Le Palais de Durenzteng

Ingie voguait paisiblement dans le pays des rêve. Elle s'y était transporté rapidement. Elle était alors que dans son sommeil léger. Elle rêvait tranquilement lorsqu'elle se réveilla soudainement. Leïam se trouvait devant elle et la secouait désespérément en lui envoyant toute sortes de paroles absurdes. Il cessa et elle le fixa. Elle se leva alors brusquement sur ses coudes et lui sauta au cou. Elle le fit virevolter de tout bords, tout côter et cria.

-Ne me fait plus jamais ce coup là où je te glisserait un serpent dans tes calçons! mentit-elle pour lui ficher la frousse.

Elle cessa soudainement et s'exclaffa bruyament en se laissant tomber sur le dos, jambes retrousser, bras enlaçer autours de sa taille. Elle cessa au bout d'un moment et se détendit.

-Ok, ok, je te promet de te ramener à bon port. Mais tu doit me promettre en retour de me laisser lui parler. Si il ne veut pas, je ne pourrais rien y faire, mais laisse moi m'essayer.

Elle fixa ses grands yeux bleu profond et les admira. Il avait de magnifique yeux, d'admirable yeux. Elle se tourna et ferma les yeux en concluant:

-Maintenant, dort. Si tu veux te lever le plus tôt possible demain.

Une trentaine de silouhettes sombre apparurent bientôt dans la noirceur de la plaine. Le groupe était composé de l'inquisiteur Edward Lyon et de de nombreux hommes armés jusqu'au dent. L'un des hommes pointa alors la lumière qui émanait du camp. Le groupe s'arrêta un moment et examina les alentours. Un autre soldat apperçu alors ce qui semblait être une ville mais c'était plutôt flou de l'endroit ou il était. L'inquisiteur se tourna alors vers les hommes pour leurs donner des instructions.

-Surtout, vous ne faites aucun geste brusque. Nous venons ici pour des raisons diplomatique et non pour tous les tuer. Restez toujours autour de moi sauf si je vous fais signe de rester sur place. Restez toute fois sur vos garde, ses gens ne sont pas forcement de comfiance d'après ce que j'ai entendu sur eux mais je ne suis pas particulièrement sur de cette information. C'est tous ce que j'avais à dire maintenant nous pouvons y aller.

Les groupes d'hommes de dirigea alors vers le campement restant le plus furtif possible. Il n'avait aucune forme de lumière avec eux et étaient venu en fesant confiance au information qu'ils avaient eux. L'homme des hommes trainait un coffre d'une taille moyenne. Les hommes arrivèrent finalement dans le campement en se tenant tous autour de l'inquisition la plupart des soldats de l'inquisition avaient leurs armes à la main et certain avait des arbalètes.

-Est-ce que quelqu'un pourrait m'informer sur la position du Compte Nordrakul?

Leïam fut bien surpris de la façon qu'Ingie réagit lorsqu'elle se réveilla enfin après quelques minutes à la secouer frénétiquement. Elle avait ouvert ses grands yeux d'enfant et lui avait bondit au cou. Puis, elle l'avait menacé ! Lui qui détestait toute bestiole avait grimacé et reculer brusquement de façon même un peu exescive. Puis, elle s'était mise à rire ce qui enlevait toute possibilité que la menace soit mise à exécution un jour. Lei se contenta d'avoir un sourire du genre : ''Non ! C'est pas drôle !'' Il n'eut pas le temps de faire aucune remarque sur la façon dont elle l'avait traiter qu'elle lui fesait une proposition. Ou, il avait un grande part de gain. L'homme ne viendrait certainement pas, ce disait-il. Il ne risquait donc rien. Ils ne l'auraient pas dans les jambes. Ils rentreraient vite à bon port. De toute façon, Même s'il serait venu, Leï serait partit dès qu'il aurait rejoint les siens. Ce qui serait surment rapidement fait... Il se contenta donc d'hocher de la tête. Puis, elle se retourna pour dormir. Il soupira et alla se planter devant elle. Puis, il lanca :

-Très bien, mais ne te fait pas de faux espoir. Il ne viendra pas ! Et même si par un miracle extraordinairement déplaisant il acceptait, je ne resterait certainement pas avec vous. Autant d'avertir tout de suite ! De retour à la caravane, je vais vous quitter !

Il se leva et recula. Puis, il fit un sorte de révérence et déclara sur un ton moqueur :

-Au plaisir de ne plus jamais vous revoir !

