La grande porte (passage obligatoire)

-Serais-je arrivé ici en un moment innaproprié?

Philos se tenait quelques mètres plus loin sur la route, regardant ce qui se déroulait devant lui. Un homme en habits flamboyants et à l'apparence étrange n'était pas rassurant, mais le fait que plusieurs archers soient pointés sur lui en plus des hallebardiers méfiants ne faisait qu'ajouter à son inquiétude. Le ménestrel avança néanmoins de quelques pas, pour lançer aux gardes, tout en gardant un oeil en direction du chaman:

-Holà des hallebardes! Y aurait-il un moyen d'entrer en ces murs pour quelques balades en échange d'un toit pour la nuit?

Pour authentifier ses intentions, il sortit sa flûte de Pan, et la monta en l'air pour que les gardes puissent la voir. Il ne souhaitait pas d'embrouilles, et le fait de voir tous ses soldatds armés n'était pas pour être rassurant. Mais il devait se trouver un bon endroit pour passer la nuit prochaine, et ce château était l'endroit rêvé. Si en plus celà pouvait lui permettre d'agrandir les quelques admirateurs de sa musique, celà était encore mieux pour lui.

(HJ: Heu le ''Allez-y'', ça voulait dire que je peux entrer? Je veux juste être sûr pour pas faire le crétin^^)

Edit de Berganon: sa veut dire que tu peut entrer dans cette grande citée.

Philos attendit un moment avant d'entrer, jetant un coup d'oeil intéressé maintenant sur le chaman. Étrange personnage... Il aurait peut-être la possibilité de s'y intéresser un peu plus dans une période future, qui sait. Mais pour le moment, il valait mieux pour lui d'entrer en ville et de trouver un endroit où dormir, faute de pouvoir prendre comme toit celui du roi pour lequel il souhaitait jouer. Il passa entre les gardes, en saluant.

-Que la journée vous soit bonne, messieurs!

Sur ce, il franchit la grande porte et entra dans la cité. Il s'arrêta un peu pour regarder tout autour de lui, et se dirigea vers un passant.

-Excusez moi, monsieur, pourriez vous m'indiquer le chemin de l'aubereg du ''Sanglier d'Or''?

(Suite, ben à l'auberge, tiens^^)

(bon j'aurais pas du niaiser alors je menvais parce que je suis pu dans le contexte de toute façon j'ai autre chose à faire. J'étais pu dedans depuis un moment. Je vais réfléchir à si je par ou pas je peux encore changer sa.)

Hilderic ne dit pas un mot durant un long moment en observant tout ce qui se passait. Il fit alors un mouvement avec son bras et deux hommes prirent le cadavre du soldats de l'inquistion. Deux autres prirent l'homme inconscient dans mouvement lent pour ne pas agraver sa situation. Il jetta un dernier regard au nouveau arrivant dont plusieurs n'avait pas particulièrement l'air humain. Les hommes se mirent à marcher sur la route en direction du port. Il n'allait pas très vite vue l'état dans lequelle était l'un des soldats. L'un des hommes de l'inquition cracha sur le sol en regardant les remparts et les gens.

-Nous n'aurions même pas du venir ici. Tous ce que sa nous a apporté c'est un mort et un homme dans un état grave. Je n'aime pas ce continent et je ne l'ai jamais aimé. Il m'a attiré plus d'ennuis qu'autre chose. Des traites nous ont envoyés ici plus d'une fois dans l'intension de nous pièger et de m'éliminer en particulier. Je ne sais pas ce qu'ils croivent mais il vous prennent pour une bande d'imcapable, vous, mes hommes, et sa il le regrette par la suite.

-Vous avez en effet raison seigneur Hilderic mais certain de nos informateur nous ont permis d'attraper d'important ennemi sur ce continent. Ils se croivent en sécurité sur le continent le plus populeux.

-Tu as raison sur ce point mais si je fais la proportion entre les bons et les mauvais côtés, il y a plus a regreter qu'à fêter. J'ai hate de revenir sur notre continent de l'eau ou toute est si calme et ou je ne suis pas constament piègé.

