La grande porte (passage obligatoire)

La grande porte est faite en acier, dessus on retrouve des motifs historiques ou légendes, cet ouvrage faisant la taille d'une vingtaine de pas de haut est actionée par plusieures chaines permettant de la faire pivoter. A l'entrée du Chateau quelques soldats armés de piques controlent ceux qui entrent et sortent du chateau, vous etes obligés de vous présenter si vous n'etes pas accompagnés d'une personne connue du chateau ou si vous n'en faites pas partie.


(Passage obligatoire pour les inconnus.)

Aprés avoir navigué puis marché , la petite pleurait de faim mais Gurdill n'avait pas de nourriture pour elle , il marcha en direction d'un chateau , il frappa a la lourde porte toute en berçant la petite, l'ours , lui il resta la a regardé la porte assis...
Le nain cria pour qu'on lui ouvre , la pauvre petite drow lui cassé les oreilles...
"Chut ma puce , CHUUUUUUT , bon ouvrer moi!"

Vu que personne ne lui ouvrait , il emenna sa petite famille dans la foret...

Hilderic et ses hommes n'avait pas prit la peine de débarquer au port pour pouvoir arriver plus vite au château du roi. Il avait marché un moment pour trouver la route qui menait à la forteresse royale. Quelques dixaines d'hommes de main de l'inquisition suivait le seigneur inquisiteur ainsi qu'un autre inquisiteur. La porte du château apparu enfin dans leurs yeux. Le groupe commença alors à ralentir et Hilderic se mit à parler à ses hommes.

-Surtout vous ne faites aucun geste brusque à moins que nous soyons menacé. Nous avons déjà assez mauvaise réputation alors nous n'en rajouterons pas. Je n'ai pas confiance en se roi. Nous avons trop souvent de problème sur se continent. Je commence à croire qu'il ne détesse pas les élémentalistes. Quoi qu'il en soit nous ne venont que pour le rapport de nos espions et non pour une mission d'extermination quelqu'elle soit.

Le groupe arriva finalement à la porté de la porte. Comme à chaque fois qu'il était venu, la grande porte était fermé. Hilderic se demandait pourquoi il laissait la grande porte constament fermé. Le seigneur inquisiteur fit quelques pas en avant en étant suivit par le deuxième inquisiteur. Les hommes de main se tenait en deux ligne derrrière les deux supérieurs.

-Oh nom de l'inquisition, ouvré la porte du château!

Deux sihoulette se trofilaire a l'horizon , un nain et un ours , le nain tenait une arbalète traffiqué , ses pas fesait craqué les brindilles au sol, il regarda les hommes de l'inquisition puis il leur cria

"Si vous ouvrez se te porte laissez mon crevé se roi"

Il regarda les hommes l'oeil mauvais la démarche lourde , l'ours bavait de rage , il y avait comme un lien télépathique entre les deux , la même haine brillait dans leur yeux...

Hilderic se tourna lorsqu'il entendit une voix derrière lui. Il se retourna ainsi que ses hommes pour voir un nain et un ours qui avaient l'air d'être particulièrement en colère. Ses hommes sortirent alors leurs armes en entendant les paroles du nain. Hilderic ne pouvait pas laissez cette homme causé un telle acte. Il fit quelque pas devant ses hommes tout en regardant les deux hommes de ses deux yeux. Comme à son habitude, il n'avait pas l'air nerveux et laissait son arme rangé pour l'instant.

-Malheureusement pour vous, je ne peux pas vous laissez poser un telle acte. Je vous demanderais de quitter cette endroit sur le champ ou sinon nous vous le ferons quittez de force mais d'abord pourquoi voulez-vous tuez le roi?

Les hommes de l'inquisition avait s'était maintenant avancé et se montraient plutot menaçant à première vu. Il surveillait les moindre geste de l'ours et du nain. Hilderic regarda un instant le deuxième inquisiteur et revint sur le nain. Il se demandait vraiment le prétexte que le nain allait lui dire. Il vérifia un instant s'il pouvait sortir son arme avec facilité et il examina l'arbalète par la suite.

Le nain , les regarda , il avanca quand l'homme parla du roi, il garda son arme a la main et il prit des airs menaçant

"Ce'te chien charogne , a f'ai crevé ma p'tite fille "

Il regarda les hommes puis il commença a avancé...