Il ricana et s'agenouilla encore par terre. Puis, il dit :

-Mais ! Tu pourras venir nous voir en spectacle. Je joue des rôles de fille desfois. Tu verras, je suis le meilleur !

Il sourit apparament très convaincut et s'étendit par terre. Hors de question de dormir dans ce drôle de lit. Même s'il ne pouvait l'expliquer... M'enfin, c'était un détail. Il ferma ses yeux... Puis il sombra dans ce qui devait être un sorte de sommeil pas très profond car il avait encore un peu conscience de ce qui l'entourait...

[Qu'on vienne pas me dire c'est IMPOSSIBLE !!]

Ingie dormit comme un enfant naissant. Le soleil se fit apparaître, dévoilant ses couleurs d'aurore caché à l'habitude par sa beauté apparente le jour. Ingie ouvra un oeil. Leïam était étendu au sol, sommeillant timidement dans le pays des rêves. Elle observa autours d'elle et s'aperçut qu'elle était belle et bien dans la fameuse tente de Sir Nordrakul. Elle sourit, s'étira l'espace d'une seconde et bondit sur le matelas improvisé. Elle regarda Leïam du coin de l'oeil et tourna les pupille. Elle regarda Leïam du coin de l'oeil une nouvelle fois et sourit d'une façon mesquine. Elle se leva, doucement, soigneusement pour ne pas reveiler son tendre ami qui semblait si bien endormit et se dirigea vers lui sur la pointe des pieds. Elle s'agenouilla au niveau de son visage et le regarda un instant, l'admirant, les yeux ainsi clos. Il était charmant. Sourire.

-BON MATIN À TOI MON CHER LEÏAM!

Elle se torda de rire en voyant sa réaction. Elle lui avait définitivement fait peur. Crier? Elle était fière d'elle. Elle applaudissa pour elle-même et fit la révérence et remerciant ses spectateur imaginaire.

Elle sortit vivement de la tente pour voir la fin du lever du soleil. Lorsqu'elle fut hors de la "chambre", elle ne fit pas attention au garde à demi éveiller et fit deux ou trois pas vers le soleil levant et s'assit sur le sol encore perlé par la rosée du matin.

-Magnifique... lâcha-t-elle, abasourdit par la vue. Il faudrait que je parle à notre hôte avant de quitter cet endroit. ajouta-t-elle à l'intention de Leïam. Elle le savait non loin d'elle. N'oublie pas, tu me l'a promit. Elle soupira, les yeux toujours fixer sur le soleil maintenant haut dans le ciel. Elle se leva, brusquement, puis se tourna vers Leïam. Bon, Allons-y!

Elle se dirigea vers le garde qui se dirigea d'un pas lent vers la tente de leur maître. Toujours endormit ceux-là. Elle le suiva et fit signe à Leïam de ne pas traîner.



Plus ils appochaient, plus le lointant devenait de moins en moins flou. Des hommes qui n'était pas les gardes de Nordrakul se tenait près de la tente de leur hôte. Que ce passait-il? Ils s'étaient fait attaqué? Surment pas, ils en seraient été informer. Et puis, ces hommes ne semblait pas être plus d'une trentaine et Ingie avait vu autant de gardes sur le terrain, même plus.

-Plus vite, cria-t-elle au garde.

Elle accoura jusqu'à la tente, craignant pour elle ne savait trop quoi en réellement. Elle arriva aux pieds de la tente et vint pour la traverser lorsque deux gardes s'interposa. Ils attendaient les ordres de leur maître, évidemment. Elle arqua un sourcil, l'air agacé et cria:

-Sir! Sir! Qu'est-ce qui se passe? Pourquoi autant de gens sont là? Sir?

Elle ne faisait pas attention au autres personnes armés jusqu'au dent. Ni même au gardes, dont deux qui s'efforçait à retenir Ingie hors de la tente occupé. Elle n'était pas sur ces gardes. Mauvaise idée.

L'inquisiteur avait fait signe à ses hommes de ne pas intervenir en quelque sorte. Ceux-ci lançait toutefois des regardes plutôt provocateur au homme du Compte.Les hommes de mains de l'inquisition n'avait aucune confiance en vers c'est inconnue surtout lorsqu'il amenai presque de force leur chef à la tente du compte en le dépouillant de ses tous ses armes. Tous les hommes sans exception tenait maintenant leurs armes fermement dans leur main.

