectacle Akatsuki ne bougait plus. IL avait vu plusieur dragons dans sa vie mais jaimais il n'en avait vu daussi majestueux.

-incroyable. Réussissa-t-il a prononcer.

-Ils sont a vous tous ces dragons. demanda Akatsuki à Zéphyr sans baisser les yeux du ciel.

Akatsuki n'avait toujours pas remarqué la présence de Spart et Davrek qui avaient l'air tout ausim émerveillé

Zéphyr dévia son regard sur Maya.

-"Vous rapprocher de..."
Dit le draconien enigmatiquement.
Soudain il fit le raccord avec les agissements de la jeune fille.

-"Ce n'est pas mon dragon charmante demoiselle... mais mon ami et pour ma part, ça ne me dérange pas."

Il eut un sourire doux et son visage était toujours aussi serein que depuis le début. Son regard par contre semblait aussi s'être adoucit.

Le dragon fixait aussi la jeune enfant, puis doucement pour ne pas l'effrayer se rapprocha seulement en un mouvement.Sa tête était maintenant à mon d'un mêtre de la jeune fille et elle pouvait désormais sentir son souflle calme produire une légère brise.

Zéphyr fut assez touché de cette rencontre. Cette enfant l'étonnait au plus haut point. Elle semblait réellement vouloir en savoir un peu plus. Peut être même désirait elle faire un tour sur le dos de Enlen.
Il eut un sourire trés amical.

-"Bien sur petite Lady... je m'en ferais une joie..."

Zéphyr sursauta quant un nouvel arrivant... arriva.(T_T")

Un zombie? Enlen? Cette charmante jeune fille une harpie? Zéphyr ne put se retenir et éclata d'un rire discret, mais bel et bien tenace.
Il s'appuya sur la patte énorme de son ami dragon pour ne pas flancher et surtout essayé d'arrêter ce fou rire.

’Les dragons, quelles créatures merveilleuses, serait-ce possible un jour de les comprendre et de cohabiter avec ceux-ci.

Zéphyr étouffa enfin son fou rire et regarda intéréssé ce jeune homme.
Un léger sourire se fit sur son visage.
Si il savait...

Il regarda un peu plus bizarrement Akatsuki.. et son rire le repris. Décidemment ils n'étaient pas tous pareil ces continentaux.