"Laissez mon crévé ce'te chien, ce te enflure j'veut l'voir s'faire bou'fé par mon ours!"

L'animal grogné lui aussi sur les hommes

Le nain ne se rendait pas compte qu'Hilderic et ses hommes étaient très loin d'être intinmidé par le nain et son ours. Le deuxième inquisiteur donna l'ordre à ses hommes de les encercler sur le champ. Les soldats de l'inquisition se montraient aussi menaçant en vers les deux inconnu. Hilderic regardait pour le moment sans dire un mot. Au moindre mouvement agréssif les hommes de l'inquisiton allait agir en les tuants. Le deuxième inquisiteur sortit son arme à son tour et fit quelque pas le cercle.

Ceci est le dernière avertissement jette ton arme sur le champ et quitte cette endroit. dit le deuxième inquisiteur.

Hilderic regardait ses hommes sans dire un mot. Il avait déjà une idée de comment tous sa se terminerait mais il ne voulait pas s'interposé dans cette situation. Il regardait la porte qui n'avait toujours pas été ouverte. Il se demandait pourquoi personne n'ouvrait. Pourtant, il y avait des hommes présent à côté de la porte. Hilderic déstestait vraiment aller voir le roi de terre parce que sa se passait de la même façon a chacune de ses venu.

Gurdill tira un carreau sur un homme , l'ours s'attaqua a un autre...

"Bande d'chien , c'est l'roi qu'veut tué!"

Le nain posa l'arbalete puis il prit son marteau , il sauta sur un homme , il lui assena plusieur coup de marteau sur le casque, il était plus que fou de rage , presque en transe , la haine , le sang , lui avait monté a la tête, l'ours lui planta ses griffes dans le malheureu, il grognai comme un fou , il resorta ses griffe , le sang giclait dans tout les sens et la bête autant que le nain s'enssemblait aimé...

Un homme prit une énorme mace à deux mains et envoya un coup derrière la tête de Gurdill ce qui l'envoya litéralement au sol. L'ours avait peut-être blessé gravement un homme mais il en restait encore beaucoup. Ceux-ci se dirigèrent pour la plupart sur l'ours et lui envoyèrent des coups un après l'autre en fesant attention de ne pas se faire toucher. La bête tomba rapidement au sol morte ayant ressut plusieurs coup très violent sur le corps avec des armes comme des haches. Hilderic sortit alors son arme, une énorme épée a deux main et planta son épée d'abord dans le dos du nain. Ensuite, il donna un coup puissant qui coupa les deux jambes de l'ennemi à partir de la rotule. Ses hommes était entrain de découpé litéralement le corp de l'ours ce qui fesait un spetacle très horrible à regarder. Beaucoup de sang coulait maintenant sur le sol et on pouvait voir l'intérieur du corp de l'ours. Hilderic envoya ensuite un coup de pied dans la face de Gurdill tandis que l'autre inquisiteur lui prit ses armes.

-Pour qui est-ce que tu te prends? Est-ce que tu as un dernier mot à rajouter avant de mourir? Tu ne mérite pas c'est dernier mot.



Hilderic lui brissa en suite les mains a l'aide de ses pieds pour être sur que celui-ci ne puisse pu rien faire et lui trancha la tête par la suite. Le sang se mit alors à couler abondament sur le sol. Le deuxième inquisiteur se précipita sur l'homme qui avait été blesser très gravement.

Pour l'inquisition! dit l'homme avant de mourir.

Un autre homme se dirigea vers celui qui avait ressu des coups de marteau sur la tête mais il était inconsient. Il était dans un comma grave. Avec énormément de frustration deux hommes se mirent a massacrer le cadavre du nain avec leurs armes et la encore le spectacle était horrible.

Hilderic regarda le soldat et dit à ses hommes de battre en retraite. Le seigneur inquisiteur regardait le soldat avec un regard noir. Il avait toujours sut que Berganon était un traite. Maintenant sans même savoir si c'est le cas, il juge que le roi est probablement un adorateur des deésses. Berganon le lui paira qu'ils le veillent ou non. Ceci était la goute qui fesait débordé le vase. Il se premit alors qu'il sacargerait le continent de la terre parce qu'ils ont prit partit pour un roi comme Berganon.

