Le manoir de la famille De Blanchenuit

Aricia se laissai bercer par Monsieur Mirod et quand il referma ses bras tendrement sur elle, elle le serra un peu plus fort. En le voyant par la fenêtre tout à l'heure pratiquer son maniemant d'armes, elle se sentait en réconfort dans ses bras. Puis il lui posa la question, la question qu'elle redoutait qu'il pose. Elle se dégagea et le regarda dans les yeux... De très beaux yeux... Puis Elle ouvrit la bouche une première fois sans que rien n'en sorte puis elle la réouvrit et se lança en espérant qu'il conmprenne tout...

Ben.. Monsieur Mirrrrroooood.... J'ai rêvé que je menfuiyait de la maison avec Léo.. Mon frère et qu'on se cachait damns le bois... Dans une cabane... Plein de peinture Rouge... Et la on était content... Il y avait quelqun de pu vivant et elle ressemblait à moi et à Léo mais... Disez rien à popa et à ma mama.... JUste vous... juste vous...

Elle s'enfouit le visage dans le cou de l'homme et ne bougea plus repensant au cauchemar qu'elle venait de raconter à une vitesse folle...

-D'accord, je garderai ça entre nous. Mais il ne faut pas voir peur. ce n'est qu'un cauchemar.

Il referma de nouveau les bras autour d'Aricia, et recommença à la bercer en réfléchissant. Si cette enfant commençait è faire des rêves de mort à cet âge, celà ne serait pas fait pour aider à l'avenir. Il faudrait qu'il voit celà avec elle si il en avait le temps. Et surtout si il restait encore un peu, ce dont il n'était pas encore sûr. Il était un assassin professionnel, mais d'un autre côté, le rôle de la secte dont il faisait partie était aussi de protéger le monde contre les habitants du mal. Et l'attaque qui avait eu lieu le jour précédent laissait aisément penser que cette famille n'était pas au mieux de son histoire.

-Il faut que tu te calmes, ça va aller.

Il continua à berçer Aricia tout en pensant à tous les détails qui trotaient n'importe où dans sa tête.

Savia entrait dans chaque chambre et elle réveillait tout les enfants et les forcaient de se nettoyer et s'habiller pour le jour. Elle descendait les escaliers pour aller au cuisine et elle vu Mirod en train de bercer Aricia dans ses bras. Elle fit son présence connu à Mirod et lui fit des signes silencieux qu'elle serait dans la cuisine en train de faire le petit déjeuner.
"Voulez-vous quelque chose à manger en attendant?" disait Savia silencieusement et elle attendit son parole.

Lorsque Mirod entendit Savia descendre, il releva la tête, tout en continuant de berçer Aricia. Il l'entendit lui demander s'il voulait à manger, et fit simplement non de la tête. Il sourit doucement, et reporta son attention sur la petite fille. Il continua de la berçer, tout en lui chuchotant des paroles réconfortantes. Il était attendri malgré lui par Aricia.

-Ça va...

Il resta ainsi.

Aricia était vraiment réconfortée auprès de Monsieur Mirod même si celui-ci était un genre de guerrier. Elle ressentait toujours le bonheur d'être dans les bras de quelqun en qui elle avait vraiment confiance. Elle ne se sentait jamais vêxée ou gènée à côté de cet homme pur et sans vraie violence. Il semblait protéger un royaume, une place, quelqun peut-être... elle n'en savait rien. Elle senti la dame étrangère qui semblait bien l'aimer... Elle fit comme si de rien n'était et resta dans les bras du grand et fort Monsieur Mirod attendant que son frère Léo se réveille enfin pour lui confier ses plaintes, peines et peurs... Elle ne se sentait pas à sa place ici et les autres membres de la famille semblait le penser aussi... Donc ele sécha d'un coup de main ses larmes encore versantes et regarda droit dans les yeux et lui demanda en essayant de parler le plus clairement possible mais sans trop élever le ton de sa voix car ellle savait que sa "mère" était dans la pièce juste à côté...