-Pour qui est-ce qu'ils se croivent ses demi-portion? Peut-être sont-ils maître de se territoire mais ce qu'ils ont fait la est inacceptable. Je veux leurs montrer!

Un autre homme le retenu alors avant que celui-ci ait pu faire quoi que se soit. Il le regarda dans les yeux un instant comme s'il essayait de lui envoyer un message.

-Est-ce que tu es fou? Nous sommes ici en mission diplomatique et non pour nous faire des ennemis. Je suis tout à fait d'accord avec toi sur ce point il mériterais ce que tu allais leur faire mais nous devons obéir aux ordres. Lyon pourrait avoir des ennuis par notre fautes.

Edward Lyon regardait le compte souffrir sans dire un mot. À chaque fois qu'il essayait de dire un mot, il était intérrompu par un gémissement ou quelque chose d'autre. Lyon sortit un petit sac et se dirigea vers la source de feu la plus proche qu'il trouva. Il alluma un petit morceau de bois et le jetta dans le sac par la suite. Des vapeurs particulière émanèrent de la substances qui brulait. Ses yeux eurent tout un coup une expréssion plutôt étrange. Edward retourna ensuite vers le compte.

-Qu'est-ce ce qui vous est arrivé si je puis me permettre de poser la question?

Leïam était ENFIN parvenut à sombre dans un véritable sommeil lorsqu'Ingie criat tout près de lui. Il eut l'impression qu'elle criait dans ses oreilles. Il cria de sa voix aigue et strident puis, il bondit sur ses pieds. Là voilà qui semblait s'imaginer sur une scène... Il la dévisagea un moment pendant lequel il ne dit rien. Puis, il abandonna l'idée de se plaindre encore et encore. Il la suivit dehors en soupirant. Il avait vaguement espérer qu'elle oublie cette idée folle. L'idée folle que le ''Sir'' accepte de la suivre. Leïam dut ENCORE courrir pour rester près d'elle. Il refusait obstinément de se séparer de son ''billet de sortit''. Alors, lorsqu'il entra dans la tente, il ne mit que quelques secondes avant de glisser sa main dans la sienne. Il serrait bientôt sa main très fort. Et voilà qu'on ordonnait leur départ immédiat de la tente dans laquel ils vennaient d'entré. Et où était étendu un ''Sir Nordrakul'' que Leî ne reconnaissait pas. Où était le ''Sir'' fière ? Mais Lei n'eut pas le temps de faire aucune remarque qu'il se retrouva soulever de terre et transporter jusque dans l'autre tente. Il frappa le dos du colosse qui l'avait prit sans grand résultat. Puis, il déposa Lei sur le sol de la tente sans délicatesse. Ce qui lui vallut d'entendre Leî se plaindre et lui donner des coups de pied avant qu'il parte finalement. Puis, Ingie parla... Elle s'efforcait de le convaincre en même temps qu'elle-même qu'il avait de bonne raison et bla bla bla. Leïam l'écouta que vaguement.

Il se leva et sortit discrètement de la tente. Son abscence fut marqué par un long silence puis une série de chialage. Leïam fut de retour dans la tente en moins de deux. L'un des gardes l'y enmena et le redépossa au sol. On aurait dit qu'il aurait voulu l'enfoncer bien dans le sol. Puis il quitta. Et Leï tourna brusquement la tête Vers Ingie.

-JE TE L'AVAIS DIT, lanca-t-il. IL VEUT NOUS KIDNAPER !

Il se mit à tourner en rond puis, il se planta droit devant elle. Le visage faché.

-Si m'avait écouter aussi ! Nous ne serions pas ici. Je veux rentré chez moi ! Tu m'as promis.

Il se mit alors à brailler comme un gamin. Un Gamin capricieux qui n'a pas ce qu'il veut.

-Il est Carnivore, déclara-t-il dans sa folie. Il va nous mangé tout rond ! J'veux pas mourir. J'Veux rentré chez moi ! Dans la caravane.