-Vous n'êtes que des pourritures de traite. Votre royaume brûlera pendant que vous vous cachez dans votre château. Et je jure que je le brûlerais en entier et que je tuerais tout le monde parce que vous êtes tous coupable du même crime. J'aurais du laisser ce nain tous vous tuer.

Sur ses dernières paroles Hilderic ratrapa l'autre inquisiteur et commença à discuter avec lui. Les hommes de l'inquisition avait ramasser le corp du mort et l'inconscient en laissant les restes du nain et de l'ours sur place.

-Je veux que vous fasiez venir des renforts de notre plus proche fort pour que l'extermination commence. Donnez l'ordre à tout le monde de tuer tout le monde sur se continent et de brûler tous les villes. Ils vont voir de qui en coute de pactiser avec des fanatiques.

À vos ordres monsieur dit le l'inquisiteur.

Hilderic regarda l'homme pendant un instant. Celui-ci n'avait pas l'air au courant que l'inquistion avait détruit depuis longtemps l'inquisition des élémentalistes. Il venait d'éviter une guerre entre le continent de l'eau et celui de la terre. Il prit une grande respiration et regarda le cadavre de l'homme que le nain avait tuer. Les gens ne le savent surement pas mais Hilderic accrose une grande importance à ses hommes et il a du respect pour eu. Beaucoup de gens aurait cru que la mort de cette ne l'avait pas touché mais ce n'était pas le cas.

-L'inquisition élémentaliste à été détruit depuis longtemps et je n'ai jamais comprit quel était les valeurs de ses hommes mais ils étaient pire que nous le somme en se moment.

Levis, Levis tu m'entend! Reste avec nous. dit l'autre inquisiteur qui s'occupait de l'inconscient.

Les hommes à côté étaient réunit autour du cadavre. Certains étaient démoralisé et d'autre étaient très en colère. Les uns après les autres, ils s'alluèrent le defun.[/i]

"Nous cherchons logis, et pour moi plus particulièrement, un travail si vous me le permettez en temps que guerrière. Ne vous fiez pas à mon apparence je sais me battre et j'ai plusieurs années d'expérience derrière moi."
[L'amie qui me suis est partie, je sais pas si elle reviendra ]
La jeune femme le regarda droit dans les yeux et le soldat put y décelé une grande maturité, volonté et une trop grande tristesse pour l'âge dont elle semblait. En effet elle ne semblait avoir à peine 20 ans si on ne se fiait qu'à son apparence. Elle se tenait droite et ses muscles tendus pouvaient répondre à toute attente si elle se sentait menacée, elle restait toutefois attentive à tout ce qui se déroulait.

*Cette journée n'est donc pas encore finie!*

Un soldat avec une imposante hallebarde s'essuyait le front avec sa manche, il cuisait littéralement sous son casque de fer, bien que celui ci lui procure de l'ombre, -- car ses bords forment un cercle autour de la tête-- le fer n'en était pas moins brûlant.

-Est-ce qu'on pourrait passer? C'est pas qu'on a d'autres choses à faire que de poiroter ici, mais... en fait oui. Je suis Melvinie Madelgarde et voici Valentin. On vient tout deux de Mynorie et, si vous voulez savoir, on voyage pour contrer une malédiction qui plane sur notre famille depuis plusieurs siècles. La malédiction consistant à tuer une personne par année, on a pas de temps à perdre et on aimerait bien parler au roi pour savoir si il saurait ou on pourrait aller. Merci.

-Une malédiction! *On aura tout vu!*

Le soldat se remémorait intérieurement le type de gens qu'il devait laisser passer et consulta un parchemin à sa ceinture, le nom Meldegarde n'y figurait pas.

-Mademoiselle, le roi est très occupé et les doléances se passent demain, soit vous revenez demain donc, soit vous passez votre chemin.

La journée des doléances était prévue pour le bas peuple du royaume, ceux qui voulaient venaient faire leur réclamation au roi, ou alors lors des querelles entre deux fermiers, les souverains se chargeaient de punir le coupable, si coupable il y avait.

-Toutefois, il existe en ville une petite bibliothèque ou vous trouverez peut être ce que vous cherchez. Le bibliothécaire se nomme Gjeldan, il est un peu disgracieux mais c’est un passionné de livres, il vous aidera. Sa bibliothèque est au nord est dans le premier cercle.