Hilderic restait calme malgré les paroles qu'il disait. Il essuya son arme et la rengea dans son dos par la suite. Il bougea le chapeau sur sa tête sans aucune raison précise et le remit dans sa position initiale par la suite. Il avait une allure vraiment différente comparé à celle des autres inquisiteurs. Même s'il se plaignait de se faire pièger souvent, il ne fesait rien pour passer inaperçu. Le groupe d'homme disparu finalement par rapport à la vue des remparts.

(suite au port de Wilwarin)

(HJ: Bon allez, on va pas perdre de temps pour passer par le port...^^)

Dans le silence, tous les gardes s'affairaient à leurs tâches, surveillant étroitement les terres environnantes. Puis, un son de plusieurs pas résonnèrent faiblement, puis augmentèrent de secondes en secondes. Bientôt, un nuage de fumée se forma à l'horizon, et les gardes se tournèrent par plusieurs dans cette direction. Bien vite, un groupe de cavaliers se dessina à l'horizon, approchant au trot de la grande porte de la cité. Après quelques minutes, le cortège arriva à la porte, et s'arrêta devant les gardes. Un drow en armure, monté sur un grand destrier noir, retira la capuche qui ornait sa tête à la chevelure complètement blanche.

-La Reine Galathée Ker'Osken, souveraine du continent du feu, demande à entrer en ces murs!

La monture de l'elfe noir s'énerva quelque peu, mais son cavalier eut tôt fait de la maîtriser habilement en retirant un peu de pression suite à un coup sec pour le calmer. La bête baissa, la tête, et se calma lentement. Le drow releva la tête et s'écarta légèrement pour laisser voir u7ne jeune femme aux cheveux flamboyants, entourée de plusieurs gardes et d'un être différent aux autres à côté d'elle.

Le voyage avait été épuisant. La dernière course vers le chateau de Mynorie surtout. Galathée, montée en amazone sur son cheval, avait du mal à conserver son équilibre, lorsqu'íls stoppèrent devant la grande porte de la demeure royale.

Fatiguée, elle flatta l'encolure de sa monture écumante, laissant à Galaad le soin de les annoncer. L'oeil méfiant, les gardes les observèrent un long moment, sans mot dire. Après tout, celle qui voulait rentrer dans leur mur était soupconnée de meurtre. Ses deux compagnons, surtout, paraissaient dangereux...

Au bout de plusieurs minutes, cependant, ils ouvrirent la porte, et laissèrent passer la demi-douzaine de cavaliers, sans pour autant se départir de leur air reveche. Remarquant celà, la jeune Reine les ignora délibéremment, trop occupée qu'elle était déja par le fait de tenir encore quelques minutes sur sa monture. Elle avait un gout de sang dans la bouche, et c'était tout à fait désagréable. Sa jolie robe du matin était à présent complètement poussiéreuse, et ses cheveux emmelés ne ressemblaient plus à rien. Elle avait plus l'air d'une sauvageonne que d'une souveraine.

Arrivée au centre d'une cour, elle mit pied à terre, laissant clairement entendre un soupir de soulagement. Elle s'appuya sur le cheval brun, reposant discrètement ses jambes fourbues. Un page prit les renes de l'animal, et demanda l'autorisation de l'emmener à l'écurie. La petite rousse acquiesca silencieusement. A présent, en plus de la fatigue, elle ressentait une peur sourde mais bien présente. Elle était en terrain étranger et risquait fort de se retrouver avec un incident diplomatique sur les bras. Qu´aurait fait son père dans un pareil moment? Elle tourna lentement la tete vers ses compagnons, essayant de trouver un peu de réconfort dans leur regard. La croyaient-ils coupables, ou seraient-ils prets à l'aider, afin de prouver son innocence? Elle n'en avait aucune idée, et n'avait pas oser aborder le sujet. Là, maintenant, tout de suite, elle aurait voulu se laisser tomber sur le sol, et supplier qu'on la porte dans une chambre, afin de s'accorder quelques heures de repos. Bien évidemment, celà demeurerait à l'état de souhait. Il y avait des choses que son égo ne pouvait lui permettre.

La demoiselle trébucha, se rattrapa rapidement. Pour plus de sureté, elle décida, malgré sa répulsion instinctive, de s'accrocher au bras d'un de ses accompagnateurs. Objectivement (ben voyons) l'ange avait meilleure allure que le Drow, aussi ce fut vers lui quelle se dirigea, au risque de s'étaler par terre une ou deux fois.