'MIrod...Euh... Monsieur Mirod... Est-ce que vous m'aimez...Je veux dire .... Comme quelqun de ma famille.. un peu comme une fille... Parce que moi je veux savoir... Parce que moi je vous aime beaucoup...'

Elle le fixa intensément sans jamais le quitter des yeux dans les yeux... comme s'il sagissait d'un poisson.... Elle ne voulait pas lacher sa ligne...

Aux paroles d'Aricia, Mirod ne sut pas quoi répondre au début. Il n'avait pas eu le temps de réfléchir à ce genre de question. Il ne pouvait nier avoir ressenti une sorte de pitié mélangé de respect et peut-être même d'une once d'affection, mais rien de précis dans son esprit. Il est vrai que la petite Aricia avait déjà chamboulé sa perçeption quelques instants plus tôt. Entraîné à l'art de la subtilité, de la guerre précise et de l'immunité mentale, la petite fille avait néanmoins percé ses défenses mentales par le simple fait de son innocence enfantine. Maintenant qu'elle lui posait la question sur ce qu'il pensait, il se retrouvait sans réponse pour la première fois.

Le simple fait de l'affection de la petite fille envers lui l'avait ébranlé. Il avait en effet été élevé et entraîné dans la discipline et le strict imposé en tout temps, hors maintenant, il reçevait l'affection sincère d''une personne, phénomène nouveau, ou tout simplement oublié. La dernière marque d'amour quelcquonque remontait au moment de son départ de chez lui, pour ne jamais y revenir. Sa mère... Le visage de celle qui l'avait enfanté était floue dans sa mémoire. Il baissa la tête vers Aricia, et regarda ses grands yeu bleus. Il resta ainsi un moment.

-Je l'ignore encore, Aricia. Mais j'imagine que je pourrais facilement apprendre.

Il finalisa en reprenant Aricia dans ses bras, maintenant pourtant persuadé qu'il ressentait bien un début de forteaffection envers la petite fille d'un homme qu'il venait de rencontrer depuis quelques heures.

Shari fut réveillée par les mouvements du vieux matelas qui suivant les mouvements de sa mère se balota un peu, grincant, et repris ensuite silencieusement son aspect plats et lisse.Shari observa le dos de sa mère le temps qu'il disparaisse dérrière la porte. Elle hésita, rester blottie chaleureusement dans les bras de son père dormant paisiblement ou bien suivre la tentation ittensive de suivre sa mère en épanouissant sa curiosité? Cette hésitation était longue tout comme le choix était difficile.
Après longues réflexions elle ne pus plus résister, ni la chaleur ni la curiosité ne l'emporta, ce fut le gargouillement de son ventre. Elle regarda d'abord son père qui ne semblait pas avoir été dérangé par celui-ci et se glissa lentement et agilement de l'étreinte de son père non sans remords. Elle remit la couverture en place délicatement et descendit silencieusementdu lit. Arrivée à la porte elle sorti sa tête par l'entrebaillement laissé par sa mère et se glissait sans un bruit par celui-ci. Elle s'approcha de l'escalier et regarda en bas elle appercu tout d'abord Aricia doucement bercée par Mirod qui semblait attendrit par la petite fille. Le regard de Shari prit vite un air gourmand en voyant sa mère aller à la cuisine. Alors elle décida de descendre mais ne voulant déranger Mirod et Aricia elle fit de son mieu pour rester discrète, cela ne fut pas chose faite. Sachant qu'elle ne réussirait pas un tel exploit elle se retourna et adressa un sourire voulant dire "Bonjour" à Mirod et Aricia avant d'aller à la cuisine. Arrivée à destination ele se dirigea vers sa mère et tira doucement sur la jambe de sa mère les yeux levé au ciel pour appercevoir le visage de sa mère. Elle se décida alors à dire cela dans le plus simple aspect:

- Maman, j'ai faim.