Ingie se doutait bien de la fureur de Leïam. Mais sa réaction fut moins terrible qu'elle ne se l'était imaginé. Pour le moment. Il se contenta de faire demi-tour pour sortir de leur piège mais le garde le ramena sur-le-champs dans leur tente. Ouille. Il allait éclaté. Leïam allait éclaté. Comme de fait, il s'exclama qu'il l'avait prévenu et que leur hôte voulait les kidnappé. Puis, il lui fit rapellé la promesse qu'elle lui avait fait. Oui, il n'avait pas tort et toutes les raisons de lui en vouloir. Elle n'eut pas le temps de réagir qu'il se mit à pleurer comme un gamin ayant perdu sa mère à la place commercial. Elle s'attendrit et s'en voulu. Elle l'avait embarqué dans une histoire qu'il n'aurait pas dut connaître. Et malgré le peu d'âge qu'il existait entre ces deux jeune gens, elle s'en sentait responsable à présent, comme une grande soeur veillant sur son jeune frère. Il se mit à pleurnicher et à sortir de multiples sotises comme un enfant normal aurait fait. Elle s'avança vers lui d'un pas vif et appuya ses mains sur chaque coté du petit visage de Leïam et le regarda droit dans les yeux:

-Tu l'a retrouva ta caravane. J'y veillerait personnellement et personne ne te feras du mal. Je suis là et je veillerait sur toi.

Elle l'attira vers elle et apuya sa tête au creux de son épaules, geste qui se voulait apaisant. Elle ne voulait en aucun cas le mettre en danger, quoiqu'elle continuait à croire que l'homme qui les avait héberger dans son royaume avait une bonne raison de les enfermé dans sa tente. Elle ne pouvait s'imaginer qu'une personne ne fasse une tel chose. Elle ne voyait que du bon en lui lorsqu'elle regardait ses yeux à la pupille, aussi noir que le charbon, s'orienter à la vertical. Elle voyait certes la différence qu'il existait physiquement entre elle et Nordrakul mais ne la trouvait que plus belle. Et l'âme de cette homme lui inspirait que la bonté et la gentillesse d'un vieille homme, même si elle semblait enfouie sous une couverture qui se voulait ferme et menaçante. C'était de la façon qu'elle voyait l'être qui les avait aceuillit dans son domaine, et c'est la seul façon qu'elle l'avait toujours vu...

-Je te l'ai et le promet... murmura-t-elle finalement dans l'oreille rougeâtre d'émotion de son jeune ami, son frère de coeur.

Lyon regardait le compte avec un air complètement désintéressé. Peut-être cette personne essayait-elle de l'offusquer mais il n'en fut rien. Il se demandait même de quoi le compte pouvait bien parler lorsqu'il parla d'un air sèvere. Edwards n'allait toutefois pas lui donné un très grand nombre d'information à son sujet. Une question lui passa alors par la tête, pourquoi l'inquisition avait besoin de cette homme et d'un centaine de soldat de plus. Il pourrait très bien revenir et tous les tuer mais Lyon n'était pas ce type de personnage.

-Premièrement, vos menace n'effret ni moi ni mes hommes alors gardez vos réflection pour vous même. Deuxièmement, mon grade ne vous concerne en rien. Toutefois, je me nomme Varga. Je suis venu sous l'ordre du seigneur inquisiteur Hilderic pour des raisons diplomatique. Celui-ci vous demande si vous voudriez-vous joindre à l'alliance de l'inquisition? L'inquisition à besoin du plus d'homme possible pour combattre le mal et toute menace pesant sur le monde actuel.

Edwards ne prenait pas plus attention que ceci à ce qu'il pouvait bien dire à l'homme. Il se contentais de livrer le message qu'on lui avait donné l'ordre de donner. Il regarda toute autour de lui pour vérifier ce qui pouvait bien l'entouré et revint vers le compte. Il tapota ensuite son flanc pour être bien sur qu'il n'avait en effet plus ses armes. La lumière des flammes reflaitait légèrement sur son armure qui n'avait bizarement pas l'air d'être lourd pour lui. Une certaine lumière reflaitait aussi dans ses yeux ce qui était plutôt étrange et effrayant à première vu.

Varga regarda un instant l'homme sans dire un mot. Il se demendait bien l'opinion qu'il pouvait bien avoir par rapport à sa personne. Il a toujours trouvé que l'éthique était une perte de temps et que peut-être durant qu'il parle avec le compte, des gens sont entrain de mourir. Il se s'attendait pas à ce qu'un mercenaire ce soucis de ce type de détail il préférait ne pas en rajouter sur le sujet. Cette inquisiteur avait des priorités et des valeurs beaucoup plus différentes que les autres membres de l'inquisitions. Ses points se serrèrent alors à ses pensées. La mort lui avait déjà enlevé un très grand nombre d'ami et de proche.