" Accompagmez moi tous les deux, murmura-t-elle. Je dois voir le roi, et apparemment, soit il n'a pas encore été prévenu de notre arrivée, soit il ne veut pas venir m'accueillir."

Sa voix était atone, ses mains tremblaient. Sa santé fragile ne l'aidait pas. Elle espérait pouvoir tenir debout jusqu'à ce que tout ca soit finit...

[Suite--> la salle du Trône]

Hilderic était finalement revenu au château mais cette fois-ci il n'avait plus de blaissé et les hommes qui étaient avec lui était mieux équipé qu'auparavant. Il ne tenait pas à perdre plus d'homme alors ceux-ci avaient tous une armure. Il s'arrêta un instant proche de la porte et se tourna vers ses hommes. Il était revenu attent pour pouvoir voir la reine du continent du feu rentrer à l'intérieur des murailles de la capitales du royaume de la terre. Il detourna de nouveau son regard vers ses hommes.

-N'oubliez pas messieur, vous ne faites rien sauf si je donne l'ordre. Vous pouvez agir dans le cas ou la situation commencerait à dégénérer mais uniquement dans ce cas. Je ne sais pas combien de temps tout sa prendra mais je dois surtout prendre le rapport des espions.

-Pourquoi êtes-vous venu le chercher par vous même sir? Les inquisiteurs sont la pour s'occuper de ce type de détail. En plus vous avez de nombreuse autre tache administative dont vous devez vous occupez.

-Les visites diplomatiques ne sont pas à prendre à la légère. Je ne peux pas nier que je suis un diplomate médiocre mais mon titre de seigneur de l'inquisition me donne déjà un certain avantage.

Après avoir dit ses dernières paroles, il se retourna et se mit à avancer vers la porte. Il jetta un coup d'oeil à l'homme étrange qui se tenait à côté de la porte. Il n'était pas le seul à le regarder. Les hommes de l'inquisitions le dévisageait complètement à par le deuxième inquisiteur qui ne s'intéressait pas du tout à cette personne. Il avait déjà vu plus étrange alors la vue de cette homme le laissait complètement de glace. Bientôt le groupe d'homme rentra à l'intérieur des murs de la cité.

(suite quelque par à l'intérieur)

[HJ : Hum.. en fait, mes bras et mes mains sont couvertes par de l'armure, mais mon visage n'est pas entièrement couvert et j'ai quelques petites cavitées exploitables sur celle ci. Le danger, c'est pas l'armure, c'est le mec qui est dedans ]

Théodoric ne voyait rien, tout était flou, embrouillé dans son propre esprit, les formes passaient autour de lui telles des mouches volages, rien ne parvenait précisément à sa perception diffuse. Le colosse avançait, avançait encore, et rien ne l'arrêterait... Sinon peut-être ces immenses portes en fer... Peut-être... Les flèches fusaient sur lui, mais les rares d'entre elles qui le touchaient dans les fentes de son armure ou directement dans son visage ne fesaient qu'augmenter la terreur des archers. Les flèches plantaient sans rien faire, le géant était maintenant couvert d'une trentaine de flèches et continuait sa marche comme si de rien n'était. Les hallebardier essayèrent bien de le retenir, mais il avançait malgré les lames, fesant plier les lances, d'autres s'enfonçaient dans son corps et cela ne l'arrêtait pas pour autant. Visage de terreur de la part des gardes de la porte lorsque le monstre arriva à proximité et coupa net les bras de deux des pauvres malheureux d'un coup de hachoir.

Les regards appeurés, pétrifiés, démolis, de la peur et de la haine sans nom. Un autre essaya de s'esquiver sur le côté, mais rien à faire, Théodoric lui trancha la tête, qui vola, sanglant, au milieu des flèches volantes. L'un des hallebardier, l'arme plantée dans le monstre, gardait espoir et forçait pour stopper le colosse, alors que derrière lui le dernier garde frappait à la porte, hurlant et gesticulant.
- Ouvrez moiiii !!! Je vous en supplie ouvrez moi je veux pas mourir !!!
Mais personne n'entendait, personne ne pouvait lui ouvrir, car il était bien trop tard... L'hallebarde cassa en deux alors qu'approchait le guerrier de fer, éclatant au visage du garde toujours debout, vite empoigné à même l'armure, la main à la poigne puissante broyant le métal comme une vulgaire baguette de paille.... Le garde, levé, utilisé comme bouclier contre les flèches, en reçu une dizaine dans le dos avant d'être sauvagement jeté par la force titanesque du monstre...

