Le port & en chemin

J'arriva silencieusement aux port, le regardsombre et funestre. J'appercu un jeune homme avec des ailes grand'ouverte, me regardant en sourillant. C'était Rubis, mon compagnon de route.

Je l'ai rencontré quand j'étais parti du manoir de mes parents. J'étais venu à Elenwë pour me réfugier des troupes menacantes de la légion des déesses.Puis nous avons commencé à parler en chemin et nous sommes devenu de bon amis.

''Salut Rubis !''
Je lui adressa un sourire éclatant.

(Nous nous connaissions déja)

Rubis salua son ami stan, qui venais d'arriver aux près de lui.
''Alors stan, près pour le voillage ?'' demanda't il d'un ton enjoué mais inquiet.

''Écoute, personne ne te force à y aller à cette guerre tu sais...''

*Si cela à raport avec elwenna, je me suis mit dans le trouble *

le silance s'instala.

Cinn venait d'arrivé au port et avait entendu 2 jeunes hommes parler d'une guerre. Elle l'ai avait écouté un moment puis, c'était décider à aller leur parler voyant qu'il c'était tût:
-Bonjour. Je vous est entendu discuter d'une guerre, de quelle guerre s'agit-il? Il me semble que les choses se sont calmé depuis l'immense bataille que les déesses ont livrées... qui sont les opposant des cette fameuse guerre, en devenir?
Elle sourit devant leur mines ébeurlués, pourquoi une jeunne fille se melait-elle insi à leur discution, devaient-t-ils se demander, pour répondre à leur question silencieuse, elle dit simplement:
-Je suis très curieuse.
En regardant le beau jeune homme blond qui se tenait devant elle.

En voilant cinn arriver de nul part, il fit un bon en arrière.
''Aah !''criège''Ne fait plus jamais ca!!''

''Depuis quelques temps, les déesse refont surface, une guerre ce prépare, ce soir....''

''Mais qui est tu ?''demandais-je en appercevant des oreilles pointues sur sa tête.

*cette fille est bizzard, elle me rapelle quelqu'un... Elwenna... elle à le même regard et les même yeux...*

Cinn était tout bonnement amusé devant l'air étonné de l'homme blond. Pour son grand plaisir, elle fit pivoter ses oreilles et l'homme resta ahuri:
-Je m'appelle Cinn, je suis un femme-chat. D'où mes magnifiques oreilles. Dit-elle est riant:
-À ce que je peux voir, vous n'en aviez jamais vu avant, n'est-ce pas?
Mais le jeune homme ne répondit pas, il semblait tout bonnement hypnotisé par ses yeux:
-Moi aussi j'aime bien mes yeux, mais je ne les fixe pas pour autant.
Murmura-t-elle en penchant légèrement la tête sur la gauche et en souriant.

-Ce n'est rien. Je cherche de l'aventure, je veux bien aller à la guerre, pas que la guerre m'intéresse, mais j'ai envie de quelque chose de nouveau et je suis relativement jeune, oui.
Elle sourit, puis continua:
-Maintenant que vous connaissez tout sur moi, il est temps de parler de vous, je ne connais pas encore vos noms, mais j'aimerais bien. Parlez-moi dont de vous avant qu'on ne embarque dans un de ces navire pour une autre guerre sans fin, ni but.
En disant cela, elle se tourna vers les quelque navires ce trouvant encore amarré au port de la cité royal. Un d'eux ce nommait La Fabula, surment celui où ils allaient faire ce voyage. Il y avait, sculpté sur sa proue, une sirène à la chevelure dorée qui volait au vent. Elle semblait triste, Cinn oublia un instant sa question en suspens pour ce demande pourquoi une femme qui avait s'en doute voyager bien plus que Cinn ne le ferait jamais, pouvait être triste? Puis, elle se souvint que ce n'était qu'une proue en bois, un être non-vivant et tourna son visage vers les deux hommes.

Cinn courût jusqu'à la pacerelle où Rubis l'attendait, elle ne réalisa pas tout de suite ce qu'il voulait lui montrer, car elle souhaitait à tout prix lui expliquer sa raison d'être:
-Oui! Bien sûre que je veux venir! Je sais, je sais, je suis plutôt jeune, mais j'ai des réflexes aussi aigussé qu'un chat et une connaissance totale des plantes guérisseuses!
Elle marqua une pose, sortit son épé et continua:
-Je sais me battre, et j'ai une vision presque parfaite! Pourquoi ne viendrais-je pas? Si dans cette guerre sans but, si cette lame ne se souille pas du sang de mes victimes, alors elle se souillera de sève pour sauver mes patients.

Stan regarda par dessus son épaule Rubis et Cinn qui parlaient, Cinn, son épée sortie. Voyant le bateau bouger, Stan sauta sur ses deux camarades et dit :
''Et nous sommes parti !''

Nous voguères pendant quelques heures, confirmant son mauvais pied de marain, je me mit à vomir en dehors du bateau. Puis je leva les yeux ver l'horizon, où s'affichait le continent de l'eau. Stan se releva et pris son épée dans les mains et la leva devant lui. Elle se mit à sintiller puis je baissa ma position, attendant l'acostement.

(hj: Nous coninuons à Mairenn dans la section port que j'ai crée)