-Je ne me soussit pu de détail comme l'éthique. On me traite constament comme un subalterne parce que je suis le plus jeune inquisiteur mais au moins je prends mon travaille au sérieux. Ce devoir est la seul chose qui m'importe maintenant alors vous pouvez me traiter comme un messager si l'envit vous tente mais ce détail ne m'importe aucunement. Pour ce qui est de votre récompense pour tous sa demandez et l'administration de l'inquisition essayera de sastifaire vos demande. Pour ce qui est d'être un stratège, ce détail n'est pas de mon autorité. Je ne suis que l'un des principaux chez de la section militaire de l'inquisition et mon pouvoir ne va pas plus loin que ceci.

En voyant qu'il s'emportait un peu, il venait de se rendre compte que la dose qu'il avait prit n'était pas assez grande. Il sortit le même sac d'herbe et retourna proche d'une flamme. Il alluma un petit morceau de bois, l'alluma et brûla la substance de nouveau. Il prit une grande bouffé d'air et retourna vers le compte. Il avait perdu la frustration qu'il avait accumulé dans sa discution avec Nordrakul. Il frotta ses yeux un moment sans aucune raison concret en attendant la réponse du compte qui avait l'air de souffrir un peu moins depuis un instant.

Leiam fut un peu surpris d'abord par le geste d'Ingie. Il l'avait regarder l'air un peu paniquer et intriguer... C'était bizzard. Ingie agissait de façon bienveillante vis a vis de lui. Il finit pas se secher les yeux du revers de la main et l'observa un petit moment avant de lui décrocher un sourire sans but précis. Juste un sourire... Et Ingie le sera dans ses bras. Leiam fut un peu prit au dépourvut. Il se dégagea brusquement de son étreinte un peu trop forte à son gout et le regarda avec ses grands yeux bleu océan. Il allait ouvrir la bouche pour parler mais se ravisa. Il se contenta de s'asseoir en tailleur sur le sol et regarda tout autour de lui... On aurait dit que c'était la première fois qu'il voyait la tente. Et... Ce fut l'arrivé de Quelqu'un. Le SIR arriva soudainement le surprennant un peu. Il semblait encore moins en forme que d'habitude.

*Alors il ne viendra pas avec nous* pensa Leiam apparament ravi de cet idée.

Mais... Le SIR parla d'une voix un peu trop joyeuse qui n'allait pas trop bien avec son physique. Il semblait bien heureux soudainement. Et Leïam se mit à regretter d'avoir fait ce "deal'' avec Ingie. Et là... Il analysa ce que le SIR avait dit...Voyager ? Avec lui !?! HORS DE QUESTION.

-Non ! Déclara-t-il d'un ton qui se voulait ferme mais qui était un peu... faible ? Moi et Ingie on repart chez nous !

[Excusez le mini post là mais j'ai pas d'inspiration et en plus je suis pas d'humeur]

Ingie, enlacait toujours son jeune ami lorsqu'il s'éloigna d'elle d'un geste brusque. Elle haussa un sourcil et émit un grand rire joyeux. Oups! Elle l'avait peut-être éteint avec trop d'émotion. Cela pouvait faire peur, en effet. Elle se contenta de lui sourire bêtement, et il se renvoyèrent le sourire. Elle vint pour se moquer tendrement de Leïam lorsque un homme entra vivement dans leur tente.

-Sir!

Elle vint pour l'enlacer mais se retint lorsqu'elle aperçut un bandage à ses cotes. Elle s'écria.

-Ah! Mais c'est quoi ça? Question stupide. Qui t'a fait ça? C,est ce bonhomme qui était dans la tente? Attend que j'aille lui donné la raclé de sa vie!

Elle se dirigea vers Nodrakul posotionner à l'entrer et vint pour le pousser tendrement plus loin lorsque Leïam cria négativement.

-Quoi, quoi? Mais qu'est-ce qu'...

Il s'expliqua. Un phrase brève.

-Wouôw! Minutes p'tit gars!

Elle le prit par les épaules et l'assit plus loin sur le lit, histoire de s'éloigner de Nordrakul. Elle s'agenouilla au sol et le regarda dans les yeux.

-He, ho! T'as oublier notre marcher? On avait conclu que je lui proposerait de venir avec nous et maintenant que c'est lui qui nous propose de voyager, tu te voit de refuser? Leïam! Franchement...