Le corps du pauvre garde arriva presque assez haut pour toucher les gardes, mais heureusement pour eux, ils subirent l'horreur de voir leur compagnon criblé de leurs propres flèches, mais la muraille était trop haute pour que le monstre puisse à une main leur lancer un corps armuré... Le dernier garde hurla de plus belle, puis se retourna, voyant dans le regard rouge de Théodoric la fin de ses jours, la fin des jours... La fin de son monde... Un coup vigoureux, la boite cranienne du garde éclata et fut expulsée quelques mètres dans les airs. Ne restait plus que le monstre, et la porte... Il frappa dedans, mais même munie d'un marteau, ce n'aurait pas fonctionné. Les tirs avaient cessé, rien n'y fesait. Monstre criblé de projectile, une flèche s'était même fichée directement dans sa joue barbue. Théo regarda le ciel, les archers, de son regard toujours aussi blasé de la vie malsaine et terrible qu'il vivait contre son gré, et retira la flèche de son visage.

Personne ne rentre, personne ne sort. Là était le concept de Théodoric. Voila le bastion à prendre, là où la vie est en masse, là où sommeille peut-être un dieu ou une déesse, qui pourrait enfin le délivrer de ce tourment sans fin... Voyant qu'il ne pouvait entrer, Théodoric toisa les archers, spectateurs impuissants du massacre, et leur imposa la crainte totale... La mort était à leurs portes, et elle ne partirait pas de sitôt ! Théodoric resta donc debout, devant les cadavres pourrissant, ancien gardiens de la porte... Et il ne voyait pas encore l'homme étrange, semblant complètement ailleurs, ne voyant rien de ce qui s'était passé, en position de méditation... Celui ci était mieux de rester immobile, où il subirait le même sort dégradant que les autres...

Le voyage avait été pénible mais ce qui l’attendait allait être sans doute beaucoup plus dangereux. Sym était maintenant plus qu’à deux kilomètres du château. L’ange sentait déjà le chaos régner là bas. Il pouvait maintenant voir le château imposant en pierre devenir de plus en plus visible à chaque pas du cheval blanc qu’il avait volé. Sym sentait la menace grandir, son cœur se serait de plus en plus au fond de sa poitrine, le mal était tout près et il sentait sa puissance se qui ne lui plaisait guère. Tyran éleva alors la voix.
- Sym tu aura besoin de plus de force que normalement quand tu aura à combattre contre Théodoric. Il est puissant cet homme et il te faudra utiliser toutes tes forces physique et mentales. Je vais bientôt te quitter, je vais revoir mon maître pour l’avertir que tu sauras en train de combattre l’un de ceux que tu dois éliminer pour lui. Voilà, pour le moment je te conseil d’écouter attentivement ce que je vais te dire, cela te donnera force, courage, endurance, dextérité et rapidité. Après cela je vais te quitter et bien sûr, bonne chance. En espérant de ce revoir bientôt après ta victoire… Bon j’y vais!
• ( Parole de Tyran )

Toi qui a le feu, l’orage, la force de la terre sous ton emprise,
À toi l’honneur de vaincre l’invincible!
Utilise ta rapidité pour vaincre ce qui est lent,
La force pour abatte le faible,
Le courage pour suivre la route sans issus,
L’endurance pour prendre l’assaut du difficile,
Et la fierté pour une fin du méritant.
À toi, ange qui donne foi,
Je te donne l’amour de vivre pour ceux que tu aimes.


Quand les armes s’entrechoqueront,
Tu ne lâcheras pas prise.
Quand ton corps subira les coups,
Seule le corps en sera brisé.
Quand tu subiras la souffrance,
Ta volonté sera celle qui te sauvera.
Quand ton ennemi sera ébranlé,
Seul contre des milliers,
Tu seras accompagné.
À toi, ange au pouvoir immense,
Je te donne l’action de survivre pour ceux que tu aimes.