Elle continua de regarder sa mère montrant un petit air suppliant. Tout en gardant son étreinte sur les vêtements de sa mère. Un nouveau gargouilli s'échappa de l'estomacs de l'enfants qui ne changea pas d'expression.

arriver au devant de la maison des blanchenuit,Hieï inspecta les lieux.''Eh bien,c'est asser grand en éffet,mais maintenant,j'ai autre tache que d'admirer la maison,je dois trouver l'alchimiste isnar.'' Hieï entendit,ou plus précisément sentie,un mouvement dans la forêt autour du manoir.''Hélix...tu en pense quoi,de ce bruit?''

Léo se réveilla en sursaut les yeux plein d'eau et le corps agiter de spasme. Il avait chaud, trop chaud. Il savait qu'Il n'était pas à sa place dans cette maison. Du jour au lendemain il se retrouvait avec une grosse famille alors qu'Il était habitué au confort et la simplicité de la vie à 4. Tryphaéna c'Était réveiller alors que sa respiration commençait à se stabiliser. En ronronnant, elle s'approcha lentement de lui et lui lécha son visage plein de sueur avec sa langue rappeuse. Mais ce n'était pas assez pour le réconforter. Il se sentirait bien seulement lorsqu'il ne sera plus dans cette maison. Sa sœur n'était pas à côté de lui... Où pouvait-elle bien être? Léo ne pouvait prendre la chance de passer devant ses parents, il devait partir incognito!! Il prit sa tête entre ses mains et commença à réfléchir en caressant machinalement le petit corps félin entre ses jambes.

*Aricia mais où es-tu partie? Nous devons partir... Ce n'est pas normal ici... Ces...parents adoptifs ont déjà plusieurs enfants ils n’ont pas besoin de nous! Nous ne somme qu'un poids...qu'un poids...*

Depuis que Léo était dans cette maison, de multiples rêves négatifs hantaient ses nuits. Il était comme invisible, personne ne le voyait, on ne s'occupait pas de lui et sa soeur et Tryphaéna était absente à chaque fois!

Soudain, le petit homme entendit une voix dans sa tête. Un simple murmure, une présence. Il se concentra sur celle-ci et essaya de la réentendre. Celle-ci se prononça de nouveau. C'était Aricia!!

~Léo? Léo? Je suis en bas avec Monsieur Mirod...~
Léo releva la tête. Sa soeur et lui communiquait pas la pensée!! Il avait déjà remarquer une légère présence dans son esprit mais il ne lui avait pas fait attention.

*Aricia... Viens me rejoindre nous DEVONS partir...*

~J'avoue l'avoir ressentit moi aussi... J'arrive...~

Léo se releva. Il devait faire vite. Il mit quelque fruit que contenait le panier à côté de son lit ainsi qu'une petite gourde d'eau et des cookies dans la couverture du lit. Il en fit un ballot, attrapa Tryphaéna et entreprit de joindre les draps du lit ensemble pour pouvoir sortir par la fenêtre. Il ne manquait plus qu'Aricia.

*Dépêche toi...*

Aricia était encore dans les bras de Monsieur Mirod lorsque son frère léo l'interpella avec son esprit... Cette faculté lui avait été inconnu jusqu'ici. Sans que l'homme près d'elle ne ressente l'énergie télépathique, s'il en était capable, Aricia se concentra bien fort en plissant son petit nez et réussi à formuler une réponse. Léo était bien déterminé à partir et ceci elle le réssentait bien... Elle n'aimait pas beaucoup non plus que plusieurs enfants habitent cette maison, quoique ce manoir était très grand, elle se sentait laissé pour contre et très serrée dans le coeur des parents... adoptifs. La petite fille essaya de trouver le moyen de disposer de Monsieur Mirod sans laisser croire qu'ellle s'en allait pour de bon. Elle le serra très fort une fois de plus en laissant couler une énorme larme le long de sa joue. Aricia l'essuya d'un coup vif et le regarda bien droit dans les yeux. La fillette dit d'un ton hésitant:

Je dois aller... chercher mon frère car le soleil est presque à son zénith et Léo n'est pas encore debout... Donc...