Elle le laissa se plaindre à sa manière quelques minutes et ajouta par la suite:

-Écoutes et voit tout cela autrement. Tu auras moi-même pour te protèger et notre noble hôte qui se propose de nous accompagné... ou plutôt nous qui va l'accompagné...mais bref! Comme elle savait qu'elle lui fallait le convaincre elle poursuivi ; Tu oublie qu'il est haut placé! Il aura sans doutes quelques gardes qui l'accompagnerons et il a sans doutes plusieurs connaissance dans le reste du royaume et même plus loin! On te propose de voyager surment et avec toute quiétude! Tu ne peux pas refuser une tel offre!

Elle le regarda, l'air convainquant pour caché son visage soucieux. Il devait accepté! Elle voulait voyagé avec ses deux nouveaux compagnons! Mais d'ailleurs, elle se demanfait pourquoi l'homme qui semblait s'éternisser seul dans son royaume, un semblant heureux, décidait soudainement de partir en voyage! Surtout qu'il avait l'air malade à souhait et qu'il semblait même blessé! Ce n'était pas très clair... Elle lui faudrait en parler mais pour l'instant, convaincre Leïam était dans ses priorités.

Attendez !! Pour qui Ingie se prenait encore ? Ptit Gars !?! Lui, Petit Gars !?! Il allait lui faire remarquer qu'il n'était pas un petit gars et patati et patata lorsqu'elle le saisit par les épaules et l'assit. Il ne le laisserai pas malmener ! Mais... Il s'assit pareil sur le lit. Elle lui expliqua sa façon naive de voir les choses. NON ! LA Destination changeait. Et ca, c'était important. Il se plaignit encore une fois en annoncant que c'était injuste. Qu'il voulait avoir son droit de parole. ET QUE PERSONNE NE L'OBLIGERAIT A PARTIR ! Il voulait RETOURNER chez lui. Pas s'en éloigner ! Quel folie ! Ingie était fo-folle et il l'avait suivit tout bêtement dans ses folies ! Et là voilà repartit dans son délire. Il ne voulait pas la suivre encore... Il voulait rentrer. Qu'est-ce qu'elle ne comprennait pas à ce mot ? Un mot de 7 lettres, deux sylabes. C'était difficile a comprendre pour elle qu'il voulait juste retourner avec les siens ?

Et Nordrakul partit lui aussi dans son délire. Ingie était trop influente... Il se donnait l'air carrément désinterresser et autain. Il regardait ses ongles tout bêtement et soupirait. Ben voyons... Et soudainement il releva la tête. Un mots... Un son... Qu'il adorait ! Profis ? Riches ? Lourdes bourses ?

Quoi tu dis ?

Leiam le regarda quitter en silence... Soudainement, il se leva et bondit sur Ingie à une vitesse éclair.

-Grouille toi ! Qu'est-ce que tu attends ! On part ! La Caravane va surment allé par là voyons. Tu t'inquiètes pour rien. Allez dépêchons !

Il la poussait vers la sortit en ne cessant de parler. Lui reprochant qu'elle refusait obstinément de partir alors que c'était lui qui refusait de partir. Lorsqu'il sortit de la tente, il eut un peu peur que les gardes le prennent encore mais... Ils le regardèrent en silence avec leur gros yeux que Lei qualifiait de méchant. Il sourit joyeusement et poussa encore Ingie. Lorsqu'il repéra enfin le ''SIR'' Il cria en fesant de grand signe joyeux :

-EH OH ! Attendez nous !

Cela ne voulait pas dire qu'il aimait l'homme pour autant. Cependant... tout tournait à son avantage soudainement... L'Argent... Il adorait !

Leiam était ravi de constaté qu'Ingie était toujours aussi folle. Toujours partante, elle ! Il ne put que lui faire un sourire rayonnant lorsqu'elle lui prit la main et l'entrainant vers le ''SIR''. Elle n'eut pas la possibilité de laisser à Leiam de prendre un personnage pour s'accorder au sien qu'elle pouffa de rire ce qui le décu un peu... Jusqu'à un certain point. Et Le Sir fit comme Lei s'attendait venant d'un homme de son titre, il donna les ordres... Tout le monde s'activa. Tous obéirent et aidèrent à démontré les tentes puis, Lei courrut vers le Sir et ses autres invités et on lui attribua rapidement un cheval qu'il s'empressa de monté avec grace. Ce n'était pas la première fois qu'il montait à Cheval et ayant été témoin de ''Talents'' d'Ingie dans ce domaine, il l'attendit en souriant encore. Puis, dès qu'elle fut monté, il fila vers le ''SIR'' et demanda sans détour :

-Dites, où on va exactement ? Parce que euh... Bha je veux bien venir finalement, mais faut m'informer !