Toi qui fait honneur, qui fait sentir et qui agi,
Seul contre l’invincible,
Seul à toi, la possibilité de victoire!

Après ces mots, Tyran quitta laissant Sym à lui seul. Maintenant Sym se sentait au plus fort de se forme. Il avait l’impression que rien ne pouvait l’arrêter.
Il était maintenant tout près du château, il était qu’à quatre-vingt mètres de la grande porte. Autour de lui, le chaos était présent, le corps de plusieurs simples paysans s’y trouvait, le corps de certains gardes tranché en deux et des centaines de flèches était planté un peu partout dans le sol. C’est là que l’ange vit au pied de la grande porte le colosse de métal gardant l’entré du château. Des archées visait l’homme, d’autre tirait des flèches mais sans aucun effet. Sym savait que cet homme était celui qu’il devait combattre. Ce combat lui paraissait destiner. Sym débarqua du cheval, empoigna sa lance près à combattre. Sa fureur était si forte et l’orage autour se faisait sentir. Le ciel était maintenant complètement noir et des éclaires électriques d’un bleu argenté s’étendaient parmi les nuages. La peur régnait tout autour, les villageois allaient se mettre à l’abri. La pluie était déjà présente et un rideau de pluie obstruait la vue de quiconque. Face à l’armure en pointe parsemée de chaire humaine, Sym cria à l’homme qui était de dos la phrase qui déclancherait sans doute, le combat le plus difficile et le plus indulgent de toute sa vie.
- Enfin, je t’ai trouvé! Théodoric!
Si quelqu'un pouvait voir la scène de loin, il verrait un magnifique aura de lumière projeter ses rayons parmis la noirceur qui c'était instalée et sous le déchaînement de l'orage.

Une noirceur complète régnait à présent au dessus du château de la terre, les nuages noirs électriques donnaient un avant goût du désastre qui s’amenait. Le ciel était si sombre qu’il étendait la terreur autour de lui, seule les éclaires bleu donnaient un moment de bonne luminosité, l’ange quant à lui laissait jaillir un aura si puissant qui permettait de voir les deux adversaires face à face. D’un côté le démon, de l’autre, l’ange. La lumière de l’aura donnait l’impression d’enfermer le démon dans un cercle où il ne pouvait s’échapper car en dehors du cercle, rien ne pouvait être discerné.

Sym n’avait jamais été aussi confiant. Le démon caché derrière son armure le regardait toujours aussi fixement et sans émotions mais cela importait peu. L’ange avait entendu le message que le démon lui avait lancé, ses paroles abjectes et les insultes ne le dérangeaient aucunement, au contraire, à chaque fois que le démon réagissait, Sym gagnait en confiance et cela le rendait plus fort et plus déterminé. L’ange empoigna sa lance plus forte que jamais et préparait sa riposte à la moindre réaction de son adversaire. Sym avait maintenant emprisonné son adversaire avec lui, le démon en face de lui avait les mains liées, il ne pouvait s’échapper et Sym non plus, ce combat était donc inévitable. Autour du cercle de lumière, les éléments commençaient à se déchaîner et jamais une tempête n’aura été aussi puissante. Le ciel était noir comme l’espace, la pluie crachait à vive allure comme des chutes d’eau tombant seulement qu’à des endroits imprécis et en grosse quantité, les éclaires larges comme des champs frappaient le sol causant à chaque fois une secousse plus forte que ceux des tremblements de terre. Des feux jaillissaient du sol après chacune des secousses laissant croire que l’enfer s’installait parmi les deux combattants. Trois tornades pouvaient aussi distingué à l’horizon seulement après le passage d’une de ces éclaires géantes. Le tonnerre grondait si fort qu’il pouvait rendre sourd n’importe qui à des kilomètres. Sym se sentais quant à lui de plus en plus en confiance, l’environnement qui se dessinait autour au travers les lumières bleu des éclaires était une chose que Sym connaissait très bien, les éléments était près à lui donner son aide ou le contraire était aussi possible.