Elle ne dit plus car Aricia savait que Monsieur Mirod comprenait la marque d'affection qui unissait les deux enfants. Elle le délaissa avec un grand sourire pour que sa peine ne se laisse pas voir. Elle sauta des bras de Mirod et jeta un coup d'oeil à la cuisine. Voyant que Shari se faisait nourrir par sa mère, elle entra en silence et prit le panier de provisions prévu pour le pic-nic de ce midi. Aricia ressorti de la meme manière qu'elle était entré et couru aux escaliers pour y rejoindre Léo.

*Bon, j'arrive enfin...* pensa-t-ellle pour ne pas que la peine d'avoir quitté Monsieur Mirod ressurgisse.

Quand la fillette se retrouva dans la petite chambre, Aricia vit Léo au bord de la fenêtre grande ouverte... Ellle s'avança sans trop faire de bruit et lui dit d'un ton mélancolique

Léo... On ne vivra jamais comme les autres enfants... hen?...

Tout en continuant à tourner le dos à Aricia, Léo répondit:

-Je ne crois pas Aricia. Ne pas avoir de port d'attache est toujours quelque chose de désespérant, surtout pour nous, mais je suis sûr que sa nous rendra plus fort!

Il se retourna. Tryphaéna était sur son épaule, regardant tout les mouvements d'Aricia. Léo s'avança vers sa soeur et la prit dans ses bras.

-Ne t'inquiète pas... Tout vas bien se passer.

Il regarda le panier qu'Aricia tenait fermement.

-Parfait, on pourras tenir assez longtemps avec ça, et Tryphaéna se débrouille à la chasse!

Léo chercha dans les tirroirs à la recherche d'argent. Celui-ci entrouva une coquette somme et la mit dans ses petites poche. Il ouvrit la fenêtre et jeta les draps en bas, de manière à faire un escalier. Il donna la panthère à Aricia et mit celle-ci sur son dos. Ils descendirent les draps. Quand leurs pied toucha le sol gazonné, Léo enroula les draps autour du ballot et partit à courir main dans la main avec sa soeur, Tryphaéna suivant derrièrre. Il n'arrêta sa course que dans les bois touffus. Le sentier vers le port de Trane zigzaguait devant lui.

*Qu'allons-nous devenir?*

<suite au port de Trane, tout de suite aprs qu'Aricia poste.>

(HJ: Désolé si je gâche vos plans, mais eh...)

Lorsqu'Aricia le quitta en prétextant devoir aller chercher son frère, Mirod eut des soupçons étranges, mais il n'en laissa rien paraître. Il regarda la petite fille disparaître dans les escaliers, puis sortit du fauteuil dans lequel il était installé pour sortir dans la cour. Regardant vers la fenêtre de la chambre des enfants, il ne fut pas surpris lorsqu'il les vit s'agiter. Il se camoufla en vitesse lorsque les deux enfants jetèrent les draps la fenêtre, et il les observa descendre le long du mur. Il guetta tous leurs mouvements lorsqu'ils coururent à l'abri des arbres, et s'avança vers eux à pas feutrés, ne faisant aucun son même parmi les brindilles et les feuilles mortes. Il se posta derrière eux en silence, puis se releva.

-Vous comptez aller bien loin de cette manière?

Il croisa les bras, et se posta en attente d'une réponse de leur part. de toutes façons, s'ils s'échappaient, il saurait les ratrapper en un rien de temps. Il ne dit plus un mot, mais posa son regard sur Aricia. Ce regard valait bien plus que des mots, il exprimait le profond chagrin qui venait de l'emplir. Elle lui dit son affection, pour ensuite se sauvre. Une manière d'être assez hors du commun, et blessante en un sens.