Il dut faire de gros effort pour ne pas demander si les gens là bas était vraiment très riche. Elle avait déja hâte de voler habillement unede ces bourses bien pleine ! Alors, il irait acheter... Tout plein de truc utille pour... POUR LUI ! Et il ne le dirait surment pas ses trouvailles ! A personne. Tout le monde voudrait profiter de son habilité !

Leï voyait le voyage comme une petite promenade... Ou un voyage joyeux où le plaisir était de mise ! Il s'amuserait. Ferait plein de sous et de retour a la caravane, tout le monde l'envirait ! Il ne se doutait surment pas que son petit ''voyage joyeux'' n'était pas comme il voulait bien le croire de ses yeux d'enfant gâté... Mais... Il n'avait pas été gâté au fond.

-Et... Pourquoi il vous faut y aller ? demanda-t-il.

(Vraiment sincèrement désolé du retard! Ça la prit plus de temps que prévu!!! Veuillez-me pardonner cher amis :S
Et désolé pour les accents, mon clavier est comme ... déprogrammer alors, y'a quelques accents que je ne peux plus faire mais bon, ...)

Ingie détourna le regard quand elle entendit le son de la voix de Nordrakul. Elle le regarda, toujours agrémentée de son énorme sourire et répondit simplement qu'elle s'y metterait dès lors. Ce qu'elle fit. Elle le regarda s'éloigner, renforçant sa promesse de percer un jour l'homme au mystère et se mit a ranger les tentes en compagnie des hommes de Nordrakul. Quelques uns s'amusèrent quant aux maladresses et autres singeries habituelles d'Ingie mais la majorité se retinrent pour poursuivre leur devoir. Quand tous fut fin prêt, on lui amena un cheval. Elle changea de visage et s'acroupit au sol en s'exclamant:

-OH NON! PAS ENCORE! J'AI ENCORE DES SEQUELLE DE MA DERNIÈRE SÉENCE D'ÉQUITATION!

Elle frotta ses cuisses pour apaiser la douleur quasi-innexistante. Elle regarda le cheval, haussa un sourcil et se releva d'un bond. Il était gros. Encore plus gros que le précédant. Elle s'approcha de la bête qui se contenta de fixer devant lui. Elle fit une grimacie et refit le même mouvement qu'elle fit la première fois qu'elle monta à cheval. Une fois en haut, elle fixa les oreilles de la bête et refit les même mouvent qu'elle avait appris peu de temps avant mais le cheval n'en fit rien. Elle fit une autre grimace.

-Oh non, ce n'est pas toi qui va me donner de la misère. lui chuchota-t-elle. Allez!!! Avance! Fait-moi plaisir...

Elle frappa plus violement l'animal dans les côtes avec ses pieds et la bête tressailli à peine. Il se décida tout de même à avancer et finit par suivre le troupeau au trot. Ingie cria à la victoire et put même rejoindre ses amis un peu plus loin.

-Hahaha! J'ai été la plus maline d'entre nous deux! dit-elle en grimaçant à l'animal.

Elle sourit au deux jeunes hommes et s'empressa de s'integrer à la conversation.

-Oui, en effet Sir, si ce n'est trop indiscret, ou allons-nous et pour quoi faire au juste?

Même si la réponse ne l'intriguais plus qu'il ne le faut, elle lui posa la question avec interrogation. Ou qu'ils aillent, elle s'en satisferait. Elle s'y amuserait tout autant. Mais la raison subite de Nordrakul, le changement rapide d'avis l'intriguais d'avantage. Et sa bonne hummeur peu commune de plus. Peut-être en saurait-elle un peu plus sur les intentions de l'homme.

- Nous allons au palais du seigneur Hilderic pour des affaires... un travail à m'offrir, enfin..