Le combat semblait inégal, l’homme qui était devant lui était beaucoup plus gros, beaucoup plus fort et sans doute plus puissant mais la détermination qu’il avait le poussait à agir. L’être devant lui peut bien être puissant, mais le démon qui se trouvait à l’intérieur, Sym en avait pitié et tout aussi peur mais l’ange ne montrait lui aussi aucune émotion face à cet égard, il restait toujours muet et le regard neutre, regardant son ennemis charger sa fureur et sa haine de l’intérieure. Peut-être allait-il mourir? Sym n’en avait que faire, seul la mort de cet être était pour lui important, il savait par contre qu’il ne pouvait mourir sans que son ennemi soit mort lui aussi. La détermination était là.

Sym était maintenant près à agir, il savait que tout allait bientôt commencer. Son ennemi allait attaquer le premier et perdre patience. Tout était fin près, il pouvait enfin prononcer les mots qu’il avait à dire et qui déclancherais s’en doute le combat le plus redoutable de tout les temps.

Sym pris sa lance et fit un tour sur lui-même laissant son ennemi regarder le spectacle de lumière jaillir tout autour de l’ange. Gravant quelques signes de sa lance en pointant vers le ciel, dans le même temps, les mêmes signes se dessinaient dans le sol sous leurs pieds dans l’aura de l’ange. Après avoir fini, quatre éléments pouvaient être distingué dans les ramures du sol, Sym eu un sourire narquois en directions du démon. Sym ne regardait pas Théodoric, il regardait Baal-Peor dans les yeux. Voilà le moment qu’il attendait :



- À toi de le découvrir, si tu peux!

Heureusement que sont adversaire était beaucoup plus lent que lui, cela lui permettait soit d’éviter les coups et de contre attaquer ou bien de parer l’attaque et de lui renvoyer la pareil. Sym avait malheureusement été touché à l’aile gauche et celle-ci perdait du sang abondamment mais cela ne l’affectait en rien, au contraire chaque coup lancée par l’adversaire encourageait l’ange à poursuivre son but et n’y la mort n’y les blessures bien qu’importante allait mettre fin à ce combat, pour lui ce serait le démon qui était en face de lui qui subirait la défaite. Sa lance avait été coupée en deux, bien que cela l’ait affecté pendant un certain lapse de temps car cette arme ait une grande valeur familial et aussi d’aventure. Maintenant il trouvait que l’arme était bien plus utile pour bloquer et par la suite frapper encore plus violemment. Sym ne se fatiguait pas et contrairement à ce qu’il aurait pu penser, il gagnait en puissance, il devenait plus fort à chaque instant mais le combat semblait durée une éternité, chaque coups il l’est voyait d’une lenteur extrême et ses attaque était de plus en plus précise.

Évitant un autre coup de dernière seconde, Sym bondit derrière l’homme dans sont armure et enfonça encore avec le bâton avec le bout tranchant dans la même crevasse qu’il avait fait précédemment et l’ange avait sentit à nouveau la pointe rentrer dans la chaire de son rival. Mais celui-ci ne se plaignait en rein mis à par les cris assourdissants et les insultes que proclamait le démon à l’intérieur du corps. À chaque fois, du sang sortait de ces blessures mais aussitôt elles se refermaient complètement intacte et exactement comme avant. Sym se battait réellement contre l’invincible mais cela ne le découragea pas, il était toujours aussi confiant et avait la certitude qu’il était possible de battre cet ennemi. Oui, Sym avait peur, mais celle-ci ne l’affectait aucunement, son esprit était serein et il ne voulait absolument pas laisser la moindre émotion jaillir sur sont visage, il ne voulait pas laisser au démon le plaisir de voir la douleur qui le torturait, il ne voulait pas voir cet infâme servant du mal savourer une victoire facile, il voulait plutôt le déstabiliser, le mettre hors de nuisance, Sym proclamait se soir que ce démon devait périr et il le ferait, il gagnerai contre cet force maléfique. Sym ne voulait pas savoir comment il allait faire pour battre ce monstre, sa volonté allait finir par le rendre vainqueur et rein n’y l’invincible pourrait l’arrêter. La fureur du démon grandissait encore pendant que Sym lui, gagnait en volonté.

Boum!