Savia souria à sa fille Shari et lui fit assit au table tandit qu'elle fit le petit déjeuner. Elle commencait de servir quand elle sentit deux présences inconnu. Tout de suite Savia se dressit droite et elle sentait l'air avec un regard de méfiance. Elle tourna vivement sa tête vers le petit salon et sut qu' Aricia et Léo était dehors avec Mirod.
**Les enfants! Rentrer dans la maison tout de suite!!!!** Savia les envoya mentalement et à Mirod d'entendre aussi **Il y a des étrangers devant la maison!!! Entrer avec Monsieur Mirod maintenant!** elle dit séverement et elle lancant à Isnar un avertissement.

((Désolé mais vous ne pouvez rien pour nous... nous sommes déjà partis! c'est trop tard! Si vous voulez nous rattrapez, il faut aller au port de Trane! Et Mirod je t'ai écrit un message pour te dire nos intensions!))

Isnar bouga les bras pour faire comprendre sa fatalité, il alla se réfugié dans son laboratoire, ils voulent partir? Qu'ils partent! deux mouflets dans se monde, encore des proies que les autres monstres du mondes mangerait, Isnar été amer, il les avait aidé, nourri, rassuré, qu'ils aillent aux diable! Les humains étaient de toute facon une sale race! Le lycan entendi des bruits qui vennait d'en haut il hurla avec rage et haine d'un père déçu par la vie!

"Que personne ne me dérange! Je n'ai que faire de vaut problemes!"

Il vérrouilla la porte en tournant la grosse clef dans la serrure puis il alla s'assoir sur un tabouret devant son établi, il commenca a travailler malgrés les larmes qui sortait de ses yeux rouges pour venir s'écrasé sur la table en bois massif, le lycan prit une fiole d'un liquide argenté puis il la serssa dans un grand résipiant, il mélangea plusieur chose puis il trouva une chose, cette chose c'était une pierre qui avait des vertues incendiaire, Isnar lanca la pierre dans le sau avec un sourire malsain, la pierre rouge changea de couleur pour prendre une teinte argent transparent!

"Enfin j'ai réussi, HAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA"

le rire du lycan ressemblé au rire qu'on les déments prit dans leur reve de folie, Isnar prit la pierre a main nue, se qui lui provoqua d'atroce brulure mais il se moquait de sa chair qui fumait. Isnar mit la pierre dans un tube en fer contenant un autre fiole de couleur indéterminné, le contact entre la pierre et la fiole fut rude, en effet, une explosion se fit entendre, le lycan fut projeté contre le mur avec une violence extreme, il tomba inconsient pendant que le labo prit feu, la table fut rongé par les flamme, les poutre commencé a brulé puis un énorme morceau de bois tomba sur le lycan, Es la fin de Isnar?

Shari avait été surprise des évènements, Léo et Aricia s'étaient enfuis et son père s'était enfermé dans son laboratoire au sous sol avec un air enragé. Shari fut abattue et elle alla s'assoir dans un fauteuil près des escaliers menant aux sous-sols. Elle entendit alors soudainement un gros bruits en bas, et elle se précipita dans les escaliers. Prise par l'inquiètude elle s'enmèla les jambes et déboula quelques marches tombant étendue sur les marches la tête vers le bas. Elle ne s'attarda pas dans cette position et continua de descendre mes escaliers. elle arriva à la porte du laboratoire et cria en éspèrent que son père l'entende. Et qu'il lui réponde que ce n'est pas grave, et que cette inquiètude n'en valait pas la peine.

- Popinouuuuuu! Ca vaaaa?

Elle n'entendit pas de réponse et frappa sur la porte de ses petits poings pas très forts et replets.

Savia fut surprit de la réaction d'Isnar au sujet des enfants. *Mais qu'est ce passe-t-il avec Isnar?* pensa Savia inquiète. Elle allait en haut pour réveiller Narja quand elle entendu un explosion venant du laboratoire d'Isnar.
-ISNAR!, cria Savia peur et elle courait en bas a tout jambe pour trouver Shari près de la porte avec un air inquièt, Recule du porte Shari!, ordonna Savia avec un ton sévere et elle brisa la porte avec un boule de flamme et entra dans le laboratoire pour trouver Isnar blesser.