Il dit les derniers mots négligemment, comme pour lui même, puis se retourna vers les deux jeunes à côté de lui, sur les chevaux. Il ne prêta pas trop attention à la maladresse d'Ingie sur la monture. Légèrement dans les vapes, comme s'il avait été longtemps absent, il fixa un moment le vide derrière ses deux invités, savoura le souffle doux du vent sur son visage blessé par une vie de violence et de douleur. Ses yeux clignèrent quelques fois, il regarda alors le sol et écouta son souffle à nouveau. La blessure ne l'incommodait plus beaucoup, mais il devrait s'en occuper lorsqu'il descendrait prendre une pause car il reprennait très lentement ses forces naturellement. Après un instant d'égarement, il releva la tête vers Ingie et Leïam et, prenant ses forces à deux mains, commença à raconter son histoire.

- Vous vouliez savoir ce que je faisais en cet endroit lugubre si je me souvient bien, n'est-ce pas ?.. *toussotements* Et bien je suis le descendant d'une longue lignée de noble, la famille Nordrakul...
Pendant les 6 dernières générations, et je vous assure qu'elle sont longues dans ma famille... ce palais nous a appartenu. Néanmoins, mes ancêtres n'étaient jamais là car ils étaient tous des guerriers fier et digne, et ce n'est que mon père qui habita réellement le palais de Durenzteng. Celui ci était tourmenté par de sombres pensées, celle qui coulait dans ses veines... Car pendant les dernières 6 générations, il y a eu très peu d'humains qui se sont mélangés au sang des démons Incube. (conscient de l'effet que pouvaient faire ces paroles, il les dit en faisant bien attention que seuls les deux gamisn l'entendent... il ne voulait certe pas être entendu par l'un de ces inquisiteurs zélés)

Mon père était le plus noble de tous... Il refusait de se laisser dominer par ses pulsions meurtrières, par son penchant sombre... Il était à moitié homme, à moitié bête, mais il avait une telle conscience et un tel contrôle de lui même que son peuple l'aimait et le respectait plus que jamais ne l'avait été un seigneur de Durenzteng. Il était bon, malgré tout.. mais il voulait s'en assurer, et pour cela il épousa une pauvre femme de son royaume, ma mère... Malheureusement, c'est elle qui l'a corrompu. Une vrai démone sous une chair et un sang d'humaine. Elle avait deux enfants déjà, mes demi-frères... (il marqua une pause à ce pesant souvenir, ses blessures le fesaient soudain souffrir plus que jamais...) Des vrais petits monstres... Elle tua mon père dès qu'elle comprit ses origines.. Il faut dire qu'elle était paranoïaque et complètement folle, cette connasse. (non habitué à ce genre de terme, il se mordit la lèvre, qui se mit à saigner... et tenta de camoufler le tout en léchant la blessure ainsi faite) Elle a fait partir tout le monde, elle était sanguinaire et mégalomane.

Pour ma part, j'avais et j'ai toujours la santé fragile... J'ai du me débrouiller pour survivre et j'ai passé toute mon enfance dans cette tour.. Je m'en suis échapé enfin il y a de cela à peine quelques années, alors maintenant je revient parfois regarder les erreurs du passé, le triomphe de mon père, je viens voir ce sanctuaire plein de souvenir, donc celui, plus précieux que tout autre, de ma libération des enfers... La seule chose qui sera plus libératrice pour moi que cet endroit sera vraissemblablement la mort... Et je vais mourir, bientôt, c'est certain, car je suis toujours malade.. seul la fierté et l'espoir me font tenir... Je meurt chaque jour un peu plus.. Ça en devient un art, mon art... L'art de mourir et de tuer.. (conscient qu'il se parlait désormais un peu tout seul, il se brassa un peu la tête et fit un regard confu vers ses auditeurs avant de poursuivre)

Je suis tacticien, je connais la calligraphie et les cartes, alors même si je n'ai plus de royaume fonctionnel, je suis toujours Sir Nordrakul, car je suis plus qu'un mercenaire, je suis toujours un noble, j'ai le titre et les engagements. Je suis l'émissaire et le vassal de ceux qui seront près à me convaincre. Je peut me rassembler des armées au besoin, car lorsque je cherche, je trouve... Et avant de mourir, je compte bien laisser ma trace le plus profondément possible dans l'histoire de ce monde de chaos...

Il s'arrêta, fixa l'horizon et le soleil maintenant à son zénith, il laissa encore une fois le vent caresser son visage balafré et ferma les yeux, immaginant le chant des vagues, doux et mélodieux, calme et rassurant... parcourir son corps et reposer son âme...

Ils arriveraient bientôt à ce port, le palais était proche....

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