Une éclaire venait de tomber à une centaine de mètre où se déroulait l’action du combat. Des vents électriques et des tremblements provenant du sol fit tomber l’ange à la renverse échappant l’arme sans tranchant tomber sept mètres en arrière. L’ange cloué au sol n’eu que le temps d’apercevoir l’arme de l’immense géant s’abaisser en direction de son cou et ensuite de l’éviter de justesse, son cou avait été touché mais il y avait seulement une mince coupure laissant échapper qu’une lueur de sang. Immédiatement, la contre attaque, cette fois Sym n’avait pas hésité, l’ange donna un violent coup vers le visage du démon qui recula de quelque mètre après avoir reçue un tel choc. À peine le temps de se jeter un regard vers Sym le démon vit l’ange revenir le frapper à nouveau avec les deux armes dont l’une qui avait été projetée. Sym voyait que le démon était étonné et qu’il était incapable de retenir sa colère. Le visage de Théodoric devenait de plus en plus difforme, ses yeux pleuraient du sang, sa bouche était de plus en plus grande et on pouvait y voir avec encore plus de précision les dents affreuses qui montrait à quel point ce démon était effroyable.

Encore un fois, L’ange pu éviter un coup et à nouveau briser une partie importante de l’armure laissant voir maintenant la majeure partit du visage de son rival. Sym ne ressentait aucune perte d’énergie et il était repartit de plus belle. Après de nombreuse tentative pour blesser l’ennemi mais sans vain, Sym sauta vers l’arrière pour éviter la charge de son opposant mais celui-ci avait réussi à défoncer la seconde aile de l’ange avec la pointe de sa hache et de passé bar en bar. Sans aucune hésitation, Sym se poussa vers l’arrière laissant déchirer son membre sur tout son long, laissant ses plumes noires tomber sur le sol et s’envoler sous la force du vent et de l’orage. Cet blessure était beaucoup plus douloureuse que la précédente mais encore un fois Sym ne fit aucun geste laissant croire au monstre qu’il soufrait, encore et de plus bel, Sym gagnait en confiance. Encore une autre charge mais cette fois l’ange fit un bon par dessus le géant enfonçant la lame de sa lance dans l’œil droit de l’homme sans protection à ce point du visage. Encore une fois le démon criait plus fort mais toutefois la blessure n’avait toujours laissé aucune trace. Normalement , avec tous les coups que cette homme avait reçus, il serait mort, il y avait bien perdu du sang même que sont armure en était recouvert mais les blessures n’apparaissait qu’à certain moment et disparaissait aussitôt. Théodoric fit balancé sa grande hache tout près du visage de l’ange le ratant de peu à chaque fois. Un grand coup de vent donna un fort coups au deux combattants laissant le démon sur place qui n’avait pratiquement rien ressentit pendant que Sym, lui, avait atterrit à près de vingt mètres de l’emplacement. Pendant un cour instant il n’eu aucun bruit, plus aucun vent et aucun mouvement. L’air était devenu étrangement brûlant et les cheveux de Sym s’étaient dressés. La statique pouvait se faire sentir dans l’aire et……….

Boum!

Sym fut projeté encore une fois mais à plus de 30 mètres et il n’y voyait plus rien, l’éclaire l’avait complètement aveuglé. Théodoric avait reçus l’éclaire de plein fouet laissant qu’un immense nuage de poussières et de terre voler dans les aires. Sym repris ses esprit et commença à reprendre la vue peu à peu. La pluie tombait toujours sur son visage et l’orage était encore très présent. Dans un élan de vitesse Sym se redressa et se dirigea immédiatement vers l’endroit où se trouvait Théodoric la dernière fois mais l’emplacement était différent. L’endroit où se trouvait un grand homme en armure avait complètement changé. De l’endroit où Sym était placé, seule un grand trou laissant échapper de la fumée et de la terre calcinée était apparent. Avait-il tué cet être fascinent? Non, Sym n’y croyait pas, les éléments étaient toujours en colère, mais peut-être avait-il gagné après tout. Toujours sur ces gardes, Sym resta à quelque mètre observant la scène devant ses yeux attendant le moindre signe pouvant signifier le début d’un autre duel ou la fin de ce combat infernal!

Toujours sous les effets de sa lumière, gardes et paysan regardait la scène souhaitant que le combat avait cesser. Toujours dans l’ombre et le chaos que prédominait le ciel, seul la lumière de l’ange pouvait éclairer le désespoir de ce ciel sombre, et l’ange regardait toujours devant lui attendant sa réponce.