Les flammes rongeaient le laboratoire. Isnar était étendu là. Son corps inerte comme mort, la vie ne l'avait pas quitter mais cette violente explosion. Malgrés les cris des deux femme qu'il aimait le lycan ne bougeait point. Les yeux clos, le visage noirci par la fumé montante et toxique.

Le feu argenté dévorait les poutres, meubles et divers créations de cette esprit tourmenté d'un alchimiste amoureux et blasé. Un de ses bras était lui aussi "manger" par la chose brulante et remuante comme un animal qui prend son dut.le corp avait une posture harmonieuse malgrés le chaos ambiant.

Isnar en état de coma avancé, était plongé dans des rêves ou des cauchemars psychadéliques. Les images de sa famille se mélangeaient avec celles des massacres que le lycan avait fait avant de connaitre celle qui le changerai, celle qui s'offra a lui et qui lui donna de magnifique enfant. Il ouvra les yeux avant de resombré.

"Savia, fuit, je t'aime, protege nos enfants..."

Le sursaut de vie s'estompa, le coma et le vide reprirent les droits sur l'alchimiste. Une gravure de sa femme et des ses enfants dépassé de sa poche. Sur les gravures de Léo et Aricia, il y avait des larmes qui avait taché le papier si épais.

Il aurait aimé les serré dans ses bras mais ils étaient parti....Laissant le lycan au proie de ses peurs et de ses angoisses. Chaque enfant que Isnar avait avec lui, il les aimait, comme un père, comme un gardien.

Quand Savia a entendu Isnar lui dire de partir avec les enfants, ça l'enrager beaucoup. Aurait-il oublié qu'elle vient du continent du feu? Qu'elle pouvait lui aider? Avec grace et détermination, Savia entrant dans le salle en gardant son sang froid et elle soulevant la table qui était sur son mari et elle l'emmena vers la sorti avec leur enfants en vitesse.
-Mais tu es fou ou quoi!, cria Savia furieuse après qu'elle éteignit le feu sur le bras d'Isnar, Comment peux-tu croire que je peux prendre soin des enfants sans toi à mes côté!,
Avec cela dit, Savia s'éclata de sanglots tout en gardant Shari et Narja proche.
Après que les flammes ont réclamé leur maison, il était question de trouver un autre maison pour les enfants. Pas sur le continent du feu, puisqu'il y a un sorte de guerre en attendant, peut-être sur le continent de Terre, là ou ses ancêtres furent heureux? Le continent de l'air elle n'est jamais aller, mais elle savait que le continent du mal n'était pas un endroit pour les enfants!
-Allons, allons., dit Savia doucement à ses enfants nous allons au continent de la Terre, elle dit à tout le monde
Avec aucun hésitation, elle regroupa sa famille et elle les transporta vers le continent de la Terre.
(Suite de la famille Blanchenuit au continent de la Terre, Wilwarin.)

Savia fut revenu à la maison qui était la rendu la plus heureuse dans toute sa vie. Elle ne savait pas comment ou de quoi elle allait faire sans son Isnar avec elle. Elle avait pris l'habitude de se dépendre à lui. Plus maintenant, elle ignore où il est parti.
Regarda la maison encore une fois, Savia voyant comment la maison aurait beaucoup de réparation à faire et elle n'avait pas beacoup de temps avec cela. Elle décida de prendre une promenade non loin de la maison et d'éclairer ses pensées. Bref, elle en avait besoin si elle voulait savoir quel est son prochain action pour vivre.
Une fois retournait de son promenade, Savia décida de partir à l'aventure et elle prit quelque argent qu'elle avait trouvé dans les restes du manoir et parti au port du continent de l'eau avec l'idée de visiter son ancien continent, le continent du feu.
(